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Citation de MonsieurS : @Ssourire c'est relativement simple: être un homme c'est avoir un sexe masculin, un pénis, une bite; être une femme c'est avoir un sexe féminin, un vagin, une chatte!C'est à peine réducteur comme vision. Et tu vas dire que tu attends de voir le sexe d'une personne avant de la catégoriser comme homme ou femme ?
Citation de Oyodoo : Citation de MonsieurS : @Ssourire c'est relativement simple: être un homme c'est avoir un sexe masculin, un pénis, une bite; être une femme c'est avoir un sexe féminin, un vagin, une chatte! C'est à peine réducteur comme vision. Et tu vas dire que tu attends de voir le sexe d'une personne avant de la catégoriser comme homme ou femme ?C'est pourtant vrai au niveau physique nous allons voir si la personne et un garçon ou une fille en fonction de ce qu'il a entre les jambes et au niveaux de la poitrine. Nous définissons bien un annimal de mâle car il a un penis. Il s'agit juste de l'aspect moral qui est différent car nous sommes déjà tous socialisé de manière différente. Et notre socialisation à un impact immense sur notre identité. Mais bref je ne trouve pas que c'est réducteur de dire ce qu'il a dit c'est juste vrai.
Citation de Gilou03 : la catégorisation n'est pas réductrice en elle même, mais son usage sociale oui, par voie discriminante, car le "génie" de certaines personnes est de faire que la majorité doit imposer sa fonctionnalité aux minorités, ce qui crée des gay-tos...Et bien disons que la majorité impose à la minorité des normes et si nous ne rentrons pas dans leur normes alors nous ne sommes pas normal. Mais petit à petit nous allons vers une décroissance de cette mentalité même si elle est toujours forcément présente
Citation de Alex59fr : Citation de Gilou03 : la catégorisation n'est pas réductrice en elle même, mais son usage sociale oui, par voie discriminante, car le "génie" de certaines personnes est de faire que la majorité doit imposer sa fonctionnalité aux minorités, ce qui crée des gay-tos... Et bien disons que la majorité impose à la minorité des normes et si nous ne rentrons pas dans leur normes alors nous ne sommes pas normal. Mais petit à petit nous allons vers une décroissance de cette mentalité même si elle est toujours forcément présenteC'est la majorité qui impose les normes, parce qu'elle est plus nombreuse partout, et ce qui en sort est automatiquement une anomalie - il n'y a là pas de génie. Une goutte d'eau jetée dans le fleuve n'en détourne pas le cours. Les ghettos sont une réaction de personnes qui n'acceptent pas le mode de vie majoritaire ou ne s'y adaptent pas et qui donc s'organisent autrement, elles font un îlot sur le fleuve. Je trouve cela dommage car en France la vie privée a toujours été assez libre, je ne pense pas qu'il y ait eu souvent des choses similaires à la charia par exemple. Les ghettos homosexuels ne sont pas des ghettos de refuge : il n'y a qu'à en voir les prix, ils sont fait pour ceux qui veulent vivre dans leurs normes et en ont les moyens. Les homosexuels pauvres n'y sont de fait clairement pas les bienvenus (sauf s'ils peuvent y vendre leur chair, jeunes, beaux, frais). Pour le cas très particulier des transsexuels, estimés représenter entre 0.002% et 0,1% de la population maximum - les Français ont la plupart du temps une réaction de pitié, mais il est tout simplement plus que rare d'en croiser avec un taux si faible. La question n'est donc pas prioritaire, la question politico-ethnico--culturo-religieuse elle par contre est bien plus préoccupante (il y a encore un bon déminage à opérer). Historiquement le premier date à priori de 1920 en Allemagne (voir l'article wikipedia Gay village), mais la plupart ont cru dans les années 1970 - années de la conquête et de la capture de la vie privée, des désirs et de la sexualité, par la bête sauvage du Capital - avec l'immobilier, les bars, les hôtels, les prêt-à-porter, les magazines, la musique, les films à consommer... Le marché créée le désir (par exemple être BSDM avec des films comme Fifty Shades of Grey) puis sectionne en catégories pour acheter, vendre, acheter, vendre, jusqu'à la vérité voire l'identité (fausse) elle-même. Il fonctionne ici avec de la consommation uniquement, sans jamais de production - qui elle est délocalisée pour être rentabilisée (empêchant ici toute émancipation par le travail, la création personnelle, l'identité réelle par ses propres actes) ... Il est là le "génie" dont vous parlez : voir l'émancipation là où on s'emprisonne dans le désir et le fantasme individuel. https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Clouscard#Les_niveaux_d.27initiation_.C3.A0_la_civilisation_et_.C3.A0_l.27exploitation_capitaliste C'est la bête sauvage du capitalisme qui dit son dernier mot. L'exemple qui me vient le plus vite à l'esprit est ce journaliste qui proposait à son fils de jouer avec des poupées. Parce qu'il "avait le droit" d'être une fille" s'il le voulait, s'il aimait cela - pour lui ça mettait en jeu la "responsabilité" des commerçants. Il n'y a là aucune responsabilité des commerçants. Mais le pouvoir écrasant et inégalé du marché qui détruit l'identité structurelle de la nation, société, famille (voir article ci-dessus) et là celle de l'individu-même qui décide d'être quelque chose en s'identifiant par ses habitudes de consommation. Un garçon pourra être une fille par ce que son père lui achète des poupées indifférenciées produites en masse dans un pays du tiers-monde par des enfants esclaves pour remplir les poches d'actionnaires peu scrupuleux qui engendrent ici le chômage et la misère culturelle, spirituelle et détruisent la créativité. Tout cela pour former une identité dite minoritaire, sans racines, sans fondement autre que le désir ... Dans un choix on ne peut plus biaisé, c'est choisir la prison. C'est générer des hommes dont on a volé les âmes et parfois même les corps pour alimenter la machinerie du marché qui continue à le faire. De ce fait ils ne vivent plus ensemble, ne créent plus et entre dans une spirale morbide. Bientôt il n'y aura plus de couple mêmes dès lors que les robots seront simuler l'acte sexuel à la perfection, puisque seul le désir règnera ...
Se poser aussi la question de "est-ce que ce que l'on aime définit ce que l'on est ?"Ce à quoi je réponds : c'est le contraire (et ce n'est pas aimer mais désirer surtout quand vous parlez des bsdm ...), se définir ainsi, c'est se faire voler son âme créatrice par le marché.
Citation de Alex59fr : C'est pourtant vrai au niveau physique nous allons voir si la personne et un garçon ou une fille en fonction de ce qu'il a entre les jambes et au niveaux de la poitrine. Nous définissons bien un annimal de mâle car il a un penis. Il s'agit juste de l'aspect moral qui est différent car nous sommes déjà tous socialisé de manière différente. Et notre socialisation à un impact immense sur notre identité. Mais bref je ne trouve pas que c'est réducteur de dire ce qu'il a dit c'est juste vrai.Quand tu croises quelqu'un dans la rue, je doute que tu t'attardes sur son sexe ou sa poitrine pour déterminer son genre, tu dois plutôt user de stéréotypes par rapport au visage ou aux vêtements. C'est réducteur parce qu'il y a des hommes sans pénis, des femmes avec pénis, des hommes avec vulve, des femmes sans vulve, etc.