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Citation de Anais89 : Aurais-tu également "une analyse sociologique et psychologique" de l'expression "voir même" (qui s'écrit, au passage, "voire même") dont l'utilisation est contestable, du coupIl ne s’agit pas d’un problème d’orthographe ou de grammaire, mais d’une expression qui a envahi notre langage commun en quelques mois, de manière totalement déraisonné et sortie de son contexte. Il y en a un dans mon entourage qui va jusqu’à commencer chacune de ses phrases par « du coup » pour en placer deux ou trois autres dans le déroulement de cette même phrase, sans omettre de finir avec bien-sûr. Ce qui est particulièrement laid, mais cela relève d’une affaire de goût je l’accorde. Ce qui est perturbant c’est que pratiquement tout le monde dans ma classe, s’est mis à répéter cette expression en quelques semaines comme un automatisme (inconscient ou voulu? dans quel but? d’une reconnaissance d’un groupe? d’un style?) et de manière totalement désordonnée au sens des phrases. C’est là que cela devient une affaire sociologique et psychologique, et non une simple affaire d’orthographe ou de grammaire.
Citation de POzitivelif3 : De mon côté en septembre je ne l’avais même pas encore repéré, ça a commencé à partir de l’un de nos enseignants qui le place dans toutes ses phrases, et qui a proliféré assez rapidement dans ma classe, même notre première soirée en week-end en octobre je me souviens personne ne le disait encore, et maintenant je le vois et l’entend même partout depuis quelques semaines, c’est hallucinant.Je pense qu'on a tous tendance à répéter les tournures que l'on entend couramment dans un groupe de personnes. Je le vois bien avec les amis ou au travail, c'est assez contagieux.
Citation de POzitivelif3 : Il ne s’agit pas d’un problème d’orthographe ou de grammaire, mais d’une expression qui a envahi notre langage commun en quelques mois, de manière totalement déraisonné et sortie de son contexte. Il y en a un dans mon entourage qui va jusqu’à commencer chacune de ses phrases par « du coup » pour en placer deux ou trois autres dans le déroulement de cette même phrase, sans omettre de finir avec bien-sûr. Ce qui est particulièrement laid, mais cela relève d’une affaire de goût je l’accorde. Ce qui est perturbant c’est que pratiquement tout le monde dans ma classe, s’est mis à répéter cette expression en quelques semaines comme un automatisme (inconscient ou voulu? dans quel but? d’une reconnaissance d’un groupe? d’un style?) et de manière totalement désordonnée au sens des phrases. C’est là que cela devient une affaire sociologique et psychologique, et non une simple affaire d’orthographe ou de grammaire.Dans ce cas, il s’agit davantage d’une interjection et d’un tic de langage qui ponctue les sauts d’une pensée « coq-à-l’âne » ;-) Hors contexte d’interjection, il m’arrive d’utiliser certaines de ces expressions pour reproduire l’effet d’un langage parlé.