Aucun indice, le crime parfait.

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Montana
26/05/2024 à 20:05

Nous étions vendredi et comme tous les vendredi, le vieux couple rentrait d'une longue ballade en forêt avec leur chien. Il est vrai que la facilité d'accès à ces coins de nature, leurs permettaient d'en faire régulièrement. Les bois entouraient leur demeure et ils vivaient bien loin de la ville mais pour eux cela ressemblait à un vrai petit paradis. Ils étaient effrayés de perdre tout ce qui les environnait, avec le développement de la région. Mais pour l'instant il n'y avait aucune raison. Un beau mois d'octobre comme celui-là, ils ne s'en privaient pas. Malgré leur âge avancé, le couple de retraité cultivait, bricolait. La maison se trouvait au milieu des bois, seul un champ, d'environ quatre hectares, était derrière donnant un prolongement à leur propre jardin.

Souvent le mari disait à sa femme ce que leur rapporterait d'avoir un si grand terrain. La femme répliquait que cela leur rapporterait surtout des heures de travail supplémentaire. Il était midi et le temps était des plus radieux. Un soleil doux, un léger vent qui enchantaient le couple. L'entrée de la maison était à dix mètre à peine de la rue.

-Je vais nous cuisiner un bon repas, lâcha tout bas la femme à son époux.

-Très bien, moi je m'en vais continuer le meuble pour Robert, répondit-il en lâchant la main de sa femme.

Deux heure plus tard, toujours à travailler sur sa tâche, le vieil homme ôtait sa casquette, que lui faisait porter sa femme lorsqu'il devait travailler sous le soleil. Quel merveilleuse journée pensa-il.

Soudain, sa femme ouvrit la porte qui donnait sur l'intérieur du garage pour annoncer que le repas était prêt. D'un sourire, il lui fit comprendre qu'il arrivait. Pénétrant dans son garage, suivit de son chien, il posa ses outils et son couvre-chef sur son établi, puis referma la lourde porte d'entrée du garage qui émit un horrible grincement.

Il se dirigeait vers la cuisine pour se laver les mains que l'on frappa à la porte. Les trois coups le firent sursauter et grogner le chien. Puis il s'étonna car il n'attendait aucune visite.

" Cela doit être un représentant je pense. Regarde Tempête,

il n'a jamais apprécié ces charlatans. Je vais voir qui c'est"

L" homme suivi de son chien, alla ouvrir la porte. Laissant le loquet de sécurité, la porte s'entre bailla. Le chien passa directement sa tête pour aboyer sur l'individu, quand au maître il regarda prudemment à qui il avait affaire. Il n'y avait absolument rien. Le chien stoppa d'aboyer lorsque la porte fut entièrement ouverte. L'homme vérifia les alentours mais ne vit rien à part son compagnon qui continuait à grogner. Il rentra de nouveau et verrouilla l'entrée.

"Ce n'était rien chérie "dit-il en élevant la voix pour que sa femme entende à travers la porte. A ce moment précis les trois coups résonnèrent de nouveau.

Le chien fit volte-face à la porte de bois pour hurler dessus. La peur commença à saisir le vieil homme. La femme inquiète apparut et questionna son mari. Il lui cria de fermer toutes les fenêtres, puis d'appeler la police, tandis qu'il irait chercher son fusil à l'étage. Le chien continuait d'aboyer à la porte. Elle courut à la salle à manger pour fermer les deux portes fenêtres, passa la porte qui donnait ensuite à la cuisine pour y fermer la fenêtre ouverte également. Enfin, elle se dirigea vers le téléphone, apeurée, pour faire le numéro de la police. Elle entendait les pas sourds que faisait son époux en marchant au premier.

"Commissariat de police, j'écoute...

-Bonjour madame, Tempête tais-toi bon sang! cria-t-elle tout en posant sa main sur le combiné.

-Bonjour...

-Excusez-moi, j'appelle car quelqu'un est près de chez nous et apparemment il nous veut du mal,

expliqua-t-elle en essayant de parler plus fort que le chien.

Puis elle céda et hurla sur le chien d'arrêter et il cessa tournant sa tête vers sa maîtresse.

-Où se trouve cet homme à présent? Est-il armé?

-Je ne sais pas mais mon mari est parti chercher son fusil et... Tempête, bon sang! S'écria-t-elle,

alors que le chien passait contre elle en direction de la porte de la cuisine pour aboyer encore.

-Allô? Où habitez-vous s'il vous plait. Nous allons vous envoyer une équipe."

La femme fixait la porte de la cuisine et se demandait pourquoi le chien aboyait après. Elle était sure de n'avoir rien entendu et d'avoir fermé toutes les fenêtres. Tout en maintenant le téléphone de la main gauche, elle fit pression lentement sur la poignée de la porte avec sa main droite, puis la poussa légèrement.

"Où sont mes fichues cartouches! Claudia, où as-tu encore mis ces satanées cartouches!".

L'homme retournait tous les tiroirs de sa chambre. Il tenait un long fusil entre son bras et son flanc droit. Puis cessant un instant sa recherche il se rendit compte qu'il n'entendait plus le chien aboyer. Il s'empressa alors de poursuivre. Mais après avoir fait tous les meubles de la pièce, il repassa la porte de sa chambre, restée ouverte, pour crier dans les escaliers où se trouvaient ses cartouches. N'ayant aucune réponse, il s'énerva et du coin de l'oeil il vit la porte de la buanderie sur sa gauche.

"Elle range toutes les choses inutiles là-dedans, c'est vrai! Pensa-t-il".

Et il marcha rapidement vers la porte de celle-ci. Il ouvrit alors cette dernière. Il ne sentit qu'un souffle le long de son visage.

Quatre jours plus tard.

"Nous avions reçu un appel. C'était donc ici..."

Des groupes de deux à trois policiers examinaient les alentours de la maison à l'affût d'indices. Seul deux autres étaient rentrés à l'intérieur.

"C'est le fils aîné qui les a découvert ce week-end,

dit-il à l'autre en lui passant une enveloppe de grande taille."

L'entrée donnait sur un couloir sombre, accès à un escalier, au salon, à la cuisine, une pièce faisant office de bureau, le garage et pour finir la cave. Le second policier ouvrit l'enveloppe pour en retirer des photos. Le plafonnier du couloir éclairait ces dernières, illustrant la pose des victimes.

"C'est ici. Poursuivait le policier en se tenant prêt de la porte de la cuisine. Elle a ouvert cette porte et l'assassin était derrière. Apparemment le chien s'est jeté dessus, mais il n'a pas eu le temps de faire quoique ce sois, comme vous voyez, l'arme du meurtre lui est rentrée complètement dans le corps entre les omoplates. De plus, voyez cet impact sur le carrelage, je pense que cela devait être une hache et pas une légère. Quand à la femme, elle devait être paralysée de peur. Elle a reçu de plein fouet cet hache, lui tranchant le corps à partir du cou du côté droit jusqu'à l'estomac. Passons à l'étage, le mari cherchait un moyen de se défendre, il devait savoir ce qu'ils les attendaient".

" Il n'y a personne dans les environs, continua le commissaire. Les premiers voisins sont à plus de cinq kilomètres et j'ai vérifié les antécédents de ce couple, il n'y avait rien à leurs reprocher, sauf peut être d'aimer rester seuls, loin de tout".

Les hommes se trouvaient à l'étage. Aucune fenêtre dans ce couloir également.

Trois plafonniers l'éclairaient.

"Vous pouvez passer à la troisième fit l'inspecteur en montrant du doigt les photos. Voilà, l'homme est entré dans sa chambre pour aller prendre son fusil. Je pense qu'il n'a pas trouver des cartouches. On voit de nombreux tiroirs en désordre. Ce qui nous amène pour finir à la dernière partie de l'histoire.

Du coup il se dirige vers la buanderie, pensant que s'y trouvent les cartouches pour le fusil. Mais pas de chance, c'est l'assassin qui s'y est caché. Il ouvrit la porte. L'inspecteur se plongeait complètement dans son récit mimant chacun de ses gestes. Là, l'homme armé surgit, pousse le vieil homme contre le mur, abat sa hache, mais le mouvement est trop long et s'arrête sur la paroi de plâtre. Le vieil homme en profite pour se diriger à quatre pattes vers les escaliers, mais comme vous pouvez le constater par la photo et les traces de sang, il n'a fait que quelques pas. La hache l'atteint sur sa colonne vertébrale, lui ouvrant en deux le dos". L'assassin, pour ôter son arme, avait du la remuer avant et en arrière, car le dos était largement ouvert laissant apparaître les organes.

"Pas facile de regarder, dit il évasivement l'inspecteur. Si vous voulez vomir, il y a une salle de bain au fond à gauche. Je le sais, car j'étais sur les lieux samedi fin d'après-midi et je n'ai pu m'en empêcher. Bon, ce n'est pas tout, passons à l'extérieur".

Ils redescendaient alors pour ressortir de la demeure. A l'extérieur des policiers continuaient les recherches. L'inspecteur s'adressa au groupe le plus proche

"Du nouveau?

-Toujours rien inspecteur! Répondit un des hommes du groupe.

-Bon très bien! Arrêtez-vous, prenez une pause et vous pourrez passer à l'intérieur continuer les recherches.

L'inspecteur et son adjoint aller faire le tour de la propriété.

Il faisait beau ce samedi, pas comme aujourd'hui. La mort relevait à environ quarante huit heures, enfin un peu plus."

Les deux hommes passaient du côté de la maison qui donnait sur le living-room, seulement une simple fenêtre permettait de voir cette pièce. Le living-room donne sur la salle à manger qui donne, elle même sur la cuisine. Cette fenêtre aurait pu permettre l'entrée, mais comme vous le voyez, elle est fermée et aucune trace d'effraction. Poursuivons".

Ils contournaient et arrivaient derrière, dans le jardin. Deux portes fenêtres permettaient l'entrée à la salle à manger.

"Et voilà les deux autres issues où il aurait pu pénétrer. Toutes les deux fermées".

Le jeune adjoint ouvrit les yeux légèrement étonnés.

"Le tueur serait entré, alors que l'une d'elle était encore ouverte, puis il aurait pris soin de tout refermer, commenta l'adjoint.

-Alors il faudrait, que vous m'expliquiez comment il aurait fait pour ressortir, car toutes les entrées étaient verrouillées, de l'intérieur".

Un froid parcourut l'échine de l'adjoint. L'idée que le meurtrier aurait pu rester dans la maison jusqu'à l'arrivée du fils, lui faisait froid dans le dos.

"A votre regard, je constate que vous avez la même idée que moi. Vous pensez que c'est le fils, le meurtrier, dit l'inspecteur en hochant la tête.

-Non! Non. Fit le jeune adjoint en écarquillant les yeux, je pense que le meurtrier à attendu jusqu'à l'arrivée du fils.

L'inspecteur sourit.

"Oui, c'est également une possibilité, la plus probable d'ailleurs. Le fils était...Comment dire....Choqué, c'est normal de l'être remarquer.

Je ne sais pas si vous avez remarqué mais tout autour de nous, il n'y a que de la verdure. La raison est celle-ci, nous sommes sur une nappe d'eau souterraine, environ à une trentaine de mètre de profondeur, peut être moins.

-Il y a une cave dans la maison, l'endroit est limite boueux.

-Des empreintes! Dit-il en poussant un soupir. Des empreintes de pas, il n'y en avait pas. A part celles des propriétaires et du chien. Samedi, toutes les personnes ayant fait le tour de la maison et qui sont rentrées ont laissé des traces de terre, aussi légères étaient elles".

"Comme vous dites, cela ouvre à de nombreuses théories. Termina l'inspecteur."

"Attends-moi! S'écria Jason.

-Eh bien dépêche toi, répliqua ce dernier à son frère.

-C'est toi qui marches toujours trop vite!

-Arrête! C'est ce soir que maman et papa ne sont pas là.

  • On va pouvoir faire c'qu'on veut!

-Oui. Maman m'a dit c'qu'il fallait manger ce soir, elle m'a dit de finir les saucisses et les pâtes.

-Ok! Alors on rentre vite, on mange et après...

-Après, c'est spécial COMBAT! Crièrent les deux frères ensemble."

Ils habitaient dans un quartier résidentiel. De nombreuses maisons aux formes identiques étaient collées les unes aux autres. Jason et Kevin rentraient tous deux ce soir là à la même heure. Leurs parents avaient décidé de prendre une soirée en amoureux, et faisaient entièrement confiance en leurs deux enfants pour rester seuls à la maison pour une simple soirée.

"Tu vas appeler quelqu'un Jason ce soir?

-Hum, nan! Maman a dit de faire rentrer personne.

Elle m'a dit que les copains c'étaient seulement pour les week-end.

-Mince."

Les deux adolescents arrivaient enfin chez eux. Kevin et Jason avaient tous deux un grand sourire aux lèvres. C'était la première fois qu'ils étaient vraiment seuls. Ils comptaient bien en profiter.

"Bon! Il est déjà dix neuf heure, s'exclama Kevin.

Jason, tu fais à manger? Moi je m'occupe d'installer c'qu'il faut!

-Attend cria Jason. On est seulement mardi, alors il faut faire nos devoirs.

C'est pas parce que papa et maman sont pas là que l'on doit faire n'importe quoi.

-Mais arrête! T'es pas papa!

-Je suis l'aîné, alors tu obéis.

-T'as que deux ans de plus!

-Et alors! Tout d'façon, j'vais les faire aussi!

-Bon. Alors on les fait ensemble dans le salon.

-Ca marche!"

A vingt heure ils avaient fini et alors qu'un préparait le repas,

l'autre s'en allait préparer le loisir qui allait leur prendre toute leur nuit.

"J'SUIS OPERATIONNEL! Hurla Kevin dans les escaliers.

-OK! Hurla à son tour Jason. "

Quinze minutes plus tard, accompagnés de plat de nouilles et de saucisse juste réchauffé, les deux adolescents s'en donnaient à coeur joie sur un jeu vidéo de combat. Souvent, ils s'échangeaient quelques légères insultes, lorsque l'autre prenait l'avantage. A ce moment de la partie, c'est Kevin qui menait sur son frère. Plus que quelques coups et...

"OUAI! J'T'AI EU! Hurla Kevien sur son frère. J't'ai eu.

S'exclamait-il en tournant autour de Jason."

Trois coups résonnèrent à la porte qui firent sursauter les deux adolescents.

"Merde! Voilà, à crier comme ça, le voisin est en colère!

Ouais, c'est maman et papa qui vont nous tuer. Quel heure il est? Mince vingt trois heure!

-Ouah c'est tard! On devrait se coucher?".

De nouveau trois coups résonnèrent au rez-de-chaussée.

"Mince, il est vraiment furieux!

-Attends Jason. Ca a pas l'air de venir du mur mais de la porte d'entrée.

-Tu crois qu'il est venu pour nous engueuler?

-J'sais pas moi!

-Bon, j'vais voir.

-Attends! M'laisse pas seul!

-Et ça a douze ans! Dit Jason en rigolant."

Les deux frères descendaient sans faire de bruit les escaliers. Lorsqu'ils arrivèrent au rez de chaussée, ils n'allumèrent pas la lumière faisant croire à une quelconque absence ou comme s'ils n'avaient pas entendu. En s'aidant du mur sur leur droite, ils s'avancèrent jusqu'à la porte d'entrée.

"Peut être qu'il est parti!

Dit en chuchotant Kevin alors qu'ils se tenaient encore à quatre mètres de la porte."

Ils étaient maintenant tout contre la porte qui ne disposait pas de judas.

"Tu vois! Il est parti! Continua Kevin en chuchotant."

Mais quatre coups firent vibrer la porte une nouvelle fois. Les jeunes garçons ne purent laisser échapper un léger cri.

"Merde! Fit Jason en chuchotant"

Il s'agenouilla, son frère en fit autant.

"J'vais dans la cuisine voir qui c'est. Ok?

-J'vais avec toi!

-Chut! Répondit Jason. J'vais voir à travers la fenêtre de la cuisine s'il est encore là.

Toi tu bouges pas.

-Mais si c'est un voleur!

-La porte est fermée, tu n'as rien à craindre. Quoi? Pourquoi tu fais ces yeux?

T'as pas fermé la porte!"

Les deux fixèrent la poignée de la porte. Lentement Jason tendit sa main vers les clés qui étaient restées sur la serrure. Il tourna avec le plus de précaution les clés pour éviter de faire le moindre bruit. Un léger son de cliquetis retentit et à ce même moment de nouveau quatre coup frappèrent à la porte. Les adolescents sentaient que cette dernière pouvait céder et Kevin commençait à avoir peur.

"Kevin. Continuait Jason en chuchotant. J'vais voir qui c'est. T'inquiète, c'est sûrement un con, mais vas au salon au cas ou il faut appeler les flics."

Kevin répondit par un hochement de tête. Jason ouvrit lentement la porte de la cuisine puis la referma tout aussi rapidement. Restant accroupi, il se dirigea directement sur sa droite pour se trouver sous la fenêtre, qui donnait sur la façade extérieure de la maison. Il prit un grand souffle et se leva pour faire passer sa tête juste au dessus du niveau du bord vitré.

Kevin venait de voir se refermer la porte de la cuisine sur lui. Serrant les poings, il courut vers le salon. Il reniflait de temps à autre et en quelques secondes, il se trouvait en face de la porte.

Le portail apparaissait aux yeux de Jason. Il tourna son visage en direction de la porte d'entrée. Il sentait ses intestins comme s'ils remontaient jusqu'au coeur et ainsi l'étouffaient. La peur le saisissait. Mais à sa surprise, il n'y avait rien. Cela aurait du le rassurer, il se sentit davantage oppressé. Sa respiration se faisait de plus en plus haletante. Il commença à se tourner vers la porte de la cuisine.

Kevin restait accroupi et monta sa main jusqu'à la poignée de la porte pour l'ouvrir. C'était comme s'il craignait que l'individu voie à travers la porte d'entrée. Au moment même ou Kevin ramena la poignée vers lui pour ensuite pousser la porte, Jason sortit de la cuisine en hurlant mais il était trop tard. Le corps de Kevin tombait comme une masse à l'entrée du salon. Tremblant de tout son corps, ne comprenant pas mais ressentant cette présence, Jason ne bougeait plus et fixait les jambes immobiles de son frère. Soudain, pris d'un courage surpassant sa peur, il chercha à tâtons les clés. Lorsqu'il les eut trouvées, prit dans cette élan de survie, se retourna et ouvra la porte précipitamment pour s'élancer dans la rue, hurler l'horreur qui le frappait. Mais alors qu'il passait le seuil, il sentit un vent froid passer sur son cou et sa tête roula dans le couloir. Le corps tomba en arrière. La porte fut refermée et on entendit un petit cliquetis..

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Ancien membre
28/05/2024 à 21:16 - 28/05/2024 à 21:39

👏

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Montana
29/05/2024 à 20:03

Merci Shali974, d'avoir lu en entier mon texte.

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Ancien membre
29/05/2024 à 20:06

Oui il était plus complexe pour moi mais après relecture ça ferait un parfait court métrage bravo Hitchcock

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Montana
30/05/2024 à 20:03

J'ai mis un peu plus de personnages. J'ai ça dans le sang. Merci beaucoup d'avoir apprécier mon texte.

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Ancien membre
30/05/2024 à 20:04

😉🤗

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Montana
30/05/2024 à 20:07

😘

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Visitoramus
31/05/2024 à 13:53

Wow! Joli ! Mais ca laisse sur sa faim quand on ignore toujours qui et pourquoi ?!

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Montana
31/05/2024 à 20:07

Cette fois ci c'est un peu spécial, je te l'accorde. Merci tout de même d'avoir lu mon histoire en entier.

Tout est dans le titre, le meurtrier n'as pas laissé un seul indice, c'est pour cela que c'est un crime parfait. Pas d'indice, pas de meurtrier.

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Acha
02/06/2024 à 14:16

Ça fait froid dans le dos...Mais j'ai bien aimé. Un peu frustrant de ne pas connaître l'assassin, quand même 😄

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Montana
02/06/2024 à 20:05

Merci Acha d'avoir lu mon histoire très complexe en entier, ça me fait toujours plaisir d'avoir un commentaire.

Mais c'est ça aussi un crime parfait, pas d'indice, pas de meurtrier.

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Acha
02/06/2024 à 20:19

Citation de Montana #511374

Je vous en prie 😄

Il faut que je lise vos autres histoires. Je vous dirai ce que j'en pense 😄

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Montana
02/06/2024 à 20:21

Si vous lisez mes autres histoires Acha, j'espère que vous avez le coeur bien accroché et surtout bonne lecture 😉

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Ancien membre
22/06/2024 à 22:16

Qui est l'assassin ?



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