Comment avez vous vécu les débuts de votre vie sexuelle?

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Ancien membre
22/10/2019 à 02:08

Bonjour comment avez vous vécu vos début d'homosexuels?

Moi je crois que je l'est toujours su, ça me fessait peur et j'avais l'espoir que ce ne soit qu'un passage et qu'en grandissant l'attirance pour les femmes allait arriver car il m'était impossible de m'imaginer gay.

A 16ans je me branlait souvent avec mon meilleur pote, son père avait une collection énorme de DVD porno, lui était excité par les films hétéros et moi c'était d etre près de lui sexe a la main qui me plaisait et me fessait honte à la fois, je me disait à force de voir du porno hétéro que j'allais aimé les femmes c'était stupide, un jour il ma dit en rentrant du lycée ont fait une course et le dernier arrivée sucé l'autre, je lui est dit qu'il avait des idées bizarre il ma repondqu'il en pouvais plus d'être puceau et qu'une bouche c etait une bouche, ont a fait la course j'ai fait exprès de perdre, une fous chez lui, on amisun film, et il ma rappeler que j'avais perdu, je mourais d'envie d honoré le paris, mais j'ai fait style que non il insisté et au bout d'un moment j'ai fait ce qu'il attendait, c'était vraiment pour ne pas faire voir que j'en avait envie, j'etait heureux je me sentait bien et moi-même durant l'action je dirais que je me sentait à ma place et moi-même pour la première fois, une fois fini j'avait honte de moi, une sorte de désespoir de me rendre compte que j'avais adoré ça et que j'etait vraiment gay, je me suis senti extrêmement mal à cette constatation, ensuite à chaque visite chez lui je le soulageait je me sentait bien et en partant j'etait toujours aussi mal je voulais pas être gay.

un jour au bout de plusieurs mois il ma dit tu ke fait bien on dirait vraiment que tu aime ça, et comme je me sentait en confiance je lui est dit que je pensais être gay, la il c'est énervé en me dissant qu'il était pas pd que j'avais habusde lui il ma mis a la porte et notre amitié c'est arrêté net.

le lendemain au lycée le plongeait les mur j'avais peur qu'il le dise au autre mes et que je risquais d'avoir des ennuies mais il a jamais rien dit.

Ensuite j'ai eu une longue période où je mes envie me fessait honte j'etait de plus en plus déprimé j'avais des idées noir.

A mes 18ans j'ai commencé à sortir et j'ai commencé à fréquenter des bar gay, je me sentait bien la bas mais les premières fois ou je me fessait dragué je refusait les avances car même dans un bar gay j'avais honte de moi et mes attirances, mais un soir j'ai rencontré un mec de montage ont a simplement discuté ont c est revu plusieurs fois, et un jour ont a été chez lui et j'ai eu mon véritable rapport complet avec lui, même une fous fini j'etait bien avec lui et j'ai commencé a comprendre qu'après tout être homosexuel n'était peut-être pas la pire des choce au monde, on c est vu on devenait de plus en plus proche et ma honte d etre gay diminuait a chaque fois que je le voyait et un jour j'ai été bien dans ma peau je ne voyait plus le mâle d'être gay je pouvais enfin me regarder dans un miroir.

officiellement pour mes parent j'avais une copine un peut plus vieille que moi qui avait son appartement chez qui je dormais souvent le week-end bizarrement pour mon père c'était une fierté que j'ai une copine plus vieille c'était une preuve de ma virilité et mes bonne performances au lit, et un jour ils m'ont dit qu'il voulait rencontrer ma copine j'ai été au pieds du mur, je n'est pas répondu cette outain de honte d'être gay revenait, ils ont insisté en dissant dit à ta copine de venir manger ce week qu'on la rencontre, et je leur est dit c'est un copain ils m'ont dit quoi j'ai répondu c est pas une copine c est un copain, mon père a jeté son verre en dissant putain t'est un PD dégage, je me suis mis a pleuré et je suis parti chez mon copain deux jours.

Mes parent mon appelé pour me voir, je suis retournée chez moi la peur au ventre et avec une énorme honte, ils étaient calmés ont a discuté et en gros il m'ont dit que ça les fessait chier que je soit gay mais qu'il avait pas le choix soit il avait un fils gay soit il me perdait qu'ils c'étaient renseignés et que ça se soignait pas, je suis retourné vivre chez eux, les premières semaine ont été tendu avec énormément de non dit, et petit à petit tous est retourné à la normale.

désolé pour ce long pavé mais c'est une envie d'aider les jeune gay.

et vous comment avez-vous vécu vos débuts?

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Ancien membre
22/10/2019 à 05:45

Bonsoir Hugotheo,

Tout d'abord, saches que je trouve ton histoire touchante et que je suis contente de lire, qu'au final, tout est rentré dans l'ordre pour toi, malgré les épreuves que tu as traversé.

J'espère que ton récit donnera espoir aux jeunes gays qui en ont besoin.

Pour ma part, j'ai eu la chance de venir au monde dans une famille tolérante, avec une grande ouverture d'esprit. Règle d'or : pas de tabous.

Je n'ai jamais connu de honte ou de peur quand à mon homosexualité, car, dès mon plus jeune âge, on m'en a toujours parlé comme étant quelque chose de normal... à tel point que je n'ai jamais eu à faire de "réel" coming-out.

On m'a toujours appris à être heureuse et que ce soit avec un homme ou une femme, ça n'a aucune importance parce que ça ne changeait rien. Ca reste de l'amour.

Après, vers mes 14 ans, pour qu'il n'y ait pas de malentendu, j'ai quand même décidé de dire de vive voix (aux personnes que j'estimais concernées) que j'aimais effectivement les femmes et que quoi qu'il se passait, si je devais avoir des relations et, un jour faire ma vie, avec quelqu'un, ça serait de toute façon une femme... mais je ne concidère pas ça comme "sortir du placard" puisque je ne m'en suis jamais caché et que ça n'a jamais été un secret x)

Mes parents m'ont emmené au restaurant (pour pouvoir me consacrer ce moment et qu'on puisse parler en long et en large du sujet, pour être sûr que j'allais vraiment bien et que j'étais heureuse... et puis, entre nous, j'allais clairement pas dire non à de la nourriture svp ahahah);

Mes grands-parents (leurs frères et soeurs) ont souris et m'ont regardé amusés, l'air de dire "Bah oui et ? x)", avant de commencer à me raconter les nombreuses soirées qu'ils ont pu faire il y a 30 ans de ça dans des soirées gays avec leurs ami(e)s et collègues;

Mes arrières-grands-parents, que je eu la chance de bien connaître et d'être proche, m'ont clairement fait comprendre que ça changeait rien, du moment que je suis avec quelqu'un de bien et n'ont jamais eu aucun mal à rencontrer la fille avec qui j'étais.

J'ai pu grandir et évoluer librement dans un envirronement où j'ai toujours été soutenue et acceptée pour celle que je suis.

J'ai toujours été mise à l'aise et réconfortée dans l'idée que notre sexualité ne définit pas la personne que nous sommes et peu importe notre orientation, nos croyances, nos choix ou nos origines, il y aura toujours quelqu'un pour pointer du doigt ou juger... malhreusement... alors autant vivre à fond et comme on l'entend (dans les limites du légal et dans le respect, bien évidemment).

Ma famille est loin d'être parfaite mais malgré tout, je ne changerai pour rien au monde la manière qu'ils ont eu de me faire grandir et de me soutenir. Je tenais aussi à montrer que même dans les plus anciennes générations, la tolérance existait déjà et qu'il y a parfois des récits (très) positifs.

Concernant l'école, profs et camarades n'ont jamais posé problèmes. Lorsque certains élèves ou amis venait me poser des questions, souvent par curiosité, j'y répondais tout simplement et ai toujours été clair sur le fait que me juger ne servait à rien et que le mieux à faire s'il y avait quelque chose à dire, autant me le dire en face et qu'on en discute.

Encore une fois, je m'en suis bien sortie et même niveau scolaire, mon homosexualité assumée n'a jamais posée problème. :)

J'ai toujours pu faire mes expériences et parler de relation amoureuse s/intimes, de ma sexualité librement et faire mes expériences également.

Je sais que j'ai eu plus facile que beaucoup d'autres mais j'espère qu'à l'avenir, ça ira de mieux en mieux pour les personnes qui passeront par tout ce questionnement et que les mentalités continueront d'évoluer.

PS-: Désolée, c'est assez long :o (j'espère avoir répondu à ta question)

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Ancien membre
22/10/2019 à 10:06

Bonjour.

je vais vous faire part de mon témoignage, le sujet m'y invitant. Il fera peut-etre écho à certains ou certaines de ma génération.

j'ai eu conscience d'une certaine différence (homosexualité que je ne définissais pas trop alors) durant mon enfance. Elle fut violement et ardemment contrée, si bien qu'il fut imprimé dans mon disque dur qu'il s'agissait d' une infamie. J'ai eu alors comme une dissociation en moi trés perturbante. L'image de moi en tant qu'homo était terrifiante et source d'angoisse terrible. Je me suis axé sur les filles, étant pourtant trés mal à l'aise avec elles. Ce fut alors l'alcool qui est arrivé ( et canabis et autre). Puis une sorte d'errance durant laquelle, défoncé, je couchais avec qui voulait bien de moi (homme et femme). Puis je me suis reposé auprés d'une femme pendant cinq années, éludant complètement l'homosexualité. Puis rencontre avec une autre femme plus délurée qui m'a ramenée un peu à cela.

Bref, à l'heure actuelle, je suis toujours à peu prés dans la meme situation. Une impossibilité avec les hommes et une approche avec les femmes qui n'est pas trés instinctive. Mais je fais avec.

C'est pour cela que j'insiste sur le role du milieu familial et plus largement de la société, car l'orientation n'est pas forcément quelque chose d'aussi clair et limpide que les jeunes ont l'air de le vivre.

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Ancien membre
22/10/2019 à 19:22

Oui heureusement que pour beaucoup d'homosexuels ça se passe très bien, pour mon copain il a fait son camping out facilement a 16ans il avait une famille très ouverte d'esprit et avec plusieurs homosexuels dans leur entourage pour lui ça a été extrêmement facile, mais je voulais témoigner pour ceux qui vivent encore ce mâle êtres et leur montrer que tous s'arrange avec le temps et qu'ils doivent tenir bon même si c'est une période qui semble êtres interminables.

Pour ceux qui dise ne pas parlé de leur homosexualité au travail je les comprends, moi je ne le revendique pas, mais durant les conversations durant les pauses quand ont parlé de nos vie et que les collègues parlent de leur femme et de leur enfants si on me pose la question je répond que j'ai un copain, j'ai aucune envie de me cacher, on le pose une question je répond temps puis si la réponse dérange je fait aucun mal j'ai le droit d'aimer qui je veux.

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Ancien membre
22/10/2019 à 20:32

Je tombais amoureuse de filles hétérosexuelles qui me brisaient le coeur forcément.

Ca été un passage difficile où on se rend compte surtout en banlieue qeue l'on est différent. Je me souviens d'ailleurs d'avoir vu un premier reportage sur l'homosexualité à 16/17 ans et d'en avoir pleurer de joie.

Dans les années 90 on ne parlait pas de tout cela... J'ai commencé vraiment a avoir une vie sexuelle à la vingtaine, tardivement, avec la découverte du milieu lesbien parisien.

Heureusement que Internet est arrivé cela a permis de sortir les gens de la solitude (pour les y replonger autrement lol) lié a leur orientation sexuelle avec l'arrivée des premiers Tchats et site de rencontres.

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Ancien membre
22/10/2019 à 22:48

Salut à tous

Comment dire.....vous pouvez répéter la question???

Je résumerai simplement par plusieurs mots et quelque bribes de phrases:

Totalement isolé, solitaire (personne à qui parler), je savais à 15ans avec certitude que j'étais gay...ma première relation à 26ans, le tabou total dans la famille (issu du genre grenouille de bénitier et très campagnard), donc toujours discret, a fond pour me noyer dans le travail jusqu'à 41ans...où là j'ai décidé de crever l'abcès! Car une longue période de chômage m'a transformé...dame solitude ayant frappé à ma porte, me faisant ressentir le besoin de trouver l'âme soeur....mais que néni! ...a part un exploiteur de sentiments avec qui je suis resté un an... donc rien! de nouveau le desert et les blessures d'une relation qui ne guériront probablement jamais. Ayant maintenant j'ai retrouvé un travail...devinez la suite!

Voila bientôt 30 années de ma vie sentimentale...résumé en 8 lignes! la vie tiens parfois à très peu de choses!

Elle est belle la vie? hein!

Cordialement,

Stephane

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Ancien membre
22/10/2019 à 23:00

Désolé pour toi Steph. Dis-toi que la vie n'est pas dans le passé, mais dans le présent. On ne sait jamais les surprises qu'il peut apporter...

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Ancien membre
22/10/2019 à 23:03

Citation de steph41190

Si on reste à regarder le passé, on vit dedans...

Je peux t'écrire plein de lignes mais ca va changer quoi, puisque les gens ne restent pas.

L'important c'est de regarder devant. Le passé est passé, le futur n'est pas encore là, ne reste plus que le présent...

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Ancien membre
23/10/2019 à 06:43

Citation de mimoza

Citation de CeliaJones

Personne n'as à être désolé pour moi.....à défaut d'avoir une vie sentimentale, je trouve d'autres satisfations ailleurs.....encore heureux!

Sinon je ne serai probablement déjà plus de ce monde!

Quand au présent et à l'avenir de cette vie là: J'ai fait une grosse croix dessus...bien trop peur d'être déçut une nouvelle fois et ceux d'autant plus, l'age avançant. Et puis vu ce qui m'attend dans un avenir proche, il ne vaut mieux pas entamer quoi que ce soit dans ce domaine!

Conclusion: Certains ont la chance d'être dans une position favorable....qu'ils en profite!

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Ancien membre
23/10/2019 à 09:25

Bonjour,

Hugotheo, ce fut douloureux ces débuts. Petite remarque au passage ton pote à tes 18 ans était homosexuel, tant que vous étiez dans le non-dit, il le supportait, en mettant les mots, il n'a plus supporté, c'était violent pour les 2.

Il ne risquait pas d'aller chanter au lycée qu'il appréciait "les fellations d'un PD"! Ça saute aux yeux aujourd'hui, non?

TiLbt, nous ne sommes pas les seuls parents à qui, le coming out est inutile, Ça fait du bien de l'entendre.

Mimosa, en effet, "de notre temps," les homosexuels refoulés courraient les rues, il n'y avait pas d'homophobie, il n'y avait pas... Interdit par la société ou à faire soigner, merci la psychanalyse, c'est de l'ironie!

Alors oui, Mme Taubira vous êtes notre héroïne. Nous allons continuer dans ce sens, entre autre, et ce n'est pas anodin du tout avec les enfants arrêtons de leur demander "alors t'as un petit amoureux à l'école ? ou amoureuse?" sur le modèle hétéro

CeliaJones, heureux.ses les parisien.ne.s qui ont eu une longueur d'avance, ils ont essuyé les plâtres

Steph, je cherche des mots dans un français correcte... P... de vie, elle ne t'a pas épargnée. Toute ma compassion et plein d'énergie

Prends soin de toi, Pense à l'essentiel pour toi. Rien n'est irréversible, vivre dans le présent ( elle yoyote mémère, elle dit toujours la même chose)

c'est valable pour tous

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Ancien membre
23/10/2019 à 17:46

Alors pour ma part. Comment j'ai vécu mon orientation sexuelle. Et ben C'était un peu compliqué. En général je ne l'ai jamais trop mal vécu. même enfant et ado. Enfin rarement mal vécu. Ca dépendait des période. Je crois que c'est vers mes 8 ou 9 ans que j'ai compris que j'était gay. A cette époque je savait instinctivement que c'était trés mal vue. Dés la primaire les enfants sont déjà homophobes. ( Merci les parents ) Du coup je me suis juste contenté de ne pas en parler et le dire. Au collége ca à été pareil. J'en ai juste pas parler et c'était trés bien comme ça. Pourtant je savait pertinemment que plus j'allais grandir. Et plus ce secret allais devenir de plus en plus dure à garder. Et je ne m'était pas trompé. C'est à partir du lycée que ça a commencé à ce corser. Les garçons devaient fréquemment draguer des filles. Et un jours j'ai été dans un de ces groupes. J'ai refusé avec pleins de prétextes de ne pas partir à la "chasse". Mais à un moment donné j'ai réussi à faire croire que je sortait avec une fille. Pour donner le change. Et faire croire que j'était hétéro. Je l'ai trés mal vécu. Et j'avais honte de moi. En faite j'avais tout à fait conscience que j'était gay mais heureusement. Je l'ai toujours accepté et n'en ai jamais eu honte. Par contre je savait que ce n'était pas du tout le cas pour les autres. C'est pour ça que je ne le disait pas malgré ça. Je connaissait déjà le rejet des autres. Je n'avait pas besoin de me mettre plus dans la merde en avouant mon homosexualité. J'ai décidé d'avouer mon homosexualité une fois avoir fini le lycée. Mes CO ce sont tous toujours trés bien passé. Même envers des membres qui n'étaient pas de ma famille. D'ailleure ma famille était trés tolérante aussi. Sauf pour mon pére bien sûr. Sinon ça n'est pas drôle évidemment. J'ai fait mes CO à ma famille sauf à mon pére du coup. De tout façon il l'a su. Je n'ai jamais su comment. Du coup durant les deux derniéres années avant sa mort. J'ai eu droit à pleins de sous entendu et de remarque homophobes. Ca allait même aux insultes parfois. Comme sale PD et j'en passe. Bon du coup voilà. Même si mon homosexualité à parfois été problématique. Je trouve que je n'ai pas á me plaindre comparé à certains.

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Brissous21
23/10/2019 à 19:47

pour ma part , je l'ai bien et mal vecu .

bien vecu du coté familial , mal vecu de mon coté personnel j'ai mis très long a pensé que je n'étais pas anormal , j'ai toujours penser que je n'étais pas normal que j'étais malade et que j'avais un probleme mental ,ça a duré longtemps et presque 5 ans après l'avoir confirmé a ma mère , et le peu d'ami(e) que j'avais étais hétero ne pouvais pas trop m'aidé car en sois c'étais contre nature ce que j'étais , bref... et dans le milieu gay je n'étais pas plus avancé car le peu de personne avec qui je pouvais parlé ne pensaient que au sexe et donc il n y avait pas de vrais dialogue en plus le mec avec j ai eue mon deuxieme rapport m'avais dit qu'a 17 ans je n'étais que de la chair fraiche et qu il ne fallait pas espéré que je me pose en couple car j'étais trop jeune et qu il fallait profité de la vie et de ma jeunaisse donc conclusion profité de la vie c'est s'envoyé en l'air j'ai pris le plis de profité de ma jeunaisse et je suis sans doute passé a coté de belle relation , car j'ai fuis des personnes qui disait vouloir du sérieux .

au bout d'un certain tant , j'ai eue un conversation avec ma mère car elle avait du mal comprend pourquoi je ne restais jamais avec quelqu'un plus d'une semaine voir deux jours et ne connaissant pas trop le milieux gay et pour elle mon attitude n'étais pas normal .

nous avons eu on longue conversation ou j ai eue le droit a une belle claque quand je lui ai dis que je pensais être malade et anormal car pour ma mère j'étais son fils et non une maladie et que je n'étais un bout de viande qu on achète chez le bouché , que j'avais le droit d'avoir des sentiment et ne pas attendre que j'ai dépassé mes 35 ans pour trouvé la bonne personne car sa peu être long de tomber sur le bon mec enfin bon se fut une longue conversation et un très long travaille pour m'accepter telle que je suis c est a dit un homme qui aime les hommes .

je m'assume a l'heure actuel a 70% les 30% qui reste c est une autre histoire qui est tout aussi longue et hors sujet .

dans l'ensemble j'ai mal vecu mes debuts en tant qu'homosexuel mais mieux par la suite et avec l'aide de ma famille et ma mère .

ps: désolé pour les fautes d'orthographes et espère ne pas être hors sujet .

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Ancien membre
23/10/2019 à 22:29

Citation de gael3592

je crois que tu t'est trompé de sujet...mdr!

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Ancien membre
24/10/2019 à 00:51

Citation de brissous21

Le conseil que tu a eu qu'être jeune est etre de la chair fraîche et ne pas pouvoieavoir de relation stable n'était que le point de vu de cette personne, on a tous notre cheminement, j'ai vécu ça et je me suis accepté grâce a une sexualité libre sans engagement, je suis venu à Paris a 21ans après ma formation de policier, j'avais un travje vivait seul, au début j'ai été vivre mon homosexualité dans les sauna, je me sentait bien j'etait entre gay il ni avait pas de jugement ou a s expliquer j'etait uniquement avec des homme comme moi et ça fessait un bien fou, un mec qui était à mon goût je n'avais pas besoin de me demander si il était gay ou pas il l'était obligatoirement car il était là il y avait juste a allé voir et prendre une cabine, durant un ans j'ai vécu mon homosexualité dans des sauna caché aux yeux de tous, et un jour j'y est rencontré un homme que j'ai revu en dehors et qui ma appris et montré que l'on pouvait totalement vivre au grand jours et être fier de nous.

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Ancien membre
24/10/2019 à 08:24

Citation de Hugotheo

Elle ne ta pas posé de problémes ton homosexualité dans le milieu de la police ? Car bon tout comme l'armée et le sport. C'est quand même un milieu assez "téstostéroné" et pas des plus gayfriendly.

avatar contributeur de Redmood
Redmood
24/10/2019 à 22:41

Je me suis plus ou moins rendu compte au collège, que j’étais de plus en plus attiré par les garçons et pas du tout par les filles, mais je voulais tellement pas l’accepter, que j’ai mis tout ça dans un petit coin de mon esprit et je l’ai enfouit sous une belle montagne de "non, j’ai rien vu, je vois pas de quoi tu parles". On m’as jamais vraiment posé de questions. Personne n’a jamais insisté. En même temps, j’étais tellement timide, que j’osais même pas regarder les gens dans les yeux, et parfois, avec certaines personnes, j’osais même pas parler. Donc l’idée que je n’ai jamais ne serait-ce qu’essayé d’aborder une fille, n’étonnais personne XD Du coup, j’ai jamais vraiment été "mis à l’épreuve".

Heureusement, j’ai fais des progrès, tant au niveau de la timidité, que de mon homosexualité ^^

En parlant de cette dernière, elle m’a rattrapé en première année de prépa. Je suis tombé amoureux d’un gars de ma classe (qui n’a jamais rien su ^^). J’ai pas vraiment accepté mon homosexualité sur le coup, mais j’ai accepté l’idée, que ce gars me plaisait. Puis, le temps a passé, d’autres mecs on attiré mon attention. Je me suis fais à l’idée, que des garçons me plaisaient et jamais des filles. Puis, un jour, je me suis dit qu’il y avait un mot pour ça et je l’ai accepté. En tout cas, j’étais en paix avec moi-même, mais j’en parlait pas autour de moi.

Puis, petit à petit, je ressentais de plus en plus le besoin d’en parler à quelqu’un. Je me suis donc naturellement tourné vers ma meilleure amie, en qui j’avais totalement confiance et qui n’a pas manqué de me donner raison. Je dirais, qu’à part peut-être nous rapprocher un peu plus (après 15 ans d’amitié, on se découvrait un nouveau goût en commun, és’ti pa bô sa XD), ça n’a pas changé grand chose. Puis, plus tard, j’en ai parlé à ma grande soeur. Elle m’a dit que elle et ma petite soeur (enfin, surtout ma petite soeur, de ce qu’elle m’en a dit) avaient des doutes depuis longtemps, mais qu’elles avaient jamais osé m’en parler. Mais, du coup, ça a rien changé non plus, ça ne les as même pas, ne serait-ce que surprises. Maintenant, je ne ressens plus le besoin d’en parler, mais je ne cherche pas à le cacher non plus.

En résumé, je l’ai plutôt bien vécu. J’ai pu prendre tout le temps qu’il me fallait, sans que personne ne vienne m’emmerder ^^

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Ancien membre
24/10/2019 à 23:44

Citation de Kendany

généralement ça vas même si je sent souvent des regard haineux, mais il y a peut de commentaire car il y a déjà eu des souci et on a de la chance ce type de problème est pris au sérieux par nos supérieurs en plus je ne me cache pas de faire partie du flag une association pour les policier gay, le plus courant que je peux vivre est des fois des collègues arrive dans les vestiaires se changer et en me voyant reparte en dissant je reviendrais plus tard car ils ne veulent pas de changer en même temps que moi

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Ancien membre
25/10/2019 à 00:07

Citation de Hugotheo

Tu te sens pas gêné par les collègues de caractère princesse ?

Perso je fais en sort que je cache tout, et change rapidement pour que les collègues comprennent j'adhère à préserver l'intime et vous ne minteressez pas. Arrête d'être capricieux et se prendre pour Brad Pitt.

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Ancien membre
25/10/2019 à 01:29

Au travail aucun gay n'est en mode princesse, ont évité d'être des clichés, pour moi c'est facile je n'est jamais été une princesse je suis viril et macho en public et privé car c'est ma nature.

Bien sûr j'ai des collègue qui sont de vrai princesse en privé et je ne les fréquente pas car c'est pas mon style j'aime les mecs virils qui reste masculin en toute situation, j'ai eu une seule relation avec un mec connu à l'association qui était crs, mais ça n'a duré que quelque semaine car il avait des besoin intime qui n'était pas du tout compatible avec ma personnalité

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Ancien membre
25/10/2019 à 06:28

Citation de Hugotheo

Loool je parlait des collegues hétéro qui changent pas devant toi dans le vestiaire.

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Ancien membre
25/10/2019 à 13:06

Citation de Hugotheo

Bien sûr j'ai des collègue qui sont de vrai princesse en privé et je ne les fréquente pas car c'est pas mon style j'aime les mecs virils qui reste masculin en toute situation

Les fréquenter en amour ou tout court ? En amour, bon on est pas obligé de sortir avec tout le monde ça je veux bien mais ne pas leur parler du tout ça donne un peu l'impression qu'il sont moins "valables" que les autres. Ca me fait penser aux hétéros qui évitent les homos parce qu'ils préfèrent la compagnie des "vrais hommes" (alors qu'on parle évidemment juste de parler avec pas d'avoir des relations amoureuses) mais peut-être j'ai pas bien compris ce que tu veux dire

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Ancien membre
28/10/2019 à 23:47

Oh la la ! J avais 15 ans et je ne savais pas du tout si j aimais les mecs ou les filles.

Mon voisin de classe en avait 18 et il était majeur, blond cheveux courts 1,87 et 75 kg ralala !!!!!!!!. Et un jour à la récré on reste tous les 2 devant la salle de cours alors que les autres étaient en récré et vlan, on s' embrasse sur la bouche cash direct tagada boum boum.

Il me dit qu' il a jamais fait ca avant ni avec un mec ni avec une fille, je lui dis moi tout pareil... Bien que le zouave avait du comprendre lors du sport que je ne regardais que lui, le voir en survetement me rendait absolument dingue.

Aucun problême de mon coté, le palpitant fait boum boum boum quand je suis a ses cotés et lui pareil et je vous garantis que je m en souviens comme si c' était hier tant les centaines d' heures d' affection que ni lui ni moi n' avions ados de la part de nos parents on se la donnait mutuellement.

Aprés quelques jours, j ai voulu le voir en dehors du bahut, c' était un 29 janvier, ma moman commercante travaillait beaucoup donc beaucoup de temps libre... eh eh !!!

Le samedi aprés midi j' installe un deuxième lit et il sonne... boum boum boum boum comme dirait John lee Hooker.

J' étais en sweat shirt a la mode car ma moman vendait des fringues. Lui en survetement, avec un jean dans son sac a dos et ses affaires pour la nuit et il portait une eau de toilete.... armani ou un truc du genre...

J' ai ouvert la porte et nous étions seuls dans une grande maison froide car marbre au sol trés froid.

On monte j' allume la cheminée et on regarde un truc a la con a la tv, je me rappelle plus tellement ct banal, ce qui fut moins banal est qu' on a pas mis longtemps a se prendre dans les bras l' un l' autre... On s est embrassés, caliné, caréssé (trés soft)mon dieu que c' était intense, bon, innocent, pur (first love last rites comme dirait sade)

Et nous voila partis pour peut être la plus belle histoire d' amour de ma vie.

Le soir même dans la même chambre c' est moi qui lui ai mis la main en dessous de son survetement (bon sang c' est plus long et plus gros que chez moi, dur a accepter mais je me disais que c etait peut être les 3 ans de plus et que ca allait pousser chez moi dans les 3 ans, malheureusment non...) une dizaine de jours aprés on est allés chez lui et en l' absence de ses parents qui bossaient beaucoup aussi (ma moman travaillait chez ses parents dans leur hyper, ce qui était pratique mais étrange car emploi du temps identique) et il me dit qu' il m' aimait, moi aussi bien sur. Il avait acheté du gel (mais bon sang c' est quoi ce truc !!!!) et il m' a demandé de le dépuceler.... On a fait l' amour plusieurs fois cette journée... et ca a été feu d' artifice durant 6 ans.

Aprés un an de séparation j' ai dragué ce qui est devenu la femme de ma vie avec qui j ai eu un gamin qui est ado maintenant. J ai zappé de sexualité car amoureux donc la sentimentalité parfois est plus forte que le sexe ou l' orientation alors ouais j ai pris 10 ans de mariage !!!!

Aprés mon divorce j ai connu une fille 3 ans, en rentrant de Rome elle m' annonce 2 mois aprés avoir avorté (car pilule micro dosée) sans m en parler car elle savait que j aurais voulu le garder (qu' ais je donc fait au bon dieu ou au diable pour cela alors qu' a la fontaine de Trevi j ai innocemment jeté mas pièce en pensant yes j aimerais un enfant d' Elle)

Depuis c est un peu minuit dans le jardin du bien et du mal chez moi, je suis un peu perdu, la libido un peu en berne... la crise de la quarantaine (american beauty, encore avec Kevin Spacey)

Je bosse beaucoup, je bois beaucoup, je roule vite, je mange beaucoup, je dois combler le vide coute que coute.

J' espère que vous m en voudrez pas de faire de telles tirades... tolérance est le mot.

Carpe diem

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