STOP à la fétichisation des personnes transgenres. betolerant est le seul site de rencontre trans à ne pas considérer la transidentité comme un vulgaire fantasme fétichisé.
Bonsoir à toutes et tous,
Tout d´abord j´espère que le sujet de mon message n´offensera personne, et j´espère avoir choisi le bon endroit pour poster mon message. Etant un peu perdue, je ne savais pas vers qui me tourner.
Je me suis toujours identifiée jusqu'ici comme étant une femme cis (bisexuelle ou lesbienne, ce n'est pas encore très clair pour moi car malgré que j'aie 29 ans, je n'ai jamais eu d'expérience romantique ni sexuelle...C´est d´ailleurs un complexe)
La question de l´identité de genre ne m´avait jamais vraiment effleuré l´esprit jusqu´à un élément déclencheur tout début décembre : le coming-out d'Elliot Page. Quand j'ai lu cette nouvelle, cela m´a vraiment interpellée car je l´avais toujours perçu comme une femme affirmée et ouvertement lesbienne. Depuis le doute s'est immiscé dans ma tête, je me dis "Et si, depuis tout ce temps, mon mal-être, c´était ça...?" et je n'arrive pas à m'en "débarrasser" sans savoir si c'est un doute légitime ou bien une sorte d'obsession que j'ai développée à ce sujet. Lorsque ce questionnement a commencé, je commençais à me remettre du COVID et la date de mon anniversaire approchait, ce qui peut peut-être justifier un certain état anxieux, je ne sais pas trop.
Cette question me taraude tellement qu'elle a déjà engendré de grosses crises d'angoisse durant lesquelles j´ai l´impression de ne plus savoir qui je suis : dans ces moments-là, je me rappelle de vieux souvenirs d´enfance où je me posais parfois la question "Et si j´étais un garçon qu´on élève comme une fille ?" , de fois où je jouais des jeux de rôle avec mes cousines où j´incarnais un personnage masculin sans que cela me gêne, d´un garçon en classe qui m´avait dit que je ressemblais à un garçon... Et ces souvenirs se mélangent à des sortes de flashs où je m´imagine "torse nu" ou parfois même avec un pénis. Il m'arrive parfois même de me projeter dans des situations où je m´imagine demander qu´on m´appelle "il" ou de me dire que dans le cadre d'une relation sexuelle hétérosexuelle, j'aimerais être le "pénétrant" et pas forcément le pénétré. Cependant j'ai l'impression que ces pensées s´accompagnent plutôt d´un sentiment aigu d'angoisse que de bien-être.
Paradoxalement à tout ça, j´ai le sentiment de ne jamais avoir autant affiché ma "féminité" qu´au cours de ces dernières années. Jusqu´à mes 26 ans, je mettais peu ou pas de robes par exemple, et depuis je n´ai jamais autant acheté de robes qu´en 2019/2020 (ce qui ne m'empêche pas de m'habiller tout de même plus souvent en jean baskets bien sûr) Je me maquille également différemment depuis mi-2020, je n'ai eu aucun mal à enfiler un maillot de bain 2 pièces cet été... Pour autant, impossible de m'enlever cette idée de la tête. Je me dis que si j'y pense, c'est qu'il y a forcément une part de vérité, et tout se mélange dans ma tête.
Je me dis que mes "symptômes" s´apparentent peut-être plutôt au trouble décrit dans cet article : https://www.treatmyocd.com/blog/transgender-ocd-symptoms-and-treatment mais sans réussir à m´en convaincre totalement.
Ça m'obsède tellement que je suis allée consulter une psychologue dès fin décembre, que je continue à voir toutes les semaines mais sans y trouver l´éclaircissement que je recherche. Dès la première consultation, elle m´a dit qu´elle avait déjà eu des patients transgenres et qu´elle n´était pas convaincue que ce soit mon cas. Pour autant, quand j´ai évoqué ce "TOC" elle ne semblait pas vouloir que je m´embarque sur cette voie non plus. Résultat : je suis paumée et ça me bouffe la vie, tout est "trigger" de ce questionnement chez moi : les séries que je vois, les tweets que je lis, les amis que je vois...
Voilà je voulais avoir votre avis, éventuellement savoir si vous aviez déjà vécu ça ou entendu parler de ça... Et encore une fois j´espère que ce post ne sera pas mal perçu. Mon but n´est absolument pas de rapprocher la transidentité à un trouble mental comme les TOC, mais plutôt de m´aider à m´y retrouver entre les deux.
Merci de m´avoir lue.
Salut, je suis un homme trans, je suis passé par toute ses questions c'est normal ne t'inquiètes pas. Si tu as besoin de parler, moi et mon copain nous sommes là
Bonjour à tous les deux et merci pour vos réponses bienveillantes.
J´attends que mon compte soit vérifié afin de pouvoir prendre contact avec vous en privé.
En tout cas tout ça est vraiment confusant. Après une nuit d'angoisses et de questionnements, je me suis levée ce matin et j'ai mis une robe, je me suis maquillée, sans que cela relève aucunement de la torture (même si bien sûr je le fais moins "naturellement" qu'avant maintenant que ce doute me taraude). Ça m'épate que nos cerveaux et nos corps puissent passer par tant de phases contradictoires...
pas de panique (comme il est écrit sur la couverture du Guide du routard galactique) ! 😉
A bientôt, en mp
bon, méa culpa, je n'ai pas tout lu mais parce que tu es plein(e) de doute. je vais essayé de te donner des pistes de reflexion (que de reflexion)
1 - ce qui justifie une transition, la plus part du temps, c'est la dysphorie. le fait de ne pas supporter d'être dans un corps qui n'est pas le sien.
2 - faire une transition ne veut pas forcement dire être opéré en haut et en bas. j'ai des potes qui se sont arreté à la mamec et crois moi, ils ont une vie sentimental bien plus épanouie que je ne le serais jamais ! et une "copine" qui n'a pas envie de se faire opéré du tout parce que même si elle se revendique homme, ça lui convient très bien d'être dans un corps de femme !
3 - le genre et la sexuallité n'ont rien à voire. il existe des FTM qui préfèrent les hommes et es MTF qui préfèrent les femmes
4 - si j'ai bien compris (excuse moi si la question est posé de façon maladroite) tu n'a jamais sauté le pas du sexe physique. si j'ai bien compris, tu es certainement dejà tombée amoureuse mais tu t'es arreté là. la question c'est est ce que tu t'es arreté là parce que ton corps te gène ?
cette dernière question est un peu délicate.
n'oublis pas que peu importe qui tu es, la seule chose importante c'est de construir sont bonheur jour après jour, avec pugnacité.
Aller de fleur en fleur et ne prendre de chacune que le meilleur
Bonjour,
Je me suis un peu éloignée des forums & cie dans l´espoir d´y voir plus clair mais après 2-3 semaines l´esprit un peu plus apaisé, me voilà de nouveau confuse avec ces "flashs" où je me visualise "torse nu", ces moments où je marche dans la rue avec l´impression d´avoir une énergie "masculine" etc.
Merci Kitsune d´avoir pris le temps de t´intéresser à mon message.
Je ne peux pas affirmer que j´ai le sentiment d´être dans un corps qui n´est pas le mien. Il m´est déjà arrivé de regarder mon corps dans le miroir et de l´apprécier, surtout en période estivale, quand je suis bronzée etc. Lorsque je n´appréciais pas ce que je voyais c´est plutôt que je me sentais trop grosse, que j´aimais pas mes bourrelets, ce genre de choses. Je ne crois pas que mes attributs féminins me gênaient. Je parle au passé car aujourd´hui je suis un peu perdue, parfois j´ose à peine me regarder dans le miroir, donc je me réfère à la personne que j´étais avant ces questionnements. Mais j´ai remarqué que c´est plutôt mon visage qui m´interpelle, je trouve que j´ai un visage masculin, une mâchoire carrée. Je me dis "Finalement, je suis peut-être un homme depuis tout ce temps" "Peut-être que je serais mieux si j'étais un homme"
Pour ta dernière question, en fait au-delà du sexe physique je n'ai jamais été dans une relation romantique. Jamais eu de petit copain ou de petit copine même si effectivement j'ai déjà ressenti de l'attirance pour des personnes. Je l´ai mentionné dans mon message car je pense que mon questionnement concernant mon identité de genre découle peut-être un peu de ça. Je me dis que ce bloquage doit être du à quelque chose, à un profond mal-être, et c´est peut-être pour ça que j´ai pensé à la transidentité. Concernant le cap du sexe physique, c'est une bonne question que tu poses... Je ne pense pas que ce soit parce que mon corps me gêne, ou bien si c'est le cas je n´en ai pas encore pris conscience. Mais cela m'arrive de me demander si avoir un corps plus masculin me permettrait d'être mieux dans ma peau et donc de me "débloquer". Jusqu'ici je mets plutôt ça sur le compte d'un problème avec l'intimité de manière générale. J'ai toujours été mal à l'aise en situation sociale lorsque les gens parlent ouvertement de leurs conquêtes amoureuses, lorsqu'on me questionne sur mon "type d'homme", ce genre de choses. Je ne suis pas super à l'aise non plus avec les contacts physiques, donc je dirais que c'est un souci plus large que ça.
Pour tes autres points, tu fais bien de le souligner pour la transition physique non obligatoire pour se sentir homme. J´avoue qu´étant "débutante" sur la question du genre c´est encore quelque chose que j´ai du mal à saisir, mais justement je m´informe pour comprendre et voir dans quoi je me reconnais le mieux.
Bonjour Fran,
pour commencer, je voudrais apporter une précision. la dysphorie du genre est le fait de ne plus supporter son genre identifié . certaines dysphorie font reference au corps ou parties du corps en inadequation avec le genre profond de la personne. mais cela n'est pas une obligation. De plus tu peux considérer que ton corps est bien le tien et vouloir le rendre plus adéquat au genre vecu profondément.
Lors de ton premier post tu expliques que cette transidentité potentielle peut se lier à un malêtre ou des angoisses. Dans certains cas particuliers le fait d'être dans le genre profond peut, malgré le bien être d'être soi, provoquer des troubles et même des angoisses. Ainsi le fait d'être angoissé
par une situation desirée ne definit pas si cette situation est benefique ou non.
Ce que tu peux envisager c'est essayer de comprendre tes réactions face à des sitations précises. Par exemple, quand ta psychologue t'a dit ne pas penser que tu es "trans", qu'est ce que cela a provoqué en toi ? ton ressenti profond, ta première idée, le sentiment lié, etc. puis ce que tu as répondu et ce que ta reponse evoque en toi.
Bon courage à toi
Bonjour Celia et merci beaucoup pour ta réponse.
Ce que je comprends par cette phrase :
"la dysphorie du genre est le fait de ne plus supporter son genre identifié" , ça voudrait dire que je ne supporterai pas qu´on m´appelle Madame ou Mademoiselle par exemple? Pour le moment ce n´est pas le cas, bien sûr je le note bien plus qu´auparavant mais ça ne me heurte pas. Je me rappelle qu'au collège j'avais un surnom (qui peut paraitre un peu présomptueux mais j'étais, et suis toujours une grande fan de Beyoncé :D) : Queen F. Et maintenant je suranalyse tout. Aurais-je choisi un surnom féminin si je ne me sentais pas femme? C'est un questionnement sans fin.
En revanche, la semaine dernière dans le train, le contrôleur s´est adressé à ma voisine et moi en disant "Messieurs Dames" puis en se corrigeant et en disant "Mesdames" --> ça m´a tracassée ensuite, mais je ne saurais pas trop dire dans quel sens... Je pense que c´était plutôt "Ah bah voilà, comme quoi je ne suis pas la seule à penser que je ressemble à un garçon" alors que si ça se trouve il s´agit juste d´une simple erreur d´étourderie de la part du contrôleur.
Lorsque la psy m´a dit qu´à son avis, je n´étais pas trans, j´ai d´abord ressenti un soulagement puis tout de suite après un gros doute. Je lui ai demandé "Si je peux me permettre, qu´est-ce qui vous fait dire ça?" mais elle m´a dit qu´à son sens ce n´était pas pertinent ni le bon moment pour m´expliquer pourquoi. Du coup je suis repartie tout aussi perdue... Elle ne m´a jamais expliqué ses raisons depuis, mais à son sens je suis à la recherche d´une réponse pour expliquer mon mal-être et j´ai trouvé cette réponse, qui n´est pas la bonne. Mais comme pour autant je ne trouve pas d´autres explications et que je continue d´avoir ces crises d´angoisse, le doute persiste toujours.
Bonjour Plume,
Oui je comprends que cela te choque. Mais quand je suis allée la voir la première fois, j´étais vraiment dans une situation de détresse, au beau milieu d´une crise d´angoisse. J´ai pris le premier rdv qui me tombait sous la main, du matin pour l´après-midi. Elle m'a d'ailleurs gardée plus d'une heure en consult au lieu de 45min car elle sentait que ça n'allait pas du tout. Je pense qu´elle a senti que j´avais besoin d´une réponse et peut-être un peu maladroitement elle m´a donné son avis sur la question en fin de séance après m´avoir écoutée... C'est une jeune psy, peut-être que c'est pour ça. Mais d'un autre côté faire appel à quelqu'un de jeune me rassurait car je me disais qu'elle serait plus ouverte d'esprit. Maintenant je me demande régulièrement si je devrais changer mais c'est pas facile de tout reprendre à zéro quand on consulte la même personne depuis bientôt 3 mois :-/ En plus je vis entre 2 villes différentes, en alternant entre téléconsultations et consultations en présentiel, ça ne facilite pas les choses. Peut-être que je devrais solliciter l´avis d´un psy "spécialisé" sur les questions LGBT?
@Fran,
Oui oui oui, spécialisé ou pas il t'en faut un bon! Si tu le sens pas avec elle, faut changer ca cest sur..
Bonsoir pardon de ne pas zvoir repondue avant je suis un peu moins disponible cette semaine.
Alors oui et non Fran. la dysphorie c'est le fait de ne plus supporter. mais le genre ne s'exprime pas forcément par l'appellation. je vais donner des exemples tres différents : une personne atteinte de dysphorie de genre peut attacher de l'importance a son appellation Monsieur/Madame et/ou a sa silhouette et/ou à son visage et/ou a sa gestuelle... bref chaque cas est unique et la dysphorie peut être plus ou moins forte, et de nature différente.
je ne suis pas d'accord sur l'avis categorique quant au comportement de la psychologue. cette methode n'est pas forcément délicate mais peut être aussi dans certains cas utilisée pour te faire réflechir sur cette affirmation. ce qui resonne en toi suite à son affirmation a une importance capitale et tu peux en déduire des pistes de réflexion.
je suis d'accord avec Plume que seul toi peut savoir identifier ton genre profond dans lequel tu peux t'epanouir.
dernière réflexion. le fait d'avoir du masculin ou du feminin en soi physiquement, émotionnellement ou mentalement ne fait pas de nous une femme ou un homme. c'est à mon avis l'harmonie, l'equilibre ressenti de nos feminités et masculinités qui le definit
Bonjour Fran,
Ce que tu exprimes avec tes mots à toi est clairement de la dysphorie de genre... mais une personne cis peut aussi en souffrir (sous le poids de contraintes sociales par exemple). Un indicateur clair est la durée des symptômes. On a coutume de dire que la dysphorie augmente avec le temps, et qu'une fois présente, c'est difficile de la soulager autrement que par des actes. En parler (psy en particulier) peut permettre de mettre des mots sur le symptôme. ça soulage rarement, mais il faut en passer par là. Mais il faut un interlocuteur très ouvert d'esprit, et qui ne balaye pas ces interrogations si spécifiques en disant "on verra plus tard".
Pour en revenir à ton cas: la question classique du bouton magique: si on te donnait la possibilité de devenir un homme du jour au lendemain, comme ça, mais de façon immédiate et irréversible, en appuyant sur un bouton (ou en avalant une pillule), le ferais-tu ?
En tout cas, ne panique pas: trans ou pas, tu seras ce que tu es. Ici en tout cas, personne ne songera à te juger là dessus.
Bon courage!
je dirais même que tu es QUI tu es
Bonjour,
Je n'irai pas sur le terrain du "qui", qui pour moi réfère à l'identité ultime, et donc à un espèce de singleton qui définirait de façon univoque un individu donné. Le "que" refère à des caractéristiques (ex: identité de genre), qui sont à la fois multiples, possiblement dynamiques (identité sociale), et donc plus sujets à discussion, évolution, etc. Certaines personnes trans diront qu'elles sont trans depuis leur conception jusqu'à leur mort, mais d'autres parlent d'identité performative et donc que (par exemple) elles étaient cis jusqu'à leur transition. On peut argumenter sans fin sur les définitions, se crêper le chignon, etc. Je pense que vivre en tant que personne, avec son lot de contraintes très terre-à-terre, mais aussi de liberté, définit mieux chacun et chacune que les cases linguistiques (qui sont cependant utiles à la discussion, et parfois à se définir pour des raisons internes ou externes).
En ce sens chaque chemin de vie, et éventuellement de transition, est personnel. Sur de larges populations, on retrouve des invariants, des régularités statistiques, qui peuvent guider... sans pour autant contraindre.
(dieu que je suis bavarde).
il s'agit de définir tout ou partie d'une personne quelque soit le chemin, cette personne n'est pas une chose. Je préfère alors dire "qui" plutôt que "ce que". je pense que la dépersonnalisation est néfaste à toute quete d'identité ou d'existence.
ah, je comprends. Je pensais que ça allait de soi que personne ne dépersonnalise personne ici ! Dire que quelqu'un est "quelque chose" doit ici s'entendre comme une caractéristique, une propriété, comme (dans notre cas) ce qui a trait au genre. En particulier via des actes, qui définissent largement la persona sociale.
Ceci étant (je l'espère) clarifié, je pense que dire "tu es qui tu es", renvoie à une vision un peu essentialiste. Qui suis-je ? Assurément il y a une cohérence globale d'identité (ça ne change pas toute les secondes), mais je me définis plus comme un processus que comme une identité rigide, une personne qui serait la "même" depuis ma naissance à ma mort. Il ne s'agit pas de nier l'individu, mais au contraire de mieux cerner ce qui en fait la personne qu'elle est, pour mieux la comprendre bien sûr. Et une bonne partie de cela est défini par la personne elle-même, via un processus d'introspection, qui se répercute ensuite dans ses paroles, ses actes, son look, etc. En ce sens, une personne peut être "qui" elle est de façon très variable au cours du temps. Après tout, j'étais autant "moi" avant ma transition.
Citation de Occamj #357347
"dieu que je suis bavarde"
Mais ton approche est pertinente et s'approche davantage d'une réflexion profonde que d'un bavardage futile 😉
Merci Doremi, j'essaye :) J'encourage d'ailleurs tous ceux et celles qui s'interogent sur des questions d'identité d'aller voir du côté de la philosophie qui, loin d'être une activité hors-sol, donne beaucoup de clés pour réfléchir sur soi et son rapport au monde. Moi ça m'a bien aidé. Ceux/Celles que ça intéresse --> messagerie.
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