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Après pour ce qui est du stress, j'ai remarqué que j'étais très peu stressé sur le plan professionnel ou des études (d'ailleurs quand je le suis c'est hyper stimulant et je me sens boosté) alors que je suis très stressé par des choses comme ma santé (je suis un peu hypocondriaque), s'il arrive du mal à ma famille ou mes amis etc... Après est ce lié à mon homosexualité ?... Je ne pense pas, même si l'article du huffington post cité plus haut semble dire le contraire..L'article dit surtout que l'homosexualité (comme toute forme de minorité) est vecteur un stress en soi. En gros, on s'inquièterait constamment en "arrière plan" qu'on nous reproche une action ou une parole du fait de notre orientation. Comme une femme pourrait se dire "si je conteste on va penser que je suis hystérique" ou un chômeur "si je dis que je suis fatigué, va-t-on me traiter de feignant ?" etc... En gros on a toujours peur qu'on nous renvoie à notre sexualité, et ça peut être épuisant. D'où le fait qu'on finisse parfois par fuir la "majorité". => Je cite l'article : "Le concept utilisé par les chercheurs pour décrire ce phénomène est celui du «stress minoritaire». Dans sa forme la plus directe, le concept est très simple: être membre d'un groupe marginalisé requiert beaucoup d'efforts. Lorsque vous êtes la seule femme dans une réunion d'affaires ou le seul homme noir dans votre dortoir à l'université, vous pensez différemment des membres de la majorité. Si vous tenez tête à votre patron, ou que vous auriez dû lui tenir tête, est-ce que vous êtes victime des stéréotypes féminins en milieu de travail? Si vous n'obtenez pas une note parfaite lors d'un examen, est-ce que les gens vont attribuer cela à votre couleur de peau? Même si vous n'êtes pas stigmatisés ouvertement, penser constamment à ces possibilités devient usant, à la longue."
Mais heureusement pour [les homos], et malheureusement pour les homophobes, ils survivent et s'adaptent.Lindos, oui on survit, tant bien que mal. Tout dépend des ressources psychiques et matérielles de chacun, de son entourage immédiat, etc. On est assez inégaux sur cette problématique commune, je trouve.
Akudo a écrit : Après pour ce qui est du stress, j'ai remarqué que j'étais très peu stressé sur le plan professionnel ou des études (d'ailleurs quand je le suis c'est hyper stimulant et je me sens boosté) alors que je suis très stressé par des choses comme ma santé (je suis un peu hypocondriaque), s'il arrive du mal à ma famille ou mes amis etc... Après est ce lié à mon homosexualité ?... Je ne pense pas, même si l'article du huffington post cité plus haut semble dire le contraire..L’article évoque une fragilisation particulière des gays dans la gestion du stress, en raison d’une blessure de rejet intériorisée, mais peut-être faudrait-il rajouter que pour ceux qui souffrent avant tout d’une blessure d’abandon ou de trahison, le défi d’une vie sociale homosexuelle est reçu un peu différemment, par une stratégie active de contrôle et de confrontation (théorisée par Lise Bourbeau) et non d’évitement ou de rigidité.
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