Bonjour Chocopops, Avant tout, je suis admiratif de ton courage & combien tu as de mérite. Les seuls qui peuvent aider ton frère à un sevrage, ce sont les médecins & un séjour en clinique psy si vous parvenez à le convaincre quand il est lucide..As tu pensé à en parler avec votre médecin traitant ? Il y a des centres d,appels & de soutien en numéros verts, tu peux les trouver sur le net ou auprès d,un centre hospitalier, ils sauront mieux te conseiller & certainement trouver une solution. Je te souhaite ainsi qu,à ta maman, de parvenir à y mettre un terme & te dis bravo pour faire face de toute part à surmonter toutes ces difficultés & bienvenue dans l,univers des femmes :)
Ce sujet est une demande d'aide, bienveillance et courtoise sont de rigueur.
Commencer à faire des rencontres ?
Ancien membre 08/02/2017 à 14:55
Je vais rejoindre les avis du dessus concernant l'éventualité de voir un psy, peut être tous ensemble au début, la "famille" pour l'aider à mettre le doigt sur le problème. A ça devrait probablement s'ajouter un coup de désintox, car là il est clairement dépendant de la fumette. Heureusement que ce n'est pas une drogue dure, mais va savoir un jour l'herbe ne lui suffira peut être plus :-/ Courage à toi en tout cas, tu vis quelque chose de très dur et je trouve que tu le gère malgré tout plutôt bien. Le quotidien ne doi pas être facile, mais tu fais tout pour essayer non seulement de t'en sortir toi, mais d'aider ta famille avec, c'est beau :-) Bravo à toi !
Ancien membre 08/02/2017 à 17:35
Chère Chocopops, Malgré qu,il refuse d,entendre parler de clinique ou de soins médicaux, vous pouvez avec ta maman, trouver un grand réconfort & soutien pour vous deux en appelant ce numéro vert, car je pense que vous êtes épuisées toutes les deux & une écoute anonyme peut vous soulager, peut être même trouver une solution à laquelle tu/vous ne pensez pas, je vous le souhaite de tout coeur car être h24 ainsi, votre santé tant morale que psychologique doit être au plus mal.. Tu as beaucoup de merites, je te réitère mon admiration face à tant de compassion pour ton frère & le soutien sans faille que tu témoignes pour ta maman & de courage dans ces épreuves multiples en étant qui plus est, devenue femme.. Courage à toi :)
Ancien membre 08/02/2017 à 18:29
Bonjour Chocopops Je ne connais pas exactement les méthodes pour aider une famille dont un proche est addicte et dépendant à une drogue, mais elles existent. Il est probable que pour ton frère cela passera par une consultation spécialisée à l'hôpital. Mais comme il ne veut pas, ce qui est logique dans sa situation, il faudrait d'une façon où d'une autre amorcer la pompe sans attendre un accident qui finit souvent par survenir. Je te conseillerais volontiers de rejoindre au moins au début un groupe de parole de soutient et de lutte contre les addictions, soit qui dépende d'un hôpital soit une association de prévention et de lutte contre les addictions. Autant que je sache ces groupes rassemblent des malades (puisqu'il faut bien les appeler comme ça) et/ou leurs proches, de façon à capitaliser les expériences, accueillir dès que possible les malades, les faire parler en commun pour qu'ils prennent conscience de ce qui leur arrive et font subir à leurs proches, les faire parler de leurs efforts et progressions pour les valoriser, mais aussi de leurs rechutes pour les soutenir, sachant que lutter contre une addiction est un combat long et difficile. Mais sachant aussi que les médecins ont des molécules qui aident bien. Je te conseillerais aussi volontiers de ne pas tomber dans le piège de ta culpabilisation, c'est une esquive facile et apparemment habituelle des gens addictes à une drogue.
Ancien membre 08/02/2017 à 21:43
Bonsoir, Chocopops. Déjà, je te félicite pour ton courage pour ce que tu vie toi et ta famille. Situation difficile, Ton frère a 32 ans à un dégoût pour la vie, c'est complément braquer à la vie, c'est réfugier dans la drogue et apparent c'est bien encrée et refuse tout dialogue pour son problème d’addiction. Mais je pense qu'il peux avoir une solution, elle peux êtres radicale, mais elle peux fonctionner, je pense pas que les Médecins,psy peuvent aider car je trouve qu'ils ont tendance a faire trop la moral et a prescrire plein de médoc, la solution sa serrais que quelqu'un de neutre a la Famille vienne faire le médiateur, cette personne devrais êtres assez forte physiquement voir même être un expert en combat et surtout qui un discours percutant, que cette personne lui arrive à crever l'abcès qui la au fond du cœur pour le faire craquer et lui faire prendre conscience du mal qu'il vous fais et la après sa il auras peut être envie d’arrêter ses connerie de lui même, de toute façon faut que ça vienne de lui. Il doit bien exister des gens qui fond ce genre de métier. En tout cas je te souhaite bon courage pour la suite et j’espère que vous trouverez une solution. Julien
Ancien membre 09/02/2017 à 14:14
L'assurer de ton affection, en plus de celle de ta mère dont il ne doute pas et tire profit, est peut-être un préalable, mais ne résoudra certainement pas sa dépendance et l'altération de sa personnalité, ni peut-etre meme le déni qui le conduit à croire que vous etes partiellement responsables de ce qui lui arrive. Autant que je sache gommer une dépendance à une substance ne gomme pas la fragilité aux addictions, dont l'encadrement comportemental ne gomme pas la sensibilités à ces fragilités. Parce qu'en quelque sorte les neurones ont une limite de (bon/mauvais) fonctionnement, prennent ou perdent des habitudes de (bon/mauvais) fonctionnement, et ont une capacité plus ou moins adaptée à leur l'environnement (sans qu'il soit nécessairement judicieux de porter un jugement de valeur sur cette capacité, par exemple un poète ou artiste peut être incapable dans notre societé et admiré dans une autre). Tenter d'agir sur ce qui est supposé avoir été un facteur défavorisant est peut-être utile, mais a habituellement autant que je sache peu de chance d'être suffisant dans le cas des addictions...
Ancien membre 09/02/2017 à 20:29
J'encourage ton idée de lettre et ton raisonnement à la fois très sensible et très étudié par rapport au fonctionnement de ton frère. Pour moi, cela ne s'oppose pas à d'autres démarches d'aides extérieures. Il y a différentes étapes et différents "outils" à cumuler, à différents moments. C'est l'ensemble des démarches qui porteront leurs fruits. Et si ta lettre peut ouvrir une brèche vers le changement, il n'y a pas de raison de ne pas essayer. Et quoi qu'il se passe, je pense que cette belle graine sera déposée dans son coeur ... On ne sait juste pas quand elle germera :) Encore bon courage à toi !
Ancien membre 09/02/2017 à 23:16
Je ne sais pas quoi te dire par rapport à ce que tu nous dis là, effectivement vivre avec une personne toxicologique est dur mais cela reste ton frère et il faut le soutenir car il souffre sûrement lui aussi de sa situation. Je vois pas ce que tu peux faire, dès que tu peux assumer la vie seul, il faudra partir, ta mère par contre je vois pas ce qu'elle peut faire...Le mettre sur curatelle ? essayer de le convaincre de faire une cure ? En tout cas le cannabis et tous ses dérivés c'est vraiment de la merde, j'ai deux personnes dans mon entourage qui ont niqué des années de leur vie à cause de cette merde, quand tu t'en rends compte c'est trop tard, tu as perdu des facultés intellectuelles, de concentration, tu es déscolarisé, tu n'as pas de boulot et il faut tose démerder. Quand je pense qu'on veut légaliser ça...Les gens sont tarés.