Quelquefois, les mots ne sont pas assez forts. Quand la peine dépasse ceux-ci...
Oxygène
Je tisse des liens, je veux être tien
Mais tu fais fis et ça m’anéantit
Mon cœur t’as fait toute la place, mais tu restes de glace
Comment te séduire, sans me détruire?
Libère tes chaines, devient mon oxygène
Mon cœur se déchire, j’oublie mes désirs
Ma raison sème le doute, j’habite la déroute
Suis-je parano? dans ma tête le chaos
À toi je suis accroc, je te veux en duo
Libère tes chaines, devient mon oxygène
Ton odeur résonne dans ma tête et mon cœur
Ton sourire me fait souffrir et je te vois fuir
Te voir me tourmente et ton absence me hante
Je ne peux trouver les mots, je ne suis que sanglots
Libère tes chaines, devient mon oxygène… mon oxygène
oui l'amour captatif ou la passion tragique est une source d'inspiration, quand l'esprit suffoque de se savoir tout proche de celui qui souffle le bon air du bonheur...
dans la même veine un petit poême...
Où es tu ?
Que faire en attendant la mesure de toutes choses ?
Et que dire à tous ceux qui ne sont pas admis ?
La présence ne se donne qu’au-delà de toutes causes ?
Et l’ultime de son âme à l’intime de l’ami ?
Car de l’incertitude toutes les vies évidées,
Se satisfont des corps en perte du secret,
Si conforment à leur temps tractées par des idées,
Elles se traînent par envie et besoins de projets…
Au pire des concédés en brassages d’émotions
un compteur qui s’affole comme la balle du flipper,
S’enregistre la marque des aventures fictions,
…Rester dans la partie, puisque perdre fait peur…
Mais tout abandonner pour la petite fleur,
au parfum inconnu qui semble tout expliquer
L’évidence sans nom, sans heurt et sans malheur,
quand même le cosmos n’ose pas répliquer…
À ce moment précis dans l’atteinte du cœur
La mort se concentre en un point infini
Nous délivrant enfin du doute et de l’erreur,
La course sur la terre où tu es se fini…