Pour préserver la planète, elle a choisi de ne pas avoir d’enfant.
Nom du site : www.goodplanet.org
Les enjeux sont multiples : impact carbone, démographie galopante, nos enfants seront des pollueurs, …
Divers titres de la presse : "Faire moins d'enfants, le geste écolo ultime" (Le Point); "Ecologie: après la honte de prendre l'avion, celle de faire des enfants ?" (Marianne); "Je n'ai pas envie de créer un petit pollueur, par conviction écologique, ils et elles ont décidé de ne pas avoir d'enfant" (francetvinfo.fr); "Je veux épargner à un enfant de vivre ça : ils ne sont pas parents à cause du changement climatique" (franceinter.fr); "Pour "sauver la planète", ils et elles ont choisi de ne pas avoir d'enfant" (Reporterre); "Cop 24: Ne pas faire d'enfant, une piste pour sauver la planète ?" (20 minutes); "Réduite son empreinte carbone" (Agence France-Presse); "Ne pas faire d'enfant, un geste écolo ?" (slate.fr); "Ces français veulent moins d'enfants pour sauver la planète" à lire une citation de Gustave Flaubert de 1838 (huffingtonpost.fr).
Très édifiant ...
A vos claviers, le débat est ouvert.
Salut Jstophe.
Sujet interressant et qui, en effet, peut faire écho chez certaines personnes. Perso, Je trouve que ça n'a pas de sens. L'humanité ne va pas s'euthanasier comme ça en arretant de se reproduire. Le seul résultat serait d'avoir une population vieillissante et inopérante, tandis que les pays du sud seraient plein de force et de jeunesse.
Avoir des enfants ou pas, c'est d'après mon expérience personnelle un choix très féminin.
Dans mon couple, on a voulu tous les deux avoir le premier enfant; c'était alors une évidence partagée.
Moi qui envisageait facilement d'en avoir plusieurs, mon premier fils m'a comblé au sens litéral du terme: Ce petit bonhomme suffisait à mon bonheur.
Mais, quand il à rejoint la maternelle, mon épouse a eu de nouveau un desir de maternité.
Je l'ai freiné des quatres fers mais, devant l'évidence du caractère totalement impérieux de porter de nouveau un enfant, j'ai fini par céder.
Même scénario pour le troisième; ce qui fait au final qu'il y a 13 ans d'écart entre le 1° et 3° enfant.
Ce que je veux souligner par ce témoignage, c'est le caractère impérieux que peut revétir le désir d'enfant pour une femme.
Ayant constaté l'importance de cette impériosité chez ma femme qui était véritablement malheureuse, "en manque" de maternité, je me dis que c'est ce phénomène qui fait des femmes enceintes, même dans des pays aux conditions de vie précaires ou en guerre.
Alors, faire de la natalité un enjeu écologique me paraît une fausse bonne idée qui sera bien difficile à appliquer et porteuse de pas mal de difficultés existancielles…
De toute façon la situation démographique mondiale est catastrophique. Certains démographes parlent de "suicide" pour le cas du Japon, par exemple. D'une manière générale, les conditions sociales (salaires insuffisants pour subvenir au besoin d'un enfant, recrudescence de la xénophobie et du racisme social chez les classes supérieures, mise à nu du plafond de verre de ce qu'on appelle "l'ascenseur social", dépression de 60? la population, etc.) ont déjà constitué la baisse de la natallité de manière générale comme l'explique l'INED (Institut National d'Etudes Démographique) et les Nations Unies :
Néanmoins, le problème écologique ne se résoud pas. Les scientifiques ont même déterminé l'absolu impossibilité maintenant de régler le problème écologique :
Le problème est principalement que le débat écologique ne s'est jamais focalisé sur autre chose que le plan individuel. On le voit dans les mouvements comme "Il n'y pas de petit geste quand on est 7 milliards à les faire", "Ça commence par moi" ou la campagne de pub "Vous pouvez laisser une plus belle trace sur terre" sans prendre en compte la réalité socioéconomique du monde.
vous pouvez laisser une plus belle trace sur terre
Dans la mesure où la majorité de la planète est pauvre donc écolo par nature car ne peut pas consommer, contrainte à l'économie... on sait bien que c'est à l'échelle macro qu'il faut penser sinon le suicide aussi serait un "geste écologique ultime" ce qui n'a aucun sens.
On a même assisté complèment abasourdi à l'émergence de campagnes de publicité contre les déchets payées par les lobbies et entreprises d'empactage dans des reportages révélant que finalement la notion de responsabilité individuelle les intéressaient afin de détourner l'attention du fait qu'au regard des chiffres réels, ce sont les entreprises qui peuvent réduire les gaspillages, les déchets, transformer les méthodes de productions... étant en quasi totalité responsable : https://www.youtube.com/watch?v=wZT3drAYIzo
Le réel soucis est que l'écologie aujourd'hui s'évertut trop à jouer sur le terrain de la morale, satisfaisant peut-être les personnes qui souhaitent qu'on leur élève une statue ou avoir leur nom sur une plaque coûte qui coûte mais pas ceux qui cherchent une réelle solution. La solution est de ne pas déconnecter les mesures écologiques des mesures sociales, ce qui inclue un service public qui marche et qui organise ces questions dans ce qu'on appelle "le bien commun".
Avoir un enfant, c'est un choix personnel inné de chacun. Que l'on le veux ou pas. Mais pourquoi mélanger cela avec les notions qui ont rien à voir ? Protection de la planète en refusant de reproduire, c'est l'extrème , ou je vois plutot comme une des excuses pour ne pas vouloir avoir un enfant chez certain. Avoir un enfant, et l'apprendre à defendre et protéger la planète est plus utile je pense.
Hello :-)
Personnellement, j'ai un réel désir d'enfant
et franchement trouver un homme qui en veut aussi, bien je n'y arrive pas.
Je pense que c'est surtout par désir de transmettre et que je suis aussi épanouis au contact de petits que je vois grandir dans mon cercle d'amis.
C'est une volution globale de nos sociétés qu'il faudrait pour nous sauver (la planète continuera sans nous de toute manière), basés jusqu'a alors sur la croissance économique nos sociétés doivent apprendre à produire moins, consommer moins et chiller plus, bref à décroitre -économiquement parlant - or cette decroissance n'est pas forcément synonyme de decroissance de la natalité voir pour ces couples d'anti-natalisme.
En plus en y reflechissant un peu ces couples qui se soucient de la planète ont plus de chance du fait de la transmission parents-enfants d'avoir eux mème des enfants éco-responsables et acteurs de la volution que j'ai cité plus haut, choisir de ne pas en faire au pretexte de sauver la planète revient donc en fait à se tirer une balle dans le pied.
A moins qu'ils cherche juste une excuse au fait de ne pas désirer d'enfants, mais diantre au 21ème devrait plus yavoir besoin d'excuses pour ça non?
salut ,
c'est vraiment un désir propre a chacun que rien ni personne ne peut juger ,
c'est un reel engagement et la bonne nouvelle c'est que chez les homos ont a rarement la surprise de tomber enceinte accidentellement d'un enfant non desiré...
après ce que je trouve tout de meme discutable c'est l'intention ... est ce qu'on souhaite aider quelqu'un a grandir ,s'epanouir ,exploiter son potentiel au maximum,lui donner des valeurs...
c'est le projet d'une vie ,
ou d'avoir un mini soit?
dans le 1er cas il y a tant d'enfants seuls, abandonnés ,malades mis a l'ecart...
sujet a creuser merci JStophe
@moiii69
tu es pas le seul qui as ce constat. d'ailleurs ceci est une des raisons pour laquelle j'ai quitté mon ex. et à ce jour, je ne change pas d'avis malgré la difficulté , et je ne regrette pas.
d'autre part, je pense que cela n'a rien à voir avec des terms que ce monde lgbt+ nous classe comme : mode de vie empirique, conformiste hetero . mais c'est en réalité un besoin primaire intrinsèque d'un être humain qui ne nécessite d'être justifié. tout comme besoin d'une vie sociale. après, y en a qui n'ont pas ce besoin , que ce soit hetero ou lgbt cette contradiction est normale, mais entre eux et nous, cest incompatible. on comprends ceux qui ne veulent pas d'enfant, mais eux ils comprennent pas notre envie. Et alors, y a pas de raison que l'on cède à une mode de vie supposée des autres, et qu'elle n'est pas la notre . le bonheur d'avoir un enfant est plus fort qu'une vie amoureuse , ça donne le sens à notre existance, et tout ce que l'on croix de meilleur.
Personnellement, je ne suis pas d'accord. Ce sont plutôt les gens qui ont le désir d'avoir un enfant qui ne comprennent pas le non désir d'enfant des autres. J'ai 24 ans et je ne veux pas en avoir. Je n'ai pans envie d'apporter un être nouveau dans le monde dans lequel nous vivons, je trouve que ça n'en vaut pas la peine. Et tout simplement, ça ne fait pas partie de ce que j'ai envie de vivre dans ma vie, ça ne m'intéresse absolument pas. De plus j'ai toujours été hyper mal à l'aise avec les enfants, je ne sais pas comment leur faire la conversation ou les occuper, ça m'est complètement étranger, je n'y arrive pas. J'ai toujours su que ça ne m'intéressait pas. Et c'est ça que les gens ne comprennent pas. A chaque fois que ce sujet est évoqué et que j'explique que je n'en veux pas, on me dit "c'est normal, c'est parce que tu es jeune, tu verras dans quelques années quand tu seras en couple !" Eh bien, non ! Je sais que je n'en veux pas, je sais pourquoi, et je trouve que les gens qui veulent des enfants feraient bien de se taire et d'accepter que NON, tout le monde n'a pas envie de se reproduire !
Sinon pour revenir au sujet de base, je trouve que c'est bien de vouloir avoir des enfants, mais le tout c'est d'arriver à les éduquer par rapport à l'écologie. C'est là que réside le véritable enjeu ! Et pour ce qui a été dit plus haut par rapport aux pays vivant dans la précarité, s'il y a autant d'enfants dans ces pays, ce n'est pas tant le seul désir d'avoir des enfants qui priment. C'est plutôt un accès à la contraception qui n'est malheureusement pas accessible à tout le monde... Alors forcément, quand on ne peut pas avoir de rapport protégé, on ne peut pas toujours éviter les grossesses...
Lilli,
Je parlait des partenaires gay, pas un couple hétéro en général. Les couples hétéro n'ont pas forcément cette barrière biologique pour produire un enfant. Enfin, s'ils ont l'aptitude.
Je comprends tout à fait que tout le monde ne veut pas se reproduire. Dans un couple gay tel que j'étais, je comprenait mon ex, je lui ai rien imposé, car ce serait ma progéniture, lui il a le droit de rien à voir dedans. Sauf que lui il ne me comprend pas, il m'interroge et essaye de m'imposer son idée qu'un gay n'est pas censé avoir un enfant. La vie sans enfant est pas triste ni sans avenir. En plus, il m'a jamais soutenu ou compris entant que compagnon depuis longtemps. Je préfère me projeter plus loin, que le court moment de tendresse ultra fragile.
la qu'il e te soutienne pas en general C.est un autre sujet caramany ,
il aurait avoir quelquechose si vous etiez ensemble , partage de vie ,donc vie avec l'enfant donc education ,vie de couple ...
@Lili
Après c'est toujours le débat de "est-on déterminé ou pas ?" En soi, on ne peut pas débattre avec quelqu'un qui ne veut être dans aucune case et est dans le "en même temps" permanent. Les choix qu'on fait relève aussi de la sociologie. Tu n'es pas la seule à être dans le rejet des enfants et c'est devenu un phénomène majoritaire. Alors tout le monde justifie comme il veut et comme le point de vue individualite est devenu majoritaire également, la justification est individualiste va dans le même sens.
"Eduquer les enfants par rapport l'écologie" ça dépend ce que tu souhaitent leur apprendre parce que, encore une fois, la logique de l'écologie individuelle ne fonction à aucun moment de la chaine donc ça risque de servir à pas grand-chose.
En soi, faire des enfants permettrai de jouer sur le plan écologique. Pour que les populations se renouvellent correctement, il faudrait environ 2 à 3 enfants par femmes EN MOYENNE ! Actuellement, on est à 1,2 donc plutôt à 1 enfants par femmes en moyennes et 2 c'est grand les gens sont complèment foufou. De toute façon on est déjà dans le cas des pays du Sud plus jeunes et des pays du Nord avec un population vieillissante et inopérante. C'est grâce à tous ces facteurs qu'on peut justement déterminer scientifiquement l'absolu impossibilité régler le problème écologique.
Actuellement, il y a trop d'humains sur terre. Mais entre le vieillissement général, la mortalité due aux famines et au manque d'eau, ou la baisse des naissances, la population mondiale diminuera d'ici un siècle. Avec la hausse des océans et la désertification, les terres disponibles seront réduites aussi.
En attendant, la planète fait la gueule et nous suivons toujours plus la religion du fric sacré.
Alors, est-il raisonnable de faire des enfants en sachant que chaque humain pollue, surtout dans nos pays ? J'ai longuement débattu de la question avec mon ami et avec moi-même. La réponse est vraiment très complexe.
Chaque humain consomme des ressources. Et dans nos pays "développés", cette consommation est énorme.
Les femmes d'un certain nombre de pays pauvres subissent tout simplement les grossesses, même en cas de guerre ou de famines.
Dans l'idéal, chacun devrait pouvoir choisir d'être ou non parent sans être stigmatisé. Personnellement, je ne juge ni les personnes voulant fonder une famille ni celles qui ne le veulent pas.
Mais, si c'est un choix très personnel, c'est surtout un impératif dans notre société nataliste. Les personnes sans enfant passent pour égoïstes. D'ailleurs, avoir un enfant n'est pas toujours un choix féminin (ma mère m'a eu pour faire plaisir à mon père et par crainte d'un divorce alors qu'elle était épouse au foyer). Est-ce vraiment une bonne chose de céder à son conjoint au risque d'être malheureux ou de rendre un enfant malheureux ?
Dans la société actuelle, il est difficile d'expliquer un refus de parentalité. On pardonne aux hommes de ne pas vouloir d'enfants, mais pas aux femmes. C'est encore pire si la femme dit ne pas être à l'aise avec les enfants ou désirer être libre.
Quand on ne veut pas avoir un enfant, il faut toujours donner des arguments. En face, l'incompréhension peut aller jusqu'aux insultes. Pourtant, les gens se plaignent très souvent d'être parents !
Alors, je comprends celles qui avancent une raison écolo. Si ça peut clouer le bec des plus téméraires et les faire réfléchir aux impacts de leur consommation familiale sur l'environnement…
la qu'il e te soutienne pas en general C.est un autre sujet caramany ,
Je suis d'accord.
il aurait avoir quelquechose si vous etiez ensemble , partage de vie ,donc vie avec l'enfant donc education ,vie de couple ...
Hahaha, oui tout à fait. Sauf que la nature a fait que l'homme ne peut pas coucher un enfant. La difficulté être papa est énorme pour un couple gay, ou un homme seul d'avoir un enfant. En plus je veux un enfant qui porte mes gènes. Le premier étape :concevoir un enfant, face à la difficulté, ça ne passe pas déjà chez lui. Alors qu'élever un enfant, quand je donne tout mon cœur à mon enfant , serait une épreuve encore plus rude pour lui. Oui il veut qu'il y ait que lui et moi, et la vie de couple persiste comme avant, toujours même routine, meme rigolades et même disputes. Alors que moi non. Bien sûr y avait d'autres raisons de séparation, celle ci en fait une.
J'avais posté mais c'est apparemment pas passé... donc re.
Les humains ont horreur du vide, dans les endroits habitables, depuis qu'ils savent élever leurs proies et exploiter leurs semblables.
Si les uns renoncent, les autres s'y substituent, en tout cas pour l'instant.
S'ils sortent du domaine sûr, par exemple par surpopulation, les risques naturels, technologiques, sanitaires, humains, se chargent de les y ramener.
En plus, ne plus faire d'enfant, c'est plus personne pour s'occuper des vieux. Le président Macron peut retirer son projet et supprimer la retraite par répartition ^^
Il y aurait bien une solution... la politique de l'enfant unique... mais c'est un sujet très délicat, et qui fonctionne mal.
même en faisant des gosses il n'y a plus personnes pour s'occuper des vieux 😂
"Ne pas avoir d'enfant pour sauver la planète".
Heureusement que la bêtise ne tue pas !
Je constate que les français sont toujours dans le pessimisme. Entre théorie de la fin du monde, et autres absurdités environnementales, ca devient lassant.
Je propose le suicide collectif, de sorte que l'humain n'ait plus d'impact sur la Terre.
On est vraiment un vieux pays dans lequel il n'y a ni ambition, ni rêve, ni volonté d'aller de l'avant.
Les gouvernements, aidés des medias, parviennent remarquablement bien à manipuler la population en reprenant la technique des magiciens qui est de détourner le regard du spectateur. En nous gavant chaque jours des problèmes écologiques, on ne voit pas la dégringolade économique de la France (et même de l'Europe) et la montée en puissance de la Chine.
Travaillant sur des projets à l'international, cela est criant.
L'environnement est un vrai problème mais j'entends peu de propositions concrètes : lieu d'habitation à proximité du lieu de travail (ce qui impose aux entreprises de garder leurs salariés sur le long terme et de mettre fin aux contrats précaires), circuits courts pour les produits, consommation raisonnée, ...
lindos,
Otentik t'a bien répondu . et c'est la réalité.
en plus, pourquoi un vieux doit attendre que ses petits s'occupent de lui? je pense même dans les pays fortement influencés par le confucianisme les personnes âgées attendent de moins en moins de leurs enfants ou petits enfants.
Perso, je pense que je donnerai tout à mes gosses, et je finis mes jours dans une maison de retraite ou chez moi, l'essentiel est que mes enfants sont heureux. je ne les oblige pas à me servir. ils ont leur rôle dans la société aussi.
qu'est ce qu'il y a voir avec l'enfant unique ? pour réduire la population ? si les chinois ont abandonné l'enfant unique, pourquoi l'adopté ? titille moi avec un peu plus de pertinence et intelligence stp.
d'ailleurs est ce que la surpopulation est déterminante dans la protection de la planète ? imagine un jour on a des centre de fusion nucléaire un peu partout , l'électricité présente la seule source énergique, le plastique est remplacer par des matériel comestible, la terre vas elle subir encore des mauvaises conséquences de l'activité humaine ? c'est la pratique humaine qui nuit la planète pas humain en tant que lui même. un couteau est une arme seulement si le tueur le tiens dans la main.
Je suis étonnée que personne n'ait suggéré une "bonne petite guerre de derrière les fagots" pour désencombrer la planète de ses pollueurs d'habitants , relancer l'économie grace à la reconstruction après la destruction , etc etc etc .^^
Trêve de plaisanterie , en matière d'enfants chacun(e) fait bien un peu comme il veut - ou comme il peut .
Ceux déjà parents ne peuvent qu'être inquiets du leg fait à leurs enfants avec ce monde qui s'écroule de partout et dans tous les domaines .
Le choix de ne pas avoir d'enfant est aussi respectable que le désir d'en avoir - croire qu'on participe à sauver le monde par cette voie relève de l'utopie , et pourtant je rêve assez souvent .
salut reglisse ,
je ne comprend pas ton raisonnement peux tu m'eclairer,stp
Actuellement, il y a trop d'humains sur terre.
Il n'y a pas trop d'humain sur la planète, il est bien évident que c'est la GESTION des ressources pas la CONSOMMATION des ressources qui pose soucis :
chaque humain pollue, surtout dans nos pays ?
On ne peut pas toujours parler en absolu parce sinon le débat est biaisé. Ça ne signifie rien hors contexte : qui ? par rapport à quoi ? Si ce que tu dis était vrai, il n'y aurait pas de problème écologique puisque la majorité de la planète est pauvre donc écolo par nature car ne peut pas consommer, contrainte à l'économie... on sait bien que c'est à l'échelle macro qu'il faut penser sinon le suicide aussi serait un "geste écologique ultime" ce qui n'a aucun sens.
La notion de responsabilité individuelle n'a pas de sens sur le plan écologique et ne peux intéresser que les entreprise afin de détourner l'attention du fait qu'au regard des chiffres réels, ce sont elles qui peuvent réduire les gaspillages, les déchets, transformer les méthodes de productions... étant en quasi totalité responsable.
Là on est typiquement dans le cas. La question est totalement éludée.
Alors, je comprends celles qui avancent une raison écolo. Si ça peut clouer le bec des plus téméraires et les faire réfléchir aux impacts de leur consommation familiale sur l'environnement…
Si on s'en tient à un discours purement individuel, on en arrive à "mais alors si je réfléchi à l'impact de ma consommation sur l'environnement, que dois-je faire ?"
Ben c'est là où le bas blesse. Le chômage étant ce qu'il est (si on arrête de soustraire au chiffres les gens qui ont travailler une semaine pour avoir un meilleur bilan), la pauvreté étant ce qu'elle est, les travailleurs pauvres étant ce qu'ils sont... bref au vu du nombre de personne dans l'incapacité de consommer, il est bien évident qu'il ne reste plus beaucoup de monde. Donc on est obligé de retirer de l'équation la classe moyenne (véritable) et la classe populaire. D'ailleurs, on pourrait regrouper les deux sous le nom de "classe salariale". Reste les classes supérieurs et privilégiées. Maintenant qu'on a trouver les coupables, que faire : trier sa poubelle ? acheter moins de carton ? éteindre ses lumières ? se laver à l'eau de pluie... ou mieux encore nettoyer sa boite mail ?
Le problème encore une fois, c'est que les personnes qui se place sur le plan de la morale sont rarement renseigner sur la réalité des faits : le tri sélectif n'existe pas en France, les poubelles sont rassemblées en déchetterie, par exemple. Ça fait réfléchir parce que, quand même, on utilise deux types de camions et de poubelles fabriquées en plastiques (donc 2x plus de polution) pour un mensonge. Le bio n'existe pas non plus car le vent ne s'arrête pas l'orée du champ et les pesticides, non plus. De plus, les labels bio ne sont pas attribués aux produits bio mais à des productions qui inclue DU bio, c'est pas pareil donc une sauce bio suffit à homologuer son maquereau comme bio. Le problème de l'empactage, comme ça a été fait pour les cotons tiges, se règle par loi ou décret, etc. Bref, je m'arrêtes-là mais il a encore beaucoup à dire.
Ce n'est donc pas sur le plan individuel que ça se passe mais à un plan étatique (ou macro) donc s'il y a matière à réfléchir, c'est sur l'impact écologique de la cité et non du cercle famillial.
Ouahhh anteros c'est violent ça "Heureusement que la bêtise ne tue pas !"
Tu ne comprend pas la réflexion a première vue, parce que deriière cette simple phrase, y a tout un concepte.
Donc balancer ça sans essayer de comprendre, et remmettre dans le contexte, c'est une bétise.
Pour commencer, on as pas a "sauver" ou "protéger" la planète. Elle le fait très bien, elle as même connue pire que nous :p
La polution et le réchauffement planétaire et majoritairement un problème qui touche l'humain.
Je vais pas revenir sur l'histoire de la terre, des millions d'années, croyais moi elle sera la encore longtemps après nous ^^
Le truc de pas faire d'enfant c'est justement pour combatre le consumérisme et la surpopulation.
On galère a nourrir, loger, soigner la population. On sur produit et sur consomme. Donc une population plus basse diminurais les consomation global en eau, en carburant, en nourriture.
En gros c'est plus écologique un petit village de 100 personnes, qu'une mégalopole des million d'habitant.
Et c'est un très gros résumer, y a tout un article et reflexion derrière.
Et le butte n'est même pas une solution miracle, c'est un cris d'alerte en mode buze.
En disant ça de façon aussi brutal, la personne veux reveiller les foule, et lançais le débat.
N'oubliez pas de chercher a comprendre, et a remettre a propos et en contexte ^^
Parce que là, c'est une de ces phrases sortie de son contexte, et le milieu LGBT+ devrais savoir qu'on ne devrais pas sortir des choses de leurs contexte !
Et enfin, je ne veux pas, mais alors pas du tout d'enfant, et ce n'est dans l'ensemble pas compris. Et ça ne regarde que moi, si j'ai pas envie, personne n'a le droit de me forcer :p mettre une vie au monde, c'est pas du tout annodin ^^
Le truc de pas faire d'enfant c'est justement pour combatre le consumérisme et la surpopulation.
On galère a nourrir, loger, soigner la population. On sur produit et sur consomme. Donc une population plus basse diminurais les consomation global en eau, en carburant, en nourriture.
Il n'y a pas trop d'humain sur la planète, il est bien évident que c'est la GESTION des ressources pas la CONSOMMATION des ressources qui pose soucis :
La majorité de la planète est pauvre donc écolo par nature car ne peut pas consommer, contrainte à l'économie... on sait bien que c'est à l'échelle macro qu'il faut penser sinon le suicide aussi serait un "geste écologique ultime" ce qui n'a aucun sens.
Le chômage étant ce qu'il est (si on arrête de soustraire au chiffres les gens qui ont travailler une semaine pour avoir un meilleur bilan), la pauvreté étant ce qu'elle est, les travailleurs pauvres étant ce qu'ils sont... bref au vu du nombre de personne dans l'incapacité de consommer, il est bien évident qu'il ne reste plus beaucoup de monde. Donc on est obligé de retirer de l'équation la classe moyenne (véritable) et la classe populaire. D'ailleurs, on pourrait regrouper les deux sous le nom de "classe salariale". Reste les classes supérieurs et privilégiées.
Encore une fois, l'écologie sur le plan individuel n'a pas de sens Alithia. Je crois que tu n'as pas lu. Et quand on dit GESTION des ressources alors on parle de METHODE de travail, de production, etc. En gros, si on combinait le CICE, le crédit impôts recherche, toutes les niches fiscales et le reste de l'argent qui est jetté par la fenêtre pour faire de l'écologie sociale alors il y aurait peut-être une sortie possible. Le problème, c'est que les mouvements Social Justice Warrior qui se place toujours sur le plan de la moral en oublient systématiquement le social et détruisent toutes possibilités de changement.
Pas trop d'humains ????
Quand on est obliger de construire sur la mer, dans des endroits dangereux, non stables, soumis au innondation, sur les terre fertile, parce que y a plus de place pour construire de nouvelle habitation, j'appel ça, trop d'humains.
On consomme plus d'hydrocarbure, d'oxygène, de terre fertile, d'eau potable, de bois et j'en passe que la terre produit dans le même temps.
C'est pas une question de gens pauvres ou riche.
Quand la consomation par humains et suppérieur a la reconstitution des ressources, oui ont est trop nombreux.
La chine, l'inde et j'en passe, même le japon, avec plusieurs habitant au mètre carrés prouve que la surpopulation est un vrai problème. Faux ouvrir les yeux sur ça, on peux pas avoir d'immence super mégalopole comme tokyo ou new york en disant que y a pas trop d'humains sur terre.
Alithia,
Ouais en gros, tu balayes tout d'un revers de main sans te renseigner. T'as même pas lu les liens que j'ai mis.
Où est ce que tu as vu qu'on contruisait des habitations scabreuses sur la mer en France par manque de place ?
"On consomme trop d'oxygène" mais enfin ?
C'est pas une question de gens pauvres ou riche.
BIM ALLEZ ON EN PARLE PLUS.
Quand la consomation par humains et suppérieur a la reconstitution des ressources, oui ont est trop nombreux.
C'est la PRODUCTION pas la CONSOMMATION qui est en cause
Aprsè c'est vrai que la technique du doigt mouillé a un côté sympathique mais ça se voit dès fois ! XD
Mais j'ai jamais balayer tes dire respire.
C'est pas toi qui écris "Il n'y a pas trop d'humain sur la planète"
J'ai pas remis ni nier t'es argument que je sache. Je suis d'accord avec, en plus, donc calmos.
C'est toi qui ni ce que je balance purement. Clairement la gestion est un problème, les inégalité et j'en passe.
Mais je pense que toi ta pas n'ont plus était regarder l'évolution de terre fertile, l'avancement des villes au niveau des littoreaux ou sur les terre fertile (bassin parisien), ect...
Je rajoute en plus des problème soulevé, le problème, REEL, PROUVER, ET AVERER de surpopulation partout dans le monde.
Donc on se calme en trasformant mes propos. "C'est pas une question de gens pauvres ou riche" , problème que je cite dans mon message, c'est totalment sortie de son contexe. Le problème de nombres ne peux pas être opposer au problème de richesse.
Bien sur que le problème de richesse existe, mais là, le problème, c'est la surpopulation. Actuellement, on ne peux pas faire que toute l'humanité et le niveau de vie d'un français moyen. Y a pas assez de ressources tout cours.
Donc merci de pas nier purement les choses quand elles vond pas dans votre sens. Surtout quand je suis aussi d'accord.
Beaucoup d'industrie transforme ou polue l'oxygène, la qualité de l'air ne peux plus être purifier, augmentation des problème pulmonaire, d'asthme et j'en passe.
La terre ne peux plus recycler toute la polution atmosphérique.
Le plastique présent partout sur terre, et j'en passe.
Nié le problème de surpopulation c'est fermé les yeux.
Je suis très calme, je vois pas ce que tu veux dire...
C'est pas toi qui écris "Il n'y a pas trop d'humain sur la planète"
Si c'est moi, trois fois sur la conversation.
Je rajoute en plus des problème soulevé, le problème, REEL, PROUVER, ET AVERER de surpopulation partout dans le monde.
Tu te bases sur quoi pour dire ça ? Qui ? Quelles études ?
Donc on se calme en trasformant mes propos. "C'est pas une question de gens pauvres ou riche" , problème que je cite dans mon message, c'est totalment sortie de son contexe. Le problème de nombres ne peux pas être opposer au problème de richesse.
C'est pas du tout sorti de son contexte, c'est une phrase seule dans ton commentaire. Arrêtons le sophisme.
C'est dans les liens que j'ai partagé. Le problème encore une fois, c'est que les personnes qui se place sur le plan de la morale sont rarement renseigner sur la réalité des faits : le tri sélectif n'existe pas en France, les poubelles sont rassemblées en déchetterie, par exemple. Ça fait réfléchir parce que, quand même, on utilise deux types de camions et de poubelles fabriquées en plastiques (donc 2x plus de polution) pour un mensonge. Le bio n'existe pas non plus car le vent ne s'arrête pas l'orée du champ et les pesticides, non plus. De plus, les labels bio ne sont pas attribués aux produits bio mais à des productions qui inclue DU bio, c'est pas pareil donc une sauce bio suffit à homologuer son maquereau comme bio. Le problème de l'empactage, comme ça a été fait pour les cotons tiges, se règle par loi ou décret, etc. Bref, je m'arrêtes-là mais il a encore beaucoup à dire.
Comme c'est un problème de gestion et non de consommation, c'est donc une question de redistribution. En gros pour faire simple : c'est parce qu'il n'y a AUCUNE mesure écologique réelle qu'on est dans cette situation (exemple : les accords de Paris) et non parce qu'il y trop de gens. Les bureaux d'études sur le logement et le développement durable ont rendu un rapport disant que s'il y avait un redécoupage et que tous les logements étaient harmonisés par l'ETAT, il y aurait la place de donner une maison individuelle avec un carré de jardin en français sans aller empiéter sur les terres agricoles ou autres au lieu d'être dans des appartements mais dans les années soixantes, on a décidé que les gens du communs préfèreraient être des des clapiés car c'est plus dans leur culture donc...
Mais je pense que toi ta pas n'ont plus était regarder l'évolution de terre fertile, l'avancement des villes au niveau des littoreaux ou sur les terre fertile (bassin parisien), ect...
... si, si je suis au courant.
Beaucoup d'industrie transforme ou polue l'oxygène, la qualité de l'air ne peux plus être purifier, augmentation des problème pulmonaire, d'asthme et j'en passe.
On est d'accord que c'est pas une cause de la surpopulation. Imagine que demain, l'état attribut une bourse pour acheter un manteau d'hivers genre après-ski pour tout le monde touts les deux ans ou les cinq ans à hauteur de 150€, voir il le fourni carrément certes on serait tous habillés pareil mais la consommation de vêtement d'hivers réduirait concidérablement et plein de mesure comme celle-là auraient été plus intéressante. C'est exactement comme le bilan médical gratuit auquel chacun a droit qui à considérable fait baissé les dépenses d'Etat en matière de santé mais appliqué à la consommation.
En gros, si on combinait le CICE, le crédit impôts recherche, toutes les niches fiscales et le reste de l'argent qui est jetté par la fenêtre pour faire de l'écologie sociale alors il y aurait peut-être une sortie possible.
Je suis assez d'accord avec Alithia; il y a certes un problème de gestion et d'équilibre comme tu l'évoques, mais je trouve ça assez étrange de nier le problème croissant de la surpopulation. Je ne suis pas un scientifique, mais c'est tout de même pour commencer un problème mathématique et spatial assez évident : si on t'enferme dans un espace tout seul, ou au contraire dans ce même endroit avec cent personnes, je doute que tu puisses y survivre aussi longtemps, par manque de ressources ou tout simplement d'oxygène, si encore tu as eu la chance de ne pas finir écrasé. Naturellement, entre la présence d'une personne et d'une centaine, l'impact sur l'environnement en présence ne peut qu'en être plus conséquent.
Il y a une quinzaine d'années, il y avait autour de chez moi un petit bois, des champs avec des chataîgniers, et tout un écosystème. Aujourd'hui, il y a plein de nouveaux habitants et une école à la place du bois, et tout un écosystème qui a disparu de ce fait, ici comme ailleurs, car l'urbanisation galopante liée à la surpopulation ne s'arrête jamais.
La combinaison des deux en est d'ailleurs la preuve même (mauvaise gestion et surpopulation), car la seconde accroît les conséquences néfastes de la première. Qu'il s'agisse d'industries polluantes ou encore de nos moyens de transport. Entre une personne qui prend sa voiture ou l'avion pour voyager, et des millions de personnes qui le font, je doute que le résultat soit le même sur l'atmosphère, tout comme le nombre de déchets produits par un plus grand nombre de personnes.
Skyquiver
par manque de ressources ou tout simplement d'oxygène, si encore tu as eu la chance de ne pas finir écrasé.
Il faut distinguer des ressources, epuisables ou non epuisables. Oxygène se régénère dans l'écosystème par les plantes, les algues et les cyanobacterie, enfin la photosynthèse .
Que ce soit la nourriture, l'énergie, la terre dispose assez de resources pour toutes les populations. A savoir qu'il faut des technologies avec.
le blé, le riz, le maïs etc céréales, font un bel example. Suffit de voir comment la technologie génétique a pu augmenter le rendement en créant des variétés très productrices et résistantes aux maladies.
A ce jour toute l'énergie que la terre dispose, provient du soleil que ce soit énergie chimique, combustible, voir thermique. L'énergie produite du soleil est plus que suffisante pour la terre, même centaines terres peuvent se servir. Mais la technologie d'humain qui n'est pas capable de les exploiter à grand échelle. Il y en a qui parle de panneaux solaires, veolienne etc. C'est plutôt une goutte d'eau dans la mer. Cependant, un centre de fusion nucléaire sera n fois plus productif, zéro déchet radioactif, les matière premières provient de l'eau d'océan. Plusieurs pays sont sur le chemin, un pays a déjà affranchi l'étape clé. En plus si un jour on arrive à trouver l'anti matière, l'énergie que l'on aura sera phénoménale : E=MC^2. Toute la masse transforme en énergie, ce n'est pas une infime fraction de masse. Encore plus loin, on arrive à exploiter l'énergie gravitationnelle d'un trou noir, cette énergie sera suffisante pour une galaxie entière. Pas que pour notre petit point bleu.
Certe, à ce moment les humains ne sont pas au point de gérer le conflit entre la terre et la sur population. Mais si l'on regarde l'histoire humain, c'est avec la technologie que la population suit sa courbe de croissance.
Comme tu dis la mauvaise gestion en est cause. Il faut avouer que les pays de grandes puissances font la guerre au nom de tous les termes pour contrôler le flux de matière première, pétrole, terre rare etc. Laissant les pays n'ont as cette puissance dans l'impossibilité de survivre. Après ce sont ces pays la qui reprochent les être humains sur terre qui n'ont pas pu sauver la planète à cause de la surpopulation.