Qu'est ce que l'amour pour vous?
Pour moi l'amour est synonime d'insouciance, d'émotion et de bonheure.
Je dirai aussi que le vrai amour demande la réciprocité pour que cela soit réel.
Le véritable amour est pour moi est une égalité entre les deux parties. Accepter les vertus et défauts de chacuns pour ne pas tomber esclave de l'autre.
Aucun secret entre nous, car cela pourait mettre une frontière entre nous.
Et pour finir, je pense que l'amour n'est pas centré sur le sexe et l'attirance physique mais plus profond que ça.
C'est mon jardin secret^^
Par contre non non non , "vivre à travers l'autre" quoi de plus handicapant/aliénant ?!
L'effet miroir , c'est pas glam^^
Aimer ?! - c'est peut être quand les défauts deviennent des atouts :)
Bonsoir Melanie,
Tu sais, je crois que chacun possède sa propre définition de « l’Amour »…
Et il doit y avoir autant de réponse que d’être vivants (et ayant vécu).
De même qu’il n’y a jamais de vérité absolue, mais que des vérités relatives.
Ce que je recherche, par-dessus tout, dans l’être aimé, c’est l’acceptation des différences, comme une complémentarité.
Accepter les différences ne veut pas dire qu’elles n’existent pas, au contraire. Mais c’est les reconnaitre en tant que telles et faire au mieux pour qu’elles puissent enrichir l’autre. Pour moi, c’est ça la complémentarité. Pour moi, c’est ça l’Amour.
Bonne soirée, Frango.
merci pour votre vision sur l'amour,merci pour votre vision sur l'amour, > Citation de Jstophe #330193
oui, en effet Jstophe, c'est une question aussi vaste qu'un océan. je ne dirai pas que c'est un malheur d'être trop sentimental mais une qualité, même si des fois cette qualité peut nous enduir en erreur;
merci pour votre vision sur l'amour,merci pour votre vision sur l'amour, > Citation de Jstophe merci pour votre vision sur l'amour,merci pour votre vision sur l'amour, > Citation de Jstophe #330193
oui, en effet Jstophe, c'est une question aussi vaste qu'un océan. je ne dirai pas que c'est un malheur d'être trop sentimental mais une qualité, même si des fois cette qualité peut nous enduir en erreur;
merci pour votre vision sur l'amour,merci pour votre vision sur l'amour, > Citation de Jstophe
Citation de SuzanneTD #330231
je partage ton point de vue, car l'effet miroir est dévastateur dans toute ses circonstance;merci pour votre vision sur l'amour,merci pour votre vision sur l'amour, > Citation de Jstophe #330193
oui, en effet Jstophe, c'est une question aussi vaste qu'un océan. je ne dirai pas que c'est un malheur d'être trop sentimental mais une qualité, même si des fois cette qualité peut nous enduir en erreur;
merci pour votre vision sur l'amour,merci pour votre vision sur l'amour, > Citation de Jstophe merci pour votre vision sur l'amour,merci pour votre vision sur l'amour, > Citation de Jstophe #330193
oui, en effet Jstophe, c'est une question aussi vaste qu'un océan. je ne dirai pas que c'est un malheur d'être trop sentimental mais une qualité, même si des fois cette qualité peut nous enduir en erreur;
merci pour votre vision sur l'amour,merci pour votre vision sur l'amour, > Citation de Jstophe
Citation de SuzanneTD #330231
je partage ton point de vue, car l'effet miroir est dévastateur dans toute ses circonstance;
Citation de Frango #330236
il est vrai que la difference de chaque personne nous permet de vivre une vie autre que monotone, comme chaque personne a sa propre diffinition
Tout garder pour soi, le bien, le mal, le bon, le mauvais. L'amour c'est aussi bien entendu la confiance, se confier, comme on parlerait à un ami intime, un confident.
La première fois que je suis tombé amoureux (d'un garçon bien sûr), je me suis demandé si c'était une maladie. Après coup, je me suis rendu compte que cette question était débile. Au contraire, c'est une étoile dans l'esprit, c'est le soleil dans le coeur. (ou inversement comme on voudra).
Désolée pour mon message du dessus mais j'ai du faire n'importe quoi, je connais un modérateur qui va bien se moquer de moi 😁 😅
Tu sais Jstophe, un film que tu as du voir c'est Bobby, seul contre tous , c'est un film que j'ai adoré et qui pour moi résume beaucoup de chose
Effectivement, ton avant-dernier message résonnait tel un disque rayé. Pas grave. On est entre nous.
Bobby seul contre tous, je ne connais pas.
@Jstophe
C'est l'histoire d'un jeune gay qui se suicide , dont la maman n'aura de cesse de comprendre pourquoi .
Elle deviendra une fervente défenseuse des droits des gays.
(alors qu'elle avait tout d'une boutin)
Il y a bien belle lurette que je ne pleure plus sur ce sujet .
🤗
Aimer, c'est ouvrir la porte de son cœur, pour y recevoir un·e invité·e privilégié·e avec une joie parfaite, qui ne s'explique pas. Par joie parfaite, j'entends une joie très différente de celle apportée par la famille ou les ami·e·s qui ont leurs places attitrées depuis... on ne sait plus trop quand, puisqu'il·elle·s font partie du décor et qu'on s'est habitué·e.
Et s'il arrive qu'on ne reçoive jamais la fameuse invitation rêvée par cette personne de choix, ça reste quand même de l'amour. Car accepter de ne pas être aimé·e en retour, à cause d'un alignement des planètes (de merde, j'en conviens - sa mère la p#t# à Cupidon!), c'est d'une beauté incompréhensible. Sans chercher à négocier ni contester et sans vouloir se complaire. Juste accepter et laisser l'autre libre d'aimer qui il·elle veut, en se réjouissant malgré tout de l'avoir aimé·e, car on a senti battre son cœur plus fort que d'habitude. Et puis il reste les ami·e·s pour nous consoler et nous dire « t'es quelqu'un·e de bien... alleeez, je t'offre un verre ! »
Ayant un esprit qui aime trouver une explication rationnelle à tout phénomène, je définirais l'amour comme étant la rencontre de deux personnes qui parviennent ensemble à satisfaire leur besoins diverses (sexualité, sécurité, besoins affectifs, projection dans l'avenir, etc, etc..). Cela rend l'autre cher et précieux et crée le sentiment d'attachement. On investit alors ses affects entièrement sur cette personne, quite à ce que ce soit disproportionné (idéalisation de la personne durant la première phase), misant ainsi de façon inconsciente sur la consolidation de cet avoir si précieux. C'est ce phénomène précis que j'appèlerais le sentiment amoureux.
Ensuite se met trés vite en place ce que l'on appelle le" sophisme de la dépense gachée". C'est à dire que tout le chemin que l'on a fait pour s'apprivoiser l'un l'autre et en retirer tout le bénéfice de vivre à deux serait perdu si l'on se séparait ! Et plus l'on avance dans le temps, plus la perte en sera grande et douloureuse.
Un peu comme un pianiste qui a acquis un niveau à force de travail ; ce serait dommage de vouloir faire un autre metier et de perdre ainsi le bénéfice acquis grace à tout le temps passé à apprendre le piano.
la vision psychologique que vous présentez Mimoza est plus une caricature de l’amour qu’une connaissance rationnelle de ce qu’il est réellement, et cela en fort simple à démonter car lorsque vous dites :
1/ « Ayant un esprit qui aime trouver une explication rationnelle à tout phénomène, je définirais l'amour comme étant la rencontre de deux personnes qui parviennent ensemble à satisfaire leur besoins diverses (sexualité, sécurité, besoins affectifs, projection dans l'avenir, etc, »
Vous confondez ce qui est l’objet de la connaissance et l’objet de la volonté, en faisant de l’amour une réalité susceptible d’être enclos dans une logique de l’habitude ou de la sécurisation de sa vie relationnelle, alors que justement l’amour est un lâché prise de toutes nos certitudes intellectuelles…
Ensuite vous dites : 2/ « Cela rend l'autre cher et précieux et crée le sentiment d'attachement. On investit alors ses affects entièrement sur cette personne, quitte à ce que ce soit disproportionné (idéalisation de la personne durant la première phase) »
Là encore quel contre-sens, vous ramenez l’amour à de la possession et donc vous faites l’impasse sur la gratuité totale de l’engagement qui préside à cette relation, ce dont vous parlez c’est l’amour captatif qui provient d’un ego déformé par le vécu arriviste de notre monde, mais absolument pas de ce qu’est la relation aimante de deux personnes qui recherchent toujours à sacrifier et offrir réciproquement ses propres limites pour que vive cet amour…
Vient ensuite la plus grâce confusion à mon avis vous écrivez :
3/ « misant ainsi de façon inconsciente sur la consolidation de cet avoir si précieux. C'est ce phénomène précis que j'appellerais le sentiment amoureux. »
Quelle horreur que cette vision de l’amour ! et surtout quelle caricature psychologique de cette relation qui justement est fondé sur la CONSCIENCE d’être à l’autre ce qu’il est pour soi-même, cette réciprocité de l’amour qui fonde la qualité même de l’acte volontaire et libre d’aimer, car non seulement l’inconscient est une invention qui ne voit pas que la raison mnésique est une phase ininterrompue de la conscience faisant du présent en même temps ce qui est passé et ce qui peut se passer…
Mais surtout dire que l’amour est un avoir ! C’est la totale méconnaissance et compréhension de ce qu’il est justement car comme relation il n’existe que dans l’existence de la présence de deux personnes, et ne peut donc en aucun cas être un avoir séparé comme vous le suggérez ensuite en disant :
3/ Ensuite se met très vite en place ce que l'on appelle le" sophisme de la dépense gâchée". C'est à dire que tout le chemin que l'on a fait pour s'apprivoiser l'un l'autre et en retirer tout le bénéfice de vivre à deux serait perdu si l'on se séparait ! Et plus l'on avance dans le temps, plus la perte en sera grande et douloureuse. »
Là encore il est pénible de lire de telles lignes, car elles déforment complètement la relation amoureuse en faisant de la liberté de choix réitéré chaque jour, une nécessité de conserver son petit coin de paradis !
Amphibologie que tout cela qui se retrouve confirmé dans votre dernière phrase, qui dépasse pour le coup tous les niveau de contre sens au sujet de l’amour je vous cites :
4/ « Un peu comme un pianiste qui a acquis un niveau à force de travail ; ce serait dommage de vouloir faire un autre métier et de perdre ainsi le bénéfice acquis grâce à tout le temps passé à apprendre le piano. »
Mais est-il possible de faire l’amour une telle fonction de maîtrise pour qu’en aillant acquis « une forme de technique » les personnes qui s’aiment ne voient plus l’autre que comme une partition à jouer !
Mais cela n’est pas du tout de l’amour, tout juste une appropriation du quotidien que les personnes partage, mais nullement ce qu’elles échanges au jour le jour, d’heure en heure et minute après minute…
Bref si quelqu’un veut aimer surtout qu’il envisage cette relation à l’opposé totale de votre post, car là où vous ne voyez qu’une mise en commun de temps, de corps et de moyens, l’amour lui apporte l’éternité, la découvert d’un sentiment spirituel et la finalité ultime de notre vie…
Citation de Zeugma #330317
Zeugma,
le but de ce topic est justement de confronter nos differentes façon d´aprehender le sentiment amoureux, qui est une notion assez subjective. Puissions-nous accepter des façons differentes de le concevoir et de le comprendre et non pas vouloir assener des verités qui ne sont en fait que le resultat des diverses sensibiltés de chacun.
Certains esprits sont tres poetiques ou oniriques, d´autres spirituels, d´autres tres pragmatiques ou encore terre à terre. C´est qui fait la richesse de la confrontations des esprits.
Ce respect de la subjectivité de chacun ne va pas jusqu’à laisser passer des erreurs telles que nous pouvons en lire ici et là, l’intelligibilité de l’amour est universelle mais peut être sous-tendue par une connaissance faussée de la réalité humaine jusqu’à vouloir laisser se répandre des conceptions allant à l’inverse du réel…
C’est pourquoi il est parfois plus qu’utile, mais très salutaire de remettre certaines erreurs dans le contexte défectueux qui les a vu naître, dans le cas qui nous occupe ici, il n’est pas question de relativiser la nature de l’amour au grés d’une visualisation personnelle poétique ou autres, mais de restituer à cette dimension naturelle de notre conscience toute sa place sans la réduire à une caricature psychologique d'un vécu traumatique…
C’est dans une certaine mesure un service que je vous rend en désignant la limite factieuse de votre « rationalité » et comme il n’est de plus grand service que de compatir, j’avoue que je fais un effort pour garder une attention au sens que vous voulez donner à l’amour, pourtant je m’engage à toujours vous présenter mes arguments en toute loyauté et recherche de vérité, ce qui ne se confirme pas de votre part dans votre dernière phrase : « C’est (cela) qui fait la richesse de la confrontations des esprits. »
Car confronter deux positions ne revient pas à dire qu’elles sont toutes d’eux justes en partie, mais uniquement de faire entrer de la fausseté dans celle qui est juste, et je maintient que votre vision psychologique n’est ni poétique/onirique, ni spirituelle, ni pragmatique, mais uniquement la déformation provenant d’une méconnaissance de la nature humaine, dit autrement de la suggestion erronée que procure la lecture réductrice et déformante de la pire des psychologies…
L'amour est le résultat, biologique et comportemental acquis, de nombreuses fonctions nécessaires à notre (sur)vie humaine.
Comme les fraises gariguettes ce n'est pas sans inconvénient, mais c'est tellement bon ^^ (surtout avec de la chantilly)
Citation de Zeugma #330321
Bon Zeugma.
Tu dois souffrir d´un sentiment d´inferiorité ou de frustration pour vouloir à ce point imposer ton point de vue tout en prenant grand soin de faire mine, avec force rhétorique plutot confuse, de démonter celui de ton interlocuteur. Je l'avais déjà noté avec d'autres interlocuteurs, mais comme il s'agit de moi, tu me donnes l'occasion de te le dire.
Bien à toi et sans rancune.
Petite (modeste) contribution : Il ne s'agit pas de savoir qui a tort ou qui a raison, car alors nous avons tous tort ou nous avons tous raison. J'opterai pour cette seconde hypothèse. Nous n'avons pas tous le même coeur, nous avons chacun un cerveau différent. Si l'on est pas d'accord avec tel ou telle personne, cela ne veut pas dire qu'elle a tort.
et bien non Mimoza, la rechercher de vérité donne au contraire une occasion de mettre la supériorité et la domination hors de propos, ce qui vous est évidement impossible puisque vous louvoyez de fausses affirmations en données contradictoires…
Et ce que vous aviez sans doute noté dans d'autres post c'est que je ne lâche pas une discussion aussi facilement et que ma "rhétorique" est une mise en perspective des failles de mes interlocuteurs, comme ici d'ailleurs, votre sournoise politesse révèle la limite de votre propre recherche de vérité qui pour le coup est beaucoup plus qu'un sentiment d'infériorité mais bel et bien la révélation de l’infériorité de votre raisonnement au sujet de l’amour...
bien à vous quand même et bonne chance pour sortir de votre labyrinthe…
Quand à vous Lindos vous nous dites : "amour est le résultat, biologique et comportemental acquis, de nombreuses fonctions nécessaires à notre (sur)vie humaine."
Cela serait vrai si l'amour arrivait à coup sûr à ce résultat, mais nous savons qu'il en va autrement puisque la gratuité de ce sentiment est justement un dépassement du "nécessaire" pour remettre toutes nos activités sous la lumière de l'ordre naturel qui fait de l'échange vital, le dépassement du simple partage matériel…
L'amour n'est donc pas un résultat mais une finalité, c'est à dire une réalité sans cesse recherchée pour elle-même et non pas une acquisition, là encore une erreur basique vient faire confondre la causalité formelle et efficiente avec la causalité exemplaire et finale, car aimer est et reste toujours la plus parfaite singularisation de notre raison d'être...
P.S pour les fraises, l'exemple bien qu'appétissant ne donne pas raison au principe qui voudrait faire de l'amour "la bonne chose au bon moment" puisqu'il est pour celles et ceux qui l'expérimente "ce qui rend bonne et bon à chaque instant"...
P.S 2 / Jstophe, il ne s’agit pas de faire un remake de l'école des fans, il y a des positions qui ne peuvent cohabiter dans une même cohérence et une même affirmation de ce qu'est telle réalité...
Zeugma : " P.S 2 / Jstophe, il ne s’agit pas de faire un remake de l'école des fans, il y a des positions qui ne peuvent cohabiter dans une même cohérence et une même affirmation de ce qu'est telle réalité..."
Trop c'est trop, je capitule, les bras m'en tombent, et je n'ai plus d'aspirine. C'est dommage, le sujet pouvait prétendre à un débat très fructueux et amical. Comment se complaire dans un tel gâchis quand au départ, il est évident que la personne qui a lancé le sujet était sérieuse et sincère. Dommage. Le manque de masques et le confinement aurait-ils des retombées en guimauve dans la tête. Sur ce, j'ai bien l'honneur. 😠
Misère même pas un bon sens de l'humour pour rattraper votre manque de répartie !
vous savez Jstophe, la recherche de vérité n'est pas un long fleuve tranquille, et perso je ne trouve pas très honorable de vous répondre ainsi, mais il le faut car il n’est pas question que vous fassiez d’aussi tristes post sans en mesurer la portée…
P.S reste que je suis toujours très sérieux, et à la sincérité je préfère la vérité !
Zeugma, Vraiment vous vous pourfendez dans les abysses. Sans renier votre science ni votre intelligence - oui oui quand même - , vous n'êtes pas pour autant un être supérieur.
Critiquer à tout-va est toujours négatif et anticonstructif.
Vous vous considérez à tort comme un mentor, un maître à penser, un directeur de conscience.
Vous n'avez pas le monopole de la vérité universelle.
Moi non plus, mais moi, je le sais.
Exactement Jstophe vous avez parfaitement raison de dire : «Vraiment vous vous pourfendez dans les abysses. Sans renier votre science ni votre intelligence - oui oui quand même - , vous n'êtes pas pour autant un être supérieur. »
Car en effet ce n’est pas ma personne qui est en question ici, mais la supériorité de l’amour sur les conceptions dégradées que la psychologie prône et qui sont relayées par certaines personnes…
Et en disant aussi : « Critiquer à tout-va est toujours négatif et anticonstructif. » Vous êtes loin du compte car ce n’est pas uniquement une critique de ces théorisations caricaturales sur l’amour qui me permet de répondre avec véhémence, mais c’est surtout d’essayer d’exposer ce qu’est l’amour comme cause et fin de la vie…
Puis vous dites : « Vous vous considérez à tort comme un mentor, un maître à penser, un directeur de conscience. » À tort ou à raison c’est un fait que je ne suis pas sur ce site pour m’amuser ou amuser les autres, mais pour échanger une qualité de présence avec les personnes qui lisent, écrivent et participent aussi de leur présence respective, l’amour nous dépasse tous mais il réclame aussi de le prendre « au sérieux », c’est-à-dire de le percevoir tel qu’il est réellement…
vous écrivez aussi : « Vous n'avez pas le monopole de la vérité universelle. » en effet, mais l’amour si, car ce n’est pas dans une relativisation de notre propre jugement que nous pouvons concevoir ce qu’il y a de plus respectable en ce monde, et si chaque être vivant est respectable, c’est avant tout parce qu’il peut être aimé pour ce qu’il est…
Et vous terminez : « Moi non plus, mais moi, je le sais. » Mais ce n’est pas là exactement que se situait le P.S que je vous écrivis, dire que l’on participe tous à une recherche de vérité ne laisse pas entendre que tous les avis peuvent se juxtaposer ou se fondre, car c’est dans le syncrétisme que l’on perd le sens de la vérité et à terme aussi le respect des autres…
Ne nous y trompons pas, si vous ne pouvez ou ne voulez pas réagir quand vous lisez une erreur, c’est que la réalité questionnée (ici l’amour comme relation spirituelle) ne vous semble pas malmenée, mais cela c’est d'abord en conscience qu’il faut en débattre…
Bref, je maintient que certains sujets sont à défendre absolument et mérites de s’engager, l’amour en est un et sans doute des plus imminents, alors que vous soyez choqué ou contristé de mes posts, ce n’est pas cela que je cherchais, mais lorsque l’on connaît une réalité telle que l’amour, il n’est plus possible de laisser dire sans s’opposer aux caricatures…
bien à vous Jstophe...
l'amour , selon moi, c'est le respect, la complicite , la comprehension
bobby seul contre tous est je crois tiré d'une histoire, vraie, un tv passé assez souvent sur m6: un gay , que l'on a tente de guerir par la priere et des therapie, et c'est apres son suicide que sa mere va s'interroger , sur l'amour qu'elle portait a son fils, ses valeurs ses convictions ...issue d'un milieu tres croyant, cette dame va tenter de comprendre et voir que derriere un gay, et l'homosexualite, il n'y a pas la perversion, la mauvaiseté, mais un homme, l'amour , ce n'est pas le monstre qu'elle imaginait, la honte qu'elle a pensé subir , car bobby , de part son look, etait derangeant, sa gestuelle ...ELLE decouvrira aussi que Dieu n'a pas de jugement hetero /homo, que les gays comme tout homme et femme , sont aimés de dieu ...Elle defendra par la suite la cause homosexuelle, en memoire de son fils ...
un tres bon film sur les prejugés, et le coming out ...
" bobby seul contre tous ", c'est le titre du film ?
super sujet. je ne sais pas mais quand on ressent de l'amour partagé on est si heureux.
Bien sûr que l'amour est source de joie, de bonheur. C'est très connu et à chaque fois vérifié. L'amour, c'est un peu comme une pub pour une boisson ... ça donne des ailes !
Citation de Jstophe #332168
oui, "bobby seul contre tous" :est le titre du film, on doit le trouver encore sur you tube, je me demande s'il n'est pas tiré d'un roman ...
Si les téléfilms diffusés en journée sur TF1 et M6 sont habituellement des fictions avec des acteurs sur le retour ou des talents encore peu identifiés du grand public, Bobby : seul contre tous fait figure d’exception. Ce vendredi 11 septembre, la Six rediffuse, dès 13h35, cette fiction réalisée par Russell Mulcahy avec Sigourney Weaver.
Juste avant d’être à nouveau médiatisée pour son rôle dans Avatar, celle-ci interprétait une conservatrice de l’Église presbytérienne. Pour sa performance, l’actrice a été nommée aux Golden Globes et aux Emmy Awards. Prayers for Bobby, titre de la version originale, a même obtenu le Glaad Awards du « Meilleur téléfilm ou mini-série » en 2010.
Cette histoire vraie, celle de Mary Griffith, revient sur le suicide du jeune Bobby, peu soutenu par sa famille après la révélation de son homosexualité. Un drame qui remet en cause la foi de sa mère. Au contact d’un révérend tolérant, elle décide de défendre les droits des homosexuels. Son combat a également été racontée dans le livre de Leroy Aarons, Prayers for Bobby : a mother’s coming to terms with the suicide of her gay son.
Apparement, encore visible en streaming et sur youtube.