« Je te déteste. » . S’écriait Nathalie. Elle était assise, sur le tapis brodé, qu’elle avait ramené de ses vacances en d'Egypte, dans sa chambre. Elle était seule. Les larmes coulaient de ses yeux, laissant derrière elles une traînée saline humide. Elle songeait à ce qui s’était passé la veille, la veille au soir.
Après une fête chez des amis, elle rentrait chez elle, en scooter. Le trajet n’était pas long, En dix minutes, sans rouler vite, elle pouvait parcourir la distance qui la séparait de chez elle, comme elle l’avait fait des dizaines de fois avant ce jour, ce jour maudit. Elle était à mi-course, roulant à bon train sur les routes désertées par les voitures à cause de l’heure tardive, quand elle aperçut, au bord de la route, une couverture qui voltigeait au grès du vent. Curieuse, elle s’arrêta, ôta son casque, et se rapprocha du tissu. A quelques pas de distance, elle s’arrêta. Un homme était sous cette couverture, dormant à même le sol. Elle ne distinguait pas son visage, mais voyait ses pieds qui dépassaient. Ne souhaitant pas déranger, elle se retourna pour repartir. Derrière elle, une voix raisonna.
« Nathalie, aide-moi. »
Elle fit demi-tour, surprise, et interrogea.
« Qui êtes-vous ?. Comment connaissez-vous mon nom ?.
Je suis ton reflet.
La jeune fille était troublée. C’était là de bien étranges propos pour un sans abri. Probablement était-il saoul, se dit-elle.
« Ton reflet, celui qui t’observe quand tu te regardes dans un miroir. Voyons, nous nous connaissons.
Monsieur, je crois que vous avez bu.
Tu ne me crois pas ?.
Elle était tendue. Elle ignorait pourquoi, mais cet homme était étrange. Elle hésitait à s’en rapprocher, quand celui-ci se redressa brusquement, lui faisant face.
« Et maintenant tu me crois ? ».
Nathalie était tombée sous le choc. Elle était maintenant agenouillée, le visage entre les mains, ses yeux paniqués observant à travers ses doigts. Son cœur battait comme jamais il n’avait battu. En face d’elle se tenait. Sa copie, son clone, son… Reflet. L’ « homme » qu’elle avait trouvé était son sosie exact. Une voix d’homme dans un corps de jeune femme.
« Qui êtes-vous ?.
Il venait de donner son adresse, l’adresse de Nathalie, l’adresse de sa propre maison. Elle ne contenait plus sa peur, et les larmes inondaient son visage. Elle tremblait, et était incapable de se relever.
« Appelle-moi Eilahtan, si ça te trouble moins. »
Eilahtan. Nathalie. Elle perdit connaissance, terrorisée.
« Hey, réveille-toi, tu ne vas pas passer la journée à dormir. ».
Elle ouvrit les yeux, éblouie par un rayon de soleil qui lui éclairait le visage. Elle était dans une petite cabane de jardin, dans laquelle était aménagé un lit et quelques étagères. En face d’elle se tenait son double. Il souriait, l’air perfide.
« Que me veux - tu ?.
Nathalie se remit à pleurer. Son semblable lui asséna un grand coup sur la tête, l’assommant immédiatement. Quelques heures après, elle se réveillait, nue, dans sa chambre, chez elle, sur son lit, les jambes entrouvertes et le sexe encore coulant d’un liquide blanchâtre.
Il faisait froid sur cette stupide route. Quelle idée j’avais eu de l’attendre là. Décidément, pour elle, j’étais prêt à tout. Enfin, pour moi, surtout. Je regardais passer les voitures, assis contre la barrière de pierre au bord de la route, sous ma vieille couverture. Encore une. Toujours pas de scooter en vue. J’espérais ne pas m’être trompé. Je vérifiais encore une fois si mon masque était bien collé. Il tenait toujours. Ces masques en latex sont vraiment de grande qualité. Je m’allongeais sur la chaussée, toujours recouvert de mon bout de tissu, quand un phare m’éblouit. Un scooter. C’était elle. Je retenais mon souffle, crispé, espérant qu’elle me verra, et surtout qu’elle s’arrêterait. J’entendis le moteur ralentir et les freins se serrer. Elle s’était garée sur la chaussée. Parfait. Elle était à moi. Jetant un coup d’œil par dessus mes pieds, je la vis qui retournait à son scooter. Je n’avais pas fait tout ça pour rien. Non, il fallait que je la rappelle.
« Nathalie, aide-moi. »
Elle se retournait. L’espoir me revint. Je cachais toujours mon visage. Il ne faudrait pas qu’elle me voie trop tôt.
« Qui êtes-vous ?. Comment connaissez-vous mon nom ? ».
Quelle question stupide. Ca lui ressemblait bien. Tout dans les seins et rien dans la tête, comme toutes les autres. Ce n’était pas vraiment pour me déplaire, en fait. Que répondre à ça. Après un bref instant de réflexion, je pris mon courage à deux mains et répondit :
« Je suis ton reflet.
Elle me demandait pardon. Je croyais rêver. Si elle avait été moins stupide auparavant, si elle m’avait demandé pardon quelques mois plus tôt, je ne serais pas forcé de faire ces stupides farces maintenant. Puisque j’étais parti dans cette direction, autant continuer. Quitte à faire des phrases sans le moindre sens, autant y aller franchement. Cette cruche pourrait avaler n’importe quoi de toute façon.
« Ton reflet, celui qui t’observe quand tu te regardes dans un miroir. Voyons, nous nous connaissons.
Boire ?. Moi ?. Elle ne m’avait pas reconnu, j’en étais maintenant certain. Tant mieux, tout se passait comme prévu. Mieux, elle était encore plus bête que je l’avais imaginé.
« Tu ne me crois pas ?.
Moi non plus je ne me croyais pas en fait. Il fallait que je me montre maintenant, qu’elle voit pour croire. Aucune imagination, cette fille là. Heureusement que son petit cul rachetait le reste. Je respirais calmement, tentant de me calmer. Rien qu’à l’imaginer, ça m’excitait déjà. Je me convainquais moi-même que tout allait bien se passer. Ca y’est, j’étais assis en face d’elle. Elle me regardait. Elle tomba au sol, à genoux, la tête entre les mains. C’était gagné. Il fallait que je me dise ça pour avoir le courage de continuer encore.
« Et maintenant tu me crois ?.
Quelle idiote. Elle était vraiment incapable de toute réflexion, pour me poser des questions aussi vides de sens.
« Je me nomme Nathalie Rennoir, j’habite au 15, rue des Cerisiers. »
Et je suis une stupide gonzesse qui va bientôt se faire sauter. J’espérais qu’elle panique encore plus après ça. Décidément, elle était trop belle. Vivement qu’elle soit entre mes mains.
« Appelle-moi Eilahtan, si ça te trouble moins. ».
Eilahtan. Quels trucs stupides j’étais capable d’inventer quand je m’y mettais. Elle était tombée. Je me leva pour aller voir ce qui lui était arrivée, et je constata qu’elle était tombée dans les vapes. Quelle aubaine. Je n’en demandais pas tant. Sans demander mon reste, je l’enroulais dans ma couverture et l’amenais dans la petite cabane au bas de la route. Là, je la couchais sur un petit lit au matelas sale, prenant soin de l’attacher, et je l’arrêtai un instant pour la contempler. Je lui enlevais son top, enfin le bout de ficelle qui lui servait à cacher son imposante poitrine. Elle n’avait pas de soutien-gorge. Ses seins étaient là, à l’air libre, sous mes yeux, sous mes mains. Quel bonheur. Depuis le temps que j’attendais ça. Je les caressais sans me retenir, passant ma langue sur ses tétons. Mes doigts se glissèrent le long de son ventre, jusqu’à sa ceinture, que je défis rapidement. Je m’agenouillais entre ses jambes, descendant son jean jusqu’aux chevilles, et me mit à contempler sa petite culotte rouge brodée en dentelles. Je lui donnai quelques coups de langue par dessus, avant de l’enlever, comme pour laisser ma trace. Ca y’est. J’avais en face de moi cette petite chatte que je désirais tant depuis huit long mois. Je me croyais dans un rêve. J’entrepris de la faire crier dans son sommeil, en léchant et en mordillant son clitoris, tout en enfournant ma langue au plus profond de son trou. Que son jus était bon. Un vrai régal de gourmet. Après quelques minutes, peut-être quelques heures tant ma notion du temps était floue en ce moment, elle jouit, déversant en ma bouche toute sa cyprine. Pourtant, elle dormait toujours. Cette fille était incroyable. J’étais fatigué maintenant, et je suis allé me coucher également, dans un autre lit dans la même pièce, après avoir pris soin de la rhabiller.
Quelques heures plus tard, le soleil me réveilla. Elle dormait toujours. Je me levais, après m’être prestement habillé, et j’allais contempler quelques instant son visage d’ange. Je me demandais si elle aurait souvenir d’hier soir, des caresses que je lui avais faite.
« Réveille-toi, tu ne vas pas passer la journée à dormir. ».
Elle ouvrit ses yeux, le soleil en pleine figure. Qu’elle était belle.
« Que me veux - tu ?.
Et merde. Elle se remettait à chialer. Je l’assommais en lui assenant un lourd coup de point sur le dessus du crâne. J’étais si dégoûtant pour qu’elle ait peur d’avoir un enfant avec moi. ?.
Pourtant, j’avais toujours son masque, et elle n’était pas repoussante. Loin de là. Tant pis. Je me posais trop de question de toute façon. Je lui enlevai rapidement son pantalon, et fis de même avec le mien. Après quelques instants de contemplation, inévitable devant une fille pareille, je me mis au travail. Sa chatte était déjà toute mouillée. Qu’il était bon d’enfin pouvoir la pénétrer. Je faisais de longs vas et viens dans sa croupe, m’arrêtant quelques fois pour respirer. Au bout de quelques minutes, je jouis, déversant mon liquide au plus profond de son minou.
Je pris alors quelques instants pour reprendre mon souffle et nous rhabiller, avant de l’emporter sur son propre scooter jusqu’à son domicile, dont j’avais gardé les clés. Je la déposais sur son lit, l’embrassai une dernière fois dans son sommeil, et partis, laissant les clés de son scooter sur la table.
Citation de Tornade #543714
C'est bien pour cela que j'ai mis un avertissement " Âmes sensibles s'abstenir ". Mon histoire effectivement est très dur, mais ça reste une fiction. Merci de ton commentaire et d'avoir lu mon histoire en entier.
Citation de Montana #543759
Oui c'est vrai 👍merci