Bonsoirs amis de la nuit (Etant donné l'heure a laquelle je poste ce sujet) ou bonjour a vous si vous lisez ça en pleine journée ! BREF J'ai souvent écris pleins de choses, des débuts de romans (que je n'ai jamais poursuivis) des textes de chansons etc mais là, j'ai CETTE histoire qui me trotte dans la tête depuis des mois maintenant, et après de nombreuses heures de réflexion, j'ai décidé de me lancer ! Alors voici le premier jet, j'aimerais beaucoup avoir votre avis sur ce début, constructif si possible, bon ou mauvais, mais ce serait d'une grande aide pour moi ! Je vous remercie d'avance si vous prenez le temps de lire ce petit bout de texte ! :) "Lejour se levait sur Vankleek Hill, les lueurs traversaient déjà les rideaux de ma chambre. J'ai un sommeil léger, perturbé de rêves, ou plutôt de cauchemars, depuis l'accident. Il était presque six heures trente, pourtant mes yeux s'étaient ouverts il y a au moins une heure déjà. Je me levai donc, enfilai un peignoir et rejoignit ma cuisine. Le rituel voulait que chaque matin, je boive un thé aromatisé a la poire et au chocolat, tout ça, assise sur un petit tabouret qui trônait a côté d'une petite table circulaire. Avec les petits biscuits du petit déjeuné s'ajoutait quelques pilules d'anti-dépresseurs et d'anxiolytiques pour m'aider a faire face a cette nouvelle journée où j'allais devoir sourire et être polie. Après avoir consulté les actualités sur mon smartphone via les réseaux sociaux (actualités soit intéressantes, soit sans intérêt, comme le nouveau pull que Jessica c'est offert) je débarrassai cette petite table et filai sous la douche. J'aimais le contact de l'eau ni tiède, ni chaude, un juste milieu d'eau a température presque corporelle qui se glissait et ondulait sur les formes de mon corps, qui enveloppait ma silhouette d'une carapace protectrice de réconfort. Je pouvais rester de longue minutes, là, a fixer l'horizon sous une pluie artificielle si chaleureuse. Lesminutes filaient et je me voyais déjà en retard, mon patron étaient clément avec moi, étant donné ce que j'avais vécu, mais je ne pouvais pas arriver constamment a une heure différente. M'habiller m'importais peu a présent, je prenais des vêtements qui allaient relativement bien ensembles, le maquillage ne servait uniquement qu'a me donner un teint moins cadavérique et a estomper les cernes qui creusaient mon visage. Aprèsun rapide coup de brosse pour dompter ma chevelure blonde, j'étais enfin prête a quitter cette maison si conviviale autrefois. Lorsquej'ouvris la porte, une brise estivale vint caresser mes joues, et fit virevolter doucement mes cheveux. La moitié de l'été était passé, les jours colorés et pluvieux de l'automne n'étaient plus très loin. C'était ma saison préférée, j'aimais tellement me promener dans les petites rues tapissées de feuilles aux couleurs rouges orangées. C'était pour ça que je m'étais réfugiée ici, au Canada. Aprèsces quelques secondes a contempler les alentours, je me rendis dans l'allée de mon garage où se trouvait ma Ford Fusion, celle qui m'accompagnait dans tous mes déplacements." Merci d'être arrivé jusque là ! Désolé pour les fautes d'orthographe si il y'en a, la fatigue et l'excitation m'en ont surement fait faire quelques unes, ne vous gênez pas pour les mentionner ! ;)
Commencer à faire des rencontres ?
Ancien membre 10/01/2016 à 04:09
Merci beaucoup pour ta réponse ! Ça fais plaisir d'avoir des avis pour pouvoir au mieux peaufiner son travail ! Après il est vrai que je dois plus détailler qui est le personnage, après tout le lecteur ne sait pas grand chose d'elle, alors qu'évidemment moi je l'a connais, je l'ai crée, je vais donc introduire des éléments physique dans la suite ! (j'aime bien garder le coté psychologique pour plus tard Ahaha) puis si tu le veux et que d'autres qui liront peut être veulent aussi un peu de la suite je serais ravi de partager ça avec vous ! :)
Ancien membre 10/01/2016 à 12:31
J'en serasi ravi, de pouvoir lire son histoire, qui elle est et surtout POURQUOI elle est comme ça. Je ne suis peut etre pas pro mais si je peut aider.
Ancien membre 10/01/2016 à 13:46
Ton avis est suffisant ! Je demande pas a un Stephen King de venir me donner le siens ! aha En tout cas merci, je te transmettrais la suite ! :)
Ancien membre 11/01/2016 à 11:40
Bon, la mégère se lance ! Dans l'ensemble le récit est plutôt bon, mais vu que tu demandes des avis je remonte les manches et je donne mon avis ! Premièrement, certains temps que tu utilises sonne comme si ils étaient au mauvais endroit pour mon oreille du style "j'ai un sommeil léger". A mon avis "depuis l'accident, J'ai un sommeil léger, perturbé de rêves, ou plutôt de cauchemars" sonne mieux. Après l'utilisation de certains verbes me laisse perplexe comme l'utilisation de "vouloir" pour décrire le rituel, je pense qu'un verbe d'état sera plus à sa place un simple "être". En utilisant vouloir tu donnes une volonté, une action a ce rituel qui est banale (banale n'est pas péjoratif on est d'accord ?). J'utiliserais plus "vouloir" dans un rituel plus""vivant"". du style "Le rituel voulait lui arraché sa vie" Tu rajoutes un peu de description, (J'adore avoir plein de détail inutile du genre savoir si le tabouret circulaire est en aluminium recouvert d'une peinture de couleur vert d'eau qui est dans un sale état ou si c'est un tabouret en bois recouvert d'une house brodé avec des motifs inca qui était d'une couleur vive qui est maintenant passée) Voilà voilà, sinon j'aime bien la tournure que cela prends ! A quand une suite ?
Ancien membre 11/01/2016 à 13:42
Merci a toi sale mégère ! (je rigole ! aha) Non sérieusement, merci pour cette analyse un peu plus technique, j'ai pris en compte ce que tu as dit et ai effectué les changements ! D'ailleurs depuis, le début a un peu évolué, j'ai rajouté certaines choses, j'ai un peu continué, je continuerais un peu aujourd'hui et je vous envoi ça ! :)
Ancien membre 11/01/2016 à 14:02
C'est intéressant la façon dont tu distilles les éléments de la trame. Le mot accident qui arrive presque au tournant d'une phrase. L'adjectif accordé au féminin qui nous renseigne un peu plus sur l'identité du narrateur après quelques lignes. Ca me plait. Je ne commenterai pas l'intrigue dont on a encore trop peu d'éléments pour pleinement l'apprécier. Du même coup, c'est sur le style que se porte l'attention et je ne le trouve pas suffisamment au service de l'impression que tu veux donner. C'est sans doute un exercice difficile, mais je ne ressens pas la mélancolie, la lassitude ou le poids des tâches routinières dans la globalité des phrases. Du coup, elles semblent anecdotiques (et pour cause, c'est une scène routinière que tu décris) au lieu d'être saisissantes ou au lieu d'instaurer un mal être. Ne prends pas trop sévèrement ma critique, qui n'est que mon humble avis. J'ai d'ailleurs spécialement apprécié l'une de tes phrases qui m'a justement mis dans la peau du personnage, et pour laquelle je te félicite : "J'aimais le contact de l'eau ni tiède, ni chaude, un juste milieu d'eau à température presque corporelle qui se glissait et ondulait sur les formes de mon corps, qui enveloppait ma silhouette d'une carapace protectrice de réconfort."
Ancien membre 11/01/2016 à 17:40
Merci Mylex pour cet avis constructif ! Je ne le prends pas du tout sévèrement, je le trouve juste. C'est vrai que le personnage manque un peu d'humanité, ou du moins d'émotions ! Et merci pour ton compliment sur cette phrase où j'ai été inspiré ! aha Enfin bref, j'ai pris en compte tous vos avis et vos remarque et ai effectué une réécriture ainsi qu'une petite suite a ce que j'avais commencé. Voici ce que ça donne ! :) "Lejour se levait sur Hawkesbury, les lueurs traversaient déjà les rideaux de ma chambre. Depuis l'accident j'ai un sommeil léger, perturbé de rêves, ou plutôt de cauchemars. Il était presque six heures trente, pourtant mes yeux s'étaient ouverts il y a au moins une heure déjà. Je me levai donc, enfilai un peignoir et rejoignis ma cuisine. Monrituel quotidien commençait alors. Comme chaque matin, je bu un thé aromatisé a la poire et au chocolat, tout ça, assise sur un petit tabouret qui trônait a côté d'une petite table circulaire. Avec les petits biscuits du petit déjeuné s'ajoutait quelques pilules d'anti-dépresseurs et d'anxiolytiques pour m'aider a faire face a cette nouvelle journée où j'allais devoir sourire et être polie. Lesdébuts de journées se passaient ici, dans cette cuisine a l'américaine. La petite table de bois disposait d'un système qui lui permettait de tourner sur elle même et se trouvait juste en dessous d'une grande fenêtre qui donnait sur la rue. Il faisait beau aujourd'hui, les voisins s'activaient déjà dans les allées. Certains partaient travailler, d'autres arrosaient simplement leurs pelouses. J'avais qu'un seul tabouret, il était assortit a la table. Tous deux étaient faits d'un bois sombre, le tabouret disposait d'un dossier plutôt confortable. Tout le mobilier était neuf dans cette maison. Elle ressemblait aux modèles d'exposition, ou celles qu'on voyait dans les séries américaines. Je sais pas pourquoi j'en avais pris une aussi grande. Je suppose que le quartier me plaisait. C'était une maison de style Victorien, elle comportait deux étages, avait plusieurs chambres et plusieurs salles de bain. Sa façade alternait entre béton et pierres, le tout dans un ton gris sombre. Le silence qui y régnait le soir pouvait être presque oppressant. Je ne m'aventurais quasiment jamais au deuxième étage, il m'angoissait, j'avais l'impression de ne pas être seule là haut. Aprèsavoir consulté les actualités sur mon smartphone via les réseaux sociaux (actualités soit intéressantes, soit sans intérêt, comme le nouveau pull que Jessica c'est offert) je débarrassai cette petite table et filai sous la douche. J'aimais le contact de l'eau ni tiède, ni chaude, un juste milieu d'eau a température presque corporelle qui se glissait et ondulait sur les formes de mon corps, qui enveloppait ma silhouette d'une carapace protectrice de réconfort. Je pouvais rester de longue minutes, là, a fixer l'horizon sous une pluie artificielle si chaleureuse. Lesminutes filaient et je me voyais déjà en retard, ma patronne étaient clémente avec moi, étant donné ce que j'avais vécu, mais je ne pouvais pas arriver constamment a une heure différente. M'habiller m'importais peu a présent, je prenais des vêtements qui allaient relativement bien ensembles, mais surtout qui dissimulaient les cicatrices présentes sur mon corps. Le maquillage ne servait uniquement qu'a me donner un teint moins cadavérique et a estomper les cernes qui creusaient mon visage. Aprèsun rapide coup de brosse pour dompter ma chevelure blonde, j'étais enfin prête a quitter cette maison. Maison dans laquelle je vivais depuis seulement quelques mois, quatre ou cinq peut être. Lorsquej'ouvris la porte, une brise estivale vint caresser mes joues, et fit virevolter doucement mes cheveux. La moitié de l'été était passé, les jours colorés et pluvieux de l'automne n'étaient plus très loin. C'était ma saison préférée, j'aimais tellement me promener dans les petites rues tapissées de feuilles aux couleurs rouges orangées. C'était pour ça que je m'étais réfugiée ici, au Canada. Il faisait tout de même presque quinze degrés alors que la journée commençait a peine. Évidemment c'était loin des température méditerranéenne du sud de la France au mois d’Août mais c'est pas pour celles ci que j'étais venu vivre ici. Aprèsces quelques secondes a contempler les alentours, je me rendais dans l'allée de mon garage où se trouvait ma Ford Fusion, celle qui m'accompagnait dans tous mes déplacements. C'était une voiture presque neuve, une berline bleue nuit, confortable, dotée de toutes les dernières technologies. Les sièges en cuir chauffant blancs étaient parfaits pour les jours très rudes de l'hiver canadien. J'aimais ces routes de l'Ontario, bordées par des Pins blanc, semblant tout droit sorties d'un thriller dramatique. J'habitaisSmerdon Street. La rue se terminait par un cercle, comme un rond point, mais avec une seule issue. De grandes maisons entourait ce cul de sac. La mienne était située sur la droite, la deuxième après être entré dans cette impasse. Les arbres slalomaient entre les bâtisses, et la foret commençait après elles. Souvent le soir venu, j'entendais les animaux de la forêt s'agiter juste derrière les palissade de mon jardin. Jedémarrai ma voiture et effectuai une marche arrière, mais, prise dans mes pensées, je ne vis pas un de mes voisins passer derrière et le heurtai. Prise de panique, je coupai le moteur et me ruai a son secours : Oh mon dieu, Daniel, vous allez bien ? Ne vous inquiétez pas Laurel, je vais bien, c'était juste une petite bousculade !Ilriait alors que je l'aidais a se relever. Daniel était mon voisin, un homme charmant, la cinquantaine dépassée, qui vivait juste a côté de chez moi avec sa femme et ses filles. Il était très bien conservé pour son âge, un physique athlétique, une dentition immaculée, et un regard d'un bleu profond. Je suis tellement désolée, j'avais la tête ailleurs, je vous ai pas vu passer dans les rétros...Il mecoupa la parole. Laurel, Laurel, calmez vous je vais bien, tout va bien ! Puis on pourrait commencer a se tutoyer maintenant ! On se connaît depuis quelques mois tout de même ! Vous... Tu as raison ! Je m'excuse, vraiment, si je peux faire quoi que ce soit, n'hésite pas ! D'accord, je prends note ! Allez, maintenant file, je suppose que tu allais travailler ? Effectivement ! Je te retarde pas plus longtemps, bonne journée a toi Laurel ! Me dit-il en souriant. Merci, a toi aussi Daniel, et encore désolé ! J'étaisconstamment perdue dans mes pensées. Parfois je me surprenais a fixer l’horizon, les yeux dans le vide pendant plusieurs minutes. Les accidents de se genre étaient fréquents, bien que percuter quelqu'un avec ma voiture n'était jamais arrivé avant. Depuisque j'étais arrivée au Canada, je travaillais dans une petite boutique d'antiquités sur Main Street. Plus jeune, j'avais fais des études d'histoire, de géographie et d'histoire de l'art. En France, j'étais enseignante. Malgré tout, j'aimais l'ambiance de cette petite boutique, elle semblait tout droit sortie d'un compte fantastique, avec tous ces objets qui, chacun, avaient leur passé, leur histoire, le temps semblait suspendu entre ces murs.L'endroitse trouvait a seulement deux kilomètres de chez moi, environ quatre minutes en voiture. Je fis une nouvelle marche arrière a bord de mon véhicule, en vérifiant avec attention que personne ne se trouvait derrière, je contournai le rond point vêtu de gazon et m'élançai dans Smerdon Street.Lesmaisons défilaient autour de moi, j'habitai un quartier résidentiel, semblable a celui de Wisteria Lane dansDesperate Housewives, maisce genre de quartier était commun en Amérique du Nord. Il était sept heure cinquante huit et la vie bâtait son pleins. Les bus scolaires effectuaient des balais entre les rues, et les berlines et autres 4x4 se dirigeaient vers le centre ville."
Commencer à faire des rencontres ?
Ancien membre 13/01/2016 à 11:44
J'aime bien le fait que les tirets ne soient plus là, même si c'est pas intentionnel, ça donne l'impression que le personnage est tellement centré sur lui-même qu'il n'y a plus de différence entre parole extérieure et intérieure A part ça je suis tout à fait d'accord pour dire que le tabouret et la table sont de beaux objets qui donnent un beau relief au récit Le seul point qui me gêne un peu est la façon dont tu accordes tes verbes, je ne sais pas si c'est voulu, mais il y a des échanges bizarres entre passé simple et imparfait: "depuis l'accident j'ai un sommeil léger" qui est précédé de "levait" et "traversaient" sonne plutôt mal; j'ai aussi remarqué, mais là encore c'est peut-être voulu, que la relation de ton personnage à la plupart des choses se traduit de manière affective, ce qui l'amène à dire "j'aimais", ce qui finit par créer un effet un peu répétitif Peut-être faudrait-il articuler plus précisément la sécheresse du monologue intérieur quand il décrit le quotidien aux brusques élans affectifs Sinon j'aime vraiment la maison que tu as construite, qui est un bizarre mélange de vieux et de neuf et menacée plus ou moins directement par une nature environnante
Ancien membre 16/01/2016 à 18:59
J'ai encore quelques remarques ! Haha Dans l'ensemble, je suis d'accord avec anachreon. Je trouve ça étrange qu'elle travaille dans une boutique d'antiqué et qu'elle est une maison neuve, je sais pas ca me paraît bizarre. Autant niveau financier que de sea envies, mais peut être que cela va prendre sens plus tard dans le récit. En plus du temps l'utilisation de verbe que je trouve bizarre dans la dynamique du récit par exemple pour accident j'aurais plus utilisé le verbe "arriver" que le verbe "être" mais là ce n'est qu'un chichi personnel:D
Ancien membre 16/01/2016 à 21:44
Tu as sûrement une idée derrière la tête qu'on ne peut encore entrevoir. Je ne peux apprécier un texte qu'en l'ayant lu dans sa totalité. D'abord le moins bon. Le positif suit. D'un point de vue technique: attention à l'orthographe, aux erreurs récurrentes: tu écris "a" au lieu de "à". La conjugaison : d'accord avec la remarque d'Anachreon. A la limite, tu peux tout mettre au présent, le présent narratif. ça évitera des erreurs. De toute façon, tu seras obligé de le faire corriger avant toute publication. Au moins pour éliminer les coquilles et autres fautes de frappe. Tu utilises un peu trop "c'était". Par ex: "C'était une maison de style Victorien, elle comportait deux étages" . Tu peux simplement écrire : "la maison de style victorien comportait deux étages". Sauf si tu tiens à ce style car tu dois trouver ton style, même s'il ne plaît pas à tout le monde. C'est toi qui décides, c'est ton histoire! J'ai l'impression que lorsque tu décris, tu es moins présent (ce n'est pas exactement ça non plus) que lorsqu'il y a une action... Pourtant tu décris beaucoup (personnellement, que le tabouret soit rond,orange etc m'importe peu, idem pour la table). Ces descriptions n'ajoutent rien au récit, ça plante un décor, reste à savoir jusqu'où aller. Donc la description au service de quoi ? Idem pour la description de la narratrice. Blonde ou brune, on s'en fout (du moins pour le moment... ) Je trouve certaines parties un peu lourdes : "Je fis une nouvelle marche arrière a bord de mon véhicule". L'accident est passé, donc on connait le contexte, on suppose effectivement qu'elle va finir sa manœuvre pour aller travailler. Alors, "je recule" suffirait avec les précisions qui suivent. De plus, le "je fis", qui est correct, donne une fausse note, par rapport au reste. Tu sembles avoir une liberté d'humour dissimulé. J'aime bien ta manière de faire des références, de dire des choses a priori importantes et finir par les rendre caduques; ex: "semblable à celui de Wisteria Lane dans Desperate Housewives, mais ce genre de quartier était commun en Amérique du Nord". Cela relève du quotidien, de la routine (environnementale) donc ça poursuit ton objectif. Le dialogue donne une impression de contraste avec les descriptions sans fin: tout d'un coup, la vie est là, loin de la routine. Tu commences en effet un dialogue sur base d'incident ! Continue avec les dialogues. D'accord avec le premier paragraphe de Mylex. Tu ajoutes des infos au compte goutte: c'est intéressant !