Comment gérez vous la solitude ?

Je suppose que c'est un sujet redondant sur un tel site, mais je suis sur que l'on a tous une tolérance différente à la solitude. Certains ou certaines la vivent trés bien, d'autres trés mal, puis il y a la majorité qui se trouve au milieu.

Je fais partie de cette majorité, avec un gout évident pour la totale liberté que ça apporte et des moments difficiles voire douloureux, en particulier le week-end. J'ai cinquante ans et ça fait pas loin d'une dixaine d'années que je vis seul. La frustration purement sexuelle a tendance à baisser avec l'âge. Je me débrouille de temps en temps avec des rapports tarifés ou des séances de sauna. Mais en dix ans je n'ai pas fait une seule rencontre romantique.

La solitude m'enlève un peu l'énergie vitale. Je suis de moins en moins motivé pour faire des choses ou rejoindre des groupes sociaux. J'ai l'impression de vieillir plus vite que si j'étais en couple. Les rapports avec la famille se raréfient et les rapports amicaux aussi.

Et pour vous, comment ça se passe ?

Il y a la solitude et se sentir isolé-ée. L'amalgame est vite fait quand certaines personnes ne comprennent pas ton célibat.

Je peux me sentir isolée de toutes interactions sociales quand la solitude prend un peu trop de place. À contrario je ne me sens pas seule parce que je suis célibataire. Je suis juste célibataire c'est tout.

D'accord avec Deelinph.

Plus jeune je me sentait isolé, même en groupe et c'etait insuportable. Aujourd'hui je me sens parfois seul mais ces moments de solitude sont une respiration.

Je supporte de moins en moins les gens.

Par contre j'adore mes ami(e)s et je me languis de nos prochaines retrouvailles.

Après, sentimentalement, j'ai l'impression que je suis trop abîmé pour esperer pouvoir construir quoi que ce soit et trop fragile pour en supporter le (les) chocs ...

Coucou Dime,

Dans mon cas je me suis habituée peu à peu à la sollitude. Je ne suis Pas vraiment seule car j'ai 3 enfants. Mais je peux Parler de la sollitude du coeur, ne Pas avoir des personnes avec lesquelles partager les inquiètudes et les difficultés du quotidien ou même le partage des moments du bonheur.

J'ai eu une longue relation sentimentale avec une personne introvertie, qui ne partagait Pas ses ressenties et que peu à peu s'est fatigué de m'écouter, et cela m'a fait m'habituer à garder mes inquiètudes pour moi. Ayant changé de pays, j'ai laissé famille et amis d'enfance et d'adolescence. Même si je continue le contacte avec eux, la distance fait qu'on partage Pas autant.

Je ne le vie Pas trop mal. J'ai des amis et de temps en temps je peux partager certains choses, mais ce n'est Pas pareil, en couple on partage beaucoup plus. Arriver à la maison et raconter ta journée, avoir un avis sur ce qui t'arrive et ce qu'on ressens ça fait du bien. Je peux raconter ma journée à mes enfants, mais avec eux je ne peux pas tout partager, comme mes difficultés avec leur papa ou mes rencontres, ou mes envies, espoirs ou difficultés de ma vie sentimentale.

J'ai l'espoir de m'habituer encore mieux à ne Pas avoir une vie sentimentale et à me défaire de ce besoin de partage (et d'amour surement).

Tout a à été dit.

Il y a se sentir seule et être seule .

J’aime ma solitude quand je suis chez moi mais j’adore mes sorties entre amis et voir ma famille.

J’apprécie aussi bcp mes collègues.

Citation de Némésis Inu #466333

Et tes difficultés avec le sentiment de sollitude??

Citation de Alma08 #466336

Les seules fois où je me sens seule, c’est plutôt dans mon célibat, ne pas avoir quelqu’un à aimer et être aimé en retour, mais comme je l’ai déjà dit dans d’autres topic, pour moi l’amour, c’est la cerise sur le gâteau, le petit plus de la vie, mais pas le gâteau ni la vie dans son entier.

Je pense être quelqu’un de nature solitaire de base( mais pas associal) donc c’est supportable Par contre mon meilleur ami c’est tout l’inverse :

Depuis qu’il a déménagé à la frontière suisse, en quittant la région parisienne, il a fait une grosse dépression car malgré qu’il y ait son compagnon avec lui là-bas, c’était quelqu’un de très entouré qui sortait très souvent qui avait vraiment un gros cercle amicale dont il était le centre de gravité . D’un seul coup, il se retrouve isolé et il a beaucoup de mal à recréer un cercle d’amis là-bas.

Il m’a dit naïvement pensé qu’on viendrait le voir régulièrement😅

Ça va beaucoup mieux, même si ce n’est pas encore tout à fait ça pour lui, il a accepté d’avoir dû sacrifier son cercle amical important pour une meilleure qualité de vie. Il ne le regrette pas, mais il nous regrette.

Ce qui montre qu’on a autant besoin d’une amitié, que de l’amour, et que l’on peut se sentir seul, même comblé par l’un ou l’autre des deux.

Citation de Némésis Inu #466342

Oui, il y a des différentes façons de vivre et de s'habituer à la sollitude.

Et il y a aussi des différentes sollitudes : amicales, de couple, la sollitude de ne Pas avoir des enfants. On peut aussi sentir une sollitude pour ne Pas avoir eu une famille attentive ou présente.

Dime, je suis dans le même cas que vous !

Je pense qu'il faut faire le parallèle entre le manque d'énergie et la déprime voir la dépression pour mon cas en tout cas.

En vivant seul(e) le danger est de se désociabiliser. Et ensuite c'est la chute... car personne sous le même toit pour motiver, et relancer les sorties.

J'ai eu besoin suite à des soucis perso, de me reposer... j'ai donc abandonné des activités... pris de la distance avec le monde vivant. Il en résulte une solitude et probablement un manque d'envie dû à de la déprime: Et forcément, comment donner envie et faire une belle rencontre ?

Depuis peu une cure de vitamine me pousse à resortir et je revis.

N'hésitez pas à vous imposer des "engagements" envers des personne pour recommencer à bouger un peu... la machine se remettra en route !

J'ajoute qu'être polybertin ne m'aide pas et qu'il faut souvent fait un choix entre s'écouter ou vivre une histoire normée... L'âge n'aidant pas évidemment... Mais je me dis que je ne suis pas le seul dans ce cas, et qu'une femme ou plusieurs le sont surment pas loin de moi ! Courage !

🤗

Vivre seule ne me pose aucun problème. J'aurais même d'énormes difficultés à vivre avec quelqu'un : le partage des espaces, la négociation autour des choix de sorties de soirées de repas me serait totalement insupportable.

J'ai toujours vécu seule et n'envisage pas une seule seconde de vivre à deux.

Je n'ai jamais éprouvé le moindre besoin de me confier et je ne ressens jamais ce que les autres appellent la complicité.

Les seules situations insupportables à vivre en matière de solitude, ce sont les réunions festives de groupes. Je fuis autant que possible, les pots de fin d'année et autres amusements collectifs. Ca relève de la peur panique de me retrouver dans une foule où tout le monde se connait et papote pendant que je suis seule dans mon coin...

Léa Ferré disait : "Il faut se mettre à beaucoup pour réinventer la solitude."

Un hors sujet, juste pour info, car je me suis mise a chercher le mot polybertin. J'ai trouvé que cela:

"Le thème était « rencontre polybertine : à la croisée des mondes…polyamory et libertinage, ressemblances et différences"

Ce que je déduis c'est polyamoureux et libertin. Corrigez-moi si je me trompe.

Citation de Phèdre #466347

Du coup Pas de problèmes de solitude??

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Citation de Phèdre Vivre seule ne me pose aucun problème. J'aurais même d'énormes difficultés à vivre avec quelqu'un : le partage des espaces, la négociation autour des choix de sorties de soirées de repas me serait totalement insupportable. J'ai toujours vécu seule et n'envisage pas une seule seconde de vivre à deux.

Tout pareille... j'aime trop mon territoire 🤣 Si je dois fréquenter quelqu'un c'est chacune et chacun chez soi.

Après voir beaucoup de monde ne m'angoisse pas vraiment. Du moins ça ne me tape pas systématiquement sur les nerfs. J'aime prendre des bains de foule parfois. Et quand je ne suis pas d'humeur je me ressource avec la solitude dans laquelle je trouve du repos.

Je dirais 60 pour cent de solitude et 40 pour cent d'interactions sociales depuis quelques années 😅

J'ai longtemps été tiraillé entre ma nature solitaire et une forme de honte qui y était associée. Je devais faire beaucoup d'efforts pour trouver des personnes avec qui sortir et encore plus d'efforts pour garder le contact. Je n'appréciais pas vraiment ces moments en groupe, j'avais l'impression de me forcer, que tout était faux.

Quand ça devenait trop dur et que je n'y trouvais plus mon compte je m'isolais à nouveau, et la culpabilité, la honte et le sentiment d'être nul me poussait à retourner vers les autres et ainsi de suite.

Aujourd'hui j'apprécie d'être seul et j'aime voir des amis de temps en temps mais à deux ou trois pas plus et pas tout le temps.

Ma difficulté c'est de garder des liens avec des personnes qui voudraient qu'on se voit ou qu'on s'appelle assez souvent alors que moi je n'en ressens pas le besoin.

Citation de Sn@ilm00nJe pense qu'aucun d'entre nous ( ou peut être une minorité d'entre nous) ne peut comprendre ce que c'est la vraie solitude ...celle qui rend fou et qui peut tuer...

La solitude réside dans une recherche volontaire de réflexion. Prendre de la distance en somme. Elle est davantage périodique dans la vie de quelqu’un. Quand on se réfère à la réelle définition du mot celui-ci à un écho plutôt positif.

L’isolation en revanche... tout ce que tu as cité correspond tout à fait à ce fléau.

Pour moi, la solitude m'a beaucoup pesé depuis que je ne fréquente plus le milieu gay. Depuis environ 40 ans.

J'en ai pris mon parti. Telle une raison d'être. Et puis, au moins, je ne risque plus les déceptions sentimentales. J'en ai tant essuyé.

Je n'ai plus de collègues, depuis mon départ à la retraite, Ma famille se réduit à une soeur qui vient me voir quelquefois (Nous sommes presque voisins). Mes rapports avec mes voisins d'immeuble sont très sommaires. Pas de copains-copines. Pas d'ami sauf un, un homme que j'ai rencontré sur un site qui se nomme BeTolerant (je ne pense pas que vous connaissez).

Sinon, je me réfèrerai à la célèbre chanson de Georges Moustaki :

Pour avoir si souvent dormi avec ma solitude,

Je m'en suis fait presque une amie, une douce habitude.

Elle ne me quitte pas d'un pas, fidèle comme une ombre.

Elle m'a suivi ça et là, aux quatres coins du monde.

Non, je ne suis jamais seul avec ma solitude.

Quand elle est au creux de mon lit, elle prend toute la place,

Et nous passons de longues nuits, tous les deux face à face.

Je ne sais vraiment pas jusqu'où ira cette complice,

Faudra-t-il que j'y prenne goût ou que je réagisse?

Non, je ne suis jamais seul avec ma solitude.

Par elle, j'ai autant appris que j'ai versé de larmes.

Si parfois je la répudie, jamais elle ne désarme.

Et, si je préfère l'amour d'une autre courtisane,

Elle sera à mon dernier jour, ma dernière compagne.

Non, je ne suis jamais seul avec ma solitude.

Non, je ne suis jamais seul avec ma solitude.

Citation de Sn@ilm00n #466355

Je vois ce que tu veux dire. Mais je ne pense pas que l'on puisse rationaliser le sentiment de solitude si facilement. ça provient avant tout d'un ressenti qui est propre à chacun. Certains ont un tel vide interieur qu'ils vont etre en panique à l'idée de passer deux jours seuls. D'autres vivent dans une maison isolée avec un contact avec le genre humain une fois par semaine et ça leur va trés bien. D'autres encore vont etre en hp et trés entourés mais souffriront de solitude car incapables de communication.

Le sentiment de solitude provient quand il y a souffrance, quand cette souffrance devient envahissante, fausse certains circuits neurologiques, isole de ce fait encore plus, amenant déprime ou dépression. L'humain est un animal social et il a besoin de contact et d'échanges. On vit dans une société ou l'on échange de moins en moins IRL avec l'exterieur, avec des liens familiaux explosés et des rapports de couple de plus en plus instables. Quelq'un, quel que soit son age, qui est seul affectivement et sans travail peut vite dérailler psychiquement.

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Me concernant étant seul(e) je pense que la vie a fait que je me sens mieux avec moi meme mes deux cotés féminin et masculin m'apporte enormement meme si desfois sentir la présence ou discuter avec une personne me fait du bien .

Je pense avoir trouver un équilibre faire ses propre choix et avoir une vie sociale épanouie

Du coup, pour les personnes qui expriment se sentir mieux seules...ils vous reste une place pour l'amour de couple? Ou c'est compliqué du fait que vous préférez être seuls?

Citation de Sn@ilm00n

Tout à fait ! Trouver un équilibre personnel est bien suffisant. J'aime ma tranquillité comme j'aime me perdre dans la foule et ce même si les zhumains comme tu dis sont chiants. De toute façon moi aussi je suis chiante alors une de plus ou de moins dans monde... 😅

Citation de Alma08Du coup, pour les personnes qui expriment se sentir mieux seules...ils vous reste une place pour l'amour de couple? Ou c'est compliqué du fait que vous préférez être seuls?

J'aime ma solitude mais j'aime aussi beaucoup la compagnie. Famille ou amis-es, collègues... Une relation de couple serait comme le dit Némé une cerise supplémentaire sur le gâteau sur lequel il y a déjà beaucoup de cerises 😊 Il me faut juste des moments à moi pour pouvoir me consacrer pleinement à mon couple le reste du temps ^^ Question d'équilibre encore une fois.

Citation de Jstophe #466365

Merci pour la chanson, elle a de jolies paroles 😍

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Citation de Sn@ilm00n #466376

Ok, merci pour ta réponse🌸

Citation de Deelinph #466373

Merci pour ta réponse aussi! Je l'ai vu que plus tard. En fait, cela m'arrive souvent. Pour tout lire je dois remonter les conversations des temps en temps, cela vous arrive??

Je vous laisse une réflexion :

"L'amour la solitude

André Comte-Sponville

Albin Michel, 2009

L'amour et la solitude vont ensemble, toujours: ce ne sont pas deux contraires, mais comme deux reflets d'une même lumière, qui est vivre. La philosophie, sans cette lumière-là, ne vaudrait pas une heure de peine."

Citation de Alma08 #466371

Du coup, pour les personnes qui expriment se sentir mieux seules...ils vous reste une place pour l'amour de couple? Ou c'est compliqué du fait que vous préférez être seuls?

Personnellement oui, j'ai plein de place. J'ai dit ailleurs être solitaire. Mais j'ai énormément d'amour à donner. A mes enfants, mes amis etc, mais aussi à une amoureuse. La seule "difficulté", mais qui n'en est pas une à sens, est de rencontrer une personne qui soit sur la même longueur d'ondes en terme de besoin, et qui soit ok avec la façon dont j'appréhende le couple. En gros une personne qui ne va pas prendre personnellement le fait que je n'éprouve pas le besoin de la voir non stop, de l'avoir au téléphone quotidiennement, des trucs comme ça. Je crois que c'est une histoire de confiance en l'autre, mais aussi en soi, qui va permettre cet espace de liberté qui m'est vitale.

Mon ressenti, c'est que bon nombre de personnes voient en ce besoin d'espace un manque d'amour envers elles. Or il n'en est rien.

Comme si maintenir quotidiennement les contacts physiques ou autres, ou à un rythme qui est de toute évidence rarement le mien, était la seule preuve valable d'amour. Ça a tendance à me gonfler prodigieusement. Car mon besoin d'être seule n'a rien à voir avec l'amour que je peux ressentir et offrir, et n'a rien à voir non plus avec le fait d'être engagée dans une relation.

Souvent, sur le papier, ça roule, mais dans les faits, je ne sais pas pourquoi, ça devient tout de suite plus compliqué. C'est pénible.

Pour ma part être seule depuis petite, j'ai toujours était comme ça à aimé ma solitude, je suis sociable quand même, j'aime voyager et voir mes amis de temps en temps. Je le vis très bien même si oui j'aimerais les voir plus souvent et plus régulièrement. Surtout Jeannette avec qui j'ai des discussions fluide et ça j'apprécie.

Ce qui me manque c'est le boulot et avoir une chérie pour partager des moments avec elle. Il y a des jours ou même si j'arrive toujours à m'occuper ça va me peser et je vais m'ennuyer. Je vais me demander pourquoi les autres y arrivent et pas moi et je vais éprouvé un sentiment d'injustice. Tu as des jours où il faut faire avec et d'autres ou je vais déprimer enfin je déprime souvent quand il n'y a pas de soleil...

Quand il y a du soleil je me sens bien.

Ayant une grande famille on ce retrouve pour les anniversaires etc... Je sais que je peux voir mes parents quand je veux et de temps en temps ma sœur m'invite chez elle... Pas trop car mon beau-frère il a tendance à dire que l'on ce voit trop...

Ça dépend des mois mais en ce moment mes amis sont entrain de flirter... Donc j'attends des nouvelles pour descendre sur Paris...

J'ai vue ma pote Déborah mais elle est souvent en vadrouille, ça m'a fait du bien de boire un thé en terrasse avec elle et mes autres amis sont formateurs et informaticiens... Donc c'est difficile de leur demander leur disponibilités... Ils ne savent pas eux même. J'ai une connaissance qui est chanteuse mais qui est très chiante donc...

Pour répondre à Farf si j'ai une copine, je lui laisserai son espace, je trouve que c'est important et vue que j'aime me retrouver seule je veux appliquer le chacun chez soi. On ce voit quand on veut et voilà, ça n'empêche pas l'amour ni le respect de l'autre que de ne pas être sous le même toit.

Citation de Farf #466380

Je comprends, souvent c'est compliqué de trouver des personnes qui ne font Pas de sa vérité, une vérité généralisée et qui savent au même temps aimer et respecter l'espace de l'autre, sans plus d'attentes que profiter du temps que l'autre souhaite t'offrir, sans exigences ni trop d'incompréhensions.

Citation de Pasgamine #466381

Je trouve que faire partie d'un club ou d'une association aide énormement à avoir une vie sociale plus remplie. Je sais que tu envisage faire partie d'une association.

Je serai contente de savoir si cela t'ai aidé à améliorer ta vie.

Citation de Alma08 #466382

Ça dépend quel genre d'association... J'ai fait du théâtre, j'ai fait partie de l'association afrivision et oui à la rentrée je veux faire des percussions. Ah ba je dirais que oui c'est une activité, on fait des rencontres donc effectivement ça fait du bien... Après pour se faire amis,amis avec les gens c'est parfois compliqué... Même quand tu fais partie d'une association ou d'une formation...

Citation de Pasgamine #466385

Ok, Mon ressenti vient plutot des associations sportives où j'ai trouvé une très bonne ambience, assez prenant si on souhaite s'investir et qui permet de se rencontrer en dehors des championnats pour continuer de s'entrainer

Citation de Alma08 #466387

Oui c'est vrai quand j'ai fait du basket c'était le cas.