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Bonsoir tout le monde
J'aurai aimé recueillir vos avis/expériences concernant le fait de se faire quitter ou d'être quitter...
C'est la troisième fois que je vis cette expérience (le fait de rompre avec quelqu'un) et je trouve cela toujours aussi dur émotionnellement voir traumatisant pour moi qui suis hypersensible. J'ai toujours dit que je pensais que je préférerais que l'on me quitte plutôt que quitter quelqu'un ; quand on se fait quitter, on doit gérer notre tristesse. Je trouve que lorsque l'on rompt avec quelqu'un, on doit aussi gérer notre tristesse (de l'échec, ce n'est jamais une mince affaire que de rompre avec quelqu'un) + la culpabilité de blesser l'autre... je ne peux chaque fois m'empêcher de me mettre a la place de l'autre et c'est une période très difficile. Et en même temps je me dis que je n'ai pas le droit d'être si mal "pour l'autre" alors qu'au final, c'est moi qui rompt...
Qu'en pensez vous? Quelles sont vos expériences/retours a ce sujet?
Merci :)
Citation de Peekaboo #499756
Coucou
Ce que j'ai appris de mes expériences, c'est que la rupture est rarement facile, quel que soit le côté où l'on se trouve. Chaque situation est unique et apporte son lot de défis émotionnels. Ce qui m'a aidé à surmonter ces moments difficiles, c'est de m'accorder du temps pour guérir, de chercher du soutien auprès de mes amis et de ma famille, et de me rappeler que la douleur finit par s'estomper avec le temps.
Et n'oublie pas, une rupture n'est pas un échec. C'est plutôt une occasion de se comprendre mieux soi-même et de grandir sur le plan personnel.
Citation de Peekaboo #499756
Quitter qqn est difficile car c’est affronter en face le fait que l’on s’est trompé sur notre couple et de l’assumer en arrêtant la dite relation Et de ce fait d’en supporter les conséquences, notamment l’incompréhension, la douleur et la peine de notre futur ex partenaire.
Le problème c’est que maintenant les relations de couple sont toutes aussi jetables qu’un pot de yaourt usager, beaucoup se contente de Gohster l’autre, C’est-à-dire de faire silence radio et de couper tout le lien sociaux visuel auditif avec l’autre, sans lui expliquer le pourquoi de l’arrêt du couple, de la disparition de la personne.
À ce moment-là, le côté j’assume le fait de devoir arrêter la relation n’existe plus. On se facilite la tâche en devenant lâche.
Dans la condition d’être quittée, c’est différent :
Si on sentait déjà la fin venir, alors il peut y avoir une certaine surprise, une peine aussi, mais beaucoup moindre que si on était dans notre propre cocon, étant persuadé que tout allait bien dans le meilleur des mondes.
Là c’est la douche froide, la claque en pleine figure et une énorme période de remise en question de doute, sur soi, ses capacités à aimer quelqu’un et à être aimé de l’autre
Je n'ai pas grand chose à rajouter à ces réponses alors je partagerai juste une anecdote: il y a peu j'étais en couple avec une personne pour qui j'avais des sentiments très forts mais une relation que je qualifierais de négligence. Ça a été très dur pour moi, étant aussi hypersensible, d'envisager la rupture... qui s'est passé dans l'indifférence la plus totale. Mal du fait de quitter l'autre, culpabilisé de blesser l'autre, j'ai eut droit limite qu'à un "ok".
Que l'on quitte ou se fasse quitter, le plus important, pour moi, c'est la manière dont c'est amené.
Je connais des personnes dans mon entourage qui préfèrent laisser pourrir une relation plutôt que de devoir gérer la culpabilité de quitter l'autre. Alors bien sur je n'en fais pas une généralité, certains trouvent plus simple de mettre fin à des relations et d'autres préfèrent laisser cette charge à l'autre quitte à rester malheureux. Mais pour des personnes comme nous (en tout cas de ce que j'en vois dans les réponses), reconnaissons le courage d'avoir fait face à la situation.
Je preffere rompre que d'etre quittée, quand je rompts c'est que j'ai bien peser le pour et le contre, et que j'e ne fais pas ce choix a la va vite, en principe je vais jusqu'au bout des choses essayeant de faire mon possible pour ne pas en arriver là, mais quand ça devient invivable alors......
Etre quitée comme celà m'es arrivée par le passé sans savoir le pourquoi du comment , n'est pas chose facile, rester dans l'ignorance , c'est un poids car on ne peu pas se reconstruire et aller de l'avant, si malgrés tout on rencontre une autre personne le doute persiste , pas le doute de l'autre mais bien de soit-méme.....
Les separations n'ont jamais ete de mon fait dans mes relations sauf la toute derniere en date. Et c'est vachement plus facile à "encaisser" meme si on se sent un peu coupable et nul
Je connais des personnes lâches qui au lieu de quitter la personne, préfèrent laisser pourrir la relation. Dans ma vie j'ai du quitter 4 copines, et 5 copains.
Les filles :
Une parce qu'elle habitait trop loin et que certaines choses n'étaient pas claires.
Une autre parce que c'était vital (perverse narcissique).
Une autre parce que j'ai préféré qu'elle s'occupe de sa fille pendant les week-ends et les vacances plutôt qu'elle vienne voir ma belle gueule.
Une autre parce que c'était Miss arnaque... les plans de merde elle tomber dedans et même en l'avertissant elle ne capter pas.
Les garçons :
1 car il commencer à se négliger et qu'il préfère les brunes à petits seins.
Un autre il voulait partir en Correze.
Un autre il voulait un trouple.
Un autre qui me manipuler
Un autre qui faisait que de me faire des reproches.
Bien le bonjour très chère Peekaboo 👻
1]Les ruptures, pour la plupart, m'ont été imposées. Je me suis alors toujours dis que cette personne n'était pas faite pour moi. Plus jeune, je ressentais, j'avoue, une forme d'incompréhension mais j'ai très vite appris. J'ai très vite appris, pour me protéger de la dureté de la chose, que le problème venait peut-être de moi mais peut-être pas !! Et je n'attendais aucune explication car je trouve que c'est encore plus douloureux de savoir pourquoi (sachant que s'il y a problèmes dans le COUPLE on est supposé en avoir parlé avant. La rupture est une conséquence. Avant rupture il y a des discussions, des alertes, des pares-feux, des intentions, des attentions, des ajustements... qui permettent de prévenir cette dernière, sauf si la personne ne se considère pas en couple).
Sensible, je le suis également et l'info principale pour moi, dans ces cas-là, est "la volonté de se séparer". Le mal est fait. Le reste est superflu. Et donc, une fois que la personne prend cette décision, je la remercie et tourne les talons sans presque aucun mot, parce qu'il faut digérer l'info!! et sans presque aucune émotion de son point de vue. "C'est comme ça ! Je comprends, je respecte, merci pour ce bout de chemin. Prends soin de toi, Salut!" Ce qui a généralement suscité de la surprise chez l'autre, parfois un rétropédalage mais souvent des interrogations "c'est tout? on s'arrête là?"
... " Ah oui, pardon, tu voulais en discuter?" je répondais gentiment avant d'ajouter "je n'ai personnellement pas besoin de plus de mots, tout est clair et limpide, c'est fini! C'est terminé ! donc bon tout est dit, alors encore une fois merci pour tout "
... "mais tu ne cherches pas à savoir pourquoi ?"
... "cela changerait-il quelque chose?"
2]Et non j'ai rarement quitté, mais quand je le fais c'est que mon équilibre vacille. Dans ces cas-là j'explique simplement les choses tout en étant à l'écoute de l'autre s'il ressent le besoin d'en parler. LE TOUT dans le respect c'est le plus important !!
3]Je garde rarement contact avec mes ex car si le temps aide à panser nos plaies, il nous habitue aussi à l'absence de cet autre dans nos vies, je le crois.
Je ne sais pas si j'ai aidé c'était juste un témoignage parmi d'autres :)
tschüss 🖖
Citation de Peekaboo #499756
Je me permet de repondre à ton sujet car les relations que j'ai eu, étaient "entre femme"
Quand l'initiative de rompre vient de toi, n'oublies pas que cette liberté que tu rend, laisse l'oportunité à l'autre de rencontrer "enfin" sur l'âme soeur. Alors que tant que tu restes, tu t'abimes et tu abimes l'autre.
Aller de fleur en fleur et ne prendre de chacune que le meilleur
Je pense quand même que se faire quitter doit beaucoup plus blesser l'égo que le contraire...
Mon conseil serait de ne pas laisser l'autre se permettre d'être négligent avec soi, d'avoir du respect pour soi et l'exiger de l'autre. Mon dernier a été négligent, il l'a été une fois, il l'a été deux fois, trois fois c'est fini. Dégagé et bloqué sans lui exiger d'explications car je n'en attendais aucune.
Citation de Peekaboo #499756
J'aurai aimé recueillir vos avis/expériences concernant le fait de se faire quitter ou d'être quitter...”
tu pourrais être moins clairement intéligible: ta phrase ne colle pas avec ton titre
La question ne doit pas se poser peut importe la rupture qui à quittée qui c'est avec toi meme que tu dois en parler !
Citation de Peekaboo #499756
Bonjour
Le fait de « Quitter » ou « se faire quitter », peut s’accompagner de douleur, d’angoisse, d’incompréhension et en même temps de soulagement, de liberté et d’apaisement.
Pour ma part, se « faire quitter » est l’une des expériences les plus douloureuses de ma vie lorsque j’ai vraiment aimé la personne.
Oui l’égo en prend un sacré coup ! Et ensuite arrivent les différentes étapes avec son lot de montagnes émotionnelles (parfois dans une même journée ) et vient l’étape de la reconstruction , l’ouverture à d’autres rencontres et la vie d’un nouveau couple avec son lot d’angoisse d’être « téj » (plus forte dans mon cas aujourd’hui que l’inverse). Je me dis aujourd’hui que je ferai tout « avant » pour sauver mon couple. La douleur passée aide à construire l’avenir.
Je pense que la forme de la séparation compte beaucoup aussi dans le fait d’être quitté.e. Vivre une intensité et se faire « téj » par texto est moralement très éprouvant. Ce qui amène à se poser des questions sur les raisons de ce choix de l’autre et sur notre propre parcours.
Il a fallu que je (re)vive cette situation pour comprendre aussi à quel point j’ai été maladroite par le passé dans mes ruptures de mon initiative sous l’effet d’une colère, d’un malentendu… mais globalement quand cela m’arrivait je revenais souvent vers la personne pour au moins m’excuser même si le mal était fait et était irréversible.
Je pensais qu’avec l’âge je prendrai plus de distance émotionnelle et il y a parfois des histoires qui vous marqueront à vie.
Cela dit je ne minimise pas la souffrance de celle.celui qui quitte mais égoïstement et subjectivement (et injustement peut-être) elle est pour moi moindre pour avoir vécu les deux situations.
« Parler sans avoir rien à dire » Paul ELUARD
Citation de Peekaboo #499756
J'ai connu les deux et franchement je ne suis pas certaine d'avoir une préférence.
Après 18 ans de vie commune avec la mère de mes enfants, et une vie plus subie que vécue parce que je n'étais pas moi
(mais je ne vais pas à nouveau tout réécrire ici, ce serait trop long, mais pour faire court, je l'ai rencontrée dasn une période de ma vie où je n'allais pas bien. Je lui ai dit que je ne me sentais pas homme avant qu'on sorte ensemble. Ca ne la dérangeait pas et je pensais naïvement que peut être en étant avec une femme j'apprendrais à devenir un homme. Mais en fait non. Elle a toujours su pour moi et j'ai toujours fait mes démarches en lui en parlant avant. Je ne l'ai jamais prise en traitre. La seule condition que je n'en parle à personne... Et quand j'ai officialisé ma démarche, elle a joué les surprises, pas au courant bla bla bla, je savais pas... )
bref, elle m'a "gentiment" demandé de quitter la maison.
M'obligeant à laisser derrière moi mes Enfants, ma maison, mes "amis" et même ma famille (en partie) qu'elle avait pervertis en se posant en victime.
Après 4 années à vivre comme une ombre sans voir mes Enfants, j'ai réussi à me reconstruire un peu malgré le cyclone qui avait dévasté ma vie.
J'ai rencontré un homme doux et attentionné... jusqu'à ce qu'il devienne hyper jaloux sans aucune raison.
Après plusieurs mises en garde que je ne supporterais pas ça plus longtemps (3 avertissements quand même) j'ai pris la décision de le quitter au lieu de perdre mon temps avec un 4è qui n'aurait pas plus été écouté.
La douleur n'est pas moins forte à provoquer la rupture.
Je dirais même que c'est pire parce qu'on a en plus a un sentiment de culpabilité en se demandant si on a eu raison, si on n' a pas été trop radicale, si on n'aurait pas pu tenter quelque chose pour sauver notre couple ?
En ce qui me concerne je protège les morceaux qu'il me reste de mon coeur. Hors de question de les confier à quelqu'un d'autre.
Faites ce que vous voulez, moi je ne touche plus à cette merde que certains appellent amour.
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