je suis "chocolatomane", si, si c'est une addiction, une drogue, je mange du chocolat tous les jours, une vraie dépendance alimentaire et non pas un simple aliment de plaisir et je connais tous les dangers de ce mets mais j'en suis complètement addict.
Bon, pour le moment, je n'ai aucun problème de poids mais j'aimerais quand même m'en défaire.
Citation de Dime #398046
Merci Dime pour ce sujet intéressant
Citation de Llaho #398309
Comme Llaho, je pense avoir une addiction à la solitude
(pour compenser tout le temps où on n'en a pas),
ainsi qu'une addiction à la musique 🙂👍
Citation de Dime #398046
J'ai bien lu votre Post et les Témoignages et pas simple d'y faire Face ni de se Reconnaître Addict ..... L'addiction à la Came et/ou l'Alcool est une chose très difficile à vivre et masque souvent des Dépressions ..... Les personnes concernées comme l'entourage n'osent pas exprimer la souffrance dût aux dépendances...... L'alcool ou la Came anesthésie mais ne guérit pas de ses Maux , l'arrêt à ces addictions donne un retour sur la réalité très difficile..... La Réalité est le problème numéro 1 des rechutes dans l'addiction, je dirais même que la réalité fait autant de mal que l'accoutumance au chichon ou à la bouteille.....
A une époque , j'ai été addict à la Came et au Hach ...... Mais la Réalité sans Came et sans Fumette est la Pire de toutes les Surdoses que je connaisse ..... C'est dommage que l'on ne soigne pas la Réalité de la société dans laquelle nous vivons, parcequ'elle est sacrément Malade celle là et elle fait de sacrée dégât sur les êtres les plus fragiles commes les plus forts....
......
Sinon, j'aimerais bien que l'on devienne ADDICT à Mouah, je promets d'être une Drogue dure de chez dur et de provoquer une Addiction du tonnerre de dieu 😂 🤣
Alors, je ne pensais pas être addict à quoique ce soit, mais en réfléchissant, ben oui au tabac, je suis arrivée à fumer pratiquement deux paquets/ jour.
Il a fallut qu'il y ait possibilité que je reprenne un chien, de surcroît malade du cœur, pour que j'arrête de fumer, les 4,5 premiers jours, cata +++, je me fixais sur le chien qui devait arriver, je regardais sa photo, j'avais des billes de verre dans les mains que je faisais rouler, cela diminuait mon anxiété, je vapotais.
Puis le désir de la nicotine a disparu, mon appareil pour vapoter est tombé en rade, donc plus rien et ça va. Cela fait 2 mois 😉
Reveuseparis : 😚, je veux bien m'attacher un peu à vous, mais pas être addict 😉, parce-que, après..... c'est trop dur....
Citation de Lac74 #398393je suis "chocolatomane",
La meme addiction que mohamad Ali , lui avais le sucre également (12 à 14 sucres par tasse de thé ...
Dans l'addiction en général, il y a cette souffrance et la mise en danger du malade à plus ou moins court terme liée au produit devenu addictif.
Dans les troubles du comportement alimentaire, l'addiction n'est pas toujours liée qu'au sucre.
Dans mes phases d'hyperphagie, tous les aliments y passaient. Je bouffais à m'en faire éclater la panse tout au long de la journée durant des mois. Certains malades bouffent la nuit aussi. Je ne pouvais plus avoir de vie sociale et je ne pouvais plus aller bosser tant les douleurs physiques étaient insupportables.
Quand j'arrivais à l'obésité, j'entamais des mois de quasi jeûne, avec 2/3 pommes ou quelques légumes en guise de repas jusqu'à la perte de mon surpoids.
Mes phases anorexiques étaient privatives donc et non vomitives. A 19 ans, je n'avais que la peau sur les os.
Si vos troubles du comportement avec le chocolat ou tout autre aliment n'en sont pas à ce point, c'est que vous n'êtes pas malade et c'est heureux. Mais il est important de prendre conscience d'un comportement alimentaire qui devient excessif.
Je mange moi-même du chocolat tous les jours aujourd'hui parce que je l'aime. Mais c'est un plaisir sans excès :)
En revanche, l'excès de sucre peut aussi occasionner des problèmes de santé sur le long terme comme le diabète. Ce qui n'est pas anodin non plus.
Bon courage à vous et à votre entourage également. Parce qu'il est vrai que les proches souffrent de vous voir confronter à la maladie et ressentent parfois un sentiment d'impuissance totale à pouvoir vous aider.