La bonne humeur est t-elle la clé de l'utopie?

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Ancien membre
22/01/2016 à 00:00

En zappant sur BFMTV, je suis tombé sur un mec qui présentait un livre qui disait en gros que le problème des français était leur mauvaise humeur constante. Il faisait remarquer à juste titre qu'aujourd'hui les Français attendent trop de chose de la part du gouvernement alors que dans des pays pauvres (Afrique et Asie) ou les gens n'ont pas d'aides sociale, les gens sont plus souriant et plus solidaire de manière naturelle (je dis bien les gens, pas le système). Pour être dans une utopie faudrait t-il se contenter de relativiser? Est-ce possible dans une communauté comme la notre ou contrairement aux villages d'Afrique ou d'Asie on ne connait pas tout le monde? Est-ce possible dans une communauté ou on est jugé sur tout et rien et ou l'on doit toujours se justifier et demander des autorisations pour tout (comme de repeindre les volets de ça maison en bleu alors que les autres maisons du coin les ont en vert)? 
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Ancien membre
22/01/2016 à 02:17

il est bien la le problème.... Qu'est que sa change a notre vie que nos volets soient bleu ou vert. On a déjà la chance den avoir. Vous me dirais... Oui mais je travail pour avoir tout sa!! Oui mais la bas aussi il travaillent... Ils trient les déchets pas de pose clope encore moins déjeuner... Ils commencent au levé du soleil et termine a son coucher. 3€ la journée. Les français ne sont jamais content de se qu'ils ont. On ne sait plus se contenter de se que l'on a..
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Ancien membre
22/01/2016 à 09:22

Prasten a écrit : Prasten , garçon de 25 ans de Rennes Oui ils vivent dans des huttes et des petits villages les africains et les asiatiques. Ils sont heureux. Loin de boko haram, d'ebola, des trafics d'organes, de la précarité, de la malnutrition, de la malaria ou du sida. De quoi avoir la banane.
J'ai ri !!! Même si c'est horriblement vrai... ! Alors pour le coup, à croire que j'aime jouer avec la sémantique, mais dire "La bonne humeur, clef de l'utopie", c'est un peu dire la bonne humeur clef d'un monde imaginaire, irréalisable...J'dirais plutôt "La bonne humeur, clef d'une certaine forme de société modèle" pour reprendre ensuite ce que tu dis Bunowa... ! Alors cette analyse tiré d'un bouquin disant que les "Français sont de trop mauvaises humeurs, tout le temps" "Qu'ils attendent trop du gouvernement", ça me fait doucement rire ! A croire que depuis 10 ans, on découvre et on parle d'un peuple français si défaitiste. Ce que j'ai envie de dire, c'est qu'en reprenant de nombreux écrits qui peuvent remontrer (suffit de lire la guerre des Gaules, même si c'est biaisé par le regard de Jules !) loin, le peuple..enfin LES peuples de Gaule, ont toujours eu cette réputation quelques peu défaitiste, mais néanmoins combattante. Bref, je m'éloigne du sujet, mais en gros, je pense qu'il n'est pas impossible de profiter du moindre petit moment de bonne humeur avec la société dans laquelle nous vivons tous les jours. Alors, il suffit de faire de petites choses à notre échelle, comme dire bonjour et essayer de faire partager cette bonne humeur. Alors oui, on va peut-être nous "juger"... Mais c'est malheureusement normal et humain. Un comportement qui sort de la norme, sera toujours jugé prématurément...heureusement (ouf) nous humains, savons aussi aller plus loin et pouvons comprendre ce comportement. Je m'explique. Profitant maintenant de la magie du métro et de cette ambiance limite mortelle que j'y croise, et bien au risque de me faire rembarrer (jusque-là à part des regards du genre "il est fou" rien d'autre !!), je siffle les musiques qui me passent dans la tête, je chantouille (oui oui chantouille), et certaines fois, je croise des petits sourires, un regard qui veut dire "Aaah merci de briser ce silence pesant" etc etc etc...Bref, un ptit geste de bonne humeur, du moins qui montre une forme de bonne humeur pourrait parfaitement changer notre système sociétal (carrément oui TOUT le système :p). Après, notre caractère défaitiste, ça, faut le travailler sur un long terme, mais ça sera plus difficile. Surtout ayez le sourire, rien que ça, déjà, ça change une rencontre, même dans la rue ! Voilà voilà, le fou quitte la place !
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Ancien membre
11/09/2016 à 19:54

Je pense que c'est à la fois une question d'environnement et d'entourage. Se sentir bien c'est être en harmonie avec le lieu ou je suis et avec les gens avec qui je suis.  Une étude sur le bonheur à permis de prouver que si je suis amis avec des gens qui se disent heureux, alors ces amis ont une influence positive sur nous même, et il en va de même avec collègues, familles, ect... Toutefois, ce n'est pas le seul facteur, l'argent entre en ligne de compte, et si je me souvient bien des résultat de l'étude, notre bonheur augment jusqu’à un plafond de 3500 euros par mois, au delà on est pas plus heureux. Enfin, c'est aussi une question de psychologie et d'estime de soi. Une attitude positive et bienveillante (tel que siffloter dans le métro) est source de bonheur pour tout le monde, et à contrario, le stress, le bruit et les attitudes négative (réprimandes, insultes, mépris, préjugés) stimulent la perte de bonheur... Bref, oui la bonne humeur joue certainement sur l'utopie que tu énonce, mais ça passe avant tout par notre propre bonne humeur, pour la transmettre aux autres.
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Ancien membre
12/09/2016 à 01:25

Ce n'est pas que les français sont toujours de mauvaise humeur, c'est juste qu'ils sont pessimistes ;) C'est justement en temps de galère comme ceux actuels que les gens devraient être solidaire et se rassembler, et créer des barrières de séparation, mais ça encore, l'inconscient collectif y est pour quelque chose ;)
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Ancien membre
12/09/2016 à 09:58

Histoire de remettre une couche de pessimisme... Je pense que le peuple français est en train de s'effondrer dans un individualisme imposé par le système. Il y a ne serait-ce que 50 ans, les rapports humains entre les français étaient complètement différents. Et depuis environ 2 ans, il faut ajouter une problématique identitaire (elle aussi très probablement exacerbée par le système) qui laisse entrevoir en France, pour la première fois depuis très longtemps, une nette ligne de fracture socio-culturelle.
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Ancien membre
12/09/2016 à 12:02

c'est toujours difficile de parler d'époque que l'on a pas connu, et il y à 50 ans (c'est à dire dans les années 60) il avait également des problème que nous n'avons plus aujourd’hui. je parle entre autre de mai 68, de la guerre froide, des années hippie...  En somme il y avait déjà des problématiques identitaire à l'époque: la place de la femme, la tolérance, la sexualité... On est toujours tenté d'idéaliser les époques passés, car les images qui en restent sont pour nous comme des histoires, avec leur lot de réécriture et de fantasme, mais je ne crois pas que la vie ait été beaucoup plus agréable il y a 50 ans.  Ou du moins elle ne l'était que dans la mesure ou c'était une période favorable économiquement parlant. Plutôt que d'idéaliser un monde qui relève presque de l'imaginaire, puisque idéalisé, je pense que c’est à chacun de se donner les moyens d'être moins pessimiste, et de savoir relativiser la gravité des choses.
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Ancien membre
12/09/2016 à 12:11

Je ne suis pas d'accord avec toi, il suffit de parler à des personnes ayant connu cette époque pré-soixante-huitarde pour se rendre compte que le rapport des gens les uns aux autres était radicalement différent de ce que l'on connaît aujourd'hui.
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Ancien membre
12/09/2016 à 13:41

Peut-être que le français a besoin de râler, justement pour se sentir bien ? ;) Si le pouvoir d'un sourire n'aide pas à boucler ses fins de mois, il aide au moins à rendre le quotidien moins moche. Assurément, prendre la vie du bon côté permet de s'épargner un ulcère. Rien que ça, c'est déjà pas mal.
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Ancien membre
12/09/2016 à 19:18

Le côté individualiste est de plus en plus présent, ça c'est indéniable. Mais pourquoi? Parce que les gens se renferment tellement sur eux même en se mettant des oeillères qu'ils ne voient pas qu'il y a d'autres personne comme eux, avec qui ils pourraient se serrer les coudes. Aussi, au jour d'aujourd'hui, avec internet et les médias, tout va très très vite. On sent que les gens n'ont "pas le temps" pour quoi que ce soit, alors qu'une fois arrivé chez eux, ceux-ci ne font rien de bien trascendant, comme se coller devant la TV. La société nous conditionne aussi à être centre sur soi même uniquement, à être le meilleur, à entrer en compétition, à s'encombrer de choses inutiles juste pour impressionner les gens que l'ont méprise... Les valeurs de compassion, de pardon et d'empathie s'oublie. Pourquoi? Parce que l'on dévalorise les gens afin de leur faire perdre leur estime d'eux même, et donc devienne hyper sensible à la critique, avec un besoin de commander pour se prouver à eux même digne d'attention. On voit cela entre autre avec la montée d'islamophobie et d'homophobie ces dernières années. Il y a 5 ans de cela, tout le monde s'en foutait du port du voile (c'est un exemple). Malheureusement, niveau politique, nous avons un point de non retour où l'effondrement est inévitable. On blame souvent notre cher président dernièrement, mais en même temps: avez vous vu tout les arriérés que la France se coltine depuis plusieurs années? Comment redresser un pays qui est déjà en train de tomber avec une base qui n'est plus solide? Les politiciens tentent juste de repousser l'échéance et de diviser les gens en classe sociale et élites. Au lieu de vouloir aider tout le monde, on aide ceux qui contribuent à un intêret. Je pense surtout que l'on va atteindre un niveau tellement bas qu'une révolution intellectuelle aura lieu, où l'on sera tous tellement dans la merde que l'on fera fi des croyances, origines, orientation sexuelle et autres, et qu'on se serrera les coudes pour s'en sortir. C'est ainsi que l'on retrouvera une unité et que l'on pourra rebâtir sur de bonnes bases.
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Ancien membre
12/09/2016 à 19:28

Oui, je pense comme toi que le point de non retour a été franchi, que les gens continueront à ne rien comprendre jusqu'à crever la gueule ouverte en criant "vive la démocratie", et qu'il n'y a plus qu'en touchant le fond qu'on pourra espérer repartir sur de bonnes bases.
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Ancien membre
12/09/2016 à 19:51

j'pense pas qu'on soit tant à plaindre non plus, on est pas les plus malheureux du monde. Certes, en ce moment c'est pas forcément la joie, mais la France à connu des événements bien pire, et elle s'en est sortie.  Faut pas dramatiser, c'est pas encore la fin du monde à ma connaissance.  Et puis en tout temps et en tout lieu, il y a toujours eu des gens manipulables ,de gens plein de préjugés, des gens avide de pouvoir... C'est un triste constat, mais c'est la vie. Donc autant accepter que la merde fait partie de la vie, et relativiser son importance.
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Ancien membre
12/09/2016 à 20:05

Citation de Dedale : j'pense pas qu'on soit tant à plaindre non plus, on est pas les plus malheureux du monde. Certes, en ce moment c'est pas forcément la joie, mais la France à connu des événements bien pire, et elle s'en est sortie.  Faut pas dramatiser, c'est pas encore la fin du monde à ma connaissance.  Et puis en tout temps et en tout lieu, il y a toujours eu des gens manipulables ,de gens plein de préjugés, des gens avide de pouvoir... C'est un triste constat, mais c'est la vie. Donc autant accepter que la merde fait partie de la vie, et relativiser son importance.
Totalement! En France ou ailleurs, c'est la merde partout. Mais pas forcément sur les mêmes sujets. J'ai un pote américain qui voulait bouger en France si Trump passait président. Je lui ai fait prendre conscience qu'on a la même chose avec Marine Lepen, sauf qu'a défaut de Trump, c'est depuis 20 ans qu'elle et son padre nous font chier ^^ Il faut aussi revoir notre façon de consommer: on s'encombre de beaucoup de choses qui ne nous serve pas et qui façonne une cage dorée. Comme le dirait Tyler Durden dans Fight Club : "les choses que tu possèdes finissent par te posséder". Les crédits deviennent dettes, la sécurité matérielle devient un obstacle pour la mobilité, on dépense plus dans du gadget hi-tech plutôt que d'explorer le monde... Mais pas mal de gens sont en train de se réveiller en ce moment. Je pense qu'il y a un réel retour à la nature, mais cela va prendre encore beaucoup plus de temps pour que cela fasse un effet boule de neige.
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Ancien membre
12/09/2016 à 20:28

Je suis d'accord avec toi sur le côté anti-consumériste, c'est une aberration pour moi d'acheter quelque chose qui finira à la poubelle, du coup ça fait de moi quelqu'un d'économe. Et comme ça, avec l'argent que j'économise j'achète les chose dont j'ai vraiment besoin (du genre un piano). Après, explorer le monde je sais pas, c'est pas trop mon genre X) je suis plus de genre à rester chez moi pour pratiquer les arts. Et puis le retour à la nature c'est bien, le problème c'est que ça devient un argument commerciale pour nous faire acheter des choses toujours plus inutiles... :/
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Ancien membre
12/09/2016 à 21:19

"Pour être dans une utopie faut-il se contenter de relativiser ?" Cette question me pose problème, par définition, l'utopie c'est un idéal qui ne peut être atteint, qui ne peut qu'être fantasmé. Pareil pour le titre de ce débat : "La bonne humeur est-elle la clé de l'utopie ?" aucune clé pour une utopie, s'il y a une clé alors c'est que c'est un objectif, un but réalisable, pas une utopie, ce concept d'utopie est un idéal, mais l'idéal de l'un n'est pas l'idéal de l'autre, donc une utopie, en plus d'être irréalisable, est propre à chacun, donc de quelle utopie tu parles ?
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Ancien membre
12/09/2016 à 22:32

Tu à raison carcarigan, le sujet est mal formulé, il date de il y a très longtemps. Il a un peu dévier maintenant, et il est plus dans l'optique "une attitude positive peut elle faire bouger les choses ?"
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Ancien membre
20/11/2016 à 03:09

J'ai parcouru ce débat et je voulais réagir sur deux points abordés : - le pessimisme des français : en admettant que les français sont de nature pessimiste, je ne suis pas sûr que les différentes politiques menées jusqu'à présent (et qui dictent en partie nos vies) leur permettent de changer leur façon de voir les choses. Je pense surtout que si nous sommes pessimistes, c'est effectivement que rien est fait pour que ça change. Ce n'est certainement pas parce que nous sommes pessimistes que rien ne bouge (je fais référence à ceux qui disent que la France est irréformable alors que bon, on nous pond des réformes tout le temps) mais bien parce que rien ne bouge que nous sommes pessimistes. - les peuples qui ont moins sont plus heureux : certes, ces gens se satisfont de moins de choses et savent sûrement profiter des instants de bonheur, ce qu'il est difficile de faire dans notre société. Mais ce n'est pas parce qu'il y a pire que nous, qu'on ne doit rien faire pour améliorer notre situation. Je pense que le bonheur passe par de nombreuses choses différentes et qui ne sont pas forcément les mêmes pour chaque personne. Il faudrait en effet s'inspirer de ceux qui n'ont rien et qui arrivent malgré tout à être positifs. Je connais des amis de ma mère qui ont vécu beaucoup de galères et qui pourtant sont très avenants et positifs. Résultat, ça leur sourit.  Je pense qu'effectivement, être positif donne plus de chance d'attirer le "bien" que si on ne l'est pas. Et c'est plutôt logique. On est plus attiré par des gens souriants que par des gens qui font la gueule. Maintenant, la question est : est-ce qu'on peut vraiment réussir à être vraiment heureux sans se détacher du mode de fonctionnement des sociétés occidentales ? Pour ma part, je dirai que non. Je suis de plus en plus dégoûté par ce fonctionnement qui pourri tout sur son passage (oui je parle du capitalisme, du consumérisme) et je crois que j'arriverai à être plus heureux (et peut-être à me dire à la fin de ma vie que j'ai trouvé le bonheur) en me recentrant sur l'essentiel et en respectant les valeurs qui sont les miennes. Désolé si c'est parfois un peu confus, si je mélange plusieurs débats ... je ne cesse de réfléchir à tout ça, chaque jour qui passe et j'avoue que ce sujet tombe à pic. Il me permet de déballer une partie de mes réflexions.
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Ancien membre
20/11/2016 à 11:32

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Ancien membre
20/11/2016 à 11:34

MERCI à toi Liv08 pour avoir déterré ce sujet, toujours vivant d'ailleurs puisque les bonheurs personnels et communautaires sont sous-jacents à chaque pensé et acte de nos journées (en principe en tout cas).   il semble pour ma part indispensable de distinguer, (tout comme pour la liberté), ce qui relève de l'état heureux et de l'acte qui en provient et qui le fait durer... cette simple distinction écarte de fait la confusion que beaucoup font entre l'agir morale et l'action concrète, car être heureux est un acte personnel unissant l'intelligence et la volonté, dans une recherche de complétude.  Ainsi la bonne humeur n'est plus perçue uniquement comme une condition sine qua non au bonheur personnel et communautaire, (l'utopie) mais comme une résolution consciente que chacun doit choisir pour participer à son bonheur et à celui des autres, résolvant de fait cette équation ancienne, "puis-je être heureux si les autres ne le sont pas aussi"... nous voyons bien que notre monde "super informé" est devant cette difficulté, "est-il encore possible de parler de bonheur personnel dans un contexte où la notion de bien être physique et psychologique sont normatif (consumérisme et positivité ) ?  ...réduisant le bonheur à un avoir et à un ressenti, il est évident que nous édifions un monde qui lui ressemble...et que la construction culturelle de l'humanité utilise des éléments incompatibles, formant ainsi un milieu de vie artificiel ne pouvant permettre qu'un "bonheur" artificieux ...
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Ancien membre
20/11/2016 à 16:27

Tu peux rajouter qu'on construit notre "bonheur" sur le dos des autres. Si nous sommes heureux en consommant, ceux qui fabriquent pour nous, sont bien souvent exploités, mal traités etc... le malheur des uns ferait-il donc le "bonheur" des autres ? Pour l'instant, on nie tous plus ou moins, on essaye d'oublier, mais est-ce qu'on arrivera à vivre avec ça sur la conscience encore très longtemps ?
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Ancien membre
20/11/2016 à 20:04

tu as raison c'est une source de conflit intérieur qui nous fait repenser notre engagement civique et politique, même si ces deux zones de confluence deviennent de plus en plus troubles et fangeuses ... c'est une peine qu'il nous faut porter en compassion sans doute avec les plus malheureux que nous... 
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