STOP à la fétichisation des personnes transgenres. betolerant est le seul site de rencontre trans à ne pas considérer la transidentité comme un vulgaire fantasme fétichisé.
Alithia, ce n'est pas 5% qui regrettent, 30% des ados, et des enfants un jour pensent changer de genre car ils se cherchent et à une majorité ça leur passe, et de nos jours, ils vont mettre la possibilité aux enfants et ados de changer et si le psy donne l'accord de suite ou s'ils se procurent les hormones au médecin traitant, je suis sur trois groupes de détransitionneurs anglais, sur chaque il y en a 500 membres regrettant leur transition, en Angleterre, le phénomène a pris de l'ampleur et il y a eu un hopital d'enfants trans qui a fermé avec pleins de jeunes regrettant par la suite, ça a fait scandale, idem en Suède ou ça explose, et la France c'est en devenir du même phénomène, ce n'est pas 5% qui regrettent, car les gens regrettant ne le disent pas ne se montrent pas sur des groupes pour en parler par fierté, il y a nettement plus que 5%. Il faut encadrer par un psy et privilégier l'approche psychologique pour voir si mal être ou pas, qui n'a rien à voir avec une dysphorie de genre, mais celle ci servant des fois de pansement sans résoudre le mal être, il faut du cas par cas, et l'autodétermination doit être encadrée, et validée, pour éviter des jeunes se trompant en masse à une période ou l'on se cherche quand on est enfant ou ado, jusqu'à l'âge de 25 ans, le cerveau, pas à sa maturité. Il y a deux sortes de dysphorie de genre, celle ancrée depuis petit, donc moins de risques de se tromper et celle dysphorie de genre subite, sentiment de ressenti se formant en moins d'un an, et là plus de chances de se tromper, il y a plusieurs motifs mauvais pour transitionner (trauma avec le genre du même sexe, genre père violent, ou viol, anorexie, autisme/haut qi, homophobie intériorisée, pas de modèle de féminité pour se reconnaitre, sexualité génante dans l'adolescence du coup effaçage du genre pour ce motif, culture manga : androgynité cultivée pouvant amener à la transidentité, mal être à l'école moqueries, pouvant amener à vouloir changer de peau, donc de genre, influence sociale ou petit copain, petit copine trans, influence à aller la dedans, culture valorisée de l'homme / parents voulant un enfant de l'autre genre, frère ou soeur préférée et étant de l'autre genre..., fétichisme pouvant se transformer en transidentité superficielle, donc plus de chances de regretter), et sans oublier que peu de personnes sont prévenus, sur le passing après transition qui peut ne jamais venir, sur la difficulté en amour d'être non acceptés à vie sauf par des hommes hétéros ou bi transloveurs qui voient le trans ou la trans comme une curiosité plan sexe sans lendemain, donc la condition de paria, quand tu es trans, et pleins détransitionnent aussi pour ce motif de vie non humaine, mais aussi pleins détransitionnent car au plus profond d'eux ou d'elles même se sentent du genre de celui de la naissance, et ce ressenti s'accroit.
Citation de Tatoue #434517
Oulà je vois juste que tu as un vécu totalement différent dans les relations amoureuses. C'est vrai que beaucoup d'hommes fétichisent une femme trans, d'après certains retours. Après n'étant pas mtf je ne peux pas m'avancer.
Pour ce qui est du ftm je ne suis pas d'accord avec toi. Des relations avec des femmes cis hétéro je n'ai eu que ça tout au long de ma vie. Je suis loin d'être riche ou super bg puis je ne me trouve pas particulièrement intéressant. Je pense surtout que j'ai assez confiance en moi pour me dire que je mérite d'être aimé pour ce que je suis.
Quand tu transitionnes c'est pas pour plaire davantage aux autres, mais à toi-même. Détransitionner parce que tu ne plais pas à la gente féminine ou masculine, je trouve ça risible et montre quelque part que tu le faisais vraiment pour les autres... Cette tendance est grave et manque de suivis. Parfois un caprice peut être difficile à déceler.
Ca va être cliché ce que je vais te dire, mais si tu ne te plais pas commment tu veux plaire aux autres ?
Citation de Tatoue #434517
Bon la je regrette déjà, mais y aura pas de pincette, je vais dire les chose cache et clair parce que ça m'énerve profondément, de devoir debunke les connerie transphobe de cis (que je comprend quand on connais pas normal de dire des bêtises, je condamne pas, ça fait partie du job) par contre quand ça viens de personne trans elle même. Oui la ça me soûle grave.
Alors on commence, l' hôpital spécialisé à fermé oui, pour qu'elle raison ?
Parce qu'il centraliser toute les demande et que c'était pas tenable, surtout que des personne venais de très loin.
Donc l'équipe a éclaté pour ouvrir et former de nouveau centre ailleurs, pour permettre à plus de gens l'accès au soins nécessaire.
Ils ont pas fermé parce qu'ils ont merdé, mais pour ouvrir beaucoup plus de centre et former d'autre personne, et donc s'occuper de plus de monde.
Bien ça c'est le début.
Ensuite, non, c'est pas 30 %, c'est 5% et ça, ça a était prouver avec plusieurs études. Je suis sur que tu cite une étude (j'ai plus le nom de tête ni la revue) dont je parlerais en dessous plus bas.
Par ailleurs :
Tu est sur un groupe de detransitionneur, ok....
Je suis trésorière une assos trans, présidente qui a engager par exemple, l'état au tribunal pour discrimination, qui avais vue taubira à l'époque.
Qui a vue plusieurs personnes trans spetailiste des questions, Marie Cau, des médecins de Lille et psy, et je passerais sur tout les congrès, toute les études menais par les membres de cette assos.
Tu veux faire ton CV, je peux aussi.
Donc, non, ce que tu raconte n'est absolument pas vrai.
Surtout en France.
Les jeunes adolescents n'ont accès qu'au bloqueur de puberté jusqu'à la majorité.
Et la majorité continue leurs transitions après.
La durée des bloqueur est limité à 4 à 5 ans, ce qu'il fait que beaucoup de jeunes qui n'ont pas atteint 18 ans, doivent arrêter les bloqueur, mais ne peuvent pas entamer de transitions.
On parle pas de quelque mois, pas d'une année ou deux.
Mais bien de plus de 5ans, plus les années de réflexion avant.
Sans compter que pour les jeunes c'est très contrôler en France.
Que ça se fait pas comme ça, même si certain aime à dire le contraire.
Ensuite, oui, certaine personne vont vers le marché noir pour se procurer des produits.
Plus de contrôle sur les personnes qui suivent les vois classiques ne va pas empêcher ça, bien au contraire.
Et tout le monde sais la dangerosité, de se procurer des médicament au noir, sans suivie médical.
Donc encore une fois, crier au contrôle ne fait que rendre plus précaire les choses.
Encore les vieux clichés de la "génération manga et digital" pervertie par le lobby trans.
Franchement, arrêtons de prendre les gamins pour des débiles.
Les fetishists, fantasmes et compagnies ne tiennent pas contre des années de réflexions, de médicaments, de violence, de harcellement, de tentative de suicides, et discriminations.
Et je trouve assez grave ces propos, quand on vois que plus de 45 pour cent des personnes trans ont fait une tentative de suicides avant de commencer leurs transitions.
On fait pas de transitions pour le plaisir.
On va pas voir un médecin, prendre des hormones, êtres suivie, faire des tonnes de procédure, allez à la mairie, voir le chirurgiens, faire son coming out, et j'en passe sur toute les embûches possible.
Ca ne se fait pas sur des coup de tête.
Merci d'arrêté cette psychologie de contoire, et d'écouter les professionnel.
Les enfants des 8ans, parfois avant, arrivent à définir leurs genre ou leurs préférence romantique.
Venir dire que les gamins que jusqu'à 25 ans ils sont trop débile (pardon pas encore former) pour savoir, c'est, tout au plus insultant, au pire, dangereux.
Bien, tu cite plein d'exemple, qui sont quotidiennement démonter, arguments utiliser par tout les groupes transphobe de tout bord, tel que l'observatoire de la petite sirène, ou le livre "fabrique de l'enfant transgenre".
Brûlot, immonde, contre les personnes trans.
Utilisant une études publier dans une célébres revue scientifique, puis condamner et dénoncer par l'ensemble de la communauté scientifique de cette revue car bancal, remplis de biais et de manipulation.
La revue à donc complétement fait son mea culpa en publiant de véritable chiffre et études, fait dans de réelle et bonne condition.
D'où la différence entre les 30pourcent d'une études foireuses, et 5 pour cent de plusieurs études vérifier.
Continuons:
Les jeunes sont aussi beaucoup plus non binaires, beaucoup vont sur des transitions assez simples, sans opérations, parfois sans hormones.
Ce qui est cool, c'est que dans vos discourts, on dirais que toute les personnes trans transitionnes de la même façon, avec hormones opération et tout.
Sauf que c'est loin d'être la majorité.
Parlons pour les hommes trans, de la mamectomie, choses que beaucoup de femme cis font. Pourtant on leurs demande pas d'attestation psy ? Quand la poitrine deviens un handicape ou une réel souffrance, peux importe que la personne sois cis ou trans, elle a le droit, dans les même limites, à une augmentation ou une réduction mammaire.
Donc pourquoi les personnes trans elles, devrais montrer un certificat psychologique, mais pas les personnes cis ?
Les hormones, c'est un traitement à vie, musique les effets ne sont pas irréversible, justement. Beaucoup de choses vont revenir si le traitement s'arrête.
En effet, au bout de plusieurs années (entre 5 et 15 ans suivant le traitement et le dosage) de traitement hormonal, il va y a avoir des choses irréversible, tel qu'une stérilité, ou des maladies qui peuvent apparaître du au traitement à cause des effet secondaire (qui dépend encore une fois du dosage, et du traitement) , comme avec n'importe qu'elle traitement médical qu'elle qu'il sois.
Oui les opérations sont pas fiable à 100%,comme n'importe qu'elle chirurgie.
Pourtant, on demande pas de certificat psychologique quand une personne cis veux une épilation définitive, ou se faire refaire le visage, les seins, les lèvres et j'en passe.
On demande pas un certificat au femme cis qui prennent la pillule, souvent avant 18 ans, personne ne râle, alors que la pillule et connue pour augmenter les risques de beaucoup de maladies.
Personne ne geule, alors que la pillule est assez similaire au traitement des femmes trans.
Donc encore une fois, ça geule d'un côté, pour des choses que les personnes cis peuvent faire sans certificat psy.
Bien derniere choses importante:
MESSAGE À TOUT LE MONDE
Bien qu'ici nous avons le témoignage d'une personne trans en detranstion, nous n'avons que sa version.
Nous ne savons pas ni ce qu'il s'est passer avec ses psy, donc les traiter d'incompétent voir de criminel, quand il se pourrais très bien qu'il est fait sont boulot.
Si vous dite au psy le discourt classique, et que vous lui montrer que vous souffrez, il peux que vous croire. Y a pas d'examen médical qui prouve de façon indubitable que vous êtes trans.
Il existe même des assos, que je comdamne, qui donnais au personnes toute les réponses à donner pour être sûr d'avoir les hormones.
Le problème ne viens pas du psy, si le patients ment.
Ensuite, a un moment, faut aussi assumer, quand ça fait 15 ou 20 ans, rendre responsable les autres, c'est trop facile.
Surtout, qu'aujourd'hui, on met en garde, on préviens, on explique, les risques et les bénéfices de chaque choses.
On explique les violence et la discrimination.
On fait le taf pour alerté.
Mais aussi, parce que il faut, guider et aider toute les personnes qui souffrent, ou pas, et qui ont besoin de transitionner.
Et j'en est ras le cul de perdre une demi heure à écrire ce pavé sur un forum LGBT+, ou ça a déjà était dit plein de fois, sur un poste d'une personne trans qui plus est.
La detranstion est un réel problème, à traiter de la façon adéquate.
Parce que spoiler :
Y A DES DETRANSITION QUI SE PASSE BIEN.
Ben oui, certaine personne parfois, font une transition, se sente bien, puis se sente à nouveau mal, et donc, retransitionne, pour être a nouveau bien.
Ce n'est pas reelement une detransition, c'est simplement une façon de continuer sont évolution.
Exemple, X est une femme trans post transition.
Fait de la moto, de la mécanique, et aime faire l'amour à des femmes.
Fait sa transition, se mets à mettre des jupes, maquillage, fait tout bien, ne touche plus au moto, et à la macanique, parce que c'est souvent comme ça que ça se passe.
Sauf qu'après 15 ans, la moto, la mécanique, les jean, les soirée beuverie entre pote lui manque.
Alors X arrête le maquillage, les robes, et se remet à faire de la moto et de voir ses potes.
Parfois même les hormones sont arrêtée, de façon temporaire ou non.
C'est qualifier de detransition, alors que ça n'est pas une detransition.
La transition c'est chercher le l'endroit où on se sens bien, et des fois ce lieux bouge et se modifie, et la transition se continue même si on la croyais fini.
Problème, certaine personne vont jusqu'à un certain endroit, et pense que c'est bon la ligne d'arrivée passer, les choses seront fixer.
Sauf que non, c'est qu'une étape et il reste plein de lignes d'arriver à dépasser.
La question est toujours là, si vous rester sur place, alors oui, la detranstion se passe mal, si vous voulez avancer, alors continuer la transition, même si c'est revenir en arrière sur certain sujet.
Et au passage, des professionnel sont aussi la pour ça.
Donc ça suffis de dire qu'on essaie de faire taire les detransitionneur, puisque que bizarrement, on les entend souvent pour des gnes qui n'ont pas la parole.
moralité :
Oui pour parler de detranstion, de poser son témoignage, de faire comprendre que non c'est pas anodin.
Par contre, non, pour balancer des bulshit, de faire peur ou de faire passer les personnes trans comme des personnes manipulatrice ou, dangereuses, qui essaie de pervertir la jeunesse.
Alors, clairement, tout n'est pas destiner ici, à la personne de ce poste. Je pose ça de façon assez général, avec tout ce qui m'énerve dans ce genre de discourt.
Donc, oui, y a des truc, qui sont n'ont pas était dit ici, mais je l'es met quand même, parce que souvent, ça arrive dans la discution, donc autant dynamiter le truc.
Bonjour
Tatoue a exprimé une véritable souffrance quant à sa transition. Ce que je n'aime pas c'est qu'il y a une remise en cause de la légitimité de son témoignage quand on écrit que l'on entend "sa version des faits " dans un des posts.
Que Tatoue cite une étude qui a été contredite par d'autres par la suite on ne peut pas lui en vouloir on n'est pas des médecins ici.
Moi ce que je constate dans son témoignage c'est qu'il y a eu une mauvaise prise en charge de sa souffrance par le corps médical, on a fait transitionner Tatoue alors que l'on n'aurait pas du la faire transitionner.
En toute logique une transition c'est quelque chose de très lourd pour la personne concernée, ce n'est pas non plus une opération de chirurgie esthétique de confort que va subir la personne en demande de transition (c'est qd même plus lourd qu'une épilation ou se refaire les seins) est ce que c'est un mal que le corps médical passe du temps à valider que la transition soit bien la réponse adaptée à la souffrance d'une personne ?
Pour moi Tatoue a été victime d'une erreur médicale est ce que sur ce forum ce type de témoignages peut s'entendre ? Les transitions sont la solution pour la majorité mais pas pour toutes ? Dire ça en quoi cela retire la légitimité des personnes qui ont fait une transition et elles vont beaucoup mieux après leur transition ?
Dans tous les cas un detransitionneur et un transitonneur souffrent autant et on doit écouter avec bienveillance le témoignage des uns et des autres, même si les témoignages de certaines personnes sont instrumentalisés par transphobie !!
C'est assez fort de parler de faute médical, quand à un moment, on fait, de sois même, des démarche.
Qua'd on va jusqu'à l'opération, que l'ont valide tout ça.
Pour revenir après, parce que finalement, et c'est le problème ici, la transition social, n'a pas était réussis.
Mettre le rejets de ces proche ou l'impossibilité de relationner, sur le dos des médecins et des psy, c' est assez hypocrite même.
La detranstion, et si tu m'avais lut correctement, est pris au sérieux.
Tout simplement parce qu'elle est souvent symptomatique de problème lier au social, ou par des opérations sois pas assez réussis, sois raté parfois, sois ne correspondant pas à ce que s'imaginer le patients.
Par contre a un moment, faut assumer ses choix, et pas toujours accuser les autres.
Et je ne remet ni en cause le témoignage, que je comprend et écoute, et même confirme, parce que oui, ça arrive.
Mais par contre je ne tolére pas la désinformation, et de ce que j'ai compris, c'est pas la première fois que cette personne se fait rappeler cela, et surtout, j'aime pas qu'on rejette constamment la fautes sur SES PROPRES décision sur les autres.
Et comme ça a déjà était dis, il existe des professionnel, des assos, et des groupes piur aider, dans ces cas là.
Encore une fois venir balancer qu'on remet en cause alors qu'à chaque fois, il a bien était mention de ces aides, c'est gros.
Et c'est pas parce qu'on est en souffrance, qu'on peux se permettre de cracher son venin ou d'accuser gratuitement.
Pour rappel, dans une consultation médical, ou psychologique, on est deux.
Si le patients ment ou cache des choses, le médecins n'a pas à être responsable.
Les médecins n'ont pas à porter la responsabilité si vous voulez absolument quelque choses et que vous faites tout pour l'avoir.
C'est aussi assez dérangeant, ce genre de discourt, qui met les médecins forcément fautif.
Puisque si il donne pas les traitement, menace de suicide, et si il le donne, menace de plainte dans le futur.
Et à cause de ça, maintenant on galère, puisque de moins en moins de médecins accepte de prendre le risque de donner des hormones.
Je vais vous donner les chiffres, puisque ça fait 3 ans que je galère pour avoir mes hormones par un médecins traitant près de chez moi.
Pour un andoctrinologue, c'est 6moi minimum d'attente pour un premier rendez vous.
Pour trouver un médecin traitant qui accepte de faire la primo ordonnance du côté de Lille, c'est quasiment impossible.
Puisque les médecins qui suivent des personnes trans refusent les nouveaux patients, et les ce qui les prennent, y en as même plus.
Donc, on se retrouve avec des vois boucher.
Tout ça parce que 5, 10 ou 15 ans, on accuse les médecins d'une décision qui viens de nous même.
On avais pas le couteau sous la gorge.
Qui plus est, quand la quasi totalité disent que ça fait des années qu'ils y pensent, c'est encore une fois, pas le médecins le fautifs.
Donc, c'est pas le témoignage, c'est pas les souffrances, que je remet en cause ou en questions, chaque personne est légitimes pour parler de sa souffrance.
Par contre oui, accusé, et balancer de la désinformation, ça c'est non, et c'est n'est pas plus tolérable parce qu'on souffre.
Citation de Alithia #434528
Par contre on peut parler de fautes médicales si la personne a une maldie mentale :schyzophrénie, bipo etc... D'ailleurs il est interdit de prendre des traitements quand on a une maladie mentale et la faute médicale serait très grave.
Citation de Artyom #434529
Edit : la transidentiter jusqu'à 2019 était considéré comme une maladie mental, ça n'empecher pas les médecins de prescrire des hormones.
Vous vous rendez compte des ânerie que vous sortez parfois.
1) il existe plein de maladie mental différente.
Certain avec des traitement déjà de base, d'autre non, d'autre qui nécessite des séjours en hôpital psy, d'autre qui permet une vie totalement classique.
2) si on peux, il y a des personnes bipolaires, par exemple, qui peuvent, sur avis medicalnet suivie, bien sûr.
3) la transition ne se limite pas qu'au hormone, on peux transitionner sans hormone, et donc, quand on a aussi des maladie psy.
4)une personne malade mental, garde son statue d'être humain et de citoyen, et à ce niveau, a le droit comme tout à chaqu'un, si sa santé ou ces antécédent le permettent, d'entamer une transition.
Chaque cas étant unique, il est traiter par des autorité compétente, qui jugera si l'état du patients, lui permet ou non, tel ou tel procédure.
Et heureusement, puisque toute les personnes qui ont des maladies mentals, peuvent aussi vivre comme n'importe qui, si leurs état le permet.
Par ailleurs, si la personne est diabétique, cardiaque et compagnie et à besoin de traitement, malade mental ou non.
Surtout quand on sais que certain traitement pour des maladies mental peuvent entraîner du diabète, ou des problème au cœur.
Et que déjà, certaine personne avec des maladies mental, prennent des traitement, et que quand tu va en hôpital psy, tu peux vite finir bourré de médoc !
Donc, merci d'éviter ce genre de phrases :
"D'ailleurs il est interdit de prendre des traitements quand on a une maladie mentale et la faute médicale serait très grave."
Désolé mais si le psychiatre donne un traitement inadéquat sans poser le bon diagnostic c'est une erreur médicale.
Tout psychiatre comme tout médecin est responsable de ses prescriptions.
Ensuite Tatoue n'a jamais dit qu'elle a menti à son psy mais que le psy lui a prescrit tout de suite la transition au bout d'une séance.
Je ne sais pas. J'ai revu récemment un épisode de Nip et Tuck où un patient vient les voir pour se faire couper une jambe parce qu'il préfère vivre avec une jambe en moins (ce trouble corporel existe réellement ) deontologiquement les 2 médecins doivent amputer ce malheureux juste après la 1ere consultation ou les médecins n'ont pas la charge et la responsabilité d'évaluer s'il n'existe pas d'autres alternatives.
Dans le dernier post vous soulevez un autre problème c'est la prise en charge des patients mais ceci est un autre débat.
Bon moi ça me saoul.
Edit :
Vous savez pas ce qu'il s'est passer ni pendant les séances de psy, ni dans les rendez vous médical.
Donc, encore une fois, c'est facile de cracher sur les médecins sans rien savoir.
C'est facile d'accuser quand y a même pas de droit de réponse de la part des accuser.
Oui les personnes trans aussi manipule pour avoir des hormones ou des opérations.
Les responsabilité, ça existe dans les deux sens.
La transidentité, ou transsexualisme avant, était une maladie mental jusqu'en 2019, avec prise effective le 1er janvier 2022.
Avant ça toute personne devais se faire diagnostiquer trans(sexuelle).
Et au passage, il y a encore pas si longtemps, la transition et les changement administratif devais obligatoirement précéder la stérilisation de la personne.
Bien sur que ça ne l'es pas.
Mais si le millieu médical le dit, et que ta transition est ultra encadrée, tu a pas le choix.
Je passerai aussi sur l'obligation d'être hetero après la transition.
Et encore aujourd'hui, la non binarité n'est pas reconnue.
Donc, si, la transidentiter était une maladie mental, dans le sens, où, le monde et la médecine le considèrer comme tel, et les soins se faisait en fonction de ça.
Mais la ça me soûle, si c'est pour balancer n'importe quoi, moi je laisse tomber.
Citation de Alithia #434539
Parce que mettre ça sur le dos de la maladie mentale était plus facilement expliquable. L'homosexualité était comparée à une deviance même et encore aujourd'hui beaucoup confondent pedophilie et homosexualité.
Pourquoi sans rien savoir ? Vous pensez être la seule à tout savoir ? Tout connaître ?
Je n'ai jamais craché sur les médecins, je souligne seulement qu'ils ont une grosse part de responsabilité également. Bien sûr que certaines personnes manipulent pour avoir des traitements. Mais il faut se demander pourquoi ils vont jusqu'à là. Il y en a avec des maladies mentales qui feraient un choix de façon non lucide et pensent à tort être une femme ou un homme, c'est souvent le cas de la schizophrénie. Avant de crier , oui c'est déjà arrivé. Qui est responsable du coup ? La personne non lucide ou le médecin?
La transidentité n'a jamais été une maladie mentale. Je peux sinon garantir que la terre était plate, parce que tout le monde le disait.
Une étude scientifique se repose sur des faits, le reste on appelle ça des croyances. Et c'est moi qui balance n'importe quoi...
Je peeeeeense que ce qui essaie de passer comme message (mais je ne suis pas sûr du tout), c'est que oui, le psy a peut être fait un erreur médicale en donnant a Tatoué le ths au premier rdv.
Mais qu'il y a eu mastectomie.
Chirurgie.
Chirurgie qui ne se fait pas du jour au lendemain à priori ?
Et qu'elle n'était pas imposée ?
Je met des '' ? '' parce que je suis franchement pas expert en transition française d'il'y a 15 piges, n'hésitez pas à corriger.
Et que donc, meeeeeme si le ths a été donné trop tôt, c'est quand même Tatoué qui a pris rdv chez le psy. Qui y a été. Qui a fait la demande. Qui a pris rdv chez le chir. À demandé la mastec. Et s'est rendu sur place le jour de la chir. Et probablement au rdv de suivi si ça se passe comme ici.
Je crois que ce que Alithia essaie de mettre en avant ( mais c'est perdu dans toutes les autres informations), c'est ça.
C'est que ça a pris du temps, de la volonté pour mettre ça en place.
Ça n'enlève rien au fait qu'il pensait vouloir qqch et qu'il s'est trompé. Et ça n'enlève rien au fait qu'il en souffre d'ailleurs.
Mais l'erreur ne vient pas que du psy.
Parce que c'est pas le psy qui a entrepris toutes ces démarches.
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Merci Fierdre, moi je rend mon tablier et je vais prendre un bain !
Citation de Alithia #434547
J'étais absolument pas sûr d'avoir bien compris! Ouf!
Après... Je pense qu'il y a beaucoup de vérités, de tous les côtés. Mais là les sujets se mélangent un peu tous, c'est dommage
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Citation de Fierdre #434546
Pour mettre la faute sur quelqu'un il faudrait déjà connaître ses antécédents. N'étant pas médecin et n'étant pas lui je ne saurai pas le dire. Lui seul le sait.
Restons honnête, mais c'est tout de même pas commun d'être autant influencés par l'extérieur au point de subir une chirurgie et de prendre des hormones et ensuite de le regretter . Il y a quelque chose de pas clair là dessous et c'est pour ça que j'ai parlé de maladie mentales ( sans vouloir vexer personne). Ca reste une piste à prendre en considération vu que ça arrive encore aujourd'hui.
Citation de Artyom #434549
Oui, j'ai bien compris que ce n'était pas une agression de ta part.
Je peux soulever une question du même style:
Si qqnn est un système souffrant de dissociation de l'identité (ou peu importe le nom exact) et qu'une de personnalité désire une transition, faut il l'accorder ou pas?
C'est pas toujours aussi facile de gauger qui est apte a décider ou non
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Citation de Fierdre #434550
Généralement il n'existe pas ce genre de problème avec un tdi. Car les entités se détachent totalement du corps, qu'importe que ça soit une femme ou un homme. Sans parler que beaucoup d'entités ne se déclarent pas donc le corps c'est le dernier problème.
Mais en supposant que ça soit possible, il faudrait l'accord de toutes les entités.
Le tdi n'empêche pas une personne d'être lucide.
Citation de Artyom #434552
J'en connais une dans ce cas, et c'est difficile à gérer pour elle :/
Et c'est pas le sujet de toute façon, même si le débat à l'air passionnant.
Je pense que vous avez tou.te.s deux des informations intéressantes, mais que les sujets de fond de mélangent un peu en fait?
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Hop je reviens, calme zen et détendu !
Je dirais simplement, que, si la personne est lucide et en pleine possession de ces moyens, et physiquement hapte, malade mental ou pas, ben il a pas de raison de ne pas le faire.
Ensuite, je m'excuse, j'ai un peu mélanger avec le message de kilt.
Ici, la personne qui a ouvers se poste et capable une réflexion claire et précise sur lui même, sur son vécus, et ces désirs.
Le médecin, ne peux pas imaginer ou savoir que plus tard, cette personne va mal vivre sa transidentité en grande partie à cause du rejet social, ça ne peux pas être prédis.
Je paraphrase, mais en gros, il dit quand même, si j'avais vécu en fille, j'aurai pas eu autant de problème.
Donc, lors de sa transition, il était mal, il fallait faire quelque chose.
Donc transition, le médecin ne pouvais pas dire non, ça n'avais pas de sens, sur qu'elle eleme't refusé.
Et quand tu as deux ans d'hormone, et que tu va te faire opéré plusieurs fois, pourquoi refuser d'un coup, c'est pas logique.
Si la personne présenter en effets, des troubles assez sérieux, legitimant, il y aurai pus avoir des analyse plus pousser.
C'est d'ailleurs ce qui se passe.
Si j'arrive et dis je suis non binaire, y a quand même des chances que ça passe, au vue de mes antécédent, mais aussi des chances de devoir faire des examens complémentaires.
Ça arrive, justement.
Et comme tu le dis, si t'es pas en plein possession de t'es moyen physique ou mental, ce n'est pas possible.
Et ça arrive régulièrement aussi.
Malheureusement certaine personne pourrais ne pas supporter, alors on fait pas.
D'ailleurs être dépressif ou suicidaire peux alors engager des procédure supplémentaire, pour savoir ce qui est le mieux pour la personnes.
C'est pas, on va à la pharmacie, et hop, t'a des médoc, ensuite y a un suivie, rectification du dosage, ect... Donc la encore y a un suivie.
On peux pas imputer à un médecin, un regret qui interviens 15 ou 20 ans après, quand à l'époque, y avais aucune contre indication.
Bonsoir
À vous lire on a pas envie de donner son avis car vous restez camper sur vos positions et chiffre, je trouve ça dommage
Pour la maladie bipolaire souvent elle est accompagné d'une autre maladie psy et la schysophrenie peut en être une qui je le rappelle était souvent dignastiquer au lieu de la bipolarité
Et le traitement ne donne pas que des problèmes de diabète ou cardiaque mais sexuel aussi !
Bonsoir,
Juste quelques précisions :
1) "on" ne fait transitionner personne. Les transition découlent d'un choix individuel en France. À l'époque il pouvait être imposé un lot de traitement chronologique lors d'une transition (ce qui s' appelait protocole) mais personne n'était forcé à transitionner.
2) En admettant qu'une personne aille voir un psy au hasard et tombe sur un medecin qui accepte de lui donner un certificat pour des hormones, il faut encore que la personne aille voir un endo (ou médecin traitant) puis chercher son traitement et le prenne chaque jours pendant des mois pour en observer les effets. Ca fait pas mal d'étapes pour rebrousser chemin.
3) le traitement hormonal n'a pas véritablement d'effets irréversible. Donc un certificat pour des hormones n'engage pas dans une voie à sens unique. C'est au contraire souvent le moyen de confirmer ou non le patient dans la voie qu'il a entreprise
4) le psy n'a pas donné de certificat pour la masec ou autre opération à ce même premier rdv, qu'en est il du parcours tout ce temps ? Combien de visites psy ? Chirurgien ? Medecin traitant ? Encore une fois, laisser croire qu'une attestation psy soit responsable de tout un parcours de transition... C'est un peu gros.
Tout le monde peut avoir des opinions et donner son avis mais il y a des faits, des réalités.
Ce que je lis comme vérité c'est que Tatoue souffre de sa situation. Par contre extrapoler sur la responsabilité d'un seul médecin qui aurait fait une attestation ou du système ou réclamer un renforcement des contrôles et de l'attention médicale, c'est être très loin des réalités vécues par les personnes trans et du monde médical qui les accompagnent.
J'ai lu qu'il était reproché des lecons de morales mais... N'est ce pas la une lecon de morale ?
Je vous en prie, avant de considérer que votre opinion vaut une information, confrontez vous à la réalité.
Bonne soirée à tou.te.s prenez soin de vous et aimez, c'est la seule manière de comprendre l'autre.
Merci CeliaLove, qui synthétise bien mieux que moi ce que j'arrive pas à résumer XD
On m'a fait remarquer dans l'oreillette, que j'ai tendance à mitraillette en sortant chiffre et étude, ce qui fait parfois confu ou complexe.
En effet.
Et on m'a dit qu'en faite quand je synthétise en :
Tatou en faite ne se plaint pas de sa transition, mais du rejet, des violence, des discriminations et des douleurs lier à sa transition. Au final, c'est biensûr de, la transphobie que Tatou souffre.
Visiblement, si ses relations socials, c'était bien mieux passer, ses souffrances aurai était bien moindre (c'est ce qu'il semple dire dans son premiers message).
Donc le réel problème ici, c'est bien la transphobie, a tout les niveaux, qui empoisonne la vie.
Ben c'est plus claire, alors voilà :p
Citation de Alithia #434571
Je ne vois pas du tout de qu'elle oreillette tu parles!
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Citation de Fierdre #434572
Moi non plus...... Moi non plus........
Citation de Alithia #434571
Pourtant Tatou rajoute qu'il se sent femme et que son corps d'avant lui manque.🤔 Est-ce vraiment le résultat de la transphobie ? Encore une fois c'est lui seul qui peut le dire.
Citation de CeliaLove #434570
Quand tu vas chercher un certificat chez un spécialiste ça peut aussi aller très vite et conforter dans l'idée qu'on fait le bon choix. Ce qui va vite c'est pas tant l'accord d'un certificat, mais les procédures auprès d'un endocrinologue. Les mesures: prises de sang, échographie etc... y a également des tests psychologiques à passer et psychotechniques. Je peix comprendre que ça puisse paraître difficile de vouloir faire demi tour. Enfin bon ça reste personnel. Donc j'ai bien précisé que chacun avait sa part de responsabilité surtout si cette personne était lucide au moment de son choix
"Je vous en prie, avant de considérer que votre opinion vaut une information, confrontez vous à la réalité." Je m'y confronte tous les jours à la réalité.
Citation de Artyom #434574
Arytom, justement, j'ai pas l'impression que tu t'y confronte à la réalité (edit) du terrain.
Parce que tu verrai le nombre de refus arbitraire de l'état civile pour les changement de prénoms, de la cpam pour les remboursement des hormones, ou des opérations, des nombreuses fois, ou il faut allez plaidais pour des personnes (enfin, ma présidente d'assos, et deux trois autre membre) qui font ça régulièrement, qui font face au difficulté, au refus, au temps à rallonge entre les rendez vous de toute la paperasse, ect...
Non c'est pas t'y va, tu ressort t'a des hormones.
T'a des questions, ta des prises de sang, t'a des antécédent à vérifier.
Et même quand tu la, tu est suivie, au mieux tout les mois au début, avec de nouvelle prise de sang, ça demande longtemps parfois d'équilibrer un dosage.
Et je parle même pas des opérations, ou ça se déroule sur au minimum deux ans, entre la prise des premiers rendez vous, l'attentes d'un crenaux ect....
Plusieurs personnes trans on même du allé jusqu'au tribunal.
Récemment, l'état a était condamner pour discrimination pour des refus auquel ne font pas face des personnes cis.
C'est ça actuellement la réalité du terrain.
Des rendez vous très compliquer à avoir, des file d'attente entre six mois et deux ans.
Et rien que sur Lille, 3000 personnes en attentent pour les opérations.
Donc, dans de rare cas, oui ça va vite, mais déjà, c'est pas pour n'importe qui, c'est des cas rare et précis.
Le reste du temps, tu galère, il faut entre 5 et 10 ans pour une transition complète, social, hormone, opération diverse.
Moins bien sur si tu choisie que certaine choses.
Et je parle de Lille parce que je suis confronté à ça, mais paris, ou Lyon c'est pas mieux.
Edit ma réponse, je vais donner mon cas :
3 ans que je suis sur Lille, a la recherche d'un médecin traitant proche de chez moi pour des hormone.
Pas de bole, des que j'en trouve un il s'en va, part à la retraite ou à un conger maternité (j'ai eu deux fois le coup).
Je refuse les endoc car entre 6 mois et 1 ans de délais entre les rendez vous. Sans compter la route pour allez les voirs.
Parce que avec des délais pareil, d'abord tu stresse à mort pendant 6moi, et ensuite t'a pas de suivie qualitatif.
Donc je suis membre d'un bureau d'asso trans, avec toute les adresses. Mais ça fait 3ans que je galère à pouvoir faire ma primo ordonnance.
Alors oui, je suis assez pointilleuse sur les médecins, mais si c'était si facile, ça ferai longtemps que j'aurai de jolie petit téton saillant !
Citation de Alithia #434576
Si tu avais lu mes autres commentaires tu ne dirais pas ça. Je n'ai jamais dit que c'était facile d'avoir un traitement et j'ai même souligné la difficulté et la longueur d'en avoir. Perso j'ai fait la démarche j'avais 21 ans et je ne te parle pas de mon questionnement d'avant depuis que je suis tout petit. J'avais largement le temps d'y réfléchir. On m'a fait passé des tests psychologiques et psychotechniques le même jour. Ensuite il y a eu le debriéfing. Faut compter le temps entre les rdv qui font deux mois le plus souvent. Ensuite ça s'estt enchainé avec les examens médicaux. Tout était okay, sauf que je n'avais toujours pas l'aval du psychiatre qui travaille en concomitance avec les endocrinologues. Autrement dit le psy était okay ça se serait enchainé avec les hormones. J'ai abandonné l'idée de le faire avec lui car j'ai compris que c'était un jeu de patience à celui qui lâcherait le premier.
Je te faisais part de mon expérience en fait.
Je sais que l'avis d'un psy, malheureusement, a plus de valeur que nos propres désirs.
Ah oki désoler!
Citation de Tatoue #434517
Bonjour à toi. C’est un sujet dont je voulais aussi parler après avoir vue un reportage sur ce sujet encore plus tabou que la transissions : le regret.
Je n’ai pas vu de statistiques français mais j’avais entendu des chiffres alarmants en Allemagne où il y a une très ( trop?) grande facilité à avoir accès aux hormone avec un suivie psy plutôt expéditif .
J’en ai pas parler par crainte de polémiques ( étant en plus pas directement concerné)
Mais c’est une question :
Comment être sûr de son choix qui est radical? En plus l’adolescence est une période où on se cherches sur tout les fronts…
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