Citation de Feliflame #313096
"si c'est chosi volontaire et accepté pleinement des deux partis... pourquoi vouloir liberer quelquun qui nest pas enfermé ? "
Personnellement je ne m'interesse surtout aux risques non identifiéd, ou non assumés par soi ou les autres lorsqu'ils sont impactés. Selon le principe que la liberté de chacun s'arrête où commence celle des autres. Et pour les jeunes sans expérience devant parfois trébucher pour apprendre, au moins au risques aux conséquences irréversibles, les abus manifestes faisant parti de ces risques parce que déstructurants pour la victime.
Par exemple cela ne m'inquiete pas du tout que Gael3592 écrive "Je pense être au service de son homme n'est pas un défaut, mais une qualité" parce que je perçois que c'est culturel, borné, et que ses postes montrent qu'il est expérimenté, qu'il a les anticorps qu'il faut en cas de besoin. Je pourrais écrire la même chose, du style me sacrifier pour mon homme, ou le servir si c'est necessaire ou vital. Et servir le ti dej n'a jamais tué personne si c'est compensé par d'autres services conscentis avec affection.
Mais pour le jeune coiffeur à l'aise dans les saunas, pret à etre hébergé et se mettre en quatre pour quelqu'un qui pourrait être son père, il existe un risque de vulnérabilité. Heureusement compensé par ses parents apparemment un rien protecteurs.
De plus, lui rappeler à la faveur de ses questions qu'il y a des limites au-delà desquelles on peut expérimenter quelques belles désillusions, voire qui pourraient être casse-gueule, ne nuit pas. Meme si l'expérience des autres rentre par une oreille et sort par l'autre.
Si tu fais allusion à la condition de la femme et au feminisme, la réalité montre que les femmes soumises à leur mari pour des raisons culturelles, ou qui refusent de l'être, sont aussi souvent celles dont le mari estime parfois qu'il est en droit de les corriger, parfois brutalement, si elles montrent des signes de faiblesse, ou tout simplement quand il est de mauvaise humeur.
C'est par exemple le principe des barres de securité qui protègent des chutes dans le vide : elles sont bien plus efficaces si on ne s'appuie pas en permanence dessus, et si les gens ne sont pas vulnérables en étant trop petits par exemple. Et ceci quand bien même tout est librement consenti en deça de cette limite. C'est la raison pour laquelle les adultes réferents ne cesse de répeter aux plus jeunes de rester prudent à proximité du vide.
Autre exemple, la soumission contre protection, même consentie pour cause de vulnérabilité, des enfants vis-a-vis de leurs parents, de citoyens vis-a-vis de l'etat, et même au XX siecles des derniers esclaves affranchis vis-a-vis de leur anciens maitres, pour ne pas évoquer les cerfs vis-a-vis des seigneurs les siècles précédents, etc, nécessite toujours ...une protection ! ^^