Vie sentimentale, coeur brisé et alcool

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Anonyme
15/04/2017 à 10:25

Bonjour, J'écris ici aujourd'hui parce que j'ai besoin de parler, d'avoir des avis, des personnes qui pourraient me conseiller ou partager leur expérience... Je suis une fille de 24 ans, lesbienne, et plutôt paumée et en colère. Je viens de me faire quitter par ma copine dont je suis amoureuse (bien évidemment puisque sinon c'est pas drôle). Il s'agissait d'une relation à distance (IDF > Bretagne, pas insurmontable non plus). Nous nous voyions quand elle le pouvait car elle a des études très prenantes. Elle m'a expliqué que depuis le dernier week-end où l'on s'est vues, il y a de cela un mois environ, elle se posait beaucoup de questions sur nos modes de vie qui sont très différents. Parce que ce week-end là, malheureusement, j'ai eu une réaction assez violente par rapport à elle, ou du moins son état (j'y reviendrai). Je suis plutôt une personne calme, j'aime rester chez moi ou me balader, ne pas faire grand chose et surtout, je ne sors pas le soir (j'y reviendrai aussi). Elle est plutôt du genre calme la semaine, YOLO le week-end : amis, sorties, alcool, et tout et tout. Sauf que voilà, mon passé familial m'a énormément détruite. J'en paie les frais depuis des années. Pour revenir sur ma réaction lors de ce week-end, ça a à voir avec ma relation à l'alcool : je ne supporte rien de ce qui a à voir avec l'alcool. J'ai grandi avec une mère alcoolique, les rôles étaient totalement inversés, je vivais pour que ma mère ne se lève pas quand elle avait trop bu de peur qu'elle tombe et se blesse, avec la peur de ses crises d'épilepsie, avec l'angoisse de me retrouver seule (mon "père" n'étant plus là, lui aussi buvait quand il était encore avec ma mère)... Bref on range les violons, le truc c'est que aujourd'hui, j'y peux rien, l'alcool c'est un no way pour moi. Donc je ne bois pas, ça, ça me regarde. Mais surtout, lorsque les gens que j'aime boivent, ne serait-ce qu'un ou deux verre, tout devient tout de suite très compliqué pour moi : l'angoisse creuse, jusqu'à atteindre ou non la surface. Ce week-end là, ma copine (mon ex...), des amies et moi, nous sommes sorties une première fois. Je me suis forcée, pour pas faire la rabat-joie, mais pour moi de toute façon sortir le soir c'est aussi source d'angoisse. Elles ont bu, pas moi, j'ai supporté ce fait mais ai quand même du sortir du bar car je me sentais mal et oppressée. Et après ça impossible de remonter la pente. Elles s'amusaient, j'étais dans ma bulle, mal, avec qu'une envie : rentrer. Nous sommes rentrées finalement, elles étaient déjà bien éméchées mais bon, elles sont libres de faire ce qu'elles veulent. Je me suis couchée directement, car j'étais très mal. Je me suis réveillée quelques heures plus tard : plus personne n'était là -elles étaient parties en boite apparemment-. Alors j'ai fait une grosse crise de nerf/d'angoisse, je me suis sentie totalement seule et abandonnée. J'ai fini par me rendormir. Et ma copine (ex...) est rentrée, ivre bien sûr, s'est mise au lit avec moi.. Et j'ai totalement craqué. Une grosse crise à nouveau, en sa présence cette fois. Elle voulait aider, mais ne pouvait rien faire car pour moi alcool = danger = tu m'approches ça m'aide pas. Aujourd'hui, en plus de mon coeur en miette, je suis en colère contre elle qui m'a dit ce soir là qu'elle m'aimait, et qu'elle était là pour m'aider (sauf que sur le moment elle aidait pas vraiment du coup...), je suis en colère contre moi de ne pas savoir faire la part des choses entre mon passé et le présent, d'avoir ces crises d'angoisses et ces valeurs/principes que je sens bien trop différents des jeunes de mon âge (et même des gens en général), je suis en colère contre la société car j'ai l'impression qu'elle valorise les comportements excessifs avec l'alcool, les drogues, et que pour une grande partie de la population, tout cela n'est qu'anodin et le seul moyen de vraiment s'amuser (alors que pour moi non). Je me pose beaucoup de questions. Je me demande si je ne finirai pas ma vie seule, car je suis timide, je ne rencontre pas de filles, en plus rencontrer une lesbienne me semble mission impossible, et si en plus de ça je ne peux pas vivre avec quelqu'un qui boit ne serait-ce qu'un peu de temps en temps, ça rajoute un 'critère' qui me semble impossible à remplir... Je sais pas trop quoi vous demander... J'ai juste besoin d'avis, soit sur ce qu'il s'est passé, sur mon etat d'esprit, sur ce que vous avez vécu... J'en sais rien. Je vous demanderai juste gentiment de ne pas me rabacher les discours d'une grande partie : "un verre c'est rien, tu te prends la tête" et ce genre de chose. Ce n'est pas quelque chose que j'ai choisi, j'ai conscience que un verre ne fait pas de mal mais je refuse de l'accepter, en un sens. Je travaille dessus mais c'est un travail de longue haleine, plutôt difficile, et d'autres angoisses sont aussi à travailler dans ma vie... Merci de votre attention :) Passez un très bon week-end de Paques
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Ancien membre
15/04/2017 à 10:52

Je suis exactement comme toi. Anti tabac anti alcool je vois quelqu'un boire ne serait-ce qu'une bière je me l'imagine déjà saoul, prêt à vomir enfin bref.. Et pareil je sors pas beaucoup le samedi soir. Je préfère les soirées cinéma film pizza avec 2-3 amis que sortir en boîte, dans des bars etc.. Par contre conseil je sais pas trop quoi te donner. :/ mais juste pour dire que tu n'est pas quelqu'un de bizarre et spéciale, tu n'est pas seule, moi je suis exactement comme toi. :)
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Ancien membre
15/04/2017 à 13:07

Je te comprends totalement je ne bois pas d'alcool liée aussi à un passé compliqué et j'ai souvent eu des critiques par rapport à cela car tu comprends comme tu bois pas tu n'es pas dans l'ambiance. Pff pas besoin d'alcool pour m'amuser enfin bref. Concernant ta situation il s'agit surtout dune angoisse du passé et tu en es consciente, pour moi c'est un bon début. En as tu parlé avec ton ex ? Ça va être à toi de combattre cette angoisse. En parler est déjà une très bonne chose. En tout cas courage à toi
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Ancien membre
15/04/2017 à 13:08

"Je me pose beaucoup de questions. Je me demande si je ne finirai pas ma vie seule, car je suis timide, je ne rencontre pas de filles, en plus rencontrer une lesbienne me semble mission impossible, et si en plus de ça je ne peux pas vivre avec quelqu'un qui boit ne serait-ce qu'un peu de temps en temps, ça rajoute un 'critère' qui me semble impossible à remplir..." C'est sur que dans une société occidentale où pour les jeunes sortir c'est se déchirer à l'alcool alors tu rajoutes un critère de sélection si tu ne bois pas, et si pour des raisons de vécu personnel tu angoisses devant les effets de l'alcool. Mais je dis toujours que le monde est grand, et en l'occurence sur ce critère plus de la moitié des terriens ne boivent pas d'alcool. Autant pour être heureuse tu auras certainement un travail à faire pour maitriser tes angoisses quelles qu'en soit l'origine, autant tu parviendras certainement à rencontrer quelqu'un qui se distance suffisamment de l'alcool. Il y a par exemple des gens qui préfèrent organiser des we sportifs, ou de loisirs, ou encore culturels, plutot que de visiter les bars et boites de nuit. Ou bien qui les visitent modérément, comme les boissons. Personnellement je ne me souviens pas m'être déchiré à l'alcool, et mon copain ne boit jamais une seule goutte d'alcool. Et nos amis ont été progressivement rencontrés sur d'autres critères. La vie étant heureusement longue en moyenne, cela laisse le temps pour s'entourer de gens avec qui on s'entent bien. Souvent les amis de notre copin.e ne sont pas exactement ceux ou celles qu'on aurait choisi, mais les choses se décantent progressivement, soit on finit par leur trouver des qualités à ces amis, soit notre chère moitié fait le choix de rester avec nous et se distancier d'eux, soit de partir avec eux. Mais ça c'est normal, c'est la vie, et ce sont souvent les amis des années d'études qui en font les frais, en tout cas quand on decide (enfin) de se mettre en couple.
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Ancien membre
15/04/2017 à 13:32

@Anonyme : on ne peut que te conseiller de suivre une thérapie adaptée (TCC, EMDR, psychanalyse, etc.), si ce n’est pas déjà le cas. Ce dont tu souffres ressemble à une peur ou une phobie de l’alcool. Et comme l’écrit Invictus, tu es loin d’être la seule à en souffrir. Si tu fais une recherche sur Google, avec « phobie alcool », par exemple, tu verras un nombre importants de sujets et de témoignages sur ce thème. Je ne sais pas si tu avais expliqué à ton ex copine cette phobie, mais c’est vrai que lorsque l’on en parle à notre partenaire, on lui offre la possibilité de nous soutenir, y compris pendant une thérapie. Bon courage à toi !
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Ancien membre
15/04/2017 à 14:48

D'une certaine manière, cette angoisse contre l'alcool n'est pas insensé par rapport à ce que tu pourrais penser. Mon papa ayant été alcoolique pendant des années, ça a été difficile à vivre, pour ma mère, comme pour moi. Donc je sais ce que c'est, je suis aussi anti-alcool, anti-tabac, ce qui ne m'empêche pas de boire une bière une fois de temps en temps avec des potes. Il faut savoir faire la part des choses entre, se bourrer la gueule, et juste boire un verre et ensuite repasser à des boissons basiques (c'est ce que je fais, déjà que je bois une à deux fois tout les ans...). Les phobies se contrôlent toujours difficilement, et si ta copine (ex) ne peut pas le comprendre, c'est qu'elle n'est pas vraiment faite pour toi, si évidemment tu lui en as parlé autrefois. Et puis soyons franc, quelqu'un de bourré, c'est lourd à voir, et à supporter. Du moins, je trouve ça très chiant. J'ai côtoyé, et j'en cotoie encore, des personnes qui fument en excès, et qui boivent en excès durant des soirées - week-end, je fais en sorte de ne même pas me mettre dans ce type de soirée. Être timide ne veut pas dire que tu finiras ta vie seule. Sinon, je pense que tout les timides de la planète seraient tous célibataire à l'heure actuelle. xD Des lesbiennes qui ne boivent pas, y en a un paquet, tu finiras par trouver, ta timidité ne t'en empêchera pas, et puis tu peux te battre contre ta timidité justement, faire le premier pas, quitte à te prendre un râteau, mais au moins c'est une bataille. Ton état d'esprit est totalement logique, et si un jour tu comptes discuter avec ton ex de ce qu'il s'est passé, de ce que tu ressens etc. Peut-être que vous finirez par vous remettre ensemble, sinon tes plaies se refermeront et tu trouveras une fille bien plus stable que ce que tu pourrais croire. J'ai mis du temps aussi à trouver une copine qui ne buvait pas, et ne fumais pas, elles existent alors, don't panic ! Courage à toi, et remets toi tranquillement, pose toi les bonnes questions. ^^
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Anonyme
15/04/2017 à 15:53

Globalement, ce qu'il faut savoir c'est qu'elle m'a dit qu'elle a culpabilisé et angoissait que la situation se reproduise. J'ai oublié de le préciser dans mon message initial, j'étais probablement pas assez concentrée... Elle m'a aussi dit qu'elle avait vraiment besoin de sortir et de voir du monde, que la semaine rester au calme n'était pas un problème mais que le week-end lui semblait plus compliqué (et on ne peut se voir que le week-end). @Invictus : Globalement je suis anti-tout-ce-qui-peut-créer-une-dépendance. Même les réseaux sociaux ça commence grandement à me gaver ! :) Peut-être donc que je ne suis pas seule alors, si tu me le dis... Merci pour ta réponse. @Poupouceamel : Je ne compte plus le nombre de fois où l'on a pu me dire ça. Je suis maintenant entourée de personnes qui connaissent mon histoire et mes problème, donc les gens savent en général que si on m'inclus, c'est pas pour partir jusqu'à 3h du mat faire la tournée des bars (ou peu importe l'heure de fermeture de ces lieux, j'en sais rien ^^"). Mon ex connaissait aussi mon histoire et mes problèmes de relation à l'alcool et autres problèmes et angoisses que j'ai pu développer avec le temps aussi. Merci d'avoir pris le temps de répondre. @Lindos : Ah oui mais là si tu me dis que je dois chercher dans le monde entier pour trouver quelqu'un qui me corresponde, ça arrange pas mon problème non plus ;). Le travail est en cours, en tout cas. J'ignore où se trouvent ces personnes qui préfèrent les week-end sportifs et autres. Par contre je ne pense pas que ce soit les amis de ma copine(ex) qui posent réellement problème dans l'affaire. Ma copine(ex) est juste comme ça... J'ai envie de dire, attention aux clichés, que c'est une vraie Bretonne :). Mais je tenais à préciser tout de même que je n'ai presque plus de problème à être avec des personnes qui boivent quelques verres. Du moment qu'elles ne forcent pas, ça va. Mais dès que je me rends compte que là, ça "abuse" un peu, y a plus personne. ("abuser" selon mes critères, je dirais après le 4eme verre ^^") Là sur cet événement, c'est vraiment le facteur "trop" d'alcool qui m'a perdue. Merci pour ta réponse @Enneathusias : Je suis déjà une thérapie, pour régler mes nombreux problèmes d'angoisses en tout genre sorties de l'espace... Mais c'est très récent, ça ne fait qu'un peu plus de 6 mois. Ma copine connaissait ma relation à l'alcool, mais ne se doutait pas que je pourrais avoir de telles réactions (d'ailleurs moi non plus, ça m'était jamais arrivé à ce point avec une copine...). Cependant pendant ma grosse crise en sa présence, elle m'a répété qu'elle était là et qu'elle pouvait m'aider, que je n'étais pas seule. Seulement voilà maintenant c'est exactement pour ce fait qu'elle a remis en doute notre relation. Je trouve ça dur à accepter du coup... Merci à toi. @Meligood : Je sais bien qu'il faut savoir faire la part des choses. Je l'ai dit d'ailleurs que j'adorerais en être capable, et j'en serai capable un jour j'espère, mais j'ai vécu 10 ans en ayant le rôle de la gamine qui doit faire en sorte que sa mère finisse pas au plus mal, et c'est pas si simple finalement. Tu as la 'chance' de pouvoir accepter l'alcool dans ta vie sans en voir le danger immédiat, j'adorerais y arriver. Mais pour moi ce sera un nope ad vitam eternam je pense, pour la raison que de toute façon, bien qu'ayant essayé de gouter différents alcool : je trouve ça dégueulasse ! Faire le premier pas, je ne vois pas comment ^^. J'ai renvoyé un message à mon ex, mais je doute que ça aie quelconque effet sur la situation. Merci pour ton message.
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Ancien membre
15/04/2017 à 16:40

Je n'ai pas vraiment de conseils mais je me retrouve un peu dans ton post, les situations que j'ai vécu(es?) étant différentes de la tienne : Je ne bois pas d'alcool (ou alors un verre, très occasionnellement, genre repas de famille où on trinque au champagne), je n'en aime pas les effets, je ne vois pas l'intérêt de se bourrer la gueule et je n'aime pas trop sortir. Il m'arrivait, moi aussi, de faire des crises d'angoisse et de me sentir oppressée. Rien à voir avec l'alcool dans mon cas mais c'était quand même bien handicant au quotidien (chaque fois que je mettais un pied dehors était source d'angoisse, je n'allais plus vraiment au lycée.. Des trucs sympas quoi 😅). Aujourd'hui je maîtrise un peu mieux le truc, et j'ai fait de gros progrès. Je ne sais pas si ce besoin de distance avec l'alcool est récent ou pas, si tu consultes ou pas, mais dans mon cas, ce qui m'a aidé c'est d'en discuter avec des professionnels. Ils m'ont donné des pistes de refléxions, ce qui m'a fait avancer. Bon, j'ai mis le temps, certes, mais aujourd'hui je vis mieux. Je pense qu'on ne guérit pas d'une phobie mais on apprend à la gérer. Puis, si tu avais parlé de cette phobie à ton ex, peut-être ne s'était-elle pas rendue compte de l'intensité de ta peur... Peut-être s'est-elle rendue compte d'une incompatibilité au niveau de vos modes de vie... Quant au fait qu'elle t'ait quittée, que tu sois enervée contre la Terre entière et que tu penses que tu vas finir toute seule... Je dirai que c'est plutôt normal quand on sort d'une relation... En tous cas, moi aussi j'étais dans une relation à distance, mon ex est partie, je l'ai destestée et aujourd'hui je m'en fous. Et puis, si vraiment tu finis toute seule, tu pourras toujours adopter des chats et leur parler... (comment ca c'est pas drôle ?) Parole d'une lesbienne de 25ans, timide, angoissée et qui, dans les mauvais moments, pense aussi qu'elle finira toute seule 🙄😃 Allez, prends un peu de recul, bon courage, et hésite pas si tu veux... :)
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Anonyme
20/04/2017 à 10:52

Je me demandais si d'autres personnes avaient un avis, une expérience à partager sur mon problème, depuis ce week-end... Alors je remonte le sujet (enfin j'essaie :/) @Anais89 : Pour te répondre, mon besoin de distance avec l'alcool a toujours été présent et j'ai commencé une thérapie en septembre dernier dont je ne vois pas encore vraiment les bienfaits. Moi même je n'imaginais pas pouvoir avoir une réaction si violente je ne pensais même pas que c'était une phobie... En attendant elle me manque et n'a même pas pris la peine de répondre à mon message de lundi (on discutait de la situation quand même, elle a jamais dit clairement qu'elle me quittait en fait, juste qu'elle savait pas quoi faire...) - dire ça ne sert à rien pour vous, mais ça vide mon sac en public comme ça ^^ -
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Ancien membre
20/04/2017 à 12:09

@Anonyme : Peut-être que dans sa tête, la balle est dans ton camp en quelque sorte et qu'elle attend des garanties. D’un côté, elle a de l’affection pour toi, mais de l’autre elle se sent démunie face à tes angoisses : quand elle est au cœur du lâcher-prise, de l’amusement, que sa garde est baissée et qu’elle est en quelque sorte vulnérable, elle se heurte à ta souffrance agressive, ce qui devient une souffrance pour elle aussi. On est d’accord que l’idéal serait que tu puisses sortir t’amuser avec elle, sans que la présence d’alcool réactive tes angoisses. Or, si tu es réellement confrontée à une forme de phobie, sache que parmi les thérapies courtes, la thérapie comportementale et cognitive (TCC) est particulièrement adaptée, puisqu’elle peut traiter toutes les phobies. Tu es peut-être engagée dans une thérapie longue, qui a ses propres mérites aussi. A toi de voir ce qui te conviendrait le mieux. Bonne journée
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Anonyme
20/04/2017 à 12:40

@Enneathusias : Merci pour ta réponse. Peut-être mais pourquoi laisser la balle dans mon camp alors que je lui ai dit que je ne voulais pas que l'on se sépare ? (Je demande mais toi tu n'en sais rien ^^"). Je ne peux pas lui garantir que je ne ferai pas de nouvelle crise d'angoisse, et c'est elle qui a des doutes. C'est elle qui semble avoir une décision à prendre... Je comprends qu'elle puisse se sentir démunie, qui ne le serait pas. Je lui ai dit et ai reconnu ses craintes, elle sait que j'ai conscience qu'elle se sens mal vis à vis de ça. Mais ce n'est pas quelque chose que je maitrise pour le moment malheureusement... Je vais me pencher sur la question de la TCC alors, je vais chercher ça. Ce n'est pas le genre de thérapie que je fais actuellement en effet. Bonne journée à toi aussi :)
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Ancien membre
22/04/2017 à 11:27

Bonjour, Tout d'abord je pense que je dois te remercier de te confier ainsi, que ce soit par acte de désespoir ou pas. Je ne veux pas blablater longtemps sur tout le contenu , mais je te propose quelque chose. Pour ta copine t'oublie. je suis désolé, mais c'est comme ca. La phrase qui dis ils s'aimairent et vecurent longtemps ensemble est très vieille. A cette epoque l'esperance de vie etait de 54 ans grand max. Es tu seule ? non, nous sommes sur plus d'un tiers de la planete qui a un bleme et qui vit avec. Je te propose d'écrire. fixe toi un but, un but avec des étapes, que ce soit avec l'acceptation de l'alcool ou pas, on s'en fout, c'est pas le soucis, le soucis, c'est d'avoir une vision d'avenir pour ne plus etre hanté par la vision du passé. Une fois le but et les étapes determinées et notées, chaque jour tu lis l'etape que tu veux atteindre en premier, et le soir tu écris, ou tu trouves que tu t'en es approchée ou que tu t'en es eloignée. Il n'y a pas de remedes miracles, mais cela aide, cela m'a aidé a sortir d'un burn out qui a duré une année complète. Cet exercice t'aidera a t'accepter et à te voir en face, avec tes defauts et tes qualités, que je suis sur beaucoup pourraient t'envier. Cordialement, Nordine.
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Ancien membre
13/05/2017 à 08:48

Hello ! Je pense peut être que tu te trompe sur les raisons de votre separations, après c'est seulement mon avis face à l'exposition des faits, je pense que tu est plutôt une personne casanière et elle est une fetarde, je vois que dans les relations il est bien d'etre different, pour pouvoir s'enrichir de l'autre, mais peut etre que c'est plus votre mode de vie qui est different et pas très compatible, car tu as dis que tu te sentais super mal a cette soiree même sans parler de l'alcool, après vu ce que tu as vecu c'est normal de reagir comme ça, tu devrais peut etre trouver une personne qui n'as pas l'alcool dans le sang, ah oui aussi j'ai l'impression que c'est plus la peur d'etre seule qui te dérange plutot que de ne plus être avec elle, voila dis moi ce que tu en pense? Si je me trompe complétement où pas
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