Et vous quelle est votre poème du moment - Page n°7

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Nujabes
24/12/2024 à 10:30 - 24/12/2024 à 10:30

Citation de HappinessLes armes miraculeuses(Aimé Cesaire)#524576

❣️


(...)

A moins que ce peuple un jour s’y refuse,

Aussi désirant que du feu de bois,

Et troue la paroi vers dehors,

Pour vivre.

Edouard Glissant

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Libra8
31/12/2024 à 15:38 - 31/12/2024 à 15:39

CHOSES QUI FONT BATTRE LE COEUR

"Des moineaux qui nourrissent leurs petits.

Passer devant un endroit où l'on fait jouer de petits enfants.

Se coucher seule dans une chambre délicieusement parfumée d'encens.

S'apercevoir que son miroir de Chine est un peu terni.

(...)

Une nuit où l'on attend quelqu'un. Tout à coup, on est surpris par le bruit de l'averse que le vent jette contre la maison."

Sei Shônagon

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Rebelle32
03/01/2025 à 10:49

"Ne tombe pas amoureux d’une femme qui lit, d’une femme qui ressent trop, d’une femme qui écrit…

Ne tombe pas amoureux d’une femme cultivée, magicienne, délirante, folle.

Ne tombe pas amoureux d’une femme qui pense, qui sait ce qu’elle sait et qui, en plus, sait voler ; une femme sûre d’elle-même.

Ne tombe pas amoureux d’une femme qui rit ou qui pleure en faisant l’amour, qui sait convertir sa chair en esprit ; et encore moins d’une qui aime la poésie (celles-là sont les plus dangereuses), ou qui s’attarde une demie heure en fixant un tableau, ou qui ne sait pas comment vivre sans musique.

Ne tombe pas amoureux d’une femme qui s’intéresse à la politique, qui soit rebelle et qui a le vertige devant l'immense horreur des injustices. Une qui aime les jeux de foot et de baseball et qui n’aime absolument pas regarder la télévision. Ni d’une femme qui est belle peu importe les traits de son visage ou les caractéristiques de son corps.

Ne tombe pas amoureux d’une femme intense, ludique, lucide et irrévérencieuse.

Tu ne veux pas tomber amoureux d’une femme de la sorte.

Car, si d’aventure tu tombes amoureux d’une femme pareille, qu’elle reste ou pas avec toi, qu’elle t’aime ou pas, d’elle, d’une telle femme, JAMAIS on n’en revient."

Martha Rivera-Garrido

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Modération Victoria Mai
03/01/2025 à 10:55

Citation de Rebelle32 #525499

😍 merci


If I only could, I'd make a deal with God

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Nujabes
05/01/2025 à 12:08 - 05/01/2025 à 16:36

Nous avons dansé, dansé,

Secoué nos misères pour faire briller nos rêves,

frappé le sol de toutes nos forces

pour en faire jaillir le flot de chansons.

Le vent, en nos mains repartait

en poussière.

-- Nos joies en feu d'artifice

ont illuminé notre ciel.

Et les pieds endoloris, soufflant au repos

s'interrogent sur l'étape de demain.

Nous avons dansé, dansé, dansé "jusqu'à fatigué".

(...)

Bernard Binlin Dadié

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Rebelle32
15/01/2025 à 14:06

Le ver du temps s égare

Tendre

dans les draps froissés

du réveil

Reflets maritimes

de la douceur nocturne cachée

sous le lit

Le piano me prend dans ses bras

tentacules de bonheur

Le reste....s achève sur mon soupir

entre la musique et la vie

me souvient l amour d une nuit.

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Nujabes
19/01/2025 à 20:16

Petit haïku du soir :

Jeu de la foudre -

C'était hier à l'Est

C'est à l'ouest aujourd'hui.

Koi Nagata

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Happiness
21/01/2025 à 19:26

Tu peux m’écrire dans l’Histoire

Avec tes mensonges amers et tordus,

Tu peux me piétiner dans la boue,

Mais comme la poussière, je m’élève.

Est-ce que ma fierté te dérange ?

Pourquoi es-tu si sombre ?

Parce que je marche comme si j'avais des puits de pétrole

Qui coulent dans mon salon.

Tu peux me fusiller de tes mots,

Tu peux me découper avec tes yeux,

Tu peux me tuer de ta haine,

Mais comme l’air, je m’élève.

Still i rise(Maya Angelou)

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Nujabes
10/02/2025 à 23:40

Tel y a mûri ses aubaines

La rivière était froide et pure

Amour d'été est feu d'enfant.

(...)

Et cueillez à l'orgue l'orage

En vous il mue et n'a de cesse

Que ne soit plus nuit ce murmure.

Edouard Glissant

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Amarante84
11/02/2025 à 00:15

Oh, c'est la nuit du carnaval

Et les lumières s'enroulent autour de toi

Ils accrochent des anges en papier

Ils peignent des petits diables sur le toit

Oh le vent de la fournaise

Est un scintillement d'ailes autour de ton visage

Dans un nuage d'encens

Oui, ça sent le paradis dans cet endroit

Je ne peux pas manger, je ne peux pas dormir

J'ai toujours faim de toi quand tu me regardes

Ce visage, ces yeux

Tous les plaisirs pécheurs au fond de moi

Dis-moi comment, tu sais maintenant, les voies et moyens d'entrer

Sous ma peau,

Oh tu as toujours été mon péché originel

Et dis-moi pourquoi, je frissonne à l'intérieur, chaque fois que nous commençons

Ce jeu dangereux

Oh tu as toujours été mon péché originel

Un rêve s'envolera

Le moment où tu ouvriras les yeux

Un rêve n'est qu'une énigme

Les fantômes de tous les coins de ta vie

Au balcon

Tous les Roméo saignent pour ta main

Soufflant des baisers de théâtre

Récitant des lignes qu'ils ne comprennent pas

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Elegy
11/02/2025 à 22:20

Ton Souvenir est comme un livre bien aimé,

Qu'on lit sans cesse, et qui jamais n'est refermé,

Un livre où l'on vit mieux sa vie, et qui vous hante

D'un rêve nostalgique, où l'âme se tourmente.

Je voudrais, convoitant l'impossible en mes voeux,

Enfermer dans un vers l'odeur de tes cheveux ;

Ciseler avec l'art patient des orfèvres

Une phrase infléchie au contour de tes lèvres ;

Emprisonner ce trouble et ces ondes d'émoi

Qu'en tombant de ton âme, un mot propage en moi ;

Dire quelle mer chante en vagues d'élégie

Au golfe de tes seins où je me réfugie ;

Dire, oh surtout ! tes yeux doux et tièdes parfois

Comme une après-midi d'automne dans les bois ;

De l'heure la plus chère enchâsser la relique,

Et, sur le piano, tel soir mélancolique,

Ressusciter l'écho presque religieux

D'un ancien baiser attardé sur tes yeux.

Albert SAMAIN

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Rebelle32
12/02/2025 à 07:14 - 12/02/2025 à 07:15

Dans le calme des jours, je me trouve à rêver.

D une vie tranquille, loin des cœurs à aimer.

Les doux murmures Des amours envolés.

Ne sont que des ombres, des souvenirs voilés.

Les regards passionnés, les serments volubiles,

Sont des chaines d or que je ne veux, je fuis.

Dans la douceur du soir, je choisis mon recueil,

Une plume, un livre et je savoure sans écueil.

La solitude est douce, elle chante à mon âme,

Sans promesses fragiles, sans larmes , sans drame.

Je danse avec le vent, je flâne sous les étoiles.

Chaque instant est mien, je me sens sans voile.

Ainsi je m éloigne, des cœurs à rencontrer,

Cherchant l horizon où , l amour ne peut blesser.

Dites aux romantiques que je préfère ergoter ,

Dans le silence puissant, librement exister.

avatar contributeur de Nujabes
Nujabes
13/02/2025 à 20:37

Peut-être que la lumière

t’induira en erreur

si cela arrive

ne crains rien, la faute est au soleil.

Ali Ahmed Saïd (Adonis)

avatar contributeur de Llaho
Llaho
17/03/2025 à 22:02 - 17/03/2025 à 22:03

Les passantes d'Antoine Pol, ici chanté par Brassens.

Quelques vers magnifiques, d'autres un peu plus désuets (1911). J'aurais bien aimé lire ce poème au masculin...

https://youtu.be/iKkLjHAvf1k?si=hAz9viu0fwgi79b5

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Eugidius
18/03/2025 à 11:34

poison perdu

§

Des nuits du blond et de la brune

Pas un souvenir n’est resté

Pas une dentelle d’été,

Pas une cravate commune ;

§

Et sur le balcon où le thé

Se prend aux heures de la lune

Il n’est resté de trace, aucune,

Pas un souvenir n’est resté.

§

Seule au coin d’un rideau piquée,

Brille une épingle à tête d’or

Comme un gros insecte qui dort.

§

Pointe d’un fin poison trempée,

Je te prends, sois-moi préparée

Aux heures des désirs de mort.

attribué à A. Rimbaud, à Germain Nouveau, à Octave Mirebeau ou à J.L Forain

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Apan
18/03/2025 à 14:05

LES BIENFAITS DE LA LUNE

La Lune, qui est le caprice même, regarda par la fenêtre pendant que tu dormais dans ton berceau, et se dit : « Cette enfant me plaît. »

Et elle descendit moelleusement son escalier de nuages et passa sans bruit à travers les vitres. Puis elle s’étendit sur toi avec la tendresse souple d’une mère, et elle déposa ses couleurs sur ta face. Tes prunelles en sont restées vertes, et tes joues extraordinairement pâles. C’est en contemplant cette visiteuse que tes yeux se sont si bizarrement agrandis ; et elle t’a si tendrement serrée à la gorge que tu en as gardé pour toujours l’envie de pleurer.

Cependant, dans l’expansion de sa joie, la Lune remplissait toute la chambre comme une atmosphère phosphorique, comme un poison lumineux ; et toute cette lumière vivante pensait et disait : « Tu subiras éternellement l’influence de mon baiser. Tu seras belle à ma manière. Tu aimeras ce que j’aime et ce qui m’aime : l’eau, les nuages, le silence et la nuit ; la mer immense et verte ; l’eau informe et multiforme ; le lieu où tu ne seras pas ; l’amant que tu ne connaîtras pas ; les fleurs monstrueuses ; les parfums qui font délirer ; les chats qui se pâment sur les pianos et qui gémissent comme les femmes, d’une voix rauque et douce !

« Et tu seras aimée de mes amants, courtisée par mes courtisans. Tu seras la reine des hommes aux yeux verts dont j’ai serré aussi la gorge dans mes caresses nocturnes ; de ceux-là qui aiment la mer, la mer immense, tumultueuse et verte, l’eau informe et multiforme, le lieu où ils ne sont pas, la femme qu’ils ne connaissent pas, les fleurs sinistres qui ressemblent aux encensoirs d’une religion inconnue, les parfums qui troublent la volonté, et les animaux sauvages et voluptueux qui sont les emblèmes de leur folie. »

Et c’est pour cela, maudite chère enfant gâtée, que je suis maintenant couché à tes pieds, cherchant dans toute ta personne le reflet de la redoutable Divinité, de la fatidique marraine, de la nourrice empoisonneuse de tous les lunatiques.

Baudelaire

avatar contributeur de Inframince
Inframince
16/04/2025 à 20:23 - 16/04/2025 à 20:24

(L'odeur du vent)

Fonçant tête baissée

dans un silence nouveau

ton visage

répand sur mon horizon

le nom

d'un rêve précieux

qui chevauche mon ancre

c'est une douce saison

pour larguer les amarres

se lancer vers un autre voyage

Pas de place pour régler des comptes

sauf dans une merveilleuse arithmétique

de la distance

(Audre Lorde)

avatar contributeur de Eugidius
Eugidius
01/06/2025 à 07:43

Vésuve

.

Les cendres pleuraient de son œil,

avec d'incandescentes laves,

couvrant d'inconscience, de deuil

tous les habitants, esclaves,

.

du sommeil saisi dans l'instant

reste au sol des corps éparses,

et si jamais plus aucun printemps

ne venait reverdir en Mars?

.

si trop épaissie de poussière

la pluie refusait de tomber,

des réserves de blés, la misère

en viendrait à bout dès l'été,

.

on entendrait, plaintes de bêtes

et pleurs d'enfants dès le matin,

aux dieux une seule requête,

qu'un autre malheur se survint !

.

alors figés de cet espoir,

continuent couchés ensembles

ces deux témoins de l'histoire

blottis sans un mot, ils semblent

.

témoigner encore de l'étuve,

où leur amour d'hommes nous dit,

qu'ils sont les amants du Vésuve

Quand on avait rien interdit…

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Zazack
01/06/2025 à 19:13

Tu es le meilleur mon bébé

Je suis tout à toi tout entier

Je serai toujours tes pieds

Avec tes mains comme collier.

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Llaho
13/06/2025 à 21:42 - 13/06/2025 à 22:13

Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un profil aux jolis mots et c'est arrivé aujourd'hui par hasard alors j'ai pensé à ce texte de Tarmac:

https://youtu.be/3xAG9esOajY?si=OvUZ78TjIlTMBJaa

Tordu tour du monde

Tout au long, la question

Drôle d'idée de n'avoir en chemin

Qu'un point de chute incertain

Qui es-tu?

Tournes-tu autour d'un monde étendu?

Je nous vois moribonds

Il n'est pas exclu

Autour d'un monde tordu

Que le soleil n'existe plus

Je m'ennuie

Je ne voyage ni ne partage plus

Nous voilà dépourvus

Solitaires, comme nus

Tour du monde

Reviendrais-tu?

Nous serons à l'étroit

La pièce est exiguë

Mais il n'est pas de place

Qui ne soit sans issue

Autour du monde

Je le vois qui se sonde

Serait-il entendu que ce monde

A besoin de mince et de ventru?

Tordu tour du monde

Toute de soie la vision

Quelle belle idée que de savoir être en voisin

Un pont de suites, un chemin

Serait-il entendu que ce monde

A besoin de mince et de ventru?

Tordu tour du monde

Toute de soie la vision

Quelle belle idée que de savoir être en voisin

Un pont de suites, un chemin

Un pont de suites, un chemin

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Le Pleutre
14/06/2025 à 11:41

Au creux des lits

.

La fatigue provoque la nuit

Les corps s’étendent le soir,

Et les esprits plein d’ennuis

Couchent leur paresse notoire;

.

La blessure fait l’ennemi

Les corps attendent l’espoir,

Et les esprits compromis

Patientent pour décevoir;

.

Les plaisirs s’offrent ravis

Les corps se donnent dans le noir

Et les esprits par envies

Se plient à ces défouloirs;

.

La naissance est un merci

Les corps vont sans le pouvoir

Et les esprits obscurcis

Compte si la vie peut valoir

.

La vieillesse un jour supplie

Les corps cassent de désespoir

Et l’esprit au creux des lits

S’envole loin, sans le savoir…

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Adnah09
11/07/2025 à 18:52

Poème pour J.M***

Titre: les larmes invisibles

Je nous pleure mais aucune larme ne tombent.

Je t'aime d'un amour trop platonique à mon goût.

Tu incarnes à la fois la femme que je rêvais d'aimer

Et l'homme que je redoutais tant.

En adoration devant ton corps,

Écorchée par ton coeur que j'indiffère.

Et amoureuse de ton bel esprit,

Je nous pleure mais aucune larme ne tombent.

J'aurais tant aimé embrasser tes quatre lèvres,

Éléments générateurs d'une joie palpable.

Ta voix si excitante, ton regard d'une douceur inconditionnée et ta coupe de garçonne bien léchée,

Me dopent la tête autant qu'elles me font perdre pieds.

J'ai jouie en silence par le simple fait de te contempler.

Ce jour-là, une étoile mouillée mais chaude est née...

Adnah09

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Le Pleutre
11/07/2025 à 19:39

Il ose

.

Un long moment où l’esprit est ailleurs

Son devoir oublié le libère,

Tout en lui vit pour devenir meilleur

Mais à la mesure, de tout l’univers;

.

Plus aucun compte à rendre à personne

Ses vertus n’ont plus cours, ni ses défauts,

Là seul il se connaît sans que raisonnent

Les débris de sa culture vrais ou faux;

.

Il se trouve purifié des sentiments

Inscris par l’habitude de ressentir,

Mais une autre lumière en lui dément

L’avantage qu’il avait de se mentir;

.

D’un équilibre incompris de lui-même

Reposant sur l’être de chaque chose,

Plus un nom, plus de formes pour qu’il aime

Et pourtant d’un pur désir, il ose…

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Rebelle32
11/07/2025 à 20:10

Devant la porte de l usine

Le travailleur soudain s arrete

Le beau temps l a tiré par la veste

Et comme il se retourne

Et regarde le soleil

Tout rouge

Tout rond

Souriant dans son ciel de plomb

Il cligne de l œil

Familièrement

Dis donc camarade soleil

Tu ne trouves pas

Que c est plutôt con

De donner une journée pareille

à un PATRON.....

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Ancien membre
11/07/2025 à 20:19

Un jour tu as finalement su ce que tu avais à faire, et tu t’y es mise,

alors que les voix autour de toi hurlaient sans cesse leurs funestes conseils –

Alors que la maison entière s’était mise à trembler et que tu sentais les vieux fers à tes chevilles. « Répare ta vie ! » criait chaque voix.

Mais tu ne t’es pas arrêtée.

Tu savais ce que tu avais à faire,

alors que le vent, de ses doigts raides, fouillaient les fondations mêmes –

alors que leur mélancolie était atroce.

Il était déjà assez tard, la nuit tempêtait, et la route était jonchée de branches tombées et de pierres.

Mais petit à petit, comme tu laissais les voix derrière toi, les étoiles se sont mises à briller à travers le manteau de nuages,

et une voix nouvelle, que tu as lentement reconnu comme la tienne, t’as tenu compagnie

tandis qu’à grand pas tu pénétrais de plus en plus profondément le monde,

déterminée à faire la seule chose que tu pouvais faire

déterminée à sauver la seule vie que tu pouvais sauver.

avatar contributeur de Le Pleutre
Le Pleutre
11/07/2025 à 21:38

très belle prose et grand regard sur sa destination !

avatar contributeur de Fushijogu
Fushijogu
12/07/2025 à 01:27

🌹 Jessica, plume et libertine 🌹

Jessica danse au vent des envies,

Un clin d’œil, un sourire, et la nuit s’épanouit.

Libre comme l’air, sans chaînes ni bagages,

Elle vogue en douceur sur le doux libertinage.

Un brin de malice au creux du regard,

Des mots comme du miel, un charme un peu barbare.

Elle rit, elle flirte, elle joue avec l’instant,

Cueille les plaisirs comme on vole le temps.

“Pourquoi s’enfermer dans des règles si ternes ?

Quand l’amour est vaste, fluide, moderne !”

Déesses et faunes croisent son chemin,

Chacun repart avec un rêve dans la main.

C’est l’art d’aimer libre, sans cage ni contrat,

Un art que maîtrise très bien Jessica.

Mais derrière la fête, la peau et le velours,

Elle sait que le respect est le vrai grand amour.

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