Un biais cognitif, c'est une réponse rapide et facile que fournit notre cerveau si on choisit de ne pas réfléchir face à une situation donnée. Presque à la façon subconscient. Ce mode de réponse est conservé et privilégié par Mère Nature car il peut être salvateur face à une situation critique. La liste s'etoffera.
0) c'est quoi ?
_ 0.1) interprétations
_ 0.2) même les I.A.? Oui... (cf. IA et biais )
7) Erreur fondamentale d'attribution
8) L'as des as
9) L'art d'avoir toujours raison
. .
J'en fais quoi ?
Benh... J'aurais tendence à en parler dans le topic sur les réflexes. 😂
Ça n'a surtout rien à voir avec le sujet. Les réflexes ne passent pas par le cerveau sauf erreur. C'est mecanico-bio-chimique.
Si la répartie rapide et transactionnelle, c’est-à-dire qui postule une réponse intimement conjointe à un état de conscience différée, est parfois faussement appelée « biais cognitifs », il ne faut la ramenée à une fuite ou à un replis sur un plan subjectif de défense comme le voudrait les tenants de l’existence de ces biais…
Donc pas non plus un réflexe « psycho-moteur » de l’intelligence qui ferait barrage à une situation, une parole intrusive ou dérangeante, pas plus qu’une émanation subconsciente (puisque le subconscient n’est qu’une mémoire transitoire) d’un trouble tel que l’esprit ne pouvant pas en donner raison, tente comme il le peut de le « cacher »sous une apparente diversion…
Les sciences cognitives ont des excès mais aussi les défauts de ces excès, entre autres de vouloir reprogrammer le cursus de l’intelligence naturelle par une succession d’emboîtements (style poupées russes), qui brise net la ligne naturelle de l’intelligibilité qui part de la perception objectivement sensible, se positionne dans la conscience subjective par le concept, se développe par la réflexion mnémo-évolutive de la représentation et parfois s’extériorise par le langage corporel ou verbal…
« Le biais cognitif » inventé par la psychologie semble en ce point tout à fait impropre à la consommation car il a pour lui le manque de goût qui déroge à l’appétit et en même temps l’amertume du regret de l’avoir inventé…
Citation de Zeugma #349213
Pas certaine de comprendre ta démarche. Pourquoi développer une polémique ici ?
Si je te parlais de ma spécialité en termes "crus" je perdrais 99pct de lecteurs. Le mieux aurait été de résumer en termes simples.
Donc, surtout dites moi si je me trompe s'il vous plaît... Des chercheurs font des recherches et pondent une thèse acceptable, acceptée, suivie d'applicatifs mais ce que vous nous dites, c'est que c'est faux...?
J'aime bien isoler les pôles opposés pour éviter les courts circuit 😉
Pourquoi ne pas créer un topic pour polémiquer sur le biais cognitif ?
...mon opinion est assez précise pour ne pas être ramenée à une polémique sauf de trouver tout avis différent du sien comme étant polémique, mais je suis sûr que ce n'est pas votre position Jessica69, tout comme votre métaphore électrique ne m'éclaire pas sur votre intention quand à soutenir que les biais cognitifs sont réellement des interjections et pas un des tours de passe-passe qui veut faire prendre une peluche pour un ours...réel...
P.S à votre question : " Donc, surtout dis moi si je me trompe s'il te plaît... Des chercheurs font des recherches et pondent une thèse acceptable, acceptée, suivie d'applicatifs mais ce que tu nous dis, c'est que c'est faux...?"
oui c'est faux et sans esprit polémique c'est même pire... c'est effarant d'égarement...
Citation de Zeugma #349217
Je n'ai pas d'avis sur la question. Il n'est pas question de faire passer des vessies pour des lanternes. Ce topic est une présentation du sujet. Le fait est que c'est un phénomène vérifiable et vérifié auquel on a donné le nom de biais cognitif.
La polémique existe par ailleurs. Mon intention n'est pas de la poursuivre ici.
Pareillement je ne recherche que le dialogue donc sans rapport avec la polémique que vous m'attribuez, mais présenter la prégnance des biais cognitifs comme une évidence sans contre mesure de recherche n’est pas suffisant pour moi…
Et faire de la « polémique » un autre biais cognitifs serait de la tautologie*…
Note d'humour appréciée à sa juste valeur, soyez en certain 😉
Très passive 😉
Étant donné que je ne m'intéresse à l'épistémologie et à la philosophie des sciences que depuis 2 ans par curiosité, j'ai un peu de mal à comprendre la "polémique" soulève par Zeugma. Il me semblait que l'existence des biais cognitifs étaient attestées par des expériences. Toute expérience est ouverte aux critiques afin de bien définir son contexte et ses limites.
Au regard de ce que j'ai compris (car tu utilises un verbiage et un vocabulaire que je ne métrise pas Zeugma), je suis en désaccord avec ton opinion. Les expériences mettent en parallèle les hypothèses de l'objectivité et de la subjectivité de l'intelligence humaine (on peut encore revenir sur cette notion) et jusqu'à présent elles ont montré que la seconde hypothèse était la meilleure en particulier lorsque l'émotion est en jeux. A ce jour, je n'ai vu nul part que la sociologie considérait l'humain comme subjectif par défaut. Au contraire c'est son objectivité qui est utilisé comme hypothèse de référence. Mais si tu as des exemples, Zeugma, je serais très heureux que tu me les présentes.
En tout cas, je suis agréablement surpris. Je ne m'attendais pas à trouver ce sujet de conversation ici.
vous répondre « brièvement » Ttom, serait une gageure car pour commencer mon intervention n’a rien de polémique, mais proposait justement de ne pas rester dans une appréciation « clé en mains » des biais cognitifs sous le seul aspect de leur pertinence objective mais de retrouver ce qui fait leur enracinement subjectif et donc pourquoi ils ont été « inventé »comme formes répétitives dans des contextes socio-culturels limités….(j’y reviendrais)
Mais déjà ce que vous dites là: « car tu utilises un verbiage et un vocabulaire que je ne métrise pas Zeugma »
Si il me semble que vous avez encore des lacunes pour objecter que ma participation n’est qu’une polémique, je comprend d’autant plus que « mon verbiage » vous incommode, ou plus justement que vous ne le maîtrisiez pas suffisamment pour engager un dialogue, c’est pourquoi j’exposerai juste deux points pour vous aider à comprendre ma position face aux biais cognitifs…
Premièrement si les biais cognitifs sont donnés par les psychologues comportementalistes dans une classification et une formulation « inventées », c’est qu’une partie de leur réflexion provient du travail des sciences cognitives qui essaient de théoriser les opérations de l’intelligence par l’interactivité des « zones prépondérantes », se faisant, ces sciences ont stéréotypées plusieurs modes réflexifs jusqu’à séparer certaines d’entres elles des autres, exemple le pragmatisme ou la pertinence qui sont les marqueurs d’une intelligence en contexte d’interactivité sociale ou professionnelle, sont « isolés » comme moments d’émergences significatives de l’efficience, alors que le déni et la sélectivité mémorielle en situation d’urgence sont cataloguées comme options d’auto-défense…
bref, bons nombres de biais cognitifs sont des points restrictifs et donc caricaturaux de l’exercice de l’intelligence et de la volonté dans des situations où justement le comportement individuel est ramené à une analyse collective, ce qui en retour produit «un savoir » stéréotypique, que nous retrouvons ici dans une discussion où ces biais sont acceptés comme allant de soit et tout à fait normatif dans des relations humaines…
Il faut savoir qu’une autre source de formulation et de classification de ces biais est le fait des comportementalistes d’entreprises qui cherchent continuellement de nouvelles « tactiques » de communications dominantes, dans cette perspective, ils proposent que la maîtrise du langage soit à la mesure de l’enjeu de la domination commerciale, c’est tout dire de certains biais cognitifs qui sont in extenso des copiés-collés de certaines stratégies marketing…
Mais tout cela est accepté par la société de consommation comme faisant partie du « décors ordinaire » et donc validé comme vrai…
Alors oui je n’accepte pas les biais cognitifs comme des évidences car ils ne sont que des marqueurs issus de l’interprétation de la psychologie sociale et des sciences cognitives et comportementales, et comme tels ils sont aussi dangereux que les produits chimiques de synthèses le sont pour l’organisme, ils conduisent à briser la continuité vitale de l’intelligence relationnelle au point que, pour certaines personnes, ils deviennent les rouages de leur «logique active et réactive » leur faisant adopter une programmation psycho-fonctionnelle préétablie…une sorte de robotisation psychique…
À suivre…
Bonjour à vous deux, Zeugma et TTom.
J'avoue n'être pas non plus de niveau pour saisir toutes les nuances de ton discours Zeugma.
Je gage que ce serait le cas de plus de 99 pct des Tolérants.
Je pars du principe qu'avant de descendre en flèche une construction positive, il faut proposer au moins une autre solution "clef en main". Critiquer est à la portée des 99 pct sus-nommés.
Par ailleurs selon le contexte, j'ai pour habitude de m'exprimer de façon à être comprise par la plus grande part de ces mêmes 99 pct. Nous sommes dans un tel contexte.
J'aime la simplicité et assez l'Homme pour lui montrer ce respect. (humour)
Jessica69, quand vous dites : "Je pars du principe qu'avant de descendre en flèche une construction positive, il faut proposer au moins une autre solution "clef en main". Critiquer est à la portée des 99 pct sus-nommés."
c'est justement ce que j'essai de vous expliquer c'est qu'il n'y a pas de "solution" clé en mains" pour comprendre les relations interpersonnelles, et surtout pas celle des biais cognitifs qui ramènent l'intellection à une normativité elliptique, et à terme font du langage une programmation socio-conditionnée…
Si mon explicitation ne vous convient pas, rien ne vous interdit d’en faire fi et de continuer l’énumération des 195 biais cognitifs (oui j’avais dis 180 plus haut mais la spéculation psychologique augmente comme le prix des truffes, à savoir selon la demande)…ce que je continuerais à faire de mon coté c’est à dénoncer par l’analyse (et pas à critiquer sans savoir de quoi je parle), car il est bien facile de reporter ce que d’autres ont « pondu » mais de faire soit même une recherche sur les tenants et aboutissants des biais cognitifs est une autre histoire…
De plus quand vous dites : « Par ailleurs selon le contexte, j'ai pour habitude de m'exprimer de façon à être comprise par la plus grande part de ces mêmes 99 pct. Nous sommes dans un tel contexte. »
Ha oui ? et ce contexte qui est une plateforme de débats est-il habituellement le lieu de parler des formes normatives de la psychologie sociale ? certes non...
Et bien pour ma part je ne recherche pas à être comprit par une grande quantité de personnes, car la qualité de certaines réflexions ne sont audibles intellectuellement que par peu de personnes, et ce que je dis là est bien raccord avec ses biais cognitifs qui prétendent donner une grille de lecture psycho–formatée des communications relationnelles et font oublier que naturellement c’est l’inverse, ce sont des relations qui « provoquent » la communication, encore un défaut majeure des sciences positivistes qui prennent le moyen pour la fin…mais cela est devenu tellement habituel qu’on ne le voit plus et l'on s’enfonce dans la consommation de produit prédigérés comme le sont les biais cognitifs…
...remonter aux sources de telle ou telle connaissance devrait être encourarger ici ou ailleurs...
Comme vous n'acceptez aucun point de vue sauf le vôtre, étant donné que vous aimez les mots, étant donné que l'orthographe est la science des ânes, faites au moins attention à l'orthographe 😉
"...devrait être encourarger ici..."
"qu'il n'y a pas de "solution" clé en mains..." : vrai jusqu'à ce qu'on la trouve. C'est ce que je vous suggère de faire.
"... rien ne vous interdit d’en faire fi... ": merci pour votre conseil mais c'est un peu ça qu'on vous dit depuis le début.
"... faire soit même une recherche sur les tenants et aboutissants des biais cognitifs est une autre histoire" : on est bien d'accord la dessus 😉👍
"... une plateforme de débats est-il habituellement le lieu de parler des formes normatives de la psychologie sociale ? certes non..." : oui mais pas en vos termes.
"... pour ma part je ne recherche pas à être comprit par une grande quantité de personnes, car la qualité de certaines réflexions ne sont audibles intellectuellement que par peu de personnes, " : la thèse est osée Monseigneur... Whaouu ?
ha je vois que vous, vous aimez polémiquer, cela ne m'étonne pas...de plus si vous en êtes à ne lire mes participations uniquement sous l'aspect des fautes d'orthographes je vais continuer encore plus solitairement..pas grave...le sens du débat y perdra ce que le manque de cohésion y gagnera, c'est à dire l'oubli d'un bien commun...mais là aussi c'est dans l'air du temps...
Bonjour !
Juste pour dire que je ne comprends pas tout mais c'est intéressant aussi, de savoir que c'est une théorie critiquable, je ne pense pas que ce soit polémique ou dommageable d'en parler ! D'ailleurs accepter qu'il y a des limites à une grille de lecture ça n'est pas nécessairement la jeter, ça peut aussi dériver vers apprendre à l'utiliser en connaissance de cause, non ? Tout dépend des limites qu'on y découvre.
La poutre et la brindille, paraît que c'est une expression qui plaît que celle-ci. C'est le lot de chacun de vouloir défendre son point de vue, après tout. Il n'est pas faire preuve de fermeture d'esprit et de fermeture au dialogue que d'affirmer son point de vue tant qu'on s'écoute mutuellement 🤷🏼♀️
Après essayer de se faire comprendre c'est toujours intéressant aussi, c'est preuve d'intelligence également que de rendre l'inintelligible pour certains intelligible. Du moins il me semble ?
Pourrais-je demander Zeugma si vous avez des ressources bibliographiques à proposer ?
Citation de Noelia #349303
Bonjour Noelia
Les seuls points de vue que je défende c'est que ce n'est pas le sujet qui n'est qu'une présentation des biais, et qu'effectivement c'est un signe d'intelligence que de se rendre compréhensible par beaucoup.
Le fait que ces biais soient criticables est lisible dans les premières lignes du site accessible par le lien "Liste" dans l'entête de ce topic:
"... , je ne juge pas leur validité – ils sont tous critiquables – mais leur utilité."
Cela a donc été dit des le départ.
Par contre, si les structures fonctionnelles sont criticables, les faits sont là.
Dans le domaine de l'IA, ont constate après analyse, que certaines IA créent d'elle mêmes une sur couche assimilable à ce que nous nommons les biais (en plus fiable pensons nous).
(cf. IA et biais)
merci Jessica69 car en ayant indirectement et peut être aussi involontairement relié les biais cognitifs à la recherche d’une IA comme recherche d’une structure isomorphe à l’intelligence humaine, vous avez validé ce que je disais plus haut, à savoir que réduite à une connectivité de circonstances induites, l’intelligence humaine prend les mêmes biais que la machine programmée pour une adaptabilité maximale aux intrants…
Bref passons, ce qui est incontournable dans la compréhension des biais cognitifs se trouve aussi être une impossibilité de faire un retour objectif sur leur correspondance dans des milieux relationnels où justement ils ne sont pas nés, exemple, si vous présentez des signes de biais cognitifs comme ceux-ci :
Biais rétrospectif
Biais de résultat consensuel
Chance morale
Déclinisme
Effet de télescopage
Biais de rétrospective heureuse
Biais d’impact
Biais de pessimisme
Planification fallacieuse
Biais du temps gagné
Biais pro-innovation
Biais de prolongement
Biais de contrôle des émotions
Biais d’auto-cohérence
(voyez Jessica69 je coopère à votre sujet en fin de compte)
qui sont plutôt décelés dans des relations conjugales et que vous les transposés dans le milieu professionnel, houllalla gare à la casse…
Que l’intelligence humaine ai des raccourcis conceptuels pour correspondre avec efficacité à l’amplitude du réel, est une chose envisageable, mais qu’elle se conditionne normativement pour coller au réel en faisant fi de son individuation, non ce serait contre nature, ou juste antinomique avec sa finalité…
P.S salutation spéciale à Noelia pour son bon sens et sa maîtrise de l’orthographe (elle) ...
pour les ressources bibliographiques, vous en trouverez largement dans les articles qui prennent les biais cognitifs avec le recul nécessaire à la prudence...
Une IA n'est pas programmée. Le système neuronal est simulé et quelques fonctions de gestion. L'IA résonne seule.
Elle s'auto "programme". Les surcouches découvertes n'étaient pas prévue. La machine, en s'optimisant, à confirmé ce que vous niez et que je ne nie ni ne soutiens.
Ce que je nie c’est la pertinence de ces biais cognitifs dans la recherche de la finalité de l’intelligence naturelle…
et C’est bien ce que je soupçonnais, votre vision des biais cognitifs est « biaisée » par une déformation professionnelle de base, celle qui prétend impliquer les théorisations du machine learning à partir du deep learning, ainsi faisant de l'IA validée, un sommet de l’intégration de l’NIBC*…
Ainsi vous me permettez d’entrer plus avant dans l’analyse des biais par une voie peu commune, celle des inter-programmations dirigés, en gros cela recoupe toutes les possibilités d’adaptation de l’intelligence humaine à la machine, en prenant comme point de départ une interface notionnelle (ou apprentissage des encodages)…
or, il se trouve que la plus grande partie de ces encodages passe par les intersections reconnues comme simulés par un conditionnement contrôlé, comme pour les biais cognitifs, cela augure des machines assistées par l’humanité et plus du tout une humanité qui s’aide de machines, (Neo es-tu là) …
*NIBC :
N _ nanotechnologie appliquée
I _ informatique, sciences et technique de l’information et de la communication
B _ biotechnologie et biologie théorique
C _ science cognitive
Citation de Jessica69 #349197
tu à dis ”est privilégié par mère nature” donc mon post est bon. non ?
Oui
Tout celà 🤔 : me masturbe l'esprit ^^
je ne sais pas dans quel monde vous vivez, mais dans le mien quand on ne comprend pas quelque chose, cela n'oblige pas à la vulgarité ou à l'irrespect...
c'est dire que vous utilisez allégrement le biais dit de" l' Erreur de la main chaude"...
Apofftx si vous dites :"La masturbation n'est pas vulgaire, elle est bonne !"
cela ne rend pas compte qu'elle soit intégrée ici comme biais cognitif sauf de la prendre allégoriquement comme le fait BoumVoyageur, dans ce cas ma remarque tient pour vous deux...
quand à ce que vous dites ensuite : "Quant aux biais cognitifs, je n'ai vraiment pas eu besoin de les voir nommés et listés pour les identifier... et depuis bien longtemps ! ;)"
il y a un qui en effet doit vous identifier c'est celui de "Biais d’information"...
il se peut que de vouloir savoir soit un pouvoir de sursoir ou un avoir illusoir, reste que pour participer à un débat il ne suffit pas de lancer des "olés", du haut des gradins mais de descendre dans l'arène pour tester son courage, et in fine renoncer à participer aux corridas tout simplement...
là c'est le biais de " l'Effet Dunning-Kruger" et hop encore un dans la boite...
je suis contre les corridas mais j adore les tapas ^^
pareil Doublmalefik...
mais si les humains qui assistent à ces horreurs affrontaient directement le taureau, sans doute la corrida n'existerait plus depuis longtemps, pareillement pour les débats (c'est là que l'analogie figurative portait) si celles et ceux qui lancent des piques hors sujet essayaient de débattre, alors la question de la pertinence des biais cognitifs face à l’intelligence naturelle serait résolue depuis longtemps…