partage de poèmes ? :) - Page n°3

avatar ancien membre
Ancien membre
01/11/2017 à 20:55

Fun62 t'es poèmes sont magnifiques :) j'aime beaucoup ça inspire
Commencer à faire des rencontres ?
avatar ancien membre
Ancien membre
02/11/2017 à 10:47

J'avais écrit ce poème il y plus de 2ans mais c'est un des derniers que j'ai fais: Une femme est assise sur un siège rouge, dévorée par une flamme d'un feu fatal. Et tandis qu'elle écoute un dernier récital, la flamme de sa vie se consume et la ronge Ses deux grands yeux déserts se fixent, immobiles, sur l'infini du ciel par la fenêtre close. Ses doigts sont gelés sous l'air du piano morose. Sa poitrine se soulève parfois, tranquille. Soudain, elle se lève comme un somnambule, coupée du monde, elle n'entend que la pendule marquant les secondes et le temps, régulière. Puis entre seule dans une pièce vide; elle s'abandonne; sa ceinture est son collier. Elle s'envole, la tête et les pieds dans les airs.
avatar ancien membre
Ancien membre
02/11/2017 à 12:19

J'espère que t'en écrira d'autres :)
avatar ancien membre
Ancien membre
06/11/2017 à 09:30

Un plaisir que de vous lire! :')
avatar ancien membre
Ancien membre
07/11/2017 à 07:06

Trop tard quand la sirène a retenti, c'était trop tard il était là allongé sur le sol ils sont entrés et ont vu de suite le corps pas un mot cela n'aurait servi à rien nous ? On n'osait plus rien dire, plus bouger le rôti de veau aux kiwis brulait dans la sauteuse le vie continue mais à quoi bon aussi ? De mettre un pieds devant l'autre ils sont partis emmenant le corps pendant un long moment ils ont essayés de le ranimer mais en vain ils ont fait non de la tête et pourtant ils ont pas ménagé leur effort mais rien n'a faire c'était son heure de partir de nous laisser en plan au plein milieu du repas on était heureux d'être là de finir la journée autour d'une table bien agréable la tarte se recroquevillait dans le four personne n'osait éteindre quoi que ce soit on se regardait on était figés par la douleur on réagissait pas on était complétement amorphes ils sont partis et nous ont laissés seul face à nos questions, à nos doutes je ne sais plus qui le premier à oser parler tellement peu important d'ailleurs je me suis assis sur une table j'ai croisé les bras et j'ai pleuré il fallait que cela sorte soit en pleurs soit en violence je préférais pleurer au moins j'aurais pas dit des choses que par la suite j'aurais regretté une personne a pris sa veste et est parti sans doute se souler ou bien se vautrer dans la luxure au choix moi ? J'ai enfin éteint le four et le feu personne avait faim et puis de toute façon c'était brulé de chez brulé même avec la meilleure volonté du monde c'était immangeable on a tout jeté dans la poubelle un bon repas qu'on avait mis une heure à préparer dommage !!! quelqu'un a demandé si ce soir il y avait un bon film à la télé ? Incongrue comme question et pourtant la vie continue avec ses hauts et ses bas nous ? On a juste perdu notre père Espérant qu'il est au paradis lui qui y croyait pas cela va lui faire un choc après ça demain faudra replonger dans la vie active supporter la banalité de la vie corriger des copies pleines de fautes d'orthographe on devrait faire des rédactions en langage sms plus d'orthographe comme ça à s'occuper j'ai froid subitement on se regarde et maintenant que va-t'on faire ? Il était tard chacun, chacune est rentré dans son cocon se réfugier dans la douleur dans sa solitude dans sa petite vie mesquine et banale dans ces cas là on est seul au monde personne ne peux comprendre même ceux qui ont perdu leur père parce que chaque douleur est unique chaque perte d'un être cher est différente j'ai secoué la tête et j'ai écouté en boucle le 2e mouvement de la symphonie du nouveau monde de dvorak jusqu'à fatiguer mes neurones et me faire craquer de douleur et là j'ai eu le choix entre me jeter dans le rhône me shouter aux antidépresseurs ou bien vivre avec ma peine quel triste choix !!! maintenant il est parti son rire me manquera le fait de ne pas prendre la vie au sérieux auss sa vision claire et optimiste de la vie pas maintenant que je vais lui tresser des lauriers parce que m'entend-il ? Là est la question à laquelle je n'ai pas de réponse et je ne sais pas si un jour j'aurais la réponse peut-être quand moi je serais mort que je saurais mais à qui pourrais-je le dire aussi ?
avatar ancien membre
Ancien membre
07/11/2017 à 19:21

re tout le monde voilà mes deux petits derniers : Illusions Sombre Lune, Aux ailes arrachées. Pluie sur les dunes Incendies dans les glaciers. De bas en haut, Tout n'est qu'illuions. Ce constant chaos, Cette fantasque prison. Au coeur des vents, Pris dans les tempêtes Seul incessament Quand les autres fêtent A la fois sombre et violent Comme un Ange sans tête. Cyclone O vent qui souffle Sur les plaines abondantes. Ne vois-tu pas qu'ils souffrent Ces âmes douces et aimantes. O vent qui souffle sur les cimes des arbres Cesse donc ce vacarme, Rappel tes troupes. O vent qui souffle Dans la vallée des Rois Où le Mal se camoufle. O vent qui souffle sur tout les toits, Entend le peuple qui souffre Mystère Si le monde n'est que Ténèbre, Où trouver la lumière? Si le Soleil jamais ne se lève, A qui adresser nos prières? Quand tout espoir est perdu, Où chercher la force d'avancer? Si sur le champ de bataille on est nu, Comment peut-on triompher? Quand nous sommes seuls, Quand nous sommes apeurés, Sommes nous vraiment libres? Peut-on Simplement vivre? Y'a-t-il une vérité caché? Si oui, dans quel livre?
avatar ancien membre
Ancien membre
07/11/2017 à 19:29

Education Ces enfants à qui l'on matraque des "apprends" Si petits qu'ils sont et déjà si grands qu'ils doivent être Le papa devient bourreau, protège sa promise et impose sa loi La maman sourit, pleure parfois, lui donne le sein. Bébé grandit, bébé devient adolescent, Mi chemin entre enfance et obsolescence La sexualité s'agite, les changements fusent Physiques et psychologiques le parent se voit petit Monstre hideux issu du conformisme Monstre hideux issu du conditionnement Hommes et femmes respectables, coincés et fermés A leurs enfants transmettront leurs vices et putréfaction Les enfants aveuglent qui se nourrissent de vous Vous mêmes enfants nourris aveuglément L'enfant est peut-être aveugle, mais l'adulte Lui ferme les yeux.
avatar ancien membre
Ancien membre
07/11/2017 à 20:31

J'ai beaucoup écrit, lorsque j'étais plus jeune (entre mes 7 et 17ans), mais depuis 4ans, je n'arrive plus à écrire... Puis, je viens de trouver une personne que j'aime, et même si c'est un peu chaotique, j'y crois... alors j'ai essayé à nouveau, pour cette personne. J'ai perdu mes mots il y a bien des années, Mais pour toi je serai prête à les retrouver. Ces sentiments que je pensais être oubliés Ce sont réveillés après t'avoir rencontré. Mes rimes sont pauvres, mes actes ridicules, Je ne sais plus placer de point ou de virgule... Mais devant toi, mon petit coeur perdu hulule, Mon amour grandi jusqu'à être ridicule Je veux pouvoir être heureuse avec toi, chaton, Et même si parfois les mots sont du venin, Que notre relation avance à reculons... Je veux continuer à te tenir la main...
Commencer à faire des rencontres ?
avatar ancien membre
Ancien membre
08/11/2017 à 19:59

Bon et bien je pose ça là. Un jour de solitude, Un jour comme d'habitude. Je prend une lame, Pour mettre fin à la flamme, Qui brûle mon coeur, Et engendre douleur. Mon âme s'envole, Je regarde vers le sol, Et je dis au revoir, À toutes mes idées noires.
avatar ancien membre
Ancien membre
08/11/2017 à 20:33

Pour ma part je ne vous en donnerai qu'un ;) Les autres je me les garde 😬 En quelques mots le sens de la vie A pris une claque devant moi En quelques mots tout est fini On ne s'imagine jamais tout ça Bien sur qu'on savait Qu'à force de pansements de rouge tiédi Que d'autant ça ne tiendrai Que c'est une vilaine maladie A force de croire On a fini par laisser au temps La fainéantise de son pouvoir A ne pas vouloir soigner les gens A l'aube d'autres horizons Le livre à demi refermé Je ressasse frénétiquement Le souvenir du passé A quand la fuite de l'amertume Et le retour des beaux jours A quand le nouveau costume Qu'on appellera peut-être amour Ainsi vont tant d'êtres Au virage d'une autre vie A regarder les fossettes Du doux visage amaigri La perte quelle qu'elle soit Requiert des étapes infinies Des jours des ans des mois Mais pourvu que je t'oublie
avatar ancien membre
Ancien membre
08/11/2017 à 21:32

J'aime bien ce que tu as écrit, j'ai une petite préférence pour la dernière strophe :)
avatar ancien membre
Ancien membre
08/11/2017 à 21:42

Merci Laulaus, Je peux t'en envoyer d'autres... En privé :)
avatar ancien membre
Ancien membre
22/11/2017 à 16:08

Mes clés depuis hier je les cherche ô bien sur j'ai un double mais quand même cela doit venir de ma tête à l'envers cela doit venir du fait que mes enfants sont partis que ma princesse qui pourrait me consoler n'est pas reviendu que voila je suis tout seul dans ce petit appartement avec la machine qui tourne les doudous et les draps mais je me sens si petit dans cet appartement qui me parait si grand je me sens si perdu dans ce monde que je ne comprend plus pourquoi mes clés ont disparues ? qu'ai-je fait pour les perdre ? ou sont-elles ? pas la moindre idée j'espère que si un cambrioleur vient là il me laissera les photos de mes enfants et mon pc quoique pas grand chose de valeur chez moi même mon coeur est en miette et pourtant autrefois quand j'avais des cheveux et j'étais fringuant je plaisais maintenant je suis las mais d'une lassitude qui m'effraie parfois et surtout ou sont mes clés et puis il faut boire ce thé avant qu'il refroidisse et puis retrouver ses clés avant qu'il ne soit trop tard que faire ? il faut raison garder il faut réflechir mais en suis-je capable aussi ? je n'en suis pas sur du tout trop la tête dans le sable j'aimerais tant que ma tête soit dans les étoiles tiens la machine essore le linge je vais étendre les draps et leurs doudous et j'aurais mal d'une douleur qui me transpercera le coeur d'une douleur qui me laissera au sol pendant de longs moments et je ne pourrais rien faire juste attendre que la crise passe et puis continuer le chemin qu'avait commencé nos ancètres et c'est dur vu l'état dans lequel ils ont mis le monde et le bordel qu'ils nous ont laissés mais de leurs père à eux soit nos grands pères le monde allait-il mieux ? j'ai des doutes sur le sujet il y a eu deux guerres mondiales plus l'indochine plus l'algérie alors qu'avons nous maintenant ? vaste dilemne que j'espère que jour quelqu'un résolvera peut etre un messie en attendant j'ai pas retrouvé mes clés et je suis bien ennuyé
avatar ancien membre
Ancien membre
22/11/2017 à 18:14

de biens beaux textes que je vois ici voici une petite impro en cette douce nuit sans lune je marche a travers les brumes le foyer chaud de ma pipe fume et ta main au loin guide ta plume ah qu'est donc devenu ce rêve ? a t_il signé une horrible trêve ? tandis que, vite, la nuit s'achève mes pas me conduisent sur la grève le feu quand je rentre est éteint il me semble déjà bien trop lointains cet air chanté emplis doux refrains dont le soufle me manque chaque matin
avatar ancien membre
Ancien membre
09/11/2020 à 03:27

Quelquefois, les mots ne sont pas assez forts. Quand la peine dépasse ceux-ci...

                                            Oxygène

Je tisse des liens, je veux être tien

Mais tu fais fis et ça m’anéantit

Mon cœur t’as fait toute la place, mais tu restes de glace

Comment te séduire, sans me détruire?

Libère tes chaines, devient mon oxygène

Mon cœur se déchire, j’oublie mes désirs

Ma raison sème le doute, j’habite la déroute

Suis-je parano? dans ma tête le chaos

À toi je suis accroc, je te veux en duo

Libère tes chaines, devient mon oxygène

Ton odeur résonne dans ma tête et mon cœur

Ton sourire me fait souffrir et je te vois fuir

Te voir me tourmente et ton absence me hante

Je ne peux trouver les mots, je ne suis que sanglots

Libère tes chaines, devient mon oxygène… mon oxygène

avatar ancien membre
Ancien membre
09/11/2020 à 07:40

oui l'amour captatif ou la passion tragique est une source d'inspiration, quand l'esprit suffoque de se savoir tout proche de celui qui souffle le bon air du bonheur...

dans la même veine un petit poême...

Où es tu ?

Que faire en attendant la mesure de toutes choses ?

Et que dire à tous ceux qui ne sont pas admis ?

La présence ne se donne qu’au-delà de toutes causes ?

Et l’ultime de son âme à l’intime de l’ami ?

Car de l’incertitude toutes les vies évidées,

Se satisfont des corps en perte du secret,

Si conforment à leur temps tractées par des idées,

Elles se traînent par envie et besoins de projets…

Au pire des concédés en brassages d’émotions

un compteur qui s’affole comme la balle du flipper,

S’enregistre la marque des aventures fictions,

…Rester dans la partie, puisque perdre fait peur…

Mais tout abandonner pour la petite fleur,

au parfum inconnu qui semble tout expliquer

L’évidence sans nom, sans heurt et sans malheur,

quand même le cosmos n’ose pas répliquer…

À ce moment précis dans l’atteinte du cœur

La mort se concentre en un point infini

Nous délivrant enfin du doute et de l’erreur,

La course sur la terre où tu es se fini…

Commencer à faire des rencontres ?


Suivez-nous
Téléchargez l'application
Application android
conçu avec par Carbonell Wilfried
© Copyright 2024, betolerant.fr