Salut Derf,
Comme tu l'auras compris, je suis sensibilisé à ces problématiques si tu préfère échanger en privé je suis dispo.
Citation de Derf #485087 Un haut QI est pas synonyme d’intelligence j'ai un QI supérieur a la moyenne pourtant je fais des fautes orthographe et il m'arrive a ne pas savoir répondre a un problème
c'est toujours le même problème de la définition de l'intelligence et de l'image que l'on se fait des HQI .... En gros; c'est tout l'inverse des idées communément admises.
L'orthographe, comme la culture n'a rien a voir avec l'intelligence, il peut y avoir une corrélation entre culture et intelligence, mais ce n'est que le fruit de la curiosité/l'envie de comprendre/le besoin de sens/de passion sporadique et en rien un lien de causalité: une grande culture ne sera en rien synonyme d'intelligence. Pour être parfaitement limpide, je n'ai même pas le bac 'à force de me faire virer de partout, plus aucun établissement ne voulait de moi ^^) , cependant sur des domaines spécifiques (ceux qui ont éveillé ma curiosité) je suis pertinent
Pour en revenir à l'orthographe, en primaire on m'a dit que c'était la science des ânes, et ca m'arrangeait ^^, je suis dysléxique... Dans la même veine, alors que ma dextérité visuo-spatiale explose les plafonds (1pers/10000), je ne connais pas instinctivement ma gauche de ma droite,( j'ai des astuces, mais ca me demande un effort conscient) ce qui s'avère caucasse quand je me fait driver en voiture ^^....
pour finir sur ce point, nombre de HQI sont "hétérogène", c'est a dire souffrant de "DYS" ou "TDAH" (ce qui est mon cas: je suis donc hétéro :'D) d'autres sont effectivement équilibré sur les items et sont dit "homogènes" (je ne suis donc pas homo ^^)
Citation de Derf #485087 la différence est que l'on pense d'une autre manière et que oui certain devienne asocial a cause de cela vous savez être pris pour un con juste parce que vous êtes pas dans la norme ça donne plus envie de sociabiliser
Etre socialement inadapté ou différent, ne fait pas de soi un asocial pour autant... Nombre de personnes sont différentes, que ce soit par un handicap, une orientation sexuelle, déficient intellectuel ou hpi, ingrat physiquement, etc ... et sont pourtant épanouies . C'est ce que je reproche à la bibliogrphie sur les hpi des dernieres décenies, à les posés comme condané a l'inadaptations sociale, c'est un foutu effet Golem (Pygmalion inversé) qui coince une partie de ce public dans son mal-être comme une maléiction du destin, alors qu'ils ont contrairement à d'autres la faculté a se démélé eux même les noeuds de la tête (qu'ils savent tres bien noué au deumeurant)
Juste pour digesser: on notera que les test de QI ont été créer pour détecter la déficience mentale et non les HQI, quand à la part des surdoués à 2/100, elle n'a rien de médicale ou psy, c'est juste tirée de loi normale (statistique) de Gauss et est de fait arbitraire pour définir un atypisme fonctionnel. Une étude montrait que , quelques soit sont QI, les échanges s'averaient aisés/non frustrant même avec des personnes dont le qi étaient à un écart type de soi. Il faut comprendre par là qu'un HPI de base (132= 2/100) pourra avoir, non pas avec 1personne sur 50, comme interlocuteur interressant mais quasiment 1pers/2.
bref, je me suis paumé ^^
Citation de Derf #485087 Pour une personne découverte tôt oui c'est plus une chance car on peu l'aider a développer son hpi par contre une personne découverte sur le tare c'est plus compliquer ce que ça permet c'est de savoir pourquoi on était pas dans la norme
Comme toi, j'ai été detecter sur le tard en suivie addicto, et effectivement, ca a été comme une pierre de Rosette pour moi, qui à put m'expliquer pas mal de chose, j'etais d'ailleurs persuadé d'etre plus bete que la moyenne pour dire ^^, il a fallut que je me fasse engeuler par la psy.. je ne l'avait même jamais envisagé. Bref Glouton intellectuel que je suis je me suis jeté sur le sujet (publication etc) mais j'ai fini par en faire mon identité , un carcan en fait, une prison qui m'a empeché d'avancer (l'effet Golem dont je parlais)....
Après le passé est le passé, et franchement, c'est pas un drame, les coup dur de la vie ont été bien plus pregnant pour moi que cet aspect. Et tu as raisons sur le fait que detecté tôt, ca peut facilité les choses: j'ai "fait" 2 beaux spécimens qui se sont toutes les deux retrouvé à un moment ou un autre déscolarisées, l'une a fait une école alternative et l'autre après un suivi psy pour accepter sa différence défonce tout (mentions, félicitations etc)
Citation de Derf #485087mon parcours: HPI sans le savoir qui a conduit a devenir Borderline qui a conduit a une médication lourdes avec les effets négatif(...) problème respiratoire emphysème apnée du sommeil problème cardiaque perte de libido et de sexe et l'ennui je ne peux arreter aucun des médicaments sinon c'est retour a la case a risque
Mon parcours m'a amené a me retrouver sous neuroleptique (camisole chimique) ado/jeune adulte a cause de bouffées délirantes ( 2ans durant, normalement si ca dure plus de 6 mois on est schizophrène), aujourd'hui, je peux le comprendre assez facilement, entre une histoire compliqué, les drogues et le déficit d'inhibition latente induite par le haut potentiel, mais il aura fallut qu'un medecin s'en même et me fasse arrêter les neuroleptiques pour que je puisse avancer . ... et ce n'était pas gagné d'avance vu mon histoire , fils d'un pere alcoolique, et d'une mère bipoaire, abusé enfant, harcelé et maltraité en primaire (le summum etant l'instit de cm2 qui était la maitresse de mon père et qui ne pouvait pas me blairer) ,1ere fugue a 11ans, plusieurs hospitalisation suite a des TS loupées, adictions multiples, "comportement a risques (nul doute que le hpi a joué un role).... Mais rien n'est gravé dans le marbre, et je suis riche de ces expériences. Ete HPI ne devrait pas être un pb, mais une partie de la solution, une autre chose qui fut une révélation pour moi, c'est la TDP http://wiki.zebras-crossing.org/doku.php?id=articles:dabrowski qui dit justement que les névroses et autres crises existentielles sont nécéssaire pour avancer, MAIS NE SONT QUE PASSAGERES (et non une malédiction ontologique)
je te propose un texte de lui qui m'a fait pleurer la première fois que je l'ai lut et qui me file encore les poils:
"Je vous salue, névrosés !
Parce que vous êtes sensibles dans un monde insensible, n’avez aucune certitude dans un monde pétri de certitudes,
Parce que vous ressentez les autres comme s’ils étaient vous-mêmes,
Parce que vous ressentez l’anxiété du monde et son étroitesse sans fond et sa suffisance,
Parce que vous refusez de vous laver les mains de toutes les saletés du monde,
Parce que vous craignez d’être prisonniers des limites du monde,
Pour votre peur de l’absurdité de l’existence,
Pour votre subtilité à ne pas dire aux autres ce que vous voyez en eux.
Pour votre difficulté à gérer les choses pratiques et pour votre pragmatisme à gérer l’inconnu,
Pour votre réalisme transcendantal et votre manque de réalisme au quotidien,
Pour votre sens de l’exclusivité et votre peur de perdre vos amis proches,
Pour votre créativité et votre capacité à vous extasier,
Pour votre inadaptation à « ce qui est » et votre capacité d’adaptation à « ce qui devrait être »,
Pour toutes vos habiletés si grandes et pourtant inutilisées,
Pour la reconnaissance tardive de la vraie valeur de votre grandeur qui ne permettra jamais l’appréciation de la grandeur de ceux qui viendront après vous,
Parce que vous êtes humiliés alors que vous veillez toujours à ne pas humilier les autres,
Parce que votre pouvoir immense est toujours mis à bas par une force brutale ;
Et pour tout ce que vous êtes capables de deviner, tout ce que vous n’exprimez pas, et tout ce qui est infini en vous
Pour la solitude et l’étrangeté de vos vie
Soyez salués !"
K. Dabrowski (1902-1980) extrait du livre « La névrose n’est pas une maladie »
amicalement,
Citation de HaricotMungo #485115
Entierement d'accord avec toi les sociétés modernes ont beaucoups a apprendre des sagesses ancienne venue d'orient.
Malheuresement ni confucius ni le taoisme ne sont enseigner a l'école et pourtant la philosophie qui en ressort et tellement logique pour une société + harmonieuse (notamment confucius)
Le taoisme lui nous ouvre les voie de l'infinie j'adore :)
Citation de Prométhé #485107
Pour commencer merci pour ta réponse
la 1repartie
J'ai le même parcours virer de toutes les écoles ou arrêter avant faut dire que rien ne m’intéressai je m’ennuyais
"c'est toujours le même problème de la définition de l'intelligence et de l'image que l'on se fait des HQI .... En gros; c'est tout l'inverse des idées communément admises."
-Oui beaucoup pense que un HQI 0c'est super intelligent que on nous donne n'importe quoi comme problème on vas le résoudre pour certain ça ce fera pour d'autre non
Ce que j'ai voulu dire avec l’orthographe beaucoup pense que on connais tout les dictionnaires et règle de grammaire
je trouve que on est trop comparer a Einstein quand on dis être un HQI déjà il avais le plus haut QI le record est plus de 200 et la personne qui avait le plus haut étais une femme
moi le problème que j'ai remarquer dernièrement quand j'écris sur un clavier je dois taper sur le E mon doigt ce dirige vers le R et je me dis c'est pas celle-la et je tape dessus d'office
la 2me partie
J'ai plus parler de mon expérience ou a la longue je le suis devenu je supporte pas la foule les gens soit je deviens nerveux ou me sent agresser par la foule
Fut dire que si la conversation me motive autant que regarder oui-oui je décroche et par dans ma bulle donc je deviens asocial
c'est ce que j'ai développer des aptitudes artistique, une analyse de certaine choses de la vie, penser a une solution de vie de trop parfois et d'autre choses que je fais par automatisme donc m'en rend plus compte
" qu'ils ont contrairement à d'autres la faculté a se démêle eux même les nœuds de la tête"
-c'est juste parce que on pense en arborescence ou on regarde la totaliter du nœud et pas les deux bout du noeud
"on notera que les test de QI ont été créer pour détecter la déficience mentale"
-et on c'est rendu compte que c'était plus facile de chercher des HQI
la3me partie
a moi aussi ça m'a permis de comprendre plus de choses,
comme que je ne suis pas un con malgré ce que l'on me faisais croire et me suis rendu que c'étais eux les cons
a mis je râle pas sur la découverte sur le tard que du contraire j'ai eue une autre vie avec beaucoup de bas et parfois des haut mais bon comme tu dis c'est le passer et faut pas regretter le passer
la 4me partie
j'ai un parcourt chaotique drogue, vol, conduite a risque, suicidaire (ce que je suis encore si j’arrête mes médocs ) fréquentation hors norme, violence, auto mutilation mais beaucoup vienne de fait que je suis borderline
très beau texte qui résume bien ce que l' est
Pour revenir à la question initiale de The Blob, pour ma part je pense que :
1) Etant donné que la société humaine est organisée en système hiérarchique de dominance (où les dominants imposent leur projet aux dominés), sans parler d'intelligence mais plutôt de position dans cette hiérarchie (peut-être liée aux diplômes et à la réussite professionnelle, mais attention, pas forcément), alors oui, les gens "hauts placés" ont une responsabilité sociale plus grande. Et devraient en conséquence faire tout ce qui est en leur pouvoir pour améliorer le monde.
2) Etant donné qu'atterrissent dans les instances décisionnelles le plus souvent des gens avides de pouvoir (ce qui est déjà en soi une maladie) et cela sans aucun rétrocontrôle ou purge, mais plutôt de plus en plus par une forme de cooptation malsaine, les décisions les plus impactantes pour le plus grands nombres sont prises par des quasi-psychopathes qui cachent bien leur réelles intentions sous le déguisement de l'empathie, ou simplement par des personnes qui ne voient plus que leur intérêt personnel sans plus se soucier d'autrui (et qui donc ne méritent pas la "position" de puissance qui est la leur/ne sont pas à la hauteur de ce qu'exigerait normalement leur position).
3) En conclusion, ils appartient aux personnes cités en 1) de, malgré leur désintérêt pour l'exercice du pouvoir quelque soit son niveau, avoir conscience de leur relative responsabilité et de l'exercer au mieux.
Le problème c'est que l'intelligence est typiquement définie à partir du système en place.
On pourrait vouloir que quelqu'un intelligent devient président en France ou aux États-Unis par exemple. Mais si cette personne n'a pas le cran et l'honnêteté de par exemple Kennedy, ben, ça ne sert pas à grand chose. Un président qui n'utilise son intelligence que pour servir le système non durable en place, ben, il est contre-productif.
Je suis d'accord pour dire que l'intelligence ne doit pas aller à l'encontre de l'intérêt général. Le problème étant que c'est souvent le cas. Et ce n'est pas par manque d'"intelligence".
On peut être parfaitement "intelligent" et endoctriné. Il y a des gens "intelligents" dans la CIA (qui n'est pas d'intérêt général en réalité) par exemple.
Alors que ta question peut donner l'impression que les gens "intelligents" sauraient déterminer ce qui est d'intérêt général et ce qui ne l'est pas. Alors que non, être "intelligent" ne va pas automatiquement de paire avec savoir ce qui est d'intérêt général ou pas.
Je rejoins @Derf: si vous limitez l’intelligence au QI …
Il n’y a pas qu’une intelligence mais plusieurs, artistique, sensitive …. Et c’est quoi des gens normaux ?
On est quand même sur un forum qui compte des gens ( dont moi) longtemps considérés comme étant hors-normes, alors c’est quoi qqn de normal ?
Bref je vois pas trop où veux aller ce post ( j’imagine que mon niveau intellectuel est trop peu élevé 🤣)
j’imagine que mon niveau intellectuel est trop peu élevé 🤣
Ben oui, c'est pour cela que nous autres personnes excessivement intelligentes, sommes là pour vous remettre sur le droit chemin, pauvres créatures limitées intellectuellement 🤣
Enfin quand nos chevilles nous permettent de marcher.
L'intérêt général ? Mais comment on le définit, déjà ?? A quelle échelle ? Avec quels moyens ?
Je suis fonctionnaire, je travaille pour l'état. Que je pense, globalement, œuvrer pour la collectivité. Mais on sait que c'est par moment extrêmement relatif... donc bon...
"le groupe prévaut il sur l’individu ?"
Le débat sur la prédominance du groupe par rapport à l'individu est un sujet complexe qui a suscité des discussions et des réflexions profondes à travers les siècles. Cette question soulève des interrogations sur la balance entre l'autonomie individuelle et l'influence du collectif sur la vie de chaque être humain.
D'un côté, ceux qui soutiennent que le groupe prévaut sur l'individu mettent en avant l'idée que la société est composée d'individus interconnectés, formant un réseau complexe d'interactions. Selon eux, le groupe est le fondement de l'identité, influençant les valeurs, les normes sociales et les comportements des individus. Dans cette perspective, l'individu est façonné par les attentes et les exigences du groupe auquel il appartient.
D'un autre côté, les partisans de l'importance de l'individu affirment que chaque personne possède une singularité, des aspirations et des droits qui ne doivent pas être sacrifiés au nom de la conformité sociale. Selon eux, l'épanouissement personnel, la liberté individuelle et la créativité sont des éléments essentiels qui peuvent être entravés par une pression excessive du groupe. Ils soulignent l'importance de reconnaître et de respecter la diversité des individualités au sein de la société.
En réalité, la relation entre le groupe et l'individu est souvent dynamique et complexe. Il existe des moments où le groupe offre un soutien, une identité et une sécurité, favorisant le bien-être des individus. Cependant, il peut également arriver que la pression sociale entrave la liberté individuelle, conduisant à la conformité et à la perte de l'authenticité personnelle.
Dans un monde en constante évolution, il est crucial de trouver un équilibre entre les besoins collectifs et les droits individuels. La reconnaissance de la diversité des individus et la promotion de l'inclusion sociale peuvent contribuer à créer des sociétés où le groupe et l'individu coexistent de manière harmonieuse. En fin de compte, la recherche de cet équilibre dépend de la capacité des sociétés à promouvoir des valeurs qui respectent à la fois la dimension collective et la singularité de chaque être humain.
En ce qui concerne les responsabilités des personnes "intelligentes" envers la société
La question de savoir si les individus qualifiés d'"intelligents" ont des responsabilités accrues envers la société par rapport à ceux qui sont considérés comme moins intelligents est un sujet délicat et complexe. L'intelligence, souvent mesurée par des critères académiques et cognitifs, soulève des questions éthiques sur l'équité et la manière dont elle devrait influencer les engagements envers la société. Dans cet exposé, nous explorerons les arguments en faveur et contre l'idée que les personnes "intelligentes" ont plus de responsabilités sociales que celles considérées comme moins intelligentes.
I. L'intelligence et les compétences :
a. Avantages potentiels :
Les individus qualifiés d'"intelligents" peuvent posséder des compétences spécifiques, des connaissances approfondies et une capacité d'analyse qui peuvent être bénéfiques pour résoudre des problèmes complexes au niveau sociétal.
Leur éducation plus poussée peut les doter d'une compréhension approfondie des enjeux sociaux et économiques.
b. Limites de la mesure de l'intelligence :
La définition de l'intelligence est subjective et limitée à des critères spécifiques. Certains types d'intelligence ne sont pas évalués par les tests traditionnels.
L'intelligence ne garantit pas nécessairement la sagesse ou la capacité à prendre des décisions éthiques.
II. Responsabilités envers la société :
a. Responsabilités éthiques communes :
Chaque individu, quel que soit son niveau d'intelligence, a des responsabilités éthiques fondamentales envers la société, telles que le respect des droits des autres, la participation civique et la préservation de l'environnement.
Les compétences sociales et émotionnelles peuvent être tout aussi importantes que l'intelligence cognitive pour contribuer positivement à la société.
b. L'intelligence comme un atout pour la contribution sociale :
Les personnes "intelligentes" peuvent jouer un rôle majeur dans la recherche de solutions innovantes aux défis complexes tels que le changement climatique, la pauvreté et les inégalités sociales.
Leur accès à l'éducation supérieure peut être un moyen d'influencer positivement les politiques publiques et les initiatives sociales.
III. Égalité et diversité :
a. Risques de favoriser l'élitisme :
Mettre l'accent sur les responsabilités accrues des personnes "intelligentes" peut conduire à des inégalités et à une hiérarchie sociale basée sur des critères limités.
Ignorer les contributions des personnes moins "intelligentes" peut renforcer les stéréotypes et compromettre le potentiel de diversité et d'inclusion.
b. Valoriser la diversité des talents :
Reconnaître et valoriser divers types d'intelligence, y compris les compétences pratiques, créatives et émotionnelles, peut enrichir la société.
Encourager la collaboration entre des individus aux compétences variées peut conduire à des solutions plus holistiques et durables.
Conclusion :
En conclusion, la question des responsabilités accrues des personnes "intelligentes" envers la société est complexe et nuancée. Plutôt que de se concentrer uniquement sur l'intelligence cognitive, il est essentiel de reconnaître la diversité des talents et de promouvoir une vision éthique et inclusive de la contribution sociale. Tous les individus, quels que soient leurs niveaux d'intelligence, ont des rôles importants à jouer dans la construction d'une société équilibrée, équitable et durable.
Bonjour,
Exposé certes très clair mais très scolaire et abstrait aussi. Un élément un peu personnel et contextualisé à notre société, ici et maintenant ?
Parce que oui, l équilibre entre individu et collectif, reconnaître la diversité des intelligences, je pense qu on est tous d accord la dessus.
Mais, pour prendre l exemple de la crise climatique, il est essentiel (selon moi) de mettre un mouchoir sur nos prétendues libertés individuelles pour se retrousser les manches collectivement. Et cela veut dire mettre de côté notre petit ego individuel pour penser au bien commun.
Comment faire si ce n'est par la coercition ? Et en reconnaissant que ceux qui savent doivent guider les autres ?
Donner des droits particuliers à "ceux qui savent", pourquoi pas... Mais comment les reconnaître ?
Parce que, généralement, "ceux qui savent" sont surtout ceux qui s'autoproclament comme tels... Et là gare à la casse !
Au Moyen Âge les inquisiteurs "savent" que les lois de l'Eglise vont faire le salut de l'humanité. Résultat : les bûchers.
En 1917 Lénine "sait" que le communisme va faire le bonheur de l'humanité. Résultat : les goulags.
Et invoquer la science ne suffit pas.
D'abord, la science peut se tromper (il y a eu des chaires d'anthropologie raciale avant qu'il y ait des Nazis).
Ensuite, la science constate les problèmes et donne des outils, mais elle n'est pas là pour donner une politique.
Et puis, fondamentalement, science sans conscience... Ce qui compte en politique est peut-être moins la connaissance que la sagesse, et l'une n'implique pas l'autre, loin de là !
Citation de Erdra65 #487681
"En 1917 Lénine "sait" que le communisme va faire le bonheur de l'humanité. Résultat : les goulags."
Un brin simpliste quand même. Dire que les goulags étaient du communisme - disons mon arrière-grand-père maternel dans un camp de concentration pour ses convictions communistes aurait peut-être dit qu'on n'a pas fini de se faire endoctriner...
C'est surtout que ça me semble communiquer : on ne peut pas espérer mieux, bien qu'on va droit dans le mur. On vit vraiment une époque sans idéalisme, plein de cynisme.
Je suis d'accord pour dire que le projet communiste de Lénine était prématuré. Ainsi il a été dénaturé.
Après on peut le comprendre, vu ce qu'était la Russie sous le tsar.
Ce qu'on peut saluer chez Lénine c'est son enthousiasme et idéalisme.
Ce qu'on peut déplorer c'est simplement la nature humaine. En même temps c'est bien que nous ne sommes pas des machines. C'est juste que dans la société moderne c'est très compliqué être humain. La preuve : on ne réussit toujours pas. Faudrait-il arriver à être inhumain pour arriver à une société moderne humaine ? Cela nécessite à ce point la façon d'être calculatrice d'une machine ? Je ne l'exclus pas... Sans pour autant me contenter d'écraser ma tête contre le mur qui approche à toute vitesse.
Citation de Yin Et Yang #472663
désolé aussi, mais les constructions de phrases prévalent sur l’orthographe
donc ton ”Désolé intélligence intélligent !!!” sauf ci tu sous entends que t’a un désolement (”tant pis pour vous!”) pour l’intéligence ”en général ” ainsi qu’aux gens intélligents n’est pas juste côté construction de phrase et même comme cela t’à phrase est érronée
tu fais 2 phrases ”négligeament” alors qu’une serait plus correcte
tu fais preuve d’impolitesse en utilisant un mot : le ”tous” (qui ne m’inclu pas)
pour conclure: je pense que t’à un avenir certain
ps: je m’en vais te signifier ma réponse à ta tentative de participation
à tout de suite
edit: tu me semble que rechercher des femmes un non binaire est pt'ètre permit
Je suis pas certain d'être assez intelligent pour comprendre la question...
tiens, je vais intervenir, d'autant que ma très chère amie Occamj vous a gratifié d'un post très "intelligent", et rudement bien construit, que, à l'évidence, vous avez lu "vite fait en en travers"..... (comme d'habitude: on "parle au murs" ici: au mur de l'écran.)
La question du forum repose sur deux termes que je n'aime pas du tout:
1) "intellingence", cela veut dire quoi ? savoir ? humanisme ? connaissances ? juste une notion de QI, et nullement de QE ?
2) "normal" veut dire quoi ? à opposer à "anormal" ? Donc correspondant à une certaine "normalité", ce qui implique donc des ségrégations ?
Et j'ajouterai à ceci que la question posée peut éventuellement "tenir debout", mais comme toute question: êtes vous capable d'entendre la réponse ? (et je parle bien ici de "capacité à")
Le tout réside dans un problème de communication, encore une fois: êtes vous "capables" de recevoir une information qui ne vous plait pas ? ou que vous n'avez pas la "capacité" de comprendre ?
Lé réponse est "non", bien évidemment.
Citation de DamienLge #505202
Ne pas être capable de recevoir une reponse, parce que soit elle n'est pas comprise, soit elle rentre en conflit avec (au choix : nos conception, nos croyance, notre culture, nos notion du bien et du mal, notre moralité, notre affect ... ect ...)
C'est tellement commun. C'est dommage de pointé ça comme une incompétence.
Je fais 1m50. Si tu depose un objet à 2 mètre s de haut j'aurai du mal à m'en saisir. Est ce que ça ferait pour autant de moi quelqu'un de stupide ?
Je ne pense pas. Des fois il faut un travaille annexe pour se saisir des des choses et même quand on croit maitriser un sujet, il n'est pas rare de le redecouvrir sous un autre angle, au gré du hasard et des échanges
Aller de fleur en fleur et ne prendre de chacune que le meilleur
je parle de capacité. nullement de compétence 😊
La compétence étant une valeur relative... la capacité étant liée à ce que nous sommes, et le fait que tu mesure 1m50 est de fait une chose incontournable. Mais ne fait pas de toi quelqu'un "d'incompétent" pour autant.
et tu as raison: c'est tellement commun (oserais je dire: selon la conception du cerveau: logique ?)
Citation de DamienLge #505209
La question soujacente à ta précédente intervention reste malgrés tout interressante : nous donnons nous les moyens ?
Aller de fleur en fleur et ne prendre de chacune que le meilleur
et hop: deux jours de boulot disparu..... et hop ;-)
"nous ne sommes que poussière......"
Mais la réponse à ta question emminemment intelligente, Monsieur Bidule, est clairement: "non"...
Et j'ajoute que pour des raison sociologiques, commerciales et historique, ainsi que à cause du fonctionnement du cerveau, nous n'en serons plus capables avant un certain nombre d'années, malheureusement. Donc non: nous ne pouvons (du verbe pouvoir) nous donner les moyens.
Même si tout mon argumentaire a disparu...
Les gens intelligents, qui se donnent pour mission de favoriser l'intelligence, ne le font pas.
Je n'en dirais pas plus pour ne pas taper sur la "secte" à laquelle j'ai adhéré il y a peu...
Ils distribuent des prix, tout au plus.
L'intention de base était, au-delà de l'objectif de favoriser l'intelligence, d'empêcher les guerres. ^^
Pardon, je vais être plus explicite : je veux dire que même si on réunit un groupe de personnes mieux fournies en neurones que la plupart des gens (c'est une façon de parler), et même si ces personnes se fixent un but louable, rien ne se fait pour autant (factuel).
Je vais prendre pour exemple un autre club : Intertel, l'association est censée promouvoir l'intelligence, ils ne sont pas capables pour l'antenne française de concevoir un site web pour au minimum avoir plus de chances de se faire connaître. De nos jours, tu n'as besoin d'aucune connaissance en informatique pour te créer un site web.
Fin, bref.
Édition : j'ai lu tout le sujet (tout à l'heure, j'avais eu la flemme), bon, ben, j'ai pas tout compris, mais j'ai lu. ^^
Mes exemples parlent des personnes qui ont obtenu des scores de QI élevés et qui n'en font rien une fois dans une association qui a pourtant pour but au minimum de fournir un cadre stimulant intellectuellement... C'est un raccourci, car le QI ça vaut ce que ça vaut... C'est une approche critiquable, cette façon de "mesurer"... en même temps, tout n'est pas à jeter : quelqu'un avec un "bon QI" effectue des tâches intellectuelles avec moins d'efforts, souvent elles sont plus rapides, et ont plus facilement accès à la métacognition.
Et pour la question de départ, c'est une question qui a un sous-entendu moral : comme une injonction dite à demi-mot : si tu peux et que c'est bien (jugé "bien" par untel ou par un groupe), pourquoi ne le ferais-tu pas ? (sous-entendu, ce serait mal et égoïste de ne pas agir selon le jugement moral de je-sais-pas-qui)
Ça pose la question de l'illusion d'un monde juste... ça sonne un peu "enfant indigo" sur les bords, aussi.
Et sur l'orthographe... je fais partie des gens rigides qui ne comprennent plus rien quand il y a trois fautes tous les cinq mots, et je pense que si on ne sait pas se faire comprendre, sûrement qu'on se comprend soi-même assez mal, ou qu'on n'a pas lu assez, et/ou pas profité de ses lectures (sauf si on est dyslexique ou quoi... encore que les correcteurs comme Scribens font tout le boulot)
attention à l differénce entre QI et QE....
La différence, principalement, c'est que le QE, cela n'existe pas. ^^
Ha.... pourtant cela correspond bien à ce que l'on apelle le "Quotien Emotionnel" ;-)
Oui, ok, je veux bien aller dans ton sens, mais il faut comprendre que l'expression est un pied-de-nez pour critiquer la faible valeur prédictive du QI (selon ses détracteurs), et qu'il n'existe pas un quotient émotionnel sur le même modèle que les échelles de mesure WAIS et WISC. C'est plus une expression qui sert à mettre en avant une intelligence intra et interpersonnelle face à une intelligence de performance juste intellectuelle (style QI). Cette intelligence émotionnelle serait même un meilleur indicateur de réussite dans la vie professionnelle selon son auteur, car elle comprend l'automotivation, la connaissance de soi, la reconnaissance des émotions des autres, etc.
ce qui, par rapport au sujet, me semble être d'une importance capitale, non ? Car: si le "savoir" (et je mets des tonnes de guillements) ne visait qu'à la "capitalisation" de celui ci, alors de fait, ceux qui ont un peu étudié la question ne passerraient ps énormément de temps à essyer de convaincre, voire même de prouver des choses....
Même face à des gens qui, à cause de leurs "croyances" bien ancrées, ne peuvent entendre, malheureusement, leur arguments étayés par "du solide", ce qu est de plus en plus le cas....
Donc: déjà: voiloir "enseigner" est une chose, vouloir partager, parler, échanger des arguments, cela ne relève plus du QI....
Et j'avoue, pour ma part, entendre souvent de très hauts scientifiques d'un peu tous les domaines que je contoie, se poser réellement la question ete de leur enseignement, et même pire: de l'interêt des recherches qu'ils mènent.... Car: quand il voient des étudiants, ou des jeunes hors cours, ou ailleurs d'ailleurs... démontrer par a+b que leur "théorie" est du grand n'importe quoi, alors que ces mêmes scientifiques sont, tout de même, généralement professeurs d'Université, chercher FNRS (CNRS en France) et y passer quaisment des années et des années d'études... Il y a franchement de quoi s'affoler...
Car: bien sur: ceux qui "savent" des choses sur un sujet, et généralement ils le font très volontiers, sont enclein à partager leur savoir....; Encore faut il que l'on respecte leur compétence sur le sujet, et, qu'ils soient écoutés... et non rejettés au profit d'une information glanée sur internet dans les "réseaux sociaux"..
De plus, en psychologie, le QI est un "indicateur", au milieu de bien d'autres choses, et n'a pas de lien direct, obligatoirement, avec l'intelligence, l'apprentissage, les études ou le savoir...
Tout petit exemple: en psychiatrie: les pervers narcissiques ont un QI très généralement extrèmement supérieure à la moyenne. Mais qu'en font il ? à part mettre ce même QI au service de leur maladie, et faire des victimes?
Donc, la "responsabilité" des "savants" dans notre vie de tous les jours, et leur réflexion au sein de notre démoncratie existe déjà bien souvent. Alors, pour les sciences dites "appliquées", là on voit tout de suite les avantages, mais pour les sciences humaines.... ouille, ouille, ouille.
Simple exemple, en lien avec ce site, et que je cite souvent: "doit on, sous prétexte de tolérance, accepter l'intolérable ?"
tien: un "fragrant déni" comme j'apelle cela.... lol : lis le forum intitulé "VIH éliminé dans les cellules grâce à la méthode des ciseaux génétiques CRISPR"... et vois comment les gens peuvent réagir à un "savoir"....
Citation de DamienLge #506354
"ce qui, par rapport au sujet, me semble être d'une importance capitale, non ? Car: si le "savoir" (et je mets des tonnes de guillements) ne visait qu'à la "capitalisation" de celui ci, alors de fait, ceux qui ont un peu étudié la question ne passerraient ps énormément de temps à essyer de convaincre, voire même de prouver des choses....
Même face à des gens qui, à cause de leurs "croyances" bien ancrées, ne peuvent entendre, malheureusement, leur arguments étayés par "du solide", ce qu est de plus en plus le cas....
Donc: déjà: voiloir "enseigner" est une chose, vouloir partager, parler, échanger des arguments, cela ne relève plus du QI..."
Je réagis au début de ton message : en fait, le savoir et la culture, ça n'a déjà pas grand chose à voir avec le QI qu'obtient une personne (le test se veut "culture free" dans la mesure du possible).
Donc pour le bout de message que je cite, dès le départ, ça n'a pas grand chose à voir avec le QI.
"Tout petit exemple: en psychiatrie: les pervers narcissiques ont un QI très généralement extrèmement supérieure à la moyenne. Mais qu'en font il ? à part mettre ce même QI au service de leur maladie, et faire des victimes?"
Pardon, mais c'est n'importe quoi ce que tu dis ici. Déjà le terme pervers narcissique... ensuite tout le reste... Ça n'existe pas, et la formule elle-même ne veut rien dire. Ce n'est pas une maladie, c'est un terme issu de littérature de développement personnel la moins rigoureuse possible. Imaginer qu'une étude existe sur ce critère qui n'a aucune valeur scientifique (et pas d'existence du tout pour les psychiatres, ou les psychologues honnêtes), c'est juste pas cohérent du tout.
Puis s'ils sont sournois et brillants, ils ne se font pas repérer, c'est logique, et ça invalide l'idée qu'ils auraient été identifiés et étudiés avec un panel conséquent de spécimens.
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