N'avons nous pas tué l'amour

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Ancien membre
23/01/2015 à 17:21

Bonjour tout le monde! J'ai un sujet d’écriture que j'aimerais partager avec vous. Il s'agit de l'amour. Tout le monde en parle, tout le monde en veulent. Mais savons nous ce que c'est vraiment ? Pensons nous qu'il en existe encore ?  Ne l'avons nous pas tuer ?  Ce qu'on appel amour, ne serait ce pas une simple image? L'image qu'on voudrait de l'amour mais qui n'est pas en réalité de l'amour? Avons nous déjà aimer dans le vrai sens de ce mot? Quand notre professeur nous a lancer ce sujet au début on rigolait tous. On a bosser 7 semaines la dessus et je vous le jure à la dernière séance on était tous émue, certains même pleurait devant la beauté de l'amour. Merci de vos participations ! A bientôt ! Correction titre
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Gabiblue
23/01/2015 à 19:14

Bonsoir, je pense que l'amour est un trop grand amour, et chacun possède ça propre définition de l'amour... Il y a certain plus ou moins connu, l'amour platonique, l'amour scientifique... Donc je pense pas qu'il y est  un vrai sens au mot amour qui fait office de référence... Donc chacun peu avoir ça propre vision et le ressentir, je pense que par cela oui l'amour existe encore :)   ?
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Ancien membre
25/01/2015 à 17:05

L'amour... Il ne se tue pas, c'est nous qui décidons de le tuer ou de le faire vivre..  L'amour est le sentiment le plus contradictoire au monde. Il peut être passionnel, fusionnel puis au fil du temps, s' enfuir.. L'amour, il faut le prendre comme il vient, tout simplement.  Sans chercher a le contrôler car au final, c'est lui qui nous contrôle ...
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Ancien membre
25/01/2015 à 22:48

En effet le terme d'Amour par sa popularité est soumis à une relativité subjective, J'apporterai donc ma part par cette citation qui m'a beaucoup ému :  If you love a flower, dont’t pick it up. Because if you pick it up it dies and it ceases to be what you love. So if you love a flower let it be. Love is not about possession, it's about appreciation, Osho. 
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Ancien membre
26/01/2015 à 16:30

Oula, le grand sujet, l'amour... La plupart des gens sont tellement en quette d'amour qu'ils finissent par en oublier le véritable sens. Après,est ce que tu parles de l'amour en général ? ou de l'amour entre personne ?
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Ancien membre
26/01/2015 à 19:33

L'amour sujet complexe et simple à la fois! Je pense que celui ou celle qui tente de le définir à beaucoup de travail à faire, il n'y a, à mon sens pas de définition exacte, chacun son idée, je pense que l'on perçoit un "ressenti" incontrôlé et je pense surtout que la société actuelle à pervertie son sens si toutefois il en à un. C'est un terme totalement indéfinissable, et j'ai pas du tout envie de le définir, ça perdrais tout son charme.
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Ancien membre
26/01/2015 à 19:48

Perso j'ai ma petite phrase pour décrire ce que j'appelle l'amour, et celle ci s'est avérée vraie d'ailleurs dans ma relation.  L'amour, c'est quand les petits défauts de l'autre deviennent de grandes qualités. C'est ma manière de décrire l'amour, et de comprendre la réalité des sentiments.
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Ancien membre
26/01/2015 à 19:54

à pas confondre avec la cristallisation (voir dico philosophique ou normal) car sinon ce serait consumériste haha
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Ancien membre
15/02/2015 à 11:46

A mon avis l'amour c'est celui qui déboule là où on ne l'attends pas !
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Ancien membre
15/02/2015 à 19:06

Bien sûr qu'on a tué l'amour... Aujourd'hui on choisit de QUI on tombe amoureux en passant par un style ou un physique. On choisit certainement quand on tombe amoureux, "pas aujourd'hui parce que je suis pas en forme", "surement dans un an le temps que je me remettre de ma dernière rupture". Ca c'est quand on ne se cache pas derrière des voiles tout aussi ridicules les uns que les autres : "je l'aime mais je suis pas amoureux-se", "il/elle me plait mais on peut pas dire que je l'aime..." On ne sait juste plus du tout comment aimer, on se cache derrière des peurs irraisonnées. On est des lâches. Ceux qui tombent amoureux "trop vite" se font traiter de naïfs et de bisounours parce qu'on se met des barrières inutiles et ridicules parce que le drame, c'est la nouvelle mode. On est simplement jaloux de ceux qui n'ont pas peur d'assumer leurs sentiments parce qu'on n'en est pas capable à cause de "Pierre, Paul ou Jacques" mais en réalité, à cause de NOUS. Alors on se cherche quand même des alternatives parce que le se.xe c'est aussi de l'amour (enfin c'est ce dont on essaie de se convaincre avec violence). Les gens aujourd'hui ont "peur de l'engagement" (le nouveau mal du siècle) parce que le se.xe est si débridé dans la société actuelle qu'on se dit à tort qu'on "rate des opportunités". Alors à quoi bon se permettre de tomber amoureux quand à lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi et week-end correspondent 6 prénoms différents ? C'est trop l'éclate !! Si tomber amoureux nous empêche de nous éclater à quoi bon ? S'éclater avec une seule personne ?! Quoi c'est possible ?!?! :O Arrête de déconner, tu viens de quelle planète ?!
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Ancien membre
15/02/2015 à 21:13

Rien a dire RedFeather ...tes constats sont justes.  "On ne sait juste plus du tout comment aimer..." ce qui est bien malheureux.
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Ancien membre
15/02/2015 à 22:36

Premièrement je pense que "L'Amour vrai" ne peut être défini. Sinon ce serait un peu prétentieux ("moi je connais le Vrai, alors que ton amour à toi c'est de la merde") et quelques peu enrageant pour ceux qui se sentent heureux et amoureux mais n'ont pas la même vision de la chose. Pour le reste je ne suis ni contre les personnes qui tombent amoureux en une semaine, ni contre ceux qui collectionnent les aventures sans lendemain. Arrêtons de juger les romantiques de "bisounours" ou les adeptes de relations courtes de "personnes aux mœurs légères". Des gens qui cherchent l'amour et des personnes qui ne le cherche pas, il y en aura toujours. Encore plus étonnant : on peut être romantique et avoir envie de s'engager dans certaines relations et pas dans d'autres. De plus, personne n'aime de la même façon, ni n'attend exactement la même chose de l'amour (intensité passionnelle ou mariage ? qui a vécu le vrai amour ? personne peut dire, ça dépend ce qu'on recherche). La seule grande difference entre notre période et celle d'avant, c'est que maintenant on a le choix, qu'on est pas obligé de se marier ni de se mettre en couple juste pour qu'une attirance mutuelle soit "bien vue". Tu viens de rencontrer quelqu'un dont tu te sens déjà follement amoureux(se) ? Très bien, je te souhaite que ton bonheur dure. Tu as eu 56 partenaires différents au compteur et tu compte encore continuer ? Très bien, tant que tu te protège parce que les mst c'est pas swag. Tu t'en fou de tout ça et tu fais en fonction de qui tu as en face de toi et de ce que tu partage avec cette personne (amour, sexe, complicité ou tout ça en même temps) ? Parfait aussi ! Voilà, pas de "l'amour est mort", pas de généralités sur la maladie de notre siècle ni sur les méchantes personnes à la dérive, juste euhhh ... c'est privé et personne n'a a juger de qui fait quoi de son cœur ou de ses fesses ?
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Ancien membre
16/02/2015 à 00:26

Déjà pourquoi "l'amour vrai?" cela sous entend qu'il existe de l'amour faux? Oh non! ça sonne très mal! Il ne peut y avoir de l'amour faux, non c'est impossible. L'amour est juste parfait, et donc , ne peut être faux. Soit on aime soit on aime pas. Ensuite, sans prendre la défense de RedFeather, je ne pense pas qu'il soit dans le jugement. Je pense,  quand je relis ce qu'il a écrit, qu'il soit plus dans un esprit de critique et de déception que de jugement. Et je répète ses constats sont juste. Et pour finir, oui t'as raison l'amour n'est pas mort, ne meurt pas. On l'a simplement foutu a la porte. Et le problème maintenant c'est que des gens pensent aimer mais réalité personne n'aime. La confusion totale.
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Ancien membre
16/02/2015 à 00:34

Justement, je disais qu'il n'y a pas de "vrai" ou de "faux amour", que ce n'est pas aux autres de dire si on aime bien ou mal... et qu'il existe autant d'amour que de relations différentes. Ce que je dis va donc à 90% dans le même sens que toi, à la difference que quand tu dis "on l'a foutu à la porte", je ne suis pas d'accord car "On" n'existe pas, chaque cas est différent. "On", c'est 7 milliards d'individus, or est-ce possible de parler au nom de tous ces gens aux situations et sentiments complètements différents ? Si les gens qui "pensent aimer" sont heureux de ce qu'ils partagent avec l'autre, où est le problème ? Dire qu'ils n'aiment pas pour de vrai revient à leur dire que leur amour est faux, idée que toi même ne cautionne pas...
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Ancien membre
16/02/2015 à 01:13

Punaise, je dois vraiment avoir une tronche de mec sur mes photos, c'est énorme XD Hum. Uniqueman l'a dit pour moi : je ne juge pas, je ne fais que des constats, sur un point de vue un tantinet sociologique, psychologique. Je constate qu'effectivement on a le choix. Mais avoir le choix nous fait perdre les pé.dales (j'avais peur d'être censuré ^^"). Je ne dis pas que la vision de certains n'est pas valable, mais qu'elle s'établit sur une base totalement erronée des choses, toujours selon mon constat. Il n'empêche qu'ils peuvent avoir raison. Pour eux c'est mieux. Certes l'amour NE PEUT être vrai, ou faux. C'est pas la question. L'amour c'est l'amour point. Ce que je constate et souligne, par contre, c'est qu'on tente de le contrôler comme on contrôle un perso dans un jeu vidéo. Sans doute parce qu'on se croit assez intelligent, souvent à tort. Parce qu'on pense être capable d'interpréter, d'obtenir des réponses, sans pour autant à avoir poser aucune question. On se leurre à cause de notre condition humaine : on est capable d'anticiper alors on le fait. Et ça, on est 7 milliards à le faire. On est humains. On est capables d'imaginer, de supposer, de croire, de supposer. De trouver nos propres réponses sans avoir à mener aucune expérience. C'est fabuleux et tout aussi destructeur. Contrairement aux autres espèces, ça nous donne un pouvoir. A partir de là, on décide de ce qu'on veut, parce qu'on veut éviter des issues. La perte, l'abandon, la souffrance... Tout ça crée la peur de l'engagement. Mais c'est pas conscient, la plupart du temps, je pense juste qu'on se convaint qu'on aime vivre l'amour de cette façon là. Certes, c'est convenable, certes je n'ai aucun jugement à émettre. Mais voilà, j'en ai marre qu'on me dise que j'y connais rien parce que je suis un bisounours et que la vie c'est pas une utopie contrairement à ce que je peux penser. De là, on peut traiter des gens de bisounours mais pas d'handicapés amoureux? C'est pas juste. Soit on fait les deux soit on ne le fait pas du tout. Or on entend plus que de raison les gens traiter d'autres de naïfs, de bisounours et de "débiles heureux" parce qu'ils tombent amoureux, mais dès qu'on dit l'inverse, c'est le drame. (Oui je parle d'un précédent sujet et d'une précédente "dispute", j'arrête sur la référence ^^). La vie, pour peu qu'on se la simplifie un minimum, n'est pas si compliquée. A partir de là, je pense que l'amour non plus. Ca fait partie de la vie. Le s.exe est un besoin physiologique, selon la pyramide de Maslow, donc, un besoin primitif. Normal qu'on mette tout en oeuvre pour le satisfaire. L'amour, être aimé, tout ça, c'est aussi un besoin, mais bien plus haut dans la hiérarchie. Ca veut pas dire qu'on n'en a pas besoin pour autant, sauf qu'à tort les gens qui aiment mais qui se le cachent se figurent qu'ils n'en ont pas besoin. Ca, c'est un souci. Ca détraque tout le reste de la pyramide. Ca ne veut pas dire que c'est mauvais ou mal ! Je dis juste qu'avoir le choix, c'est avoir la chance de faire le bon comme le mauvais. Mais ce n'est pas un mauvais choix si ça convient aux gens... Ce que je trouve dommage c'est de rencontrer de plus en plus de gens qui se leurrent parce qu'au final, si il y a autant de formes d'amour que de personnes, ça veut dire que personne n'est fait pour vraiment s'entendre et donc pour tomber amoureux. A partir de là, c'est pas super réjouissant... J'ai des ami(e)s, donc autant d'exemples d'amour que d'ami(e)s. Avec qui j'en parle beaucoup, avec qui j'ai des véritables débats sur le sujets. Mais j'ai toujours une évidence devant moi ou devant mon écran : beaucoup sont malheureux-ses; la quasi totalité surement ont peur, alors se prennent énormément la tête, et moi aussi je me prends la tête à ma façon. Parce que j'ai peur. Parce que c'est ma condition en temps qu'être humain : je me sens capable d'anticiper alors je raisonne à tort parce que je crois savoir. Mais voilà. J'ai pas non plus parlé a la terre entière donc je fais un procédé bien connu en recherche psychologique : je prends un échantillon, et j'étends les résultats les plus plausibles à la population. Pas toute, encore, juste ma génération. Je n'exclus pas l'erreur, mais je crois pas non plus aux coïncidences.. Ce n'est pas non plus parce qu'on fait le mauvais choix en pensant que c'est le bon que ça fait de nous des crétins finis, évidemment. Le sexe sans amour, c'est physiologique. On peut en rester là, certes. Mais si on s'en tient à l'exemple de la pyramide de Maslow, on en reste au bas de l'échelle niveau relations humaines, sans ambition de grimper un peu... Et comme j'ai peur que cette phrase soit encore mal interprétée : On a peur de faire évoluer ce besoin, pour pas mal de raison précitées.
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Ancien membre
17/02/2015 à 00:41

"Ce que je constate et souligne, par contre, c'est qu'on tente de le contrôler comme on contrôle un perso dans un jeu vidéo. Sans doute parce qu'on se croit assez intelligent, souvent à tort" Merci de ta réaction sur ce sujet, il est vrai que le propre de l'homme est d'avoir son libre arbitre et donc de décider de s'engager ou non dans tel ou tel type de relation. Libre arbitre qu'il peut exercer justement grâce à sa faculté d'anticiper, de comparer, etc, pour essayer de diriger sa vie dans le "bon" sens (s'il a bien calculé son coup, ce qui est très difficile sachant qu'il y a toujours une foulitude de choses qu'on ne peut maitriser, et c'est dur de l'accepter). Mais si l'homme n'avait pas ces capacités intellectuelles là (pour le meilleur comme pour le pire, je te l'accorde), alors le libre arbitre n'aurait plus aucun sens car on pourrait décider de rien, juste suivre nos instincts (ici, aimer sans se poser de questions et aller jusqu'au bout, si j'ai bien compris). Après, il parait que tomber amoureux ça se contrôle pas, qu'on peut ni se forcer à tomber amoureux de la personne qui veut bien de nous, ni se forcer à ne plus aimer quelqu'un qui pourtant ne fera pas notre bonheur... dans les deux cas on peut juste au mieux se mentir à soi-même, se résigner, etc. Donc, je pense que ne plus du tout chercher à "contrôler ses sentiments comme un perso de jeu vidéo", c'est quasi impossible, à moins de se faire lobotomiser, ou à moins d'avoir des sentiments assez forts envers quelqu'un pour que l'on pense que cet amour là vaille la peine d'être vécu. Or, pour moi l'amour est loin d'être quelque chose d'automatique, et je pense qu'il me faudrait des sentiments très, très forts pour me dire "ok, c'est à cette personne là que je dédie ma vie, quoi qu'il arrive, même si le futur ou autre sont incertains, pas de questions, juste de l'amour tant que ça dure". Mais avant d'en arriver là, si je ne ressent qu'une petite tendresse/attirance sexuelle/complicité bien sympathique mais sans être de l'amour avec une fille, c'est impensable de m'engager à quoi que ce soit. Pour ceux qui tombent rapidement (et réellement) amoureux, j'imagine que c'est plus simple... enfin oui et non, les questions sont juste pas les mêmes. "si il y a autant de formes d'amour que de personnes, ça veut dire que personne n'est fait pour vraiment s'entendre et donc pour tomber amoureux. A partir de là, c'est pas super réjouissant..." Malheureusement (ou pas, peut-être que c'est juste la vie et que c'est très bien comme ça), ça me parait très peu probable que deux personnes puissent s'aimer exactement de la même façon... je ne sais pas si l'un de deux aime forcément plus que l'autre, ou juste autant mais differament, mais déjà parmi mes amis qui ont aimé plusieurs fois ils m'ont dit que c'était jamais de la même manière. Bref, je pense que la "magie" fonctionne tant que les différences dans la façon d'aimer sont compatibles, que personne ne se sent lésé... du coup ils ont peut-être l'illusion que c'est symétrique des deux côtés et que ça changera jamais (le temps que leur amour dure, quoi, après soit on se sépare soit on fait des concessions, mais j'ai pas encore vécu ça ^^). "Le sexe sans amour, c'est physiologique. On peut en rester là, certes. Mais si on s'en tient à l'exemple de la pyramide de Maslow, on en reste au bas de l'échelle niveau relations humaines, sans ambition de grimper un peu.." La verticalité de cette pyramide montre à mon avis uniquement que pour ressentir tel ou tel besoin, il faut avoir au moins déjà comblé tous ceux en dessous. Après est-ce que le niveau de bonheur/épanouissement personnel est proportionnel aux échelons qu'on a gravit dans cette pyramide, je ne sais pas. Dans tous les cas on regarde au dessus (ou vers ce que l'on croit être au dessus, soit l'herbe du voisin par exemple). S'il y a une pyramide "vie sociale" je pense que le summum est la sécurité affective, le fait d'être bien avec soi-même, d'avoir des relations de confiance tout en restant ouvert aux autres gens (ça reste très utopique d'avoir aucun manque ni blocage, mais bon). Là dedans je crois pas qu'il existe un pallier "être amoureux" ni que ce soit un st-graal à atteindre pour les plus "humainement ambitieux"... on peut être amoureux à n'importe quel échelle de cette pyramide, en être heureux comme pas bien du tout, donc ça me parait assez aléatoire en fait. Surtout que si l'amour se décide pas, on peut pas faire grand chose pour y accéder, à part attendre qu'il nous tombe dessus, dans 2 jours, 5 ans, 77 ans ou jamais ^^ (en attendant la vie continue quand même, et même après). Pour ma part, je sais que je suis assez jeune pour dire ça, mais je pense commencer à accepter l'éventualité qu'il n y aura peut-être pas d'élue dans ma vie, que je n'aimerais pas forcément ou ne serais pas forcément aimée, que je ne fonderais peut-être pas de famille, et que si rien de tout cela n'arrive, bah ce n'est pas grave, car le temps que je ne consacrerais pas à ces projets là, je le consacrerais très probablement à d'autres sortes de relations et à d'autres causes.


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