Le Prince et le fils du Fauconnier
Au temps du moyen âge, des Rois et des Reines, des chevaliers de capes et d'épées, des dames de cours et de valets, là se situe l'histoire que je vais vous conter.
dans notre bon royaume des Francs, Un couple Royal d'un petit royaume sans prétention mais ou, dit-on, il faisait bon vivre, était au désespoir : en effet, une invasion aussi soudaine que violente de faucons faisait rage, attaquant les messires et paysans, détruisant les maisons et les champs, dévorant les petits animaux d'élevages, les emportant entre leurs griffes acérées, au loin dans le ciel et de leurs puissantes ailes, atteignaient les nuages, vers les cimes et contrées plus lointaine ou se cachait leurs repères.
La peur qui envahis l'esprit de chaque habitant de ce royaume si paisible fit bientôt place à la colère du peuple réclamant au plus vite une réponse dans un premier temps divine, et n'ayant pas le retour escompté à leurs ferventes prières, se tournèrent vers leur Roi.
Celui-ci était tout autant impuissant, sa garnison de soldats, fierté de sa majesté sur les champs de batailles, se retrouvaient très vite démuni devant ces prédateurs d'une taille gigantesques, passant de guerriers farouches à garde manger de ces volatiles.
touchée par la détresse de ses gents et de son Roi bien aimé, la Reine, d'habitude si discrète prit la parole à la cour:
-"Mon Roi, mon bon Roi, j'ai eu vent fut un temps d'un homme aux pouvoirs merveilleux, capable sans armes mais en paroles, de soumettre ces animaux sans faire couler la moindre gouttes de sang. allez querir vos meilleurs chevaliers, envoyez les dans tout le pays afin de le retrouver et de lui proposer en échange de sa tâche, une récompense qu'il ne pourra refuser.
Le Roi, reconnaissant à Dieu d'avoir épousé une femme d'une aussi grande sagesse et de sang-froid, exécuta à la lettre le conseil de son épouse. cet homme bien mystérieux rechercher dans tout le royaume, n'avait pas de nom. c'était un vagabond qui allait là ou le vent le portait, mais il était néanmoins reconnaissable à tout autres, par sa gentillesse et son contacte aisé.
Un mois passa avant que les meilleurs chevaliers retournèrent auprès de leurs souverains, entourant de leurs montures, un jeune homme, vêtu d'habit bien usés par les voyages passés mais d'un visage d'une beauté bien visible . d'une nature docile, il n'émit aucune objection à
suivre cette escorte afin de répondre à la requête du Roi.
Arrivé devant la cour, il s'agenouilla devant leurs majestés et d'une voix claire et ferme il dit:
"j'ai compris votre demande et j'en accepte les conditions si toutefois les miennes sont acceptés en retour"
"considères les comme acquises, dit le Roi, que désires tu en échange de ta besogne?"
" j'ai voyagé par monts et par vaut et lors d'un de ces voyages, j'y ai fait la rencontre de celle qui est maintenant mon épouse. Nous souhaiterions nous reposer mais pour cela il nous faut des terres oh, rien de grand ni de prétentieux, juste de quoi être à l'abris du temps, de la faim et de contempler les saisons.
le Roi fit silence durant quelques minutes et les gens de cour chuchotèrent . un si petit prix pour une mission si dangereuse... cela ne cacherait il pas quelques duperies? mais croisant le regard de sa Reine qui avait l'air fort amusée de sa réaction, le Roi se ravisa et dit :
Le fauconnier n'en demandait ni plus, ni moins et , après avoir gouter les meilleurs mets, conduit dans la meilleure chambre, il se glissa dans les plus beaux draps qu'il ait pu sentir sur sa peau et s'endormi sans peine dans le lit le plus confortable .
Et dès les premiers rayons du jour, le fauconnier vêtu de beau habits offert par la Reine, se mit en chemin accompagné d'une troupe de soldat dont la présence était à la demande du Roi pour avoir des témoins sur le bon dénouement de problème qui ne pouvait duré plus longtemps.
Accompagné de son escorte, l'homme parti. au bout d'un certain temps, le voyageur demanda à s'arrêter. et celui ci se tournant vers la troupe , leur dit:
Bientôt sa silhouette ne fut plus visible et l'on craignait le pire... jusqu'à ce que tous les oiseaux se dispersèrent . en un instant l'ombre de l'homme réapparu, les animaux jusque là figés dans la contemplation d'un spectacle que seuls eux semblaient comprendre, reprirent chacun le cours de leur journée et le ciel retrouva sa couleur bleuté.
le voyageur quitta le sommet de la colline, retrouve la troupe encore hébétée de ce qu'ils venaient de voir. l'un des soldats semblant retrouver ses esprit se mit à crier:
"l'un de ces monstres semble vous avoir suivi!" En effet, virevoltant au dessus de de l'homme l'un des géant à plume se posa bientôt sur son épaule non sans causer quelques blessures au vagabond.
Arrivée dans la salle du trône, toute la cour s'agglutina pour entendre le récit du voyageur.
-" es tu sur de toi? demanda le Roi - est ce vrai que selon le rapport de mes gardes qui t'ont accompagnés, que tu serai capable de parler à ces créatures? pourquoi nous ont elles attaquées?"
-" et que feront 'il pour moi?" dis le roi intrigué et peu convaincu
" ils protègeront les champs des rongeurs trop pressés de grignotés les récoltes de blés, ils préviendront vos armées d'attaques d'ennemis des heures voir des jours avant qu'ils ne foulent de leurs pieds vos terres et bien d'autres choses encore."
l'assemblée émis des brouhaha ou l'on pouvait deviner des échos tantôt enthousiastes tantôt dubitatifs à l'écoutes de tels prouesses.
La Reine qui comme à son habitude était restée en retrait, posa doucement la paume de sa main sur celle de son royal époux et lui chuchota quelques mots à l'oreille. suite à cela le Roi sourit et une nouvelle fois remercia le ciel de son union. Le Roi se leva et prit un ton solennelle:
" j'ai pris ma décision et celle-ci est sans retour: tu as semble t'il tenu ta promesse mais seule les années prouveront tes dires. C'est pourquoi comme promis tu aura tes terres dans notre royaume, une maison confortable y sera bâtit et des animaux de ferme te seront offerts , tu pourra t'y reposer auprès de ton épouse que ma garde personnelle est aller chercher. tu vivra en bas de la colline aux faucons, ainsi tu en aura la responsabilité. si tout ce que tu nous a contés se réalisent, alors je te couvrirai de gloire et tu aura ma reconnaissance éternelle mais si c'est le contraire alors seule la mort t'attendra."
Puis on introduisit au château la femme du voyageur. A son approche, la foule s'écartait en haie d'honneur silencieuse, surpris par tant de beauté. D'un pas peu assuré, elle s'avança en direction de son mari qui lui tendait déjà sa main trop heureux de la retrouver . Au moment ou elle voulu s'incliner devant le Roi et la Reine, celle-ci se leva d'un bon, s'avança vers elle et arrêta son geste. Elle se tourna en direction d'un valet qui s'emblait avoir compris son intention en s'empressant de placer derrière la jeune épousée encore surprise, une chaise. la Reine lui dit en souriant:
la jeune femme failli s'évanouir en entendant les mots de la Reine car en effet elle attentait un premier enfant mais n'en avait pas encore informer le futur père . mais des cris de joies s'ajoutèrent lorsque la Reine elle-même avoua qu'elle avait deviner car elle même attendait un heureux évènement pour la 1ère fois.
S'en suivi des jours et des nuits de festivités dans tout le royaumes et terres voisines.
Près de 8 mois passèrent durant lesquels la Reine et la jeune épouse du voyageur - qui n'en n'était plus un- contemplèrent ensemble leur ventre s'arrondir, leur peau prendre des tons rosée, et partagèrent ensemble leurs joies et leurs craintes à l'approche de leurs délivrances.
Puis, comme un miracle arrive rarement seul, ils s'avère que les deux femmes - devenues amies- donnèrent naissance toutes les deux le même jours et à la même heure, à 2 garçons bien portant.
Les 2 bébés, l'un blond comme les blés et aux yeux vert de la plus profonde forêt, était le petit prince. Tandis que l'autre, châtain comme l'écorce d'un chêne et les yeux noir profond comme une nuit sans lune, était le fils du fauconnier. Dès ce jour béni, les deux enfants grandir ensemble. Le fils du fauconnier, eu le privilège d'avoir ses entrées à la cour du Roi, il était traité comme un noble gentilshommes et eu accès a une éducation ou il appris l'étiquette et toute les connaissances que le beau monde pouvais lui offrir. quant aux fils du Roi, le petit prince, sortait librement dans le village, s'amusait auprès des animaux de la ferme près de la colline aux faucons, et ainsi eu accès à toutes les connaissances que le vie de son peuple pouvait lui offrir. si vous ne connaissiez pas leurs histoires, vous auriez pu jurer que ces deux là étaient des frères de sang tant ils s'entendaient bien, à tel point qu'on ne savaient plus qui des deux était le futur roi et qui des deux était le futur grand fauconnier.
Les jours, les mois et les années passèrent sans ombre aux tableaux le fauconnier père, avait bien tenu sa promesse: les faucons faisait maintenant partis intégrante du royaume rendant de nombreux services aux paysans en protégeant leurs terres mais aussi aux nobles et à l'armée en transmettant par les airs, des messages. ce fut d'ailleurs la renommée du royaume qui s'enorgueillis d'une tel prouesses jamais vu auparavant.
Pour le récompensé, le Fauconnier sédentarisé ainsi que sa nouvelle famille fut anoblie du titre Seigneur du Grand Fauconnier, sa femme de Dame de cour du grand Fauconnier et de tous les privilèges qui s'y attachait. on leur offris également des armoiries qui les identifieraient dans tous le royaume et bien au delà : un grand oiseau bleu Royal sur un ciel d'or encadré de la fleur de Lys qui les unissaient à la famille royale.
Les deux enfants devinrent bientôt deux jeunes hommes intelligents et fort séduisants, si bien que des demandes en mariages des familles royales et noble du monde entier commencèrent à arriver au château pour les deux jeunes gens dès leurs 13 ans. Leurs parents respectifs liés d'une grande amitiés qui s'est agrandit au fils des années, remercièrent chacune des familles par message de l'intérêt porter à leurs fils mais les trouvant bien trop jeunes pour des fiançailles, refusèrent leurs demandes en mariage en leurs demandant de patienter encore un peu.
Le jour de leurs 16ème anniversaires, de nouvelles demande en mariage de toutes les langues possibles arrivèrent au château et lorsque l'ont les interrogeaient sur le sujet, après s'être regarder dans les yeux de l'autres et pouffer de rires, les 2 garnements plus beaux encore qu'à leurs13 ans, repondèrent chacun leur tour :
" pourquoi devrais je me marié puisque le fils du fauconnier est toujours à mes côtés?"
Leurs parents soupirèrent et encore une fois répondirent négativement à toutes les demandes et leurs prièrent de patienté jusqu'à leurs 20 ans. ils seront plus sages et réfléchis d'ici là pensèrent t'ils.
il ne fallut pas longtemps pour que les garçons atteigne l'âge d'homme en fêtant leurs 20 ans, et lorsque les demandes en mariages arrivèrent encore plus nombreuses qu'a leurs 16 ans, leurs parents ne leurs laissèrent plus le choix, mise à part de choisir leurs futures épouses ayant eut eux-mêmes cette chance.
Cette fois-ci, le temps n'était plus à rire.
Dans la chambre du prince, les deux jeunes hommes parlèrent:
-" as tu envie de prendre épouse ? demanda le premier"
-" bien sur que non puisque je t'ai toi ! ... et toi?" demanda le second craignant la réponse.
"évidemment que non puisque je t'ai toi !" répondit il tout sourire en le voyant soulagé.
-" mais alors qu'allons nous devenir ?" termina le second
Le fils du fauconnier a eu une idée:
Acceptons ensemble de recevoir les prétendantes et refusons leurs toutes leurs demandes. ainsi nous seront libérés et pourrons vivre comme nous l'avons décidés.
Le prince réfléchit un instant et se mit à rire :
il tendit ses mains en directions de celles de son ami qui y déposa les siennes. le front de l'un se posa sur celui de l'autre et quand les yeux de forêt croisèrent les yeux de nuits sans lunes, nuls paroles furent prononcées, parfois les mots sont bien trop superflus.
Arriva le jour de réception des potentielles fiancées. bien que la demeures du fauconnier était devenu avec le temps un manoir d'une grande noblesse, il avait été convenu que les présentation se ferait dans la salle du trône, la même ou 20 ans plus tôt leurs destin étaient scellés.
chacune des jeunes femmes se présenta, déclinait leurs rangs et leurs âges. firent leur plus belle courbettes et hommages. les deux garçons firent beaucoup d'efforts pour ne pas rire de cette comédie qui se jouait devant eux. un seul regard de l'un envers l'autres même furtif, suffisait à ce que l'un devine les pensés de l'autre. personne ne pouvait voir leurs petits manège, personne à part leurs mères.
il y avait tant de courtisanne qu'il à bien fallu 3 jours pour que toutes est une chance de présenter devant les deux parties. 3 jours de faste, de banquet et de musiques, de fêtes et de danses. le royaume était en liesses et pour cause : quel royaume peu se venter de préparer deux mariages aussi grandioses?
mais pour les jeunes prétendants ce ne fut que froufrous , flatteries et ennuis. tout deux étaient extenués car ils n'en voyaient pas la fin.
A la fin du 3ème jour, leurs mères les accompagna chez le fauconnier afin qu'ils reprennent des forces.
installés tous les 4 dans la grande salle du banquet, les 2 jeunes hommes finissaient leurs diner bien mérité. leurs mères respectives, assises en face, les regardèrent tendrement le souvenirs de leurs naissances se rappelant à elles. mais ce soir planait aussi dans leurs esprit une inquiétude dont elle même n'en saisissaient pas encore tout à fait la raison.
la Reine décida d'ouvrir la conversation:
-" mes enfants, vous avez pu recevoir toutes les plus nobles et les plus belles demoiselle du Royaume mais aussi des pays voisins et des plus lointaines contrées qui soient. vos pères et nous mêmes ne pouvions être plus fières et honorés de tant d'attention à vos endroits"
les 2 jeunes hommes se regardèrent et comprirent que l'instant que tous deux redoutaient avaient commencé.
-"mes garçons - reprit la mère du jeune fauconnier - il temps pour vous de vous confier à nous quant aux choix de votre future épouses . qu'elle quelle soit vos pères et nous même en serons comblés.
L'air grave mais décidé, ils regardèrent leurs mères respectives droit dans les yeux il n'était plis temps d'hésité, mais comme pour se donner du courage et en toute discrétion, le prince héritier joignit sa main à celle du jeune fauconnier, croisèrent leurs doigt qui s'étaient refroidit à fraiche arrivée du début de soirée.
Le prince prit donc la parole en s'adressant aux deux femmes:
" mères, nous vous devons à vous et à nos pères, tout le bien dont nous avons tout deux jouis dès notre venus en ce monde. Rien ne nous ferait plus plaisirs que de vous rendre tous ces bienfaits offerts depuis 20 ans, en liant nos vies à deux jeunes filles venues en notre royaumes pour prétendre partager notre destins et afin d'apporter paix, bonheur et prospérité à notre personne, nos familles et nos royaumes."
Sa majesté eu un léger hoquet tandis que Dame du grand Fauconnier se figea en retenant sa respiration.
les visages des deux mères désemparées après de telles révélations, laissaient transparaître toutes les émotions par lesquelles elles passaient: la stupéfaction tout d'abord, s'en suit la raison, la colère, le désarroi la tristesse et pour finir une grande déception. il n'y eu pas de place pour la compréhension.
Les deux hommes ne dirent mots, et , qu'auraient ils pu dire de plus? contempler ce que leur égoïsme pouvait provoquer dans les cœurs de celles qu'ils aiment le plus au monde était le prix à payer pour leur décision, mais ils refusèrent tout deux de céder.
n'obtenant pas autre chose que leur entêtement, la Reine et Dame fauconnier décidèrent de se quitter pour le moment, chacune gardant leurs fils près d'elles et aviseraient leurs époux du choix de leurs enfants.
La suite ne fut guère réjouissantes, leurs pères, sitôt informés de la décisions de leurs fils, fulminèrent de rage, comment pouvaient ils osés leurs faire une telle disgrâce? ils eurent beau les réprimander, les supplier, les menacer rien n'y fit, ils ne changèrent pas d'avis.
Il fut décider dans un premier temps de les éloigner l'un de l'autre.
On envoya le Prince faire son service militaire. Le prince tomba dans une grande tristesse, si bien que sa mère, prie de pitié, demanda à Dame du Grand fauconnier d'amener son fils la veille de son départ pour lui faire ses adieux.
une fois seuls, mais sous bonne garde a l'extérieur de la chambre royale, le prince ne pu masquer son chagrin plus longtemps et se laissa consoler par son ami:
" cette fois ci- serait la fin? dit-il - ne plus te voir me condamnera."
Le prince se dirigea vers la fenêtre et malgré la nuit sombre, vit une ombre dans le ciel. c'était un faucon.
Bien sur cela ne pouvais remplacer la présence du fils du Fauconnier mais cela le réconforta. ils parlèrent une bonne partie de la nuit jusqu'à ce que la garde les informent que l'heure de la séparation était venue.
leur séparation dura un an . l'idée du service militaire était aussi un prétexte pour pour faire patienter les potentielles fiancées.
Quand au fils du Grand fauconnier, son père le surveilla de plus en plus prêt lui laissant peu de moment de solitude. mais son plan fonctionna à merveille: son Faucon transmettait à l'un les pensées de l'autre et ils s'y accrochaient comme un pirate au plus beau des trésors trouvés dans les mers. C'était tantôt des phrases, de longues tirades, ou de petits mots mais qui ne pouvait être compris que par eux .
Durant l'année, s'apercevant de leurs échanges, le Roi ordonna d'éloigner un peu plus la garnison ou se trouvait son fils. et le Grand fauconnier confisqua l'oiseau de son fils. Mais celui-ci fit appel à bien d'autres de ses alliés ailés et chaque fois que la distance entre les amoureux s'agrandissait, un autre oiseaux plus fort, plus résistant et plus fidèle à son maître prenait le relais.
s'y bien qu'on fit revenir la garnison du prince à la fin de la première années.
Tout fut tenté pour les séparer: les brimades, la menace, les sermons mais si la peine que leur décision causait à leur mères ne les faisait pas revenir à la raison, alors rien en cette vie ne le pouvait.
Un soir, leurs parents se réunir. une décision définitive allait être prise par le Roi, la décision la plus dure et la plus cruelle qui soit.
Pour la survit du royaume, le fils du Grand fauconnier fut arrêté et condamné à mort.
Du fond de sa prison, le fils du Grand fauconnier pinça une dernière fois ses lèvres comme lui avait enseigné son père. aussitôt après, un de ses faucon, bien plus petit que d'autres, se faufila entre les barreaux poussiéreux de sa geôle , et attacha avec l'un des lacets de sa chaussures qu'il avait réussi à cacher, son ultimes adieu.
l'oiseau hocha la tête et prit son envole en direction du château.
Les jours suivant l'arrestation du fils du Grand fauconnier, le prince supplia son père et sa mère de changer d'avis, il hurla sa douleur et jura de ne plus jamais le revoir si leurs Majestés faisaient preuve de clémence envers lui. mais ses suppliques restèrent vaines. En effet,
le Roi son père avait pris conscience que tant que tous deux respiraient, leurs lien ne pouvais disparaitre. II fallait donc que l'un d'entre eux ne soit plus de ce monde et - pour la survis du Royaume - seul le fils du grand fauconnier devait porter ce fardeau.
Dans le même temps, le Prince reçu les dernière paroles de son bien aimé et pu lire ceci:
-" N'en veut pas au Roi ton père, car je ne suis fâché. j'ai fait le choix de t'être fidèle et n'en ai aucun regret.
Pardonne ta mère la Reine qui t'as toujours aimé car je la remercie elle et la mienne, de nous avoir fait naître et ainsi rencontrer.
Je n'ai que mon amour, lui seul à te léguer, mais lui, sois rassuré, ne te sera enlevé.
Le jour suivant, l'annonce de l'exécution fut propagée dans tout le royaume ainsi qu'aux pays voisins. En ces temps la condamnation était la mort sur le bucher.
La Dame du Grand fauconnier, inconsolable depuis l'emprisonnement de son fils ne trouvait nul réconfort auprès de son époux qui lui-même affecté par le chagrin ne pouvait que lui répondre machinalement : " les ordres du Roi sont irrévocable".
à la nuit tombée, la veille du dernier jour, la Reine, habillée de simple vêtement et d'une modeste capeline recouvrant son visage et sa chevelure, se rendit dans un carrosse tout aussi modeste, aux abord du bois. Là l'attendait la Dame du Grand fauconnier. Elle s'étaient entendues quelques jours plus tôt pour ne point laisser les choses en l'état et, tout comme elle savait pour l'existence du voyageur qui savait parler aux animaux, elle connaissant de réputation, une sorcière qui vivait au delà du bois.
accompagnées par deux soldats de grandes confiances, elles entrèrent dans la pénombre la plus épaisse jamais vu, au bout de plusieurs heures, par se trouver devant la petite maison de la dite sorcière. Celle-ci les attendait devant son portail de bois.
"Je sais ce qui vous amène mais je ne peux annuler la décision du Roi. mais prenez ceci - Elle tendit aux deux femme un petit flacon contenant un liquide rouge comme du sang -
" Dame du Grand fauconnier, lors de votre ultime visite à votre fils, donnez lui le flacon en lui disant qu'il doit verser 3 gouttes de ce liquide sur sa langue aux première lueurs du soleil, j'ai bien dit 3 gouttes, ni une de plus, ni une de moins.
"qu'adviendra t'il de mon fils alors? dit-elle la voix tremblante, la Reine l'entourait de ses bras de peur que celle-ci ne s'effondre .
" je l'ignore madame, le résultat varie selon le cœur des gens qui le boit. plus le cœur est pur, plus son effet sera puissant. mais hâtez vous maintenant de retournez auprès de lui car il ne vous reste que peu de temps avant le lever du soleil.
Elles remercièrent la sorcière, lui laissèrent deux bourses d'argent bien garnies et se mirent en route.
toutes deux sortirent saines et sauves du bois avec leurs gardes, tous épuisés.
avant de se quitter les deux femmes se prirent dans les bras
" Mon amie -dit la Reine- mon cœur de mère vous accompagnera jusqu'à la fin. ayez foi en elle comme j'ai eu fois en votre époux il y a de cela 20 ans.
" Ma Reine - répondit la Dame du fauconnier - j'ai avant tout foi en vous - Elle desserra son étreinte et prit les mains de la Reine dans les siennes .
" vous qui aimez mon fils comme le vôtre pouviez entendre mes pleurs. Quoi qu'il advienne demain, sachez que mon amitié et fidélité vous seront acquis à jamais.
sur ces paroles sincères, elles prirent chacune le chemin de leurs demeures.
Arriva le matin du dernier jour. comme convenu la Reine, sur ses supplication, fit écrire par le Roi une autorisation spéciale qui permis au Grand Fauconnier et à sa femme de visiter une dernière fois leur enfant bien-aimé. père sanglota longtemps en demandant pardon à son fils de ne pas avoir pu faire changer la décision du Roi, celui-ci lui ne lui en avait jamais tenu rigueur, puis, ce fut autour de sa mère de le serrer contre sa poitrine. se faisant, elle glissa le flacon de la sorcière dans sa poche et lui chuchota à l'oreille
Le fils du grand fauconnier fut ému face à l'amour de sa mère, lui baisa les mains puis à l'arrivée de ses geôliers, tous comprirent que le moment des adieux était arrivé.
Comme l'avait recommandé sa mère et la sorcière avant elle, il attendit les premiers rayons du soleil, versa 3 gouttes du liquide sur sa langue et les avala.
Il ne se senti aucun changement. Peut-être faudrait il attendre? mais du temps, il n'en n'avait plus. on ouvrit les grilles de sa prison et fut conduit vers la porte menant au bucher.
il faisait très beau ce jour la, le soleil était déjà bien haut et le ciel bien bleu .
Le bucher se dressant devant lui, le fis du Grand fauconnier frissonna l'espace d'un instant. Le brouhaha de l'assemblée, venue nombreux voir l'exécution fit silence lorsqu'il fut attaché à celui-ci au poteau. il fut interdit au prince d'assister à la mort de son amant et le fils du Grand fauconnier en fut soulagé. sa mère accompagnée de la Reine étaient à la chapelle priant pour qu'un miracle se passe. le grand Fauconnier ne voulu pas y assister, voulant garder l'image de son fils intacte dans ses souvenirs.
pour abrégé le supplice de cette sentence injuste mais nécessaire à la préservation du royaume, les torches furent très vite lancer sur le tas de bois aux pieds du condamné et celui-ci pris vite feu. on entendit des cris et des pleurs mais qui venaient du public horrifier mais ne pouvant de tourner leurs yeux de la scène qui se déroulait devant eux. les yeux du fils du fauconnier irrités par la fumé montait au niveau de son visage, se mirent à larmoyer, puis au moment même ou ls flamme montèrent dangereusement frolant à plusieurs reprises ses pieds, il sentit étourdissement l'envahirent. ses paupières se firent lourdes et bientôt la peur de la mort disparu. avant même que ses yeux soient clos il ne pu s'empêcher de souffler
Durant 3 nuits et trois jours, rien ne pu éteindre ce brasier.
Le temps passa et le Prince malgré le deuil qu'il portait du se choisir une fiancée refusant toute discussion à ce sujet, il y consenti pour que le sacrifice de celui qui connu son amour ne soit pas mort en vain
La jeune fille qui fut choisie était également présente lors des 3 jours de présentations des prétendantes. La jeune fille peinée pour son futur époux, mis toutes ses forces pour lui remonter le moral et lui offrir mille et un plaisir, par celui de la table avec les mets les plus délicieux qui pouvait existés, puis par les plus belles fleurs offrant les plus delicats parfums que l'ont pu humer et par des chants, des airs de musique qui ne pouvait que vous toucher. Le prince fut fort sensible à toutes ces intentions et ne manqua pas de la remercier avec une sincérité à ne pas douter, si bien que leurs Majestés eurent pendant un temps, une lueur d'espoir d'un avenir pleins de promesses pour leurs fils et leur royaume malgré la tragédies dont le Roi se savais seul coupable. Seulement, à l'arrivée de la nuit, lorsqu'il se retrouvaient seul, Le prince ne pouvait retenir ses larmes.
Un matin, lors de la promenade quotidienne du jeune couple dans les jardins qui arborait le palais, la jeune fiancée chuchota à l'oreille de Prince
" votre altesse, n'en soyez pas effrayé mais depuis quelques jours n'avez vous pas remarquer une étrange mais néanmoins magnifique créatures nous observe pendant que nous faisons nos pas matinaux? le Prince qui d'ordinaire ne semblait ne plus s'intéresser à rien, s'embla intrigué
" Est-elle non loin de nous ?" Ravie d'avoir attisé sa curiosité, La jeune fiancée continua :
Le Prince s'exécuta et, resta sans mot dire, contemplant un oiseau jamais vu alors, d'un plumage qui semblait contenir toutes les nuances de couleurs qu'un tableau n'aurait pu contenir et des yeux.. des yeux qui lui s'emblaient bien familier.
La jeune fiancée fut plus que ravie de voir le Prince enfin s'intéresser à quelque chose... même si il ne s'agissais pas d'elle.
" N'est-il pas magnifique votre Altesse? essayons de l'attraper!" le prince n'eu pas le temps de lui répondre qu'elle appela les gardes et aussitôt, ceux-ci se mirent à l'ouvrage mais avec peu de succès. la princesse peu patiente, fut vite ennuyée par cet échec et, prenant le prince par le bras, elle l'entraina d'un pas vif vers elle afin de poursuivre leur promenade.
Quelques jours passa et le Prince, toujours intrigué par l'oiseau, alla chaque jours, seul, se promener dans les jardins et chaque jours alors, l'oiseau se rapprochait de lui. Jusqu'au jour ou celui-ci se posa sur son bras . Plus les ballades furent quotidiennes, plus le lien entre eux se fit fort et solide. Bientôt, l'oiseau vint à faire des visites nocturnes au Prince pour son plus grand plaisir. Lors d'une de ces nuits ou le prince laissa une fois de plus sa fenêtre ouverte pour que son ami ailé puisse rentré, quel ne fut sa surprise de voir que l'oiseau en virevoltant vers lui, prit l'apparence du Fils du Grand fauconnier! Après leurs douce étreinte le Prince lui demanda:
" mais par quelle magie peux tu te tenir devant toi qui par les flammes fut bruler?
" Nous le devons à trois femmes: une sorcière, sa majesté la Reine et ma tendre mère. Avant les premières lueurs du jour de mon exécution, ma mère me fit boire une potion que concocta une sorcière qui était connu de la Reine et au moment ou les flammes m'atteignirent, tout en pensant à toi, ma peau est devenu plumage et mes bras des ailes. les cordes ne me tenant plus je me suis envolé.
" mais tu es bien devant moi fait de chairs et d'os comment cela se peut-il?" demanda le Prince qui ne savait encore si il faisait un rêve éveillé,
En disant ces mots, le fils du grand fauconnier baissa les yeux un peu honteux de cette forme qui lui paraissait comme une faiblesse.
Le prince rit d'un rire chaud et de bon cœur, il prit le visage de son amant entre ses mains et lui dit:
C'est alors que chaque jour son aperçu le Prince dans ses jardin et au dessus de lui un bel oiseau encore jamais vu, semblait lui siffler les plus beaux chant d'amour que l'on eut entendus et le soir venu, les deux amants sous forment humaines ne dirent mots et restèrent toutes les nuits enlacer l'un à l'autre jusqu'au premier rayon du soleil.
Le Roi voyant une amélioration d'humeur sur le visage de son fils, ordonna de préparer hâtivement le mariage .
Le Prince prit peur: certes sa fiancée était bonne avec lui et c'était elle qui lui parla de l'oiseau mais il ne pouvais envisager une autre union d'autant plus qu'il avait enfin retrouver son bien aimé peu importe l'apparence qu'il présentaient, il en vint à aimer les deux puisque c'était lui.
le soir même Le fils du Grand Fauconnier retrouvant son apparence humaine et du même coup le langage, dit au Prince.
N'ai craintes et vas donc chez ma mère réclamer les vêtements du jour de ma disparition, qu'elle à amoureusement conserver en souvenir de moi. Elle sera triste de s'en séparer mais elle te les donnera de bon cœur. Puis, attends tranquillement le jour du mariage. Tu boira, le matin de vos noces 3 gouttes de ce breuvage, j'ai bien dit 3 gouttes, ni une de plus, ni une de moins et au moment de sceller vos vœux par un baiser quand son souffle effleurera tes lèvres, la magie opèrera mais je ne sais quelle forme celle-ci prendra. malgré l'incertitude du résultat, le Prince acquiesça.
Le lendemain comme il fut décider la veille, le Prince se rendit au manoir, en bas de la collines aux faucons et demanda que lui soit remis les vêtements que le fis du Grand Fauconnier portaient le jour de sa mort. Dame du Grand fauconnier quelque peu surprise de cette requête, fit patienter le Prince et revint avec deux servantes qui déposèrent à ses pieds un coffret contenant les dits vêtements.
" Voici votre Altesse les vêtements que portait mon défunt fils avant de rendre son âme à Dieu dit-elle la voix tremblante etje vous les offres avec tendresse si ceci peu vous aider à laisser derrière vous le passé pour un avenir meilleure.
" Le prince pris les mains de la femme dans les sienne et lui répondit d'une voix apaisée :
il lui tendit une enveloppe contenant une invitation au mariage royale puis, lui baisa les mains et s'en retourna chez lui.
Le grand jour arriva. Dans une des plus somptueuses pièces du château, la Jeune fiancée, déjà apprêter des plus beaux tissus brodés et des plus délicates dentelles tissées était entourée d'innombrable dames de la plus hautes noblesses afin de l'aider à se vêtir et se coiffer. Ainsi vêtues, elle était ne pouvait être plus radieuse et une fois les lourds bijoux déposer sur sa délicates peau poudrées, elle s'inclina devant la première dame de la cour qui, sous les applaudissements des autres femmes , déposa sur un long voile d'un blanc immaculé, une couronne qui annoça à toutes le nouveau titre de princesse héritière du trône de leur royaume.
dans une autre pièce non loin de là, l'atmosphère y était plus silencieuse et solennelle. le Prince avait exiger une escorte minimum. Les jeunes hommes les plus distingués chargés à leurs tours d'habiller le futur roi furent donc en nombre restreint. son habit de noce blanc et dorée, incrusté de pierreries , d'une lourde capeline en velours d'un bleu profond ou était cousu de fil d'or, les armoiries de sa illustre lignée lui pesait bien lourd sur ses frêle épaules. Comme il fut pour sa future épouse, Le Prince s'inclina devant le premier gentilhomme de la cour et avec délicatesse, déposa sur sa tête royale, une couronne qui imposait à elle seul le respect.
Après s'être incliner devant leur futur roi, tous quittèrent la pièce. Une fois seul, Le Prince alla ouvrir la fenêtre et l'Oiseau entra, se posa sur la main de son aimé et frotta le dessus de sa tête contre les joues fraiches du Prince. le contacte des plumes sur sa peau le chatouilla et le fit rire.
L'oiseau se mit à siffler doucement
Trompète et tambour se firent entendre, l'heure de présenter le nouveau couple princier arriva.
Le Prince toujours droit et majestueux, se plaça aux côté de sa future épouse, s'inclina gracieusement devant elle et tendit sa main, paume tournée vers le ciel. En réponse, La Jeune future princesse, fit sa plus belle révérence, déposa délicatement sa main frêle sur celle de son futur mari et souverain et tout deux se dirigèrent vers le balcon donnant sur la cour. celui-ci était généreusement décoré de fleur fraîche cueillies la veilles et arrangées au petit matin.
Une fois sur le balcon, des cris de joie se firent entendre bien au delà du royaume, la foule à leur pieds était en liesse! ce jour la le soleil était d'un doré radieux
" comme ce matin là " se souvenait le Prince. La Princesse tourna son visage vers lui et lui demanda:
Le moment de l'union arriva enfin, Leurs majestés tout aussi somptueusement apprêtés rejoignirent le jeune couple sur le balcon puis, ayant procédés à la bénédiction de l'union, annoncèrent ensemble le moment tant attendu du baiser, acte qui à lui seul, validait leur mariage.
c'est alors que l'impensable arriva tout un peuple en firent témoins mais nuls ne su jamais l'expliqué. au moment même ou le prince allait déposer un baiser sur les lèvres de sa promise, le souffle de cette dernière sur ses lèvres eu pour conséquence en un nuage de fumé, de transformer le Prince en un oiseau semblable à celui qu'elle avait observé avec le Prince lors d'une de leurs promenades dans les jardins. Surprise, elle laissa échapper un petit cri, mais son étonnement devint plus grand lorsqu'un second oiseau, identique à celui soudainement apparu, vint les rejoindre et, aussi incroyable que cela fut, elle compris.
Les deux magnifiques oiseaux, tournoyant autour d'elle, chantèrent une mélodie, la plus belle qu'elle n'eut jamais entendu, empreint d'amour et de pardon.
puis, ils s'envolèrent , ensemble au loin jusqu'à ce qu'ils ne puisse plus être visible à l'œil nu.
Pensant tout d'abord à une malédiction divine, les invités aussi bien que le peuple prirent peurs et tous rentrèrent chez eux. Leurs majestés, le Grand Fauconnier et sa Dame et la fiancée déchue, se réunirent tous dans la chambre de feu le Prince et lorsqu'elles virent le flacon contenant encore un peu de ce si joli liquide rouge, le Reine et Dame du Grand fauconnier comprirent enfin. tout fut expliquer à leurs époux et à la malheureuse fiancée qui joignit aux habits du fils de Grand fauconnier, ceux du Prince qu'elle avait prit la peine de ramasser.
" A l'instant ou je vis les deux oiseaux, je su que je n'avais jamais obtenu le cœur du Prince et que nul autre en ce monde ne pouvait l'avoir.
C'est ainsi que ce termine notre histoire. La fiancée fut l'épouse d'un autre héritier, mais fascinée et surement un peu envieuse après avoir été le témoin privilégié de ce que le véritable amour pouvait nous changer jusqu'à même notre propre apparence, elle s'offrit le temps de se laisser elle aussi, atteindre par ce sentiment. Et lorsqu'elle eut elle même son premier enfant, elle lui conta l'histoire de d'un couple d'Oiseaux légendaire qui avant d'avoir des griffes et des ailes avait eut des bras et des jambes.
" Mais quel sorte d'oiseaux était ce ?" demande l'enfant à sa mère
" L'oiseau qui porte sur lui les 7 couleurs du véritable amour"
" Et comment s'appelle t'il alors? " Celle qui était devenue à son tour reine caressa le visage joufflu de son royale enfant et tout en laissant couler ses larme elle lui sourie et lui répondit avec un amour sincère :
" On les nommes les Inséparables".
**FIN**
le suite arrive au fur et à mesure, n'hésitez pas à dire si ça vous plait ou non
Citation de Steph 3818 #447014
Merci de ton attention @Steph! je continuerai le conte sur le premier poste histoire qu'on ne se mélange pas entre les avis de chacun et l'histoire elle-même.
trop bien j'adore les contes et légendes....
Citation de Zababa #447037
merci @zababa, la suite arrive j'ai juste besoin de pause de temps à autre mais je posterai la suite dèes que je peux sur le poste de mon intro :)
Citation de Némésis Inu #447038
hhhhhiiii trop cool... c'est toi qui écrit ??
Citation de Zababa #447039
oui j'espère que la suite et mes autres écrits vous plairont
Citation de Némésis Inu #447040
super...en tout cas pour le moment ça le fait !!!
Merci @ Zaba d'avoir posé la question, je n'avais pas osé !
Ca mérite des félicitations @Neme 👍 👍 👍
Vivement la suite !
Citation de Némésis Inu #447050
Mais prends ton temps..et les fautes...qui n'en fait pas ?..😁
Franchement chui épatée, tu as rédigé tout ça depuis hier apres midi ? Ca pourrait faire une nouvelle discipline pour les JO . . .
Tu frappes sur clavier ou tu nous écris depuis ton nouveau vaisseau spatial à commande vocale ?
Et puis, j'espere que ma question n'est pas genante, tu m'autoriserais à l'exporter pour le montrer à des amies dans un cadre strictement privé ? L'une est tres littéraire et adore aussi écrire, l'autre compose depuis la soute d'un autre vaisseau spatial . . Si j'en suis à te demander d'exporter, c'est parce que dans la situation actuelle, je ne peux pas proposer un lien "décent" vers ta page à des amies non inscrites sur Beto . . . pas envie qu'elles se retrouvent avec des pages leur proposant des "trans chaudasses", ni non plus envie de te faire l'outrage de voir tes textes pollués par ces pubs . . ça aussi est un inconvénient de la philosophie de Wilooo . . on se retrouve incapables de faire de la pub à son site aupres des personnes "saines" qu'il prétend attirer . . . mais j'ai confiance, il n'y a que les imbéciles qui ne changent jamais d'avis . . .
Citation de Steph 3818 #447066
Alors je ne dicte pas à mon ordi, je frappe sur clavier c'est mon ordi qui me parle en lisant ce que j'écris .
Pour le partage de mes textes cela serait dans quel but? peux tu m'assurer qu'ils ne s'en serviront pas en leurs noms? ( alors ça fait parano et prétentieux mais ça reste tout de mêmes mes histoires lol)
c'est bien pour ça que je te pose la question, perso j'ai confiance en elles, celle qui compose met ses musiques en ligne en privé, elle m'a autorisée à les diffuser à mes proches et ce n'est pas un probleme que je te passe les liens en retour, je te passerai mon mail des que je pourrai échanger par MP (il faut que je fasse vérifier mon profil)
De toutes façons si je diffuse, je rajouterai la mention "non libre de droits", c'est la moindre des choses
Et puis j'attire ton attention, tout ce que tu peux publier sur Beto est libre d'utilisation par Beto, c'est une regle que tu as acceptée en t'inscrivant . . . perso j'ai un peu d'éthique mais ce n'est pas forcément le cas de tout le monde
Je pense (mais sous réserve . . ) que tu peux y échapper en publiant non pas tes textes directement, mais en publiant un renvoi par lien internet vers un autre site plus protégé ou tu mettrais tes textes en ligne
Tu devrais te renseigner sur les IPR (intellectual property rights), ce que je découvre de tes textes le mérite à mon avis, je peux aussi essayer (sans promettre mais je ne vois pas de raison qu'elle refuse) de te mettre en relation avec l'amie qui compose, elle suit ça de plus en plus pres car elle va vers un niveau vraiment "pro"
Je la suis depuis plusieurs années, je me rappelle encore que mes toutes premières réactions avaient été en l'écoutant pour la première fois de lui dire "lache toi, bon sang, laisse parler tes tripes, il y a un sacré potentiel" . . . déjà à l'époque je "voyais" des choses souvent justes dans ma boule de cristal . . je ressens sincerement des impressions similaires en voyant ce que tu écris . . toi aussi sais transmettre de l'émotion, c'est pas donné à tout le monde !
Citation de Steph 3818 #447079
Merci @Steph, eh bien j'ignorais tout ça et effectivement si Beto est libre d'utiliser mes écrits à son propres compte ç a m'ennuie quelque peu ( même si pour moi mes textes n'ont pas de valeurs pécuniaires mais sentimentales certainement)
ok je te fais confiance mais attends que l'histoire soit fini hein! j'en ai déjà une autre en préparation ( dans ma tête) il faut donc que je ne tarde pas trop à clore celle en court)
c'est frustrant de voir son histoire clairement se déroulée dans son imaginaire comme un dessin animé et de comprendre la grande difficulté de la mettre en écrit!
Némésis , je pense que tu pourrais essayer de te lancer dans l'écriture de contes pour enfants avec une thématique LGBT.
Je ne suis pas un fan de fiction mais j'ai trouvé l'histoire intéressante.
Je pense que l'on manque de textes pour enfants avec une théma LGBT.
Je pense que c'est un moyen d'apprendre la tolérance dès le plus jeune âge et donc de participer au changement.
j'adddoooorrreee ....
et moi donc ! je remonte le sujet pour le remettre en zone visible, il le mérite . . . et quand Neme nous parle de sa frustration, que dire de la notre qui attendons les suites avec tant d'impatience . . .
Et quand je vous dis qu'elle sait transmettre de l'émotion, elle a meme visiblement réussi à séduire celui qui se prétend le moins romantique d'entre nous 😜
Citation de Reloteb #447092
Merci Reloteb.
je n'ai jamais envisager la chose de façon professionnel je ne sais pas vraiment ce que mes écrits ou plutôt mon imaginaire vaut dans la durée.
Bon j'entame ( enfin!) la dernière partie de cette première histoire, il était temps!
Némésis, je suis épatée et cela n'arrive pas souvent ! J'attends la suite de l'histoire avec impatience !
Citation de Visitoramus #447350
Merci beaucoup, que la dernière partie ne vous décevra pas.
Si tout va bien, l’histoire se finira la semaine pro puisque je puisse entamer la nouvelle 🙂
Hihi, quelle attente insupportable, je connais certains sites qui diraient à ce moment "pour connaitre la suite il faut cotiser", lol
J’espère terminer dimanche soir car j’en ai 2 autres sur le feu 😂
Tu as de la chance que ton histoire soit passionnante et vaille la peine que l'on attende sinon tu aurais fini au bûcher avant le fils du fauconnier 🤭😘
Citation de Visitoramus #447780
Mon côté sorcière j’imagine 😁
🎵Sorciereuh sorciereuh prends garde à ton derriereuh🎶
Citation de Visitoramus #447786
🤣🤣🤣j’adorais chanter ça quand j’étais môme !
Citation de Némésis Inu #446934
Bravo !! 👨❤️💋👨 cette histoire est captivante.... Merci...
Citation de Jackonan #447798
Merci à toi, elle n’est pas encore finie !
Citation de Némésis Inu #447814
nous avons hâte !! 🖋️ 📒