Je suis un sourire (C-M Violences Conjugales)

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Ancien membre
08/01/2020 à 18:18

Salut :-)

Alors voilà...

J'ai réalisé un court-métrage dans le cadre du festival Nikon (un concours sur le thème: une génération ).

Et j'aurais aimé avoir vos retours dessus... voici le lien en dessous en espérant qu'il vous plaira :D (C'est pas long juste 2min20 :) )

https://www.festivalnikon.fr/video/2019/201

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Ancien membre
08/01/2020 à 18:55

Soutenu !

Un court métrage bien réalisé. J'aime comment le sujet est traité, aucun moment on parle de la souffrance, mais la pauvre fille avec un sourire forcé explique bien la grande détresse qu'elle a, jusqu'à un câlin de son amie qui l'apporte la peu de chaleur humaine , mais lui est essentiel, l'a fait craquer.

Sourire n'est pas signe de bonheure.

La violence conjugale /aux femmes est une polémique du moment, je pense que tu as bien choisi le sujet et aussi bien développé.

Bravo

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Ancien membre
08/01/2020 à 21:23

Le sujet est important, bien mis en scène, et me semble bien traité dans le contexte français, c’est-à-dire essentiellement l‘identification de la violence conjugale et l’appel au 3919.

Ceci étant la violence conjugale étant multifactorielle, toute proportion gardée, c’est comme si on on trouvait qu'un ami a mauvaise mine et lui conseillait d’appeler le 15 ou 112 si nécessaire. Ou si la gestion du risque inendie se limitait à l’appel aux pompiers. On se situe dans l’urgence, encore trop souvent dans l’incertitude, et surtout, probablement des années après le début des causes et circonstances de ces violences, quand ce n’est pas des dizaines d’années.

Certes c’est mieux que rien même si tardif, une prévention ne remplacerait pas le dispositif réactif (identification, médical, judiciaire, social, etc), et renchérirait le dispositif. Mais toute proportion gardée toujours, on voit ce que donne une organisation où il n’y aurait plus de médecin disponible pour prévenir les maladies graves, et tout le monde se retrouverait au mieux aux urgences. C’est pas génial (et on en est plus très loin).

A la suite du Grenelle des violences conjugale de cet automne, le gouvernement a annoncé des mesures, pour l’essentiel réactives, même si des actions de prévention seraient prévues (enseignement de l’égalité homme-femme, détection précoce, évitement de la récidive) :

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/grenelle-des-violences-conjugales-ce-qu-il-faut-retenir-des-annonces-du-gouvernement_2108847.html

Un site suisse explique bien les mécanismes de ces violences, donne des conseils de prévention, et évoque aussi les LGBT où la violence est loin d’être absente (y compris sexuelle d’ailleurs) :

https://www.violencequefaire.ch/fr/informations/violence

Reste qu’à ton niveau, dans le contexte français, je trouve ton initiative extra, et traitée d’une façon qui me semble professionnelle.

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Ancien membre
08/01/2020 à 22:34

Salut.

J'ai trouvé trés bien. Sobre et convaincant. Les actrices sont trés bonnes, leur jeu est assez subtil.

Le seul bémol, c'est que l'on choisit toujours des milieux plutot bourgeois, jeune, avec des playboy et des canons. je sais que cela peut toucher tous les milieux, mais ça serait plus réalistes avec des gens ordinaires.

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Ancien membre
08/01/2020 à 22:44

Coucou Jbounet,

Les actrices sont engagées et juste dans leur interprétation. La notion de l'isolement de la victime par l'agresseur est sous-jacente. J'apprécie la porte de sortie qui est laissée à la fin, quand Marie rappelle Jeanne (j'imagine qu'elle décide de fuir son bourreau). Certains pourront certes regretter que la femme doive partir du domicile, mais c'est malheureusement souvent le cas dans les faits. Enfin, le couple choisi est aisé, bourgeois. Cela évite les stigmatisations habituelles où violence conjugale = pauvreté, alors que tous les milieux sont touchés.

Le thème de la violence dans la relation affective (et pas seulement dans le couple) est complexe, difficile à traiter. La violence que l'on choisit souvent de montrer est celle des coups. C'est aussi la plus facile à défendre en justice avec des rapports médicaux.

Mais la violence peut être insidieuse, invisible : harcèlement (téléphonique par exemple), insultes, brimades, chantages, destructions d'objets auxquels l'autre tient, isolement forcé, menaces, agressions sexuelles, viols… Parfois, il n'y aura jamais de coups. Autant de violences qui laissent des traces profondes mais qui sont très difficiles à prouver en justice.

Souvent, quand la femme ne vit pas avec son agresseur, elle est considérée comme "plus ou moins consentente" voire "plus ou moins coupable" (les termes peuvent choquer, c'est pourquoi je les mets entre guillemets). Aux yeux des autres (y compris de la justice), elle pouvait mettre fin à la relation puisqu'elle n'était pas dépendante économiquement. C'est nier l'emprise sentimentale et psychologique qu'une personne peut avoir sur une autre.

Pour diverses raisons, on parle presque uniquement des femmes maltraitées par leurs conjoints ou ex-conjoints masculins. Mais cela concerne aussi les hommes hétéros, les gays, les lesbiennes, les bisexuel(le)s. Trouver de l'aide est encore plus délicat… J'ai lu récemment que les femmes bisexuelles sont encore plus exposées aux violences conjugales que les hétérosexuelles.

Enfin, j'ai bien l'impression que la violence générale dans la société augmente au lieu de diminuer…

Amicalement, Réglisse

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Ancien membre
08/01/2020 à 22:45

Citation de mimoza

loool

Je voulais aussi dire le mari est très mignon

mais bon. C'est pas l'essentiel du CM.

Décors bourgeoise pourquoi pas, ça change le contexte que l'on entends tous les jours, un mari alcoolique, qui mène une vie de misère. une femme bonne 50 aine au foyer, qui est complètement battue. La on voit des jeunes, bien installés, un espèce de confort matériel s'installe. Pourtant ça ne change pas. La violence est toujours la, le mari est toujours violent, la femme est toujours victime.

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Ancien membre
08/01/2020 à 23:12

Citation de Reglisse

Je plussoie.

TW : détails violences conjugales - mention viol - expérience perso

Et je rajoute même (ex-concernée) que si ce court-métrage est plutôt bien - et qu'il faille traiter ce sujet ! - la violence conjugale est caricaturée comme dans beaucoup de campagnes contre les VFF. A l'époque (il y a plusieurs années maintenant) , je cherchais à savoir si ce que je vivais était bien de la violence. Je me passais en boucle la moindre vidéo qui traitait du sujet et ...je ne me reconnaissais pas là-dedans....Et pourtant mon conjoint de l'époque cochait quasi toutes la panoplie de type de violences qu'il exerçait ...

Parce que le viol conjugal ne laisse pas de traces, l'étouffement pas forcément non plus, le dénigrement encore moins, les objets lancés sur toi ne te rendre pas bleue, ni même l'arrière de la tête qu'on te cogne contre un mur ...etc etc

Si ça paraît évident aujourd'hui, que c'était d'une violence extrême, quand tu es victime tu as clairement un problème de reconnaissance des violences que tu subies. Et tu t'accroches aux campagnes, courts-métrages que tu vois, aux sites que tu lis....

Alors ces courts-métrages sont nécessaites pour faire évoluer les mentalités, pour en parler, pour ouvrir les gensses aux violences, mais ils peuvent très vite être à double tranchant en enfermant la victime - qui croie ne pas subir de violences puisqu'elle n'est pas marquée comme la dame de la vidéo....

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Ancien membre
08/01/2020 à 23:41

Citation de LucieSSBBW

Je suis tout à fait d'accord ! Et puis, c'est courageux de parler ouvertement…

La victime n'a pas conscience de la gravité de ce qu'elle vit, et c'est encore pire quand il n'y a pas de coups. Il peut même n'y avoir aucun cri et une apparence de gentillesse (là, le conjoint est présenté comme un dragon, sans doute à cause du format court). Je pense que, dans la majorité des cas, l'agresseur louvoie entre tendresse et violence, bavardages et menaces, mots doux et mots durs, confidences et intimidations. Il profite des faiblesses de sa victime pour la dominer et l'empêcher d'ouvrir les yeux sur ce qu'elle vit (parfois, il n'a pas pleinement conscience du mal qu'il fait pour diverses raisons).

La prise de conscience est difficile et douloureuse. Pour ne rien arranger, il est très compliqué de trouver une aide réelle et durable. Pourtant, les conséquences des violences, à court, moyen et long termes, sont loin d'être anodines.

Pour les hommes victimes de violences, c'est encore plus compliqué car on considère qu'il peut se défendre, alors que ce n'est pas toujours le cas.

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Fiffi
08/01/2020 à 23:52

ton C-M m' a plus , tu abordes le douloureux sujets des violences conjugales d' une manière originale et parlante .

Tu as filmés la triste réalité du quotidien ; combien de femmes sont battus et se taisent par peur ?

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Ancien membre
08/01/2020 à 23:54

hey :))))

merci pour vos retours assez complets les liens traitant du sujet et je vois les débuts de témoingnage :))

Pour le parti prit du milieu Bourgeois c'est que j'ai l'impression que la représention de la femme battue est souvent dans un milieu modeste avec mari alcoolique (ou la victime qui sombre dans l'alcool), et même si ce type d'image doit exister j'ai l'impression qu'à force d'être représenté comme ça non seulement ça exclut l'idée que ça puisse arriver dans un autre cadre et donc que ça devient aussi limite caricatural(après c'est que mon impression :) )

Puis je souhaitais également travailler sur l'image. Le décalage entre ce qu on souhaite renvoyer (souriante, salon chic, "couple idéal"etc...) et ce qu'on vit réellement.

Enfin j ai oublié de préciser qu on est limité au 2min20 :)

Mais peut etre que des suites à ce CM s en suivra un long où je pourrais aborder d autres aspects de cette violence.

J'espère que j'ai pu répondre à vos messages :) Encore merci pour vos retours :))

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Ancien membre
09/01/2020 à 00:03

La violence conjugale touche tous les milieux , elle est juste moins "évidente" que dans des milieux plus "précaires" ou plus "ordinaires" .

L'épaisseur des murs contribue à sa "discrétion" .

La violence psychologique - bien que ne laissant "aucune trace" - est bien plus insidieuse , vicieuse .

Elle se planque derrière un langage , un discours , qui ne laisse rien paraître (si ce n'est le contraire) face à un auditoire - elle se déchaîne en privé .

Les plus tordus parviennent à se faire passer pour des gens bien "en société" , jusqu'à ce que ...

Bien évidemment , ces violences sont aussi présentes chez les gays et lesbiennes même si on en parle encore peu .

@Jbounet - ton court-métrage est pas mal fait - Je salue l'intention :)

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Ancien membre
09/01/2020 à 10:52

Deux interviews intéressants autour du livre Histoire des violences conjugales de Victoria Vanneau, dont :

http://www.justice.gouv.fr/histoire-et-patrimoine-10050/lemission-le-droit-se-livre-12370/le-droit-se-livre-histoire-des-violences-conjugales-31404.html

et un autre sensiblement moins concis :

https://www.franceculture.fr/emissions/concordance-des-temps/violences-conjugales-la-justice-au-pied-du-lit

Ils sont intéressants car aujourd’hui en France, beaucoup de gens y compris très jeunes ont encore une culture méridionale ou religieuse proche de celle qui prévalait au XIX siècle dans l’article 213 du Code civil de 1804  : "le mari doit protection à sa femme et la femme obéissance à son mari".

A mon avis actuellement aggravé, car les hommes n’ont plus d’obligation de protection pour personne, protection laissée à la femme elle-même ou à l’Etat, il ne reste dans leur esprit que le devoir d’obéissance qui leur est du. Quand ce n’est pas le devoir d‘obéissance à Dieu, contrôlé par les hommes.

L’Espagne historiquement machiste dans ce style a beaucoup renforcé son arsenal répressif depuis 15 ans, devenu apparemment beaucoup plus efficace qu’en France.

Personnellement je peine à voir comment cela pourrait réussir aussi bien en France, car personne ou presque connaît les risques judiciaires qui peuvent pourtant être élevés, beaucoup de gens sont dans l’idée que ce risque peut être défié, et même qu’ils en sont victimes depuis leur plus jeune âge. Et pas sur que la tendance exclusive actuelle de victimisation du féminin et la pénalisation du masculin fasse évoluer rapidement les choses, il contient peu de responsabilisation morale.

En plus ce n’est qu’un aspect des risques, il y en a d’autres tels que les drogues, le stress, etc. Bref ça risque de ne pas être simple et au mieux être un peu long...

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Ancien membre
09/01/2020 à 10:56

Hello,

Sinon, ce court métrage a été filmé avec l'appareil ou optique nikon ? Nikon fabrique des dslr, mais pas de caméra vidéo il me semble.

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Ancien membre
09/01/2020 à 12:53

Merci pour ces autres retours :)

Je suis d accord ces violences existent aussi dans le "monde" homo :'(

En réalité je pense qu'en général il ne faut pas lutter contre les violences faites aux femmes par des hommes mais contre les violences tout court.

Sans pour autant nier que la majorité des victimes sont des femmes (dans les violences conjugales tout du moins).

Gael3592, nous n avons pas utilisé un Nikon mais un GH5 ?

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Ancien membre
09/01/2020 à 14:00

En réalité je pense qu'en général il ne faut pas lutter contre les violences faites aux femmes par des hommes mais contre les violences tout court. > Citation de Jbounet

C'est tout à fait vrai. D'ailleurs, les adultes ne sont pas les seuls à subir des violences. Les enfants aussi en sont victimes.

Aujourd'hui, la justice classe souvent sans suite les affaires de violences par conjoint ou ex-conjoint. Sauf s'il y a un dossier médical, des témoins fiables, etc. Sinon, c'est parole contre parole. À ce petit jeu-là, c'est celui ou celle qui est le plus "crédible" qui gagne. Et c'est rarement la victime. Les agresseurs bien installés professionnellement et socialement ont le bénéfice du doute et sont parfois mieux considérés que leur victime. Quand c'est un homme victime de violences de la part d'une femme, je ne sais même pas si quelqu'un le croit vraiment.

Et puis, la menace d'une plainte pour diffamation effraie la personnes qui subit des violences. Celle-ci a peur d'avoir une triple peine : elle a été agressée, elle n'est pas reconnue en tant que victime et elle est condamnée pour diffamation. Sans parler qu'aller en justice coûte cher.

Personnellement, je regrette qu'en France on ne pense qu'à la répression, alors que ce n'est pas une véritable solution. Il existe pourtant la prévention et le suivi psychologique des auteurs de violences. Ces personnes ne sont pas nées violentes : l'éducation, la société, des traumatismes, une immaturité, et d'autres facteurs en font des bourreaux (et pas forcément avec tout le monde ; c'est là que l'affaire se corse). Avec une bonne aide psychologique, elles peuvent sortir de la spirale de la violence. Encore faut-il que les gouvernants aient envie de mettre des moyens là-dedans… De toute manière, tant qu'on valorisera l'agressivité, en particulier chez les garçons, les choses auront du mal à évoluer.

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Ancien membre
10/01/2020 à 07:05

Citation de Jbounet

Gael3592, nous n avons pas utilisé un Nikon mais un GH5 ?

Ah ha c'est du Pana, ça se comprends la balance couleur , ça fait pana.

Bon en tout cas c'est pas canon, comme tu participe un concours organisé par Nikon :)

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Ancien membre
10/01/2020 à 08:46

J'ai soutenu ton court-métrage, il le mérite.

Et en fouillant un peu dans les autres CM j'ai trouvé des tas de petites perles, dénonçant notamment les excès de notre époque. Une chose pourtant m'interpelle : autant j'apprécie la subtilité des scénari, autant je les trouve éloignés de la simplicité des messages qui seraient nécessaires à l'éducation des plus jeunes pour espérer avoir moins à dénoncer ces excès dans le futur. Les scénaris sont souvent des complaintes.

Par exemple : https://www.festivalnikon.fr/video/2019/253

Le tien y échappe puisque tu donnes une clé de sortie.

Un autre un peu rebelle m'a amusé, bien qu'à l'inverse de ce que je dénonce, l'origine apparemment asiatique de son auteur ne doit pas être étrangère à son méssage ^^ :

https://www.festivalnikon.fr/video/2019/325

Et celui-ci est vraiment trop drôle, jadore ^^ :

https://www.festivalnikon.fr/video/2019/406

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Ancien membre
10/01/2020 à 21:03

C'est un très beau film. Ce sourire si lumineux qui tord le cœur lorsqu'on comprend... Bravo !

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Ancien membre
10/01/2020 à 21:38

Bonjour/Bonsoir Jbounet.

Je viens à l'instant de regarder ton court métrage pour le Nikon Film Festival. Et j'aimerais te faire part de mon avis personnelle sur ton œuvre.

Étant donné qu'il ne faut pas accéder 2 minutes 30, si ma mémoire est bonne, je trouve que le sujet principal est plutôt bien amené, mais manque de textures au niveau des dialogues et du cadrage ...

Rien que dans les premiers plans, je ne sais pas si c'est voulu, ou alors, c'est peut-être pour montrer un côté instable de la personne, ou même tremblante. Ce qui ramène au sujet principal. La saute entre "Caméra épaule", et plan fixe est pour ma part assez dérangeant, mais encore une fois, c'est ton interprétation, et si j'ai vu "juste", c'est encore une fois pour montrer le côté tremblant de la femme, battu par son homme.

Puis, un plan fixe de face, qui rejoins un contre champ 3/4... Tu aurais pu amener différemment l'approche de ton cadrage, pour créer une harmonie entre les deux.

Sur certains plans, la lumière est « cramée». On peut le voir avec les vitres derrière son amie assise sur une chaise. Ou "sur-exposée".

Plus faux raccord "Veste, plus de veste" de la femme...

Et aussi la fin, sans le maquillage de l'œil au beurre noir, et "marque d'étranglement"

Encore une fois, je ne suis pas ici pour "détruire" ton travail ou autre ! ce ne sont que quelques remarques, et j'espère que tu en prendras comptes ... Après, c'est à toi de voir :) !

En tout cas ! Si la réalisation de plais ! FONCE !

Belzébuth

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Ancien membre
11/01/2020 à 00:57

@Lindos - je me suis perdue dans tes liens (c'est la faute à l'heure tardive -plutôt qu'à ma "feignasserie" à rechercher- on va dire)^^

Les liens dans ton lien sont très intéressants - J'y ai appris notamment que le 3919 (appel d'urgence pour les violences faites aux femmes) allait enfin être accessible 7j/7 et 24h/24 .(si ce n'est déjà fait)

Quand on sait que la nuit (du moins tard le soir) est plus propice aux violences , autant que les jours fériés et weekends , il était temps qu'enfin cette décision soit prise .

La violence a rarement "des horaires de bureaux" .

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Ancien membre
14/01/2020 à 23:38

Hey merci à tous pour ces nouveaux retours :)

@Lindos oui hésite pas à regarder les autres films il y en a plein de sympa !

@Belzebuth je comprends ton point de vue pour la caméra mais après c est effectivement un choix artistique :)

Bien vu le plan cramé ;)

et pour les "faux raccords" ce n'en sont pas ;) se sont des choix également !

mais merci pour ton retour :)

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Ancien membre
15/01/2020 à 17:57

bravo ton court métrage est touchant. mon seul regret est qu'il n'y ait pas de sous titres, énormément de femmes sourdes sont aussi touchees par les violences conjugales.

encore bravo à toi et à ton équipe



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