En des temps bien lointains, vivait dans les landes fraiches et paisibles, une femme .
Elle n'était ni belle, ni laide mais dotée d'une incroyable connaissance en toutes choses . Si bien que l'on en avait oublié son prénom et était connu sous le nom de l'Erudite.
Chacun pouvais venir la consulter pour divers problèmes ou dans l'attente de trouver réponses à ses questions. Ni rangs, ni sexe ne devrait condamner à l'ignorance pensait elle alors elle acceptais de la nourritures ou des petits services de la populace la plus pauvre et les bourses débordante de pièces d'or et d'argent des plus riches.
Le temps passa et sa notoriété de passa très vite les frontière de sa lande natale, si bien que bientôt des hommes des petits royaumes alentours ne tardèrent pas à lui parler épousailles. Il est vrai qu'elle même songeait également au mariage et à partager sa demeure devenue bien grande et jolie mais bien vide aussi. seulement, qu'il est difficile pour une érudite de trouver chaussure à son pieds! personnes ne comprenait le monde comme elle le comprenait c'était comme si elle parlait une langue qu'elle seule pouvait traduire. De plus elle n'était pas dupe: ces messieurs savaient qu'auprès d'elle, ils ne connaitrait jamais la disette! en effet si le travail ou les richesses peuvent tarirent du jour au lendemain, les connaissances de l'Erudite, grandissaient chaque jour que le soleil annonçait et chaque nuit que la lune berçait. L'Erudite en avait bien conscience mais elle était lasse d'être seule.
Elle se mit à réfléchir sur comment pourrait elle choisir le meilleur parti . Quand elle eu trouvé, elle fit lire en son nom une missive par un messager: "Je prendrais pour époux celui saura m'offrir les étoiles de la nuit pour les contempler le jour." Très vite, la requête de l'Erudite fut connu bien au delà de la Lande et nombreux prétendants se présentaient devant sa maison avec chacun leurs présents: On lui déclama les plus beaux vers parlant décrivant à la perfection le ciel étoilé, des bijoux et pierres précieuses étincelants, des sculptures de glaces qui fondaient au soleil... à chacun, elle les remercia en leurs disant que ce n'était pas réponse à sa demande.
chaque jour amenait toujours un peu plus de monde, que ce soit les badots curieux de voir la prochaine trouvaille et de nouveaux potentiels amants. l'un de ces jour se présenta celui qu'un attendait le moins: l'Idiot. tout comme pour l'Erudite à qui les connaissances fit oublié à tous son prénom, pour ce jeune garçon c'était sa maladresse et son air ahurie continuel. l'Erudite jeta un regard sur sa direction et il lui demanda:
L'Erudite descendit les marches de son perron et lui dit:
Tout de suite après, l'Idiot rentra chez lui dans une petit maison cossu, mis divers objets dans son baluchons et quitta la lande
il n'avait ni boussole, ni carte et même en sa possession il n'aurait su lire ni l'un ni l'autre, alors il se contentait de marcher droit devant lui se disant que ainsi il ne pouvais pas se perdre! dépourvu de logique, il avait néanmoins le don bien utile de susciter chez les gens qu'il rencontrait sur son chemin, la sympathie. Si bien qu'il n'eut jamais à dormir dans le froid et n'eut pas non plus à souffrir de la faim, sa gentillesse et son attitude serviable était monnaie d'échange. c'est ainsi qu'après avoir parcours bonne distance, il prit pour la première fois le bateau et traversa l'océan. arrivée sur un continent inconnu, comme à son habitude il marcha droit devant lui laissant la providence prendre les rennes. il vit de nouveaux paysages, de nouvelles personnes parlant une nouvelle langue. Bien heureux sont les innocents, l'Idiot n'imaginais pas un seul instant qu'un individu pouvais être dangereux et n'hésitait pas à s'adressé à toute personne qu'il croisait. ainsi il appris très vite la langue du pays pour avoir des informations nécessaire à sa recherche. à chacun de ses arrêt il demandait ou trouver la personne la plus intelligente et, trouvant cette personne, l'Idiot lui raconta l'histoire de l'Erudite, de sa demande et de la grande envie pour lui de l'épouser. et à chacune de ses demande il eut toujours la même réponse: Si l'Erudite ne possédait pas elle même réponse à sa demande, alors eux-mêmes ne la possédait pas. mais l'Idiot ne s'en décourageait nullement et après avoir pris congés de l'hospitalité de son hôte, il repartait balluchon sur l'épaule toujours droit devant lui.
Le temps passa et bientôt il reprit d'autres bateaux puis d'autres carrioles fit d'autres connaissances mais nuls ne trouvait solution à la demande de l'Erudite. Bientôt les paysages verdoyant firent place aux désert, il ne pu que marcher, les pieds s'enfonçant dans les dunes de sables. s'étant aventurer bien trop loin des habitations et surpris par la chaleur, l'Idiot pensa que sa fin était venue. mais lorsqu'il ouvrir les yeux, il se trouva allongé sous un toit de toile. plusieurs hommes, haut du crane enturbanné se mirent à lui parler un dialecte bien éloigné de sa langue natale. mais comme à son habitude, de son air ahurie qui ne le quittait pas, il essaya tant bien que mal de se faire comprendre. quelque temps plus tard, après avoir reprit des forces, il travailla un temps auprès de se peuple en échange d'eau et de nourriture. quant il eu suffisamment assimilé leur langue il pu enfin expliquer sa venue sur leur terre. la tribu d'hommes de femmes et d'enfant restèrent un temps silencieux puis rirent aux éclats! "
" mais enfin mon ami cela est impossible voyons! " disaient les hommes
"Elle t'aura bien eut " disaient les femmes
Mais tous s'accordèrent sur sa gentillesse et son courage. On fit venir le plus sage des Sage de la caravane en lui faisant part de l'étrange demande d'une femme pourtant savante a un homme pourtant bien idiot.
c'est ainsi qu'après avoir fait ses adieux, l'Idiot entra sur un nouveau territoire. si le précèdent était sec et rugueux, celui si fut extrêmement humide et dense, des arbres et autres végétation qui semblaient toucher le ciel, à perte de vue, si bien que la lumière du jour diminuait au fur et à mesure qu'il s'enfonçait dans ce qui semblait être une forêt sans fin.
Les journées qui passèrent semblait une éternité et mis à part les cris de créatures qui lui était impossible d'identifier, il semblait être la seule âme qui vive. bientôt sans ressource, la fatigue arriva et se laissant glisser sur la mousse au pieds d'un énorme tronc, il ferma bientôt les yeux et s'endormi.
Citation de The Blob #452381
Bonsoir, cette histoire sort ( comme toutes les autres que j’ai posté ici) de mon imagination.
Si tu souhaites pas la lire libre à toi mais à quoi bon ce commentaire ?
(perso, j'attends impatiemment la suite 🤗🤗🤗)
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Citation de Fierdre #452386
Oooh c’est gentil ça ! Elle arrivera vite car je suis en repos pour quelques jours cumulé a du télétravail 😁
Tu nous laissez sur un cliffhanger !
Je veux savoir ce que les gens vont essayer ! 😄😄😄
Je le suis dis '' je suis sûr qu'il y en a un qui va lui offrir des diamants ! '' 😂😂😂
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Citation de Fierdre #452388
Vas savoir 😁
Tu vois ce que tu fais?!
Le suspens me tuuùuuuuuue 😂😂😂😂
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Citation de Némésis Inu #452254
C’est un réel plaisir de vous lire. J’attends également impatiemment la suite.
Je vous félicite pour votre belle plume et vous encourage vivement continuer d’écrire.
Et merci de les partager avec nous.
Citation de Némésis Inu #452394
Oh vous l’êtes déjà largement ❤️
J'ai egalement hate de connaitre la suite de l'histoire. Ca me fait penser à un monsieur qui, lorsqu'il a pu s'acheter la montre de ses reves, en a pris une "avec un cadrant sombre et les chiffres clairs comme les etoiles dans la nuit"
Citation de Gemespoir #452395
😍😍😍
Citation de Visitoramus #452396
Les montres des malvoyants sont ainsi !
Citation de Némésis Inu #452397
Ah bah je me coucherai un peu moins con ce soir grâce à toi 😅
Chouette un nouveau conte !
Pour l'instant il a conduit mon imagination au pôle des étoiles de Nancay, ils ont équipé une salle en forme de dome pour projeter les constellations en pleine journée . . . mais je ne doute pas que @Neme a certainement des idées bien plus croustillantes derrière la tete . .
hate de lire la suite . . .