Votre/Vos film(s) préféré(s) ? et pourquoi ? - Page n°2

évasion avec stallone et schwarzenegger, parce qu'il joue trop bien :) avatar parce que trop bien fait le loup de wall Street parce que trop drôle

J'ai pas véritablement de films préférés, mais plutôt un réalisateur. J'aime beaucoup Tim Burton et notamment son court-métrage intitulé "Vincent", tout simplement car c'est le premier que j'ai vu étant réalisé par ce grand monsieur (Peut-être certains l'ont vu, il était diffusé avant le Noël de Mister Jack, un film que j'aime bien aussi, surtout pour son ambiance sonore en fait). Quand tu vois Vincent en étant enfant c'est une sensation très étrange. Ce court-métrage c'est un véritable poème noir et un très beau hommage à Edgar Allan Poe. Edward aux mains d'argent est très sympathique aussi, c'est d'ailleurs dans cette oeuvre que Johnny Depp a participé pour la première fois à un film réalisé par Tim Burton. Aujourd'hui ces deux personnes sont presque indissociables je trouve !

D'autres films à voir. "Le mépris" (1963) de Jean Luc Godard et issu du roman d’Alberto Moravia intitulé "Il disprezzo". Pour la mise en scène, les images, la symbolique … tout est époustouflant ! Un voyage en Italie qui rapidement nous amène à une pure réflexion sur soi-même, évoquant Dante et Homère entre autres, et, par le commencement et la fin du cinéma, un rappel aux hommes de l’exigence de leur destin. "Vous n’avez pas été faits pour être, mais pour connaître la science et la vertu". Je suis sorti de la séance avec le sentiment d’avoir assisté à un film de méta-cinéma entre autres. Une merveille de JL Godard, représentant de la Nouvelle Vague. "Ladri di biciclette" (Le voleur de bicyclette) de Vittorio De Sica, film de 1948. Pour avoir peint une réalité historique de l’après-guerre à Rome. Film plein de sensibilité psychologique et d’intensité dramatique avec en arrière-plan les quartiers de la Rome prolétaire. Des scènes magnifiques réalisées avec une certaine profondeur de champ, afin de montrer ce contraste entre la misère sociale et la réalité globale de l’après-guerre. Vraiment magnifique. "Fleurs d’équinoxe" (1958) de Yasujiro Ozu. Pour la mise en scène épurée de toute sophistication, la technique de cadrage et l’emploi de tons des couleurs d’automne. Film qui explore les pensées, les sentiments et les faits d’une famille japonaise, et par extension entre les générations, avec sensibilité et mélancolie. Tout au long du film il plane une certaine douceur, typique de la société japonaise, qui enveloppe la douleur du héros. "Docteur Folamour" (1964) de Stanley Kubrick. Pour l’histoire et la mise en scène de Kubrick et l’acteur Peter Sellers qui joue 3 rôles. Film hilarant, drôle, émouvant et satirique, qui tourne en dérision ces personnalités et institutions qui gouvernaient à l’époque (et aujourd’hui encore). Des scènes, des dialogues et des postures que seul Kubrick pouvait imaginer et transposer à l’écran, ayant en arrière-plan la période de la guerre froide entre USA et ex URSS. Notamment l’entretien téléphonique entre les 2 Présidents, assez surréaliste, et le colis de survie des équipages des B52 qui contient … (c’est trop).

Moi les films que je regarde le plus sont les films d'épouvante/horreur (oui :D ) donc mes films préférés sont paranormal activity (même si la plupart des personnes trouvent ce film nul, moi je l'apprécie beaucoup) et j'aime aussi beaucoup saw (je suis sadique ^^)

Fight club <3 Après je suis d'accord avec toi sur Mononoke-hime, c'est le plus beau chef d'oeuvre de Miyazaki selon moi, suivit du Chateau dans le ciel ;)

La saga des Harry Potter :) J'ai ggrandi avec Harry, Ron et Hermione, l'univers est passionant, le film ne tourne pas en rond, des acteurs géniaux, je les trouvent tellement magnifique que je les regardent minimum 3x/semaine x)

Films à thématique LGBT "Boys don’t cry" de Kimberly Peirce et basé sur des faits réels. Pour l’histoire, la mise en scène et la réalisation qui en font un film atypique sortant des clichés habituels du transsexualisme. Néanmoins, K Peirce aurait pu nous montrer de facettes supplémentaires du personnage, car le sujet est intéressant et éviter ainsi certaines scènes qui sont prévisibles et presque banales. Bon film "on the road" en tous cas, courageux, mais dévastateur, cruel et dramatique. Les 2 actrices Hillary Swank et Chloé Sevigny sont crédibles et formidables dans leurs rôles. "Le temps qui reste" de François Ozon. Pour la mise en scène et le choix de F. Ozon d’explorer une autre voie que les larmes, l’hystérie et le sentimentalisme lorsque l’on annonce à Romain, le protagoniste du film, qu’il lui reste 2 ou 3 mois à vivre. Un film intimiste de F. Ozon, qui a voulu rendre une atmosphère et des sensations, plutôt que des faits et dialogues et il en résulte un film intéressant, touchant et convaincant. Très belles images et scènes saturées de placidité. C’est du F. Ozon. James Bolton, un réalisateur américain que je trouve assez étrange et courageux, car il a réalisé 3 films concernant la bi/homosexualité en les traitant de manière différente. La constante de ses films est l’adolescence et la problématique inhérente la sexualité et l’identité sexuelle : Dream boy - The graffiti artist - Eban and Charley. Et la lenteur des scènes, peut être il s'agit de sa marque. "Dream boy". L’histoire est captivante (rêve ou réalité), troublante et nostalgique, mais déroulement trop lent dans la description des tourments et des désirs d’un amour d’adolescence. Il manquerait donc un peu de force au scénario et dans les prises de vue, mais je pense qu’il s’agit d’un film intéressant, ainsi que les chansons. "The graffiti artist". A part les tags et graffitis, dont certains sont bien réalisés, (la signature Rupture, Free art, …), il manque une âme à cette histoire terne, afin de mieux cerner les pensées et sentiments du protagoniste. Les scènes se succèdent en espérant trouver une attache, mais rien et pour ce film "on the road", entre Seattle et Portland, je ne peux pas me satisfaire de voir défiler la vie d’un tagueur. "Eban and Charley". Quelques belles images, mais le film est trop lent, il manque de l’action, du mouvement ; tout est figé dans la tristesse et la douleur, malgré un sujet intéressant à développer comme l’homosexualité entre générations et le choix d’une scène finale que je n’attendais pas.

Bon pour ne citer que quelques films je décide de rendre hommage, à celui qui à permis la succession d'œuvre cinématographiques toutes plus horribles et fabuleuses les unes que les autres je nomme le pionnier de la catégorie post-apocalpytique zombie : Seigneur Roméro (de son nom complet George Andrew Romero) ! Certains ont surement entendu parler de son premier film, qui fut aussi le premier d'une longue lignée : The Night Of The Living Dead (ou pour les francophiles, La nuit des morts-vivants). Mais ne vous attendez pas à de l'histoire de pacotille pour la simple raison que le film est âgé ! Il n' a pour moi pas prit une ride, et les musiques sont tout simplement horrifiantes et stressantes ! Rien que dans le début, on en a le cœur qui bat ! Mais ne nous arrêtons pas là et suivons dans les grosses lignes la fameuse sage des zombies où nous retrouvons 10 ans plus tard le fameux Dawn of the dead, qui reprend pour la première fois l'idée de la survie dans un centre commercial (et la critique de la surconsommation), très prisé par les amateurs du genre ! En 1985 apparait Day Of The Dead, avec pour repère le camp militaire, qui encore une fois sera source d'inspiration pour d'innombrables films et jeux en tout genre ! L'an 2000 passe, et en 2005, le film Land Of The Dead sort, où nous retrouvons une critique cette fois de la hiérarchie social entre les riches, les travailleurs, et les pauvres. Dans les deux derniers volets de la saga, respectivement Diary Of The Dead et Survival Of The Dead, Romero montre par la thématique du documentaire que les médias contrôlent les informations, puis d'une sorte de vandetta entre deux familles qui se font la guerre (dans le dernier volume !). Enfin voilà, ça fait bien longtemps que je n'ai pas vu la saga, mais j'espère avoir donné envie à certains de voir une des premières lignées de film sur les zombies !

Films à thématique LGBT "Bent" de Sean Mathias. Une mise en scène vraiment sobre et un film très courageux, car un des rares films relatant la vie des homosexuels pendant la 2nde guerre mondiale et leur déportation. Des scènes hallucinantes, superbes et significatives qui en font un film plein d’amour et d’orgueil pour résister à la barbarie de la dictature. Un film choc. "Shelter" de Jonah Markowitz. Pour l’histoire intéressante de Zack, le protagoniste, tiraillé entre les obligations imposées par sa sœur et la recherche de son identité sexuelle. Dommage que J Markowitz ait parsemé le film de clichés gay californiens ; le film aurait gagné en étant plus neutre et/ou en explorant plus en détail la nouvelle vie de Zach et Shaun avec Cody, le neveu de 5 ans de Zach ; une belle référence à la nouvelle loi française de la famille. "Freier fall" de Stephan Lacant. Bon film allemand qui essaye d'explorer presque toutes les composantes de la bi/homosexualité y compris les dégâts de l’homophobie. Des scènes fortes se déroulant dans une compagnie de la Police allemande. Mise en scène correctement réalisée et bien menée avec quelques symboles intéressants, notamment la course d’entrainement des policiers du début et à la fin du film, qui reste assez explicative concernant les choix de Marc, un des protagonistes.

-Fight club *.* , c'est plus qu'un simple film d'action, c'est surtout une reflexion sur le sens de l'humanité, le fait d'être "quelqu'un", de vivre.. -Sucker Punch, même si il est assez dur à comprendre pour la plupart des gens. La version longue est bien mieux que la version courte, malheureusement on ne la trouve pas partout.. -J'ai beaucoup aimé 'Never let me go' aussi, qui n'est d'ailleurs pas du tout du même style.

Inception est le film qui m'a le plus plue pour le moment. Le scénario est époustouflant, Nolan étant pour moi un des meilleur scénariste, et nous laisse même des doutes vis à vis de la réalitée dans laquelle est Cobb toute à la fin du film.. Nolan lui même n'a pas voulu révêler ses intentions à ce sujet, ce qui nous laisse dans le doute, et de nombreuses suggestion de fin, et même du film en entier ont été faites.

"Danse avec les loups". Film produit, réalisé et interprété par Kevin Costner. Un western pas comme les autres. Pour l’histoire, la mise en scène et des photos et images vraiment magnifiques. J’ai trouvé drôle les passages où l’on parle la langue lakota et presque 4 heures de pure bonheur et riche en émotions.

la 1ère trilogie Star Wars. Oui je sais, ça fait cliché, mais étant fan de science-fiction, je ne pouvais pas passer à côté d'un tel chef d'oeuvre. Il faut savoir que Georges Lucas à inventé des centaines de races, de langues, de planètes, d'armes, de mots, de galaxies, et j'en passe. Son travail est tout simplement incroyable.

Alors, je ne regarde pas beaucoup de films mais je pense que mon préféré c'est " Le Cinquième Élément " de Luc Besson. Certainement déjà parce que c'est un film français puis parce que le personnage de Leeloo me plait beaucoup, j'adore cette actrice dans ce rôle. L'histoire est très sympa même si les effets spéciaux sont pas extraordinaires. Voilà voilà..

Le première trilogie Star Wars est le meilleur des deux car avec le effet spéciaux des années ils ont réussi à faire une bonne histoire Ce que je préfére c est le personnage de Luke

L'Odysée de Pie, de Ang Lee, récompensé de 4 oscars, film que j'ai super adorée, des effet spéciaux spectaculaire pour ma part, des le début nous somme dans le film, rien que la bande annonce me donnait envie d'allez le voir, je le conseil fortement, la fin nous laisse le choix entre réalité ou simple imagination du personnage, perso je préfère croire que les événement se sont produits, Je reviendrai plus tard pour un autre film en espérant avoir répondu aux attente demandée 8-/ Kiss

ce topic est là pour le partage et faire connaître de films à la communauté :-) 3 films toujours programmés en salle "Le Loup de Wall Street" de Martin Scorsese. L’histoire d’une gloire fulgurante et de la chute tragique d’un loup de la finance que M. Scorsese suit à la trace. Je n’ai pas forcement tout aimé même s’il s’agit d’un grand cinéaste, néanmoins j’ai apprécié la mise en scène, le scénario et les personnages. J’ai trouvé drôle et un peu pathétique cette débauche d’argent, de femmes, de luxe etc … qui caractérise le monde de la finance et peut être cela est bien volontaire de la part de M. Scorsese, qui porte ainsi un regard critique sur les hommes de pouvoir en général. Quant à Leonardo Di Caprio, interprétant le rôle de Jordan Belfort, il est bien dans ses baskets et confirme une fois de plus son talent d’acteur grâce à des rôles plus différents les uns que les autres. "Philomena" de Stephen Frears. L’on ne prête pas attention à cette histoire vraie, tant le scénario est tellement bien construit et se déroulant entre les USA et l’Angleterre. Le sujet est intéressant et S. Frears nous amène alors dans un drame sans excès de sentimentalisme et sans le cliché du mélo habituel. La mise en scène est subtile et fluide et la rencontre de ces deux êtres, dont le but est de retrouver le fils adopté de force par Philomena, est simplement filmée avec sensibilité. S. Frears a bien fait de proposer le rôle à cette immense actrice qui est Judi Dench ; elle a joué dans "Madame Henderson présente" du même S Frears, dans "Orgueils et préjugés" de Joe Wright, dans "J. Edgar" de Clint Eastwood et bien sûr elle joue le rôle de M à partir de "GoldenEye" jusqu’à "Skyfall" de la saga James Bond, le fameux 007, entre autres. "Twelve years a slave" de Steve Rodney McQueen. Se basant sur des faits réels, SR. McQueen s’efforce avec courage de bâtir un scénario relatant la période de l’esclavage de Solomon Northup de 1841 à 1853. Pour la réalisation de SR McQueen, les acteurs qui sont bien convaincants, tels Chiwetel Ejiofor, Michael Fassbender, Lupita Nyong’o et les autres, y compris une apparition de Brad Pitt et les musiques de Hans Zimmer et de Franz Schubert. Certes nous sommes tous émus face aux injustices de la vie courante et aux difficultés pour y faire face et essayer de survivre, néanmoins SR. McQueen nous démontre que sa particularité de réalisateur, exprimée dans d’autres films, est piégée par la machine d’Hollywood, Brad Pitt en tête, afin de livrer un film formaté.

Moi dans pouvoir vous donner de raisons parce que je n'en ai pas vraiment si ce n'est que j'ai aimé ces films, mes préfères sont sans aucuns doutes Sexe Intetions, Billy Elliot, Un monde meilleur, Le diable s'habille en Prada, Mémoires d'une geisha et enfin Jeux d'enfants pour finir sur une touche française ^^

LOL, jeux d'enfant, ma premiere fois, la vie d'adele, ils sont parfait! Apres en autre genre tu as les detour mortel ! (:

La vie est belle de Begnini. Ça se passe de commentaires. :).

Film actuellement en salles, je ne l' ai pas vu mais il doit être bien :
https://www.youtube.com/watch?v=tjf7R4BRa_I

justement je viens de le voir ... "The Grand Budapest hotel" de Wes Anderson. Film coloré, bien construit et esthétiquement captivant et accrocheur ; les techniques de tournage et les cadrages (surprenants à chaque fois) sont assez intéressants et les photos vraiment belles. Les acteurs Ralph Fiennes, Tony Revolori, Fahrid Murray Abraham, Mathieu Amalric etc … sont très biens et même tout l’univers de W. Anderson est présent : l’imagination, la création, les mises en scène, un bon dosage de kitsch, l’atmosphère de ces années 1930 … malheureusement je n’ai pas accroché. A mon avis, il manque une âme au film (ou une vraie histoire) qui puisse surprendre et capturer le spectateur et non se limiter seulement à des scènes rocambolesques et parfois cocasses autour d’un meurtre et d’un vol de tableau. Certes, W. Anderson est un bon réalisateur, "Fantastic Mr Fox" …, encensé et adulé par toute la presse en ce moment, y compris 'Première' et 'Cahiers du cinéma', mais pour ce film j’attendais vraiment plus. Film à voir, bien sûr!

Accattone (1962) de Pier Paolo Pasolini. Programmé à l’Institut Lumière de Lyon. Accattone signifie clochard, mendiant … Un des films qui ont fait l’histoire du cinéma italien et du courant néoréaliste. Il relate la vie d’une partie d’Italie composée par le sous-prolétariat, qui vit dans les banlieues des grandes villes sans aucun espoir d’améliorer sa propre condition ; la seule issue de secours n’est que la mort. Et avec le protagoniste, P.P. Pasolini nous plonge alors dans cet univers poignant, mais il nous laisse une œuvre sublime par la beauté formelle des images et par une douceur poétique inoubliable. Dans ce premier film, l’on trouve déjà tous les éléments qui le caractérisent et qui seront son combat pendant sa vie : le peuple avec ses problèmes, ses mésaventures, les ruses, les tentatives de survivre chaque jour, le destin est ainsi et l’on ne peut faire grande chose pour le changer…. Très grand film, comme tous les films de P.P. Pasolini. Note : P.P. Pasolini, écrivain, poète, journaliste, réalisateur homosexuel fut assassiné en 1975. Eastern boys de Robin Campillo. Pour le scénario et la réalisation originale et intéressante. Le film démarre par une scène de drague (prostitution masculine) en gare du Nord, il se poursuit comme un film dramatique, il devient un thriller pour se terminer en happy end ; tout cela est bien mené et rend l’ensemble captivant et complet. Le sujet : un cadre dynamique drague un jeune homme et se trouve mêlé à des histoires des clandestins, des mineurs, des sans-papiers, etc …. Un peu dérangeant dans les thématiques abordées et plein de silences assez significatifs. Des situations sociales, dont nous sommes les spectateurs chaque jour, on passe rapidement à des questions politiques plus générales qui restent ouvertes et l’on se questionne autour du sens de responsabilité également. R. Campillo essaye ainsi de nous montrer la complexité de ces liens affectifs et non affectifs qui s’installent entre les personnes. C’est un bon film. Nebraska d’Alexander Payne. Pour la réalisation, le choix du noir et blanc, qui donne une touche de mélancolie et un rappel aux beaux souvenirs, et le sujet traitant des rapports entre la vieillesse et la jeunesse entre autres. A. Payne nous esquisse, à partir d’une supercherie, l’évolution puissante des liens entre le père et le fils et une profonde réflexion autour de la vieillesse, qui, dépassée par un monde qui évolue inexorablement, tente de conserver sa place dans une Amérique profonde. Film "on the road" émouvant, touchant, drôle et donc à voir. Les chiens errants de Tsai Ming-liang. Pour la mise en scène et des images émouvantes. Il est difficile de rester insensible, ce film me touche et me transporte entre le réel et l’irréel, perdant toute notion de temps également. Néanmoins, fallait-il faire un film de 2h20 autour d’un père et de ses enfants vivant dans la banlieue de Taipei ! D’après une certaine presse spécialisée, ce film est un chef d’œuvre.

Oh mais les gens ont de bons goûts sur ce forum, ça fait plaisir ^^ Alors pour ma part j'ai du mal à choisir parce que j'aime énormément de films mais je vais jouer le jeu et tenter d'en sélectionner 10 : - La Couleur des Sentiments - Stardust - Les liaisons dangereuses - Mémoires d'une geisha - Black Swan - Moulin Rouge - Les quatre filles du docteur March - Eternal Sunshine of the spotless mind - 8 femmes - Le discours d'un roi Et je suis un très grand fan de Tim Burton mais on va s'arrêter là car j'ai dépassé les 10 :D

SPOIL ! Alors pour moi ça sera Fight Club de David Fincher & Shutter Island de Martin Scorcese (oui 2 films de schyzo!!!) Dans l'un comme dans l'autre le sujet de la démence est traité de façon à ce que jusqu'à la fin du film on soit à 10 000 lieux de deviner (du moins pour ma part) la vraie personnalité du personnage qui remet toute l'histoire en question. Ce qui est intéressant dans ce genre de fiction c'est qu'elles sont à regarder plusieurs fois, à décortiquer et on se dit souvent en les revisionnant "mais oui c'était évident!" Ces deux films restent très violents mais cette violence est vraiment nécessaire et plutôt bien traitée alors n'hésitez pas à les regarder ;)

Les temps modernes de Charlie Chaplin, drôle et profond et Insaisissables de Louis Leterrier parce qu'il me fais rêver et rire a chaque fois

La vie est belle de roberto benigni car je le trouve très touchant, émouvant et malgré le thème du film qui est dramatique, on sourit et rit parfois au cours du film. On passe par toute une palette d'émotions qui fait de ce film une exception.

Hum...actuellement, The Big Lebowski parce que ce film est outrageusement hilarant, intelligemment stupide, étonnamment compliqué ( avec "beaucoup de tenants et d'aboutissants" ), que Jeff Bridges est cool et que de toutes façons les frères Coen domineront le monde, donc...voilà!