10 Raisons d'interdire le mariage gay - Page n°2

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Ancien membre
15/05/2012 à 23:38

"1 Être gay n'est pas naturel. Les vrais américains rejettent tout ce qui n'est pas naturel comme les lentilles, le polyester et l'air conditionné." Qu'en est il des gay qui portent des lentilles, s'habillent en polyester et possèdent l'air conditionnée ?
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Ancien membre
21/05/2012 à 01:27

Quel dommage que certaines personnes pensent encore comme cela. Biensur je ne parle pas des personnes religieuse, car telle est l'idéologie de leurs religion ! Mais les athée qui pensent ça, on devrait leurs coupés la langues !
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Ancien membre
23/05/2012 à 03:11

Non mais sais quoi cela sont des règle naiseur lol je pense que cela et plus accepter pas che nous que pas les americain hahah
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Ancien membre
23/05/2012 à 07:38

Diimiitrii : C'est de l'ironie comme je disais, si tu es un enfant tu as 99% de chance d'être né d'un père et d'une mère et donc d'un couple hétérosexuel, et pourtant il y a des gays & des lesbiennes ! raspberry
Exemple d'argument à chier. Déjà, revois tes cours de Sciences, un enfant a 100% de chance de naître d'un père et d'une mère. 99%... Et le 1% restant se ferait par parthénogénèse peut être? Non mais franchement... Réfléchissez un minimum avant d'écrire des conneries pareilles!
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Ancien membre
23/05/2012 à 08:48

Exemple d'argument à chier. Déjà, revois tes cours de Sciences, un enfant a 100% de chance de naître d'un père et d'une mère. 99%... Et le 1% restant se ferait par parthénogénèse peut être? Non mais franchement... Réfléchissez un minimum avant d'écrire des conneries pareilles! Ya vraiment des fois ou t'es pas fun Tramouet hein, perso j'aurais dit 99.90%, le reste pouvant se faire via éprouvette ou opération du saint-esprit !!! Sinon l'ironie et l'humour noir, moi j'adore, merci pour l'image, elle ira direct dans le DD de mon pc ;p
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Ancien membre
23/05/2012 à 08:52

Sâche petit padawan que même un bébé éprouvette se conçoit avec un spermatozoïde et un ovule, c'est à dire un truc venant des couilles du père et un truc venant de la chatte de la mère. Compris? Ou tu veux un dessin?
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Ancien membre
23/05/2012 à 09:05

C'est comme si interdir le mariage c'est comme si on s'interdisais d'aimer et de prouver cette amour envers l'autre...
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Ancien membre
23/05/2012 à 09:06

owiiiiii fait moi un dessin !!!!
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Ancien membre
23/05/2012 à 09:15

Clemy ou la fille qui n'a pas d'avis... Mais qui le donne quand même! Ton dessin tu te le fais tout seul.
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Ancien membre
23/05/2012 à 09:17

bah tu propose, va jusqu'au bout !
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Ancien membre
30/05/2012 à 16:45

Le mariage est défini traditionnellement comme l'« union légitime d'un homme et d'une femme ». Il est l'acte officiel et solennel qui institue entre deux époux une communauté de patrimoine et de renommée appelée « famille » (ou foyer, feu, ménage...) dont le but est de constituer de façon durable un cadre de vie commun aux parents et aux enfants pour leur éducation. Dans les sociétés traditionnelles, le mariage est l'alliance politique de deux familles ou de deux clans. Donc , non, je ne suis pas pour le mariage homo qui dénature le mariage tel qu'il est dans nos traditions et notre culture.
Si ce poste commence à dater, et que je n'aurais donc probablement pas de réponses. Je cherche à comprendre le raisonnement te poussant à une telle conclusion, à partir de la définition que tu donnes.
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Ancien membre
30/05/2012 à 16:55

Sâche petit padawan que même un bébé éprouvette se conçoit avec un spermatozoïde et un ovule, c'est à dire un truc venant des couilles du père et un truc venant de la chatte de la mère. Compris? Ou tu veux un dessin?
Sauf que le père n'est et ne sera pas là au sens strict du terme "père", l'enfant à naître n'est donc que le fruit matériel d'un matériel génétique de type masculin inconnu (quand bien sûr il ne s'agit pas d'un problème de fertilité de la mère), au mieux le père de substitution jouera un rôle de père non géniteur... Après, et ce en 3è lieu, cet enfants sera le fruit plus probable de l'amour (à environ 90% de chances), dont l'un des parents, voire les deux, n'a(ont) pas la capacité de concevoir l'enfant naturellement. Mais je note que tu es, jusqu'ici à 100% un sacré rabat-joie.
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Ancien membre
02/06/2012 à 23:19

Mais c'est stupide ! Comment certains peuvent-ils etre aussi naif pour penser sa --'
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Ancien membre
03/06/2012 à 01:23

Si par rabat-joie, tu entends être réaliste, oui je le suis alors.
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Ancien membre
03/06/2012 à 03:55

Que l'on dise ce que l'on veut sur le mariage "gay" ou les "relation gay" , moi je dis que sa devrais être autorisé , car c'est un choix de vie que l'on choisie , et ce choix de vie personne d'autre peut le décidé a notre place , oui , nous sommes déjà tous heureux d’être ensemble que ce soit "gay" , "lesbienne" , "bisexuelle" , "hétéro" , mais pourquoi donc le mariage du même sexe pose t'il problème ? et bien... Tous simplement c'est que la société es encore "homophobe" , nous somme encore mal-vu par les gens entre parenthèse "normaux" (hétéro) , je ne trouve pas sa normal... Je vous rappelle a tous et a toutes que nous somme en 2012 , et comme quoi "François Hollande" il veut mettre en place le mariage homo , et bien moi je dis que sa seras jamais fait oui "jamais" !!! bref , je suis pour le mariage , car : "MARIAGE = BONHEUR = AVENIR = AVANCER".
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Ancien membre
03/06/2012 à 04:58

Produire un enfant est effectivement être un homme et une femme mais faire sa vie et sa sexualité n'est pas obligé d'être un homme et une femme ! Donc totalement non d'accord avec l'auteur du sujet
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Ancien membre
03/06/2012 à 07:56

si certains ont la foi... C'était les années 1960 finissantes, et le temps était à l'amour. A l'amour libre, s'entend. Jetons toutes ces entraves bourgeoises ! Qui a besoin de passer devant monsieur le maire et signer un parchemin avec des témoins pour s'aimer ? Pourquoi jurer fidélité éternelle à un seul homme, à une seule femme, alors qu'il y a tant de gens à aimer de par le monde ? Hélas, on est tente de donner raison à Jouhandeau dans son adresse aux "enragés" de soixante-huit, "rentrez chez vous, dans vingt ans vous serez tous notaires". Il aurait en tout cas certainement beaucoup ri en voyant ceux-là même qui revindiquent l'héritage de 1968 se rassembler un samedi d'hiver 2012 dans la mairie de Villejuif pour donner au "mariage" célébré entre deux personnes de même sexe tout l'éclat médiatico-politique qu'il mérite à leurs yeux. En 68, la consigne était "à bas les chaînes bourgeoises". En trente ans, la consigne a changé: aujourd'hui, c'est "les chaînes bourgeoises pour tous". C'est que l'insouciance est morte, et que la liberté tant désirée par la génération 68 fait aujourd'hui peur à ses successeurs. Il leur faut pour tout des papiers et des certificats qui garantissent leur sécurité, et un amour sans certificat n'est pas un véritable amour. Les homosexuels revendiquent aujourd'hui le droit de se marier au nom de l'amour. Ils oublient que le mariage n'est pas et n'a jamais été une question d'amour. Le code civil est formel: "les époux se doivent respect, fidélité, secours, assistance" (art 212). Mais d'amour, point. On peut s'aimer dans le mariage, et on peut s'aimer en dehors de lui. Le mariage n'est pas là pour ça: le mariage est une institution de la société, et comme toute institution elle n'est pas constituée pour faire plaisir à ceux qui en bénéficient, mais en fonction d'une utilité sociale qui les dépasse. Le mariage est là pour établir entre deux individus des liens faits de droits et devoirs réciproques, droits et devoirs que l'Etat impose - et dont il garantit l'observation, au besoin par la voie pénale - en échange d'une protection particulière. Et si cette institution existe depuis la plus haute antiquité et dans toutes les civilisations qui connaissent la division du travail et la propriété privée, il doit bien y avoir une raison. La raison est simple: la famille monogamique reste la structure la plus efficiente pour la reproduction non seulement biologique mais aussi sociale. Là aussi, il n'est pas question d'amour: la famille monogamique ne sert pas à s'aimer, mais à construire un réseau de solidarités inconditionnelles entre les générations qui assurent que les enfants seront protégés, soignés, éduqués et qu'ils auront un bon départ dans la vie, et que réciproquement les parents recevront soins, respect et attention dans leur vieil âge. Mais pour que la famille monogamique puisse exister, il lui faut une institution à sa tête qui protège cette monogamie. Car l'homme est ainsi fait que si sa lignée maternelle est certaine, sa lignée paternelle est toujours douteuse. "Pater incertus, mater semper certissima" disent les juristes, et ils ont raison. En rendant la fidélité des époux obligatoire, en prévoyant des châtiments terribles à l'adultère féminin, la société a longtemps protégé - autant que peut le faire - la certitude de la lignée paternellecelle de la mère étant établie par définition . Il ne faut pas perdre de vue que si le mariage - et les obligations qui en découlent - est légitimé par le consentement des époux, les rapports de solidarité entre les générations ne sont légitimés que par les liens biologiques. Mais personne n'a demande à l'enfant s'il voulait venir au monde. Personne ne lui a donné la possibilité de choisir ses parents ou de rejeter ceux que le hasard lui a donné. Et pourtant, il doit à ces parents respect, obéissance pendant sa minorité et aliments tout au long de leur vie. Sur quelle base est fondé cet ensemble d'obligations ? Et bien, puisqu'il n'y a ni choix ni consentement, puisque ces obligations n'existent qu'envers nos parents et non pas des parents des autres, puisqu'elles ne dépendent pas du fait que le parent ait effectivement vécu avec et éduqué l'enfant, il faut bien conclure qu'elle est fondée exclusivement sur les liens du sang, ou pour être plus précis, sur les droits que détient le créateur sur sa créature - et les devoirs que ces droits entraînent. On voit donc que pour que la solidarité inconditionnelle entre les générations dans la famille puisse exister, la question de la lignée est absolument fondamentale. Et l'amour dans tout ça ? Et bien, il n'a pas sa place. Le mariage - et la famille - sont avant tout des institutions économiques et sociales, destinées à assurer dans les meilleurs conditions la reproduction sociale et la solidarité entre les générations. Pour cela, point besoin de s'aimer. Le mariage d'amour est d'ailleurs une invention assez récente, et pendant des siècles les mariages ont été arrangés par les familles en veillant justement à ce que le ménage ainsi constitué forme une unité économique et sociale viable. Le mariage, institution économique, ne pouvait rester inchangé au milieu des bouleversements économiques du XXème siècle. L'apparition de l'Etat providence, la quasi-disparition de la production domestique ont changé profondément la structure familiale et donc la fonction du mariage. Lorsque les enfants sont nourris et vêtus par les allocations familiales, gardés par la crèche municipale et éduqués par l'école gratuite et obligatoire, lorsque les vieillards reçoivent une retraite, la solidarité inconditionnelle proposée par la famille cesse d'être une nécessité aussi pressante qu'auparavant et prend d'autres formes. En localisant les solidarités inconditionnelles au niveau de l'Etat, notre société a rendu le mariage presque obsolète. Et c'est pourquoi il s'est vidé progressivement de son contenu. Car il faut se souvenir que le mariage est initialement une prison. C'est une institution qui impose des devoirs extraordinairement contraignants: la cohabitation, la fidélité exclusive, la solidarité inconditionnelle, et cela pour la vie. Mais qu'est ce qu'il en reste ? Aujourd'hui, un mariage est relativement facile à dissoudre et personne ne pense s'engager "jusqu'à ce que la mort la sépare" de son conjoint. La fidélité ? L'adultère n'est plus un délit et il est de moins en moins interprété comme une faute civile. La cohabitation ? Les cas de "célibat géographique" se multiplient. Le mariage n'est plus vécu comme un engagement total pour la vie, ni même comme une institution sociale, mais plutôt comme un contrat privé entre individus qui définissent individuellement ce que "leur" mariage doit être. Mais alors, pourquoi diable les homosexuels - ou plutôt un certain nombre d'activistes homosexuels, parce que ce que les homosexuels pensent en majorité sur la question est matière à spéculation - exigent-ils d'avoir accès à une institution en perte de vitesse ? Les arguments des défenseurs du mariage homosexuel peuvent être classés dans deux familles complémentaires. La première est de nature libérale: si l'individu souhaite se marier avec un individu du même sexe, c'est son choix souverain et la société n'a pas voix au chapitre. Elle se doit de "reconnaître" la décision des individus et en tirer les conséquences en terme de droit. La seconde famille d'arguments est fondée sur le principe d'égalité: pour reprendre une formule d'un texte du PG, "L'égalité entre semblables est le fondement de l'intérêt général en République. Les amours sont égales, les droits aussi doivent l'être". La faiblesse de ces arguments est évidente lorsqu'on pousse le raisonnement jusqu'au bout. L'interdiction du mariage entre personnes de même sexe n'est pas plus contraire à la liberté des individus où à l'égalité des amours que l'interdiction du mariage entre frère et soeur - ou entre frère et frère, puisqu'on y est - ou entre ascendant et descendant. Et pourtant, personne à ma connaissance ne propose de lever les interdictions qui frappent ce type d'amours, pourtant aussi "égaux" que les amours homosexuelles. A chacun son tabou. En fait, les activistes homosexuels se débattent dans une terrible contradiction. D'un côté, ils ne manquent pas une opportunité d'exalter leur "différence", d'un autre ils exigent en tout point l'égalité. Leur combat est un combat pour la reconnaissance, mais est-ce la reconnaissance d'une différence où plutôt la reconnaissance de leur "normalité" ? Ils n'arrivent pas à se décider. Et cette contradiction n'est pas l'apanage exclusif des homosexuels, loin de là: dans toutes les "communautés visibles", on voit s'épanouir ce genre de discours. Ces minorités - ou plutôt les activistes au sein de ces minorités - demandent que les institutions les "reconnaissent" en s'adaptant à eux. Et il en est ainsi parce que dans une société à l'idéologie ultra-individualiste comme la notre on juge normal que les institutions s'adaptent aux envies et caprices des gens, et pas l'inverse. Ce qui, il faut le souligner, est la mort de toute pensée institutionnelle, puisque par définition une institution est là pour imposer des règles à des individus qui n'en veulent pas individuellement - si ce n'était pas le cas, on n'aurait pas besoin de les imposer - au nom d'un besoin collectif. Mais en allant plus loin, la revendication du mariage homosexuel met en lumière l'incapacité des individus dans notre société de s'accepter tels qu'ils sont, avec les limitations inhérente à leurs conditions et leurs choix. Les vieux n'acceptent plus d'avoir les cheveux blancs, les jeunes de devoir attendre leur tour pour accéder au pouvoir, les femmes n'acceptent pas de ne pouvoir pisser debout, les hommes de ne pas porter d'enfant, et les tétraplégiques le fait qu'ils ne pourront jamais danser comme la Pavlova. Toute une industrie de la "reconnaissance" s'est créé pour satisfaire ces besoins nevrotiques de devenir ce qu'on n'est pas. Et pour revenir à l'homosexualité, le fait est que les sociétés humaines sont construites sur une réalité biologique, celle de la reproduction sexuée. Celle-ci n'est pas l'invention d'on ne sait quel "patriarcat" ou "dictature hétérosexuelle", c'est un "fact of life". Dans ce contexte, l'homosexualité est fatalement une limitation. Il ne peut y avoir de "lignée" homosexuelle, n'en déplaise à ceux qui - comme Caroline Fourest - continuent à parler des "enfants de couples homosexuels" sans se rendre compte que le "de" génitif est un abus de langage. Il y pourra y avoir "des enfants élevés par des couples homosexuels", mais il n'y a pas "d'enfant de couple homosexuel", du moins pas sans recours au clônage reproductif. Et c'est en vain que les activistes homosexuels cherchent dans la Loi une solution à ce problème. La Loi peut faire beaucoup de choses, mais ne peut changer un homme en femme. Quant bien même la loi accorderait aux couples homosexuels le mariage et l'adoption, le couple homosexuel ne sera jamais l'égal du couple hétérosexuel, ne serait-ce que parce que l'enfant d'un couple hétérosexuel peut raisonnablement croire - même si c'est faux - que ses parents sont ses géniteurs. Alors qu'il ne pourra jamais maintenir cette fiction ses parents sont homosexuels, parce que dans ce dernier cas, il y aura toujours "l'autre", le parent biologique disparu mais toujours présent, qui sera le "véritable" géniteur. Ce véritable géniteur ne peut être chassé qu'au prix d'une nevrotisation des rapports: un enfant élevé par un couple homosexuel n'a pas "deux mamans" ou "deux papas". Il y a toujours une maman ou un papa extérieur, peut-être même inconnu, mais dont on ne peut pas effacer l'existence par décret. Faire dire le contraire à la Loi pour satisfaire un besoin de reconnaissance est aberrant. La quête de reconnaissance qui est derrière l'activisme homosexuel est par définition une quête sans fin. Elle ne peut jamais être assouvie, parce que quelque soit la revendication obtenue, elle ne peut satisfaire le besoin. Une fois obtenu le mariage et l'adoption, il leur faudra autre chose: un soldat inconnu homosexuel sous l'arc de triomphe, une loi de parité entre homosexuels et hétérosexuels aux élections... c'est un chemin sans fin. L'équilibre d'une société vient aussi de la capacité de ses membres à s'accepter tels qu'ils sont et à assumer leurs limitations. Et la société doit organiser cette acceptation, au lieu de céder en permanence aux revendications de reconnaissance de telle ou telle communauté pour lui faire plaisir. Les homosexuels doivent accepter qu'ils sont différents, et les limitations que cette différence entraîne nécessairement. Que les homosexuels aient le droit de s'aimer librement, on est d'accord. Que la société juge qu'il y a un intérêt social a institutionnaliser l'union homosexuelle puisque la solidarité dans le couple a des effets bénéfiques en termes de stabilité et de coût social du soin, cela peut s'admettre et cela a été fait au moyen du PACS. Mais permettre au couple homosexuel d'accéder au mariage en donnant à cette institution la même signification que le mariage hétérosexuel, c'est pour une société de se mentir à elle même. Le mariage est peut-être la plus ancienne des institutions humaines. Il a un sens. Et ce sens est résolument, définitivement, hétérosexuel.
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Ancien membre
03/06/2012 à 08:03

Coaster99 si tu veux je peux aussi t'expliquer le rôle de la mère sur l'équilibre psychologique d'un enfant....
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Ancien membre
03/06/2012 à 10:03

tu m'as découragé avec ton pavé Constantin 8-/
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Ancien membre
05/06/2012 à 17:09

@Constantin06 : Vue le message que t'a mis, plus besoin de me parler mdr !
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Ancien membre
05/06/2012 à 17:20

Je suis pas si contre que ça pour le mariage Gay mais bon ça fait honte à notre Pays ! De toute manière il sera appliqué d'ici le Primtemps 2013 alors vous avez le temps !
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Ancien membre
05/06/2012 à 18:29

Ouais, enfin bon... ce ne sont que des promesses pour le moment. Hollande peut en faire ce qu'il veut de ça, il n'est pas contraint de le faire. Après, tout le problème est de savoir si oui ou non nos 577 pecnos... euh parlementaires, seront prêts à voter en faveur de ça. Prétendument, l'opinion publique y serait favorable... 🧀 La belle affaire... à grands coups d'approximations fumeuses et d'injonctions en série envers les sondés pour qu'ils répondent coût que coût aux questions qui leur sont posées. Bref... Le débat sur le mariage gay peut être pris de deux façons: soit on considère le mariage comme un contrat, soit on le prend pour une institution. Les deux points de vue se valent, ils sont juridiquement valables. Si on prend le mariage pour un contrat, on considère alors que le mariage est la chose des parties, donc des époux, auquel cas le mariage gay peut être légalisé sans problème. La liberté définit le contrat après tout... Si on prend le mariage pour une institution, ouvrant la porte à une autre institution, la famille "conventionnelle", alors le mariage gay n'est pas envisageable. Et le tout, pour des raisons purement biologiques, dirons-nous: la famille traditionnelle, c'est l'homme, la femme, et leurs enfants biologiques. La seule combinaison naturelle... du point de vue biologique. Je ne mets nullement en doute qu'un couple homosexuel puisse délivrer les mêmes choses qu'un couple hétérosexuel. Mais le problème est que l'institution familiale, c'est ce que j'ai mis plus haut. Ca vaut encore de nos jours, c'est ancré dans les moeurs depuis des millénaires, avant l'avènement du catholicisme et tout le reste... donc se battre contre ça, revendiquer des droits à tout va, ça n'a pas tellement de sens. A ce propos, de la revendication de droits, je me rappelle qu'un membre d'ici avait dit qu'on était à une époque où les minorités ont souvent tendance à réclamer des droits, des droits et rien que des droits... mais oublient les devoirs: fidélité, communauté (lit, vie, toit), etc. Le Code Civil, notre très cher pavé rouge... saura très bien les définir. Toujours est-il que demander le mariage, c'est bien, mais est-ce seulement pour le côté cérémoniel, le régime favorable, fiscalement parlant, avec ses abattements... ou pour tout ce qui fait vraiment le mariage, c'est à dire sa série d'obligations, sa relative rigidité, son côté familial? Si c'est seulement pour le premier, alors il serait plus convenable de militer pour un genre de modification du pacte civil de solidarité, moins souple niveau obligations, tout en conservant la possibilité de rompre unilatérale et l'absence d'obligation de passer par un juge pour la rupture. Ce serait une solution hypocrite, mais peut-être plus avantageuse pour tout le monde, puisque ces changements-là profiteraient à tous les pacsés, et non seulement aux nouveaux. Si c'est vraiment pour le côté institutionnel, la seule solution est de réformer le mariage. En sachant que la réforme peut être balayée au mandat suivant.... Du reste, je rejoins ce qu'avait dit Constantin: quel sens cela a, vraiment, de vouloir faire légaliser pour les gays une institution de moins en moins utilisée? Les gens préfèrent se pacser ou vivre en concubinage de nos jours, c'est plus souple et moins contraignant que le mariage. Pourquoi chercher absolument la rigidité et son contrecoup lourd, comme les neuf mois en moyenne de poireautage pour divorcer? L'engorgement des tribunaux... et tout le reste? Le mariage est certes conçu de nos jours comme étant la consécration sur tous les plans de l'amour de deux individus majeurs ou émancipés (dans certains cas). Point. Juridiquement, Constantin a tout dit: c'est plus conçu comme l'alliance de deux familles... ce qui suppose des enfants issus de la couche des époux. Pour contrer cet argument, certains auront rapidement brandi l'adoption conjugale comme échappatoire à ces problèmes de conception. Certes. Le mariage permet l'adoption en tant que couple. Le concubinage et le PACS, en tant qu'individu. Ce qui indirectement autorise l'adoption pour les homosexuels. De ce point de vue, il n'y aurait donc rien à réclamer, les deux concubins ou partenaires devant passer des examens psychologiques et tout le barda pour avoir l'agrément (du point de vue purement administratif) et la tutelle de l'enfant adopté (du point de vue judiciaire). C'est comme si on considérait que le couple adoptait. Donc au final, la seule chose qui gêne, ce sont les mots. Et l'activisme gay, qui veut toujours plus, en se faisant d'une part reconnaître comme une frange de la société à part entière... tout en voulant s'y intégrer. Là est son paradoxe. Le fait d'être homo ne se voit pas comme le nez au milieu du visage....
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Ancien membre
05/06/2012 à 19:14

@LeBercyien75 : Un an passe vite !
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Ancien membre
17/06/2012 à 14:38

"3 Légaliser le mariage gay va ouvrir la porte vers toute sorte de pensée déviante. Par exemple certaines personnes pourraient avoir envie de marier leur animal de compagnie." Elle, elle m'a tué ! XD
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Ancien membre
17/06/2012 à 15:01

Le mariage homosexuel est déjà autorisé. La preuve, Samael et moi allons nous marier.
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Ancien membre
05/09/2012 à 16:35

Les pédés AIMENT se faire du mal!
avatar contributeur Misterbi
Misterbi
20/12/2012 à 02:38

Il y a aussi une bonne raison pour etre contre le mariage gay : qui dit mariage dit adoption. Imaginez le traumatisme pour l'enfant : de ses 2 papas : il ne saura pas qui est sa tante :-(
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Ancien membre
20/12/2012 à 11:13

🇬🇷 🇬🇷 🇬🇷 Les blagues homophobes ...... :roll: #######
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Ancien membre
21/12/2012 à 20:50

Comme dirait quelqu'un, c'est pas parce qu'ils sont pd, qu'il faut leur épargner le mariage !
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Ancien membre
21/12/2012 à 23:47

N’importe-quoi tous ça, c'est à en rire


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