Cela se passait dans un tout petit pays,
Dans une toute petite région,
ou, vivaient, dans un tout petit villages,
des petites gens bien aimables,
mais bien à l'écart de tout ce petit monde,
Se trouvait une toute petite tourelle,
qui elle-même hébergeait une toute petite fille,
bien cachée, à l'abris des tout petits regard indiscret .
Le Jour, elle se délectait des bavardages des femmes qui lavaient les draps de la veilles propageant les dernières ragots, des rires de bambins joufflus qui se chamaillaient en se courant après, le grognements des pères au départ d'un nouveau jour de dure labeur tôt le matin, et des vielles dames portant à bout de bras leur petits panier bien garnis des produits frais du marché.
Comment peut-elle reconnaitre tout ces petits sons si à des kilomètres à la rondes? nul ne le sais et cela importe peu dans l'histoire que je vous livre maintenant. Son histoire, l'histoire d'une toute petite fille qui ne porte pas de petit nom.
Le soir venu, la toute petite fille sans nom, bien qu'elle en avait pas l'âge, prit une des allumettes, craqua celle-ci laissant apparaitre une flamme qui, au contacte de la mèche de chacune des bougies de la pièce, fit disparaitre l'obscurité de la nuit pour laisser place à une douce lueur tamisée.
Puis, tout en craquant une autre allumette, elle se dirigea vers un petit poêle en pierre, y laisse tomber machinalement l'allumette qui embrasa d'un coup d'un seul le bois du de celui-ci.
Après avoir mangé son bol de soupe un peu claire et son pain un peu dure, elle sortie dehors, enfin.
Elle ferma bien derrière elle la porte de la petite tourelle, glissa la clé dans la poche de sa robe bien usée et se commence sa promenade nocturne quotidienne. elle commença par tremper ses petit pieds dans le petit ruisseau non loin de sa tourelle en prenant soin d'avoir enlevé au préalable ses godillots un peu lourds mais bien solide, puis continua en prenant la petit route menant au village, entenant ses godillot d'une mains pour laisser le temps à ses pieds de bien sécher et une fois arrivée au village, elle se hâtait d'aller en son centre, là ou se trouvait une jolie fontaine car c'était ici que le marché avait lieu chaque jour et c'était pour elle l'endroit rêvé pour y trouver de beaux restes de légumes, de pains tomber d'un panier et, avec un peu de chance, de morceau de viande invendus pour des raisons parfois bien dérisoires mais qui arrangeait bien son tout petit estomac! Et si, par bonheur elle arrivait à dénicher dans la pénombre un morceau de gâteau ou un biscuits abandonné et pourquoi pas un ou deux bonbons délaisser par un gamin déjà bien gaver, c'était sans nul doute une nuit de chance à n'en pas douté !
Sa chasse aux trésors achevée, elle pris le chemin du retour pour rentrer, ayant remis ses godillots aux pieds, rabattant le bas de sa robe usée vers le haut de son ventre ou se trouvait ses victuailles et marchant prudemment pour ne rien laisser tomber. Elle finissait toujours par arriver devant la porte de sa petite tourelle, saine et sauve et après avoir refermer la porte derrière elle, déversa sur la table le contenant de sa robe et contempla avec satisfaction, la récompense de son travail.
La fatigue finissait toujours par la gagner et comme un petit automate, elle laissa glisser sa robe sur le sol, se glissa dans son lit, bien caler au fond de sa couverture en chien de fusil.
La berceuse que lui sifflait le crépitement du poêle eu bien vite raison d'elle qui s'endormie profondément.
C'était ainsi chaque jour et chaque nuit. cette petite fille sans nom dans sa petite tourelle, éloignée de ce petit village et des petites gens qui semblaient si bien aimable.
C'était par amabilité qu'ils l'avaient mise là, depuis le jour de sa naissance. elle ne devait être vue de personne, connu de quiconque. Et il en serait ainsi afin que la petite tourelle soit sa dernière demeure. La petit fille sans nom n'en souffrait guère, c'était ainsi et c'était tout aussi bien.
Il en sera donc ainsi chaque jour et chaque nuit ou … peut-être pas. Peut-être pas à partir d'une certaine nuit, une nuit qui débuta pourtant comme toute les autres, allumer les bougies, embraser le poêle, et la balade jusqu'au village. une nuit bien ordinaire. c'est au retour que quelque chose changea. lorsqu'elle déposa sur la table ,les victuailles trouvés cette nuit là. Parmi eux, elle vit quelque chose bouger, elle se rapprocha pour mieux regarder car c'est bien la première qu'elle ramenait quelque chose qui semblait se mouvoir tout seul, elle avança son visage de plus en plus prêt du petit tas de nourritures sale et prise par la surprise, elle fit un bon en arrière en laissant échappé un tout petit cri :
Elle n'avait encore jamais vu quelque chose de semblable, un petit être bien si minuscule mais agile semble t'il étant arrivée à se glisser là sans un bruit et qui était apparue devant elle dressée sur ses drôles petites et longues de pattes … six pour être exactes.
l'Effet de surprise disparu, la petite fille se rapprocha une nouvelle de la table et, toutes 2, Elle et la bestiole qui se trouvait là se regardèrent dans les yeux longuement sans bouger. la petite fille sans ignorait encore qu'elle avait rencontré pour la première fois une araignée.
l'araignée, prise au dépourvu qu'on daigne lui adresser la parole, reprit ses esprits et lui répondit:
La petite fille qui, allait lui retorqué que cela n'aura pas eu lieu si elle avait eu connaissance de sa présence dans sa nourriture, mais la créature ayant semble t'il compris son intention, la prit de vitesse :
" Et à qui ai-je l'honneur? "
" Eh bien...la petite fille baissa les yeux je n'ai pas de nom"
" tu n'as pas de nom? pourtant tes semblables semble apprécier nommer tout ce qui se trouve devant leurs yeux!"
" Oh! alors c'est assurément la raison pour laquelle je n'ai pas de nom! je ne suis présenter sous les yeux de personne" s'empressa t'elle de lui répondre avec vigueur, elle-même soulagée d'avoir enfin une explication au fait de n'avoir pas de nom
-" Je suis une une enfant de la lune, la lumière du jour me fais souffrir, je ne sors que la nuit. Les gens du village ayant eu peur, m'ont enfermé ici. seul ,e Seigneur de ce pays décidera de mon sort quand j'aurai atteint l'âge de 20 ans
L'araignée l'écoutait sans mots dire, puis la petite reprit:
" Et toi qu'elle genre de créature es tu donc?"
La petite fille la pris en pitié et d'une voix claire et douce, lui demanda:
L'araignée qui ignorait qu' elle en était une, réfléchit et lui dit:
" Montres moi- quelques chose d'incroyable et j'accepterai. mais je t'avertis: je suis en vie depuis bien plus longtemps que toi, que ce village et même que ce pays. j'ai parcouru le vaste monde. rien ne m'est plus inconnue que ma propre personne
De sa petite tête, l'araignée acquiesça puis passant par la fenêtre entre ouverte, celle -ci s'éclipsa
Les journées et les nuits passèrent et arriva la nuit ou la lune fut ronde et pleine.
la petite fille ouvrit la petite porte de sa petite tourelle, la referma doucement derrière elle, et pris la direction du petit ruisseau. Arrivée, elle regarda autour d'elle puis doucement dit:
" - créature du soir es tu là?" la petite fille tendit sa petite oreille pour entendre une réponse mais c'est un chatouillement sur son pieds qui lui fit baisser la tête et elle vit l'araignée qui s'ignorait. Celle-ci se mit rapidement à grimper le long de sa jambe pour atteindre l'épaule de l'enfant qui gazouillait au rythme rapide des petites pattes velues.
-" il fait une nuit d'encre et la lune sera blanche , montre moi ce que tu m'as promis " s'impatienta le petite chose.
L'enfant sans petit nom sourit, pris l'araignée sur la paume de sa main et la déposa sur un petit galet haut et lisse au bord du ruisseau puis, après s'être déchaussée, elle entra ses petits pieds dans l'eau fraîche.
La petit fille s'arrêta au milieu du petit filet d'eau, leva les yeux vers le ciel et se tut.
une légère brise alors se leva, éloignant les nuages et laissant apparaitre une aveuglante pleine lune. c'est à cet instant, baignant dans sa lumière, que la petite fille se montra telle qu'elle était alors: sa peau pâlit en un instant, ses lèvres d'ordinaire bouton de rose devinrent frêles pétales de bluets. Comme envoutée, elle glissa ses doigts sur ses cheveux rêches qui sous ses doigts apparus en une épaisse et longue chevelure argenté.
La petite araignée à son habitude si bavarde, ne pipa mot encore sous le choc du spectacle qui se déroulait devant ses minuscules yeux. l'enfant se retourna vers elle et avança vers le petit galet. se penchant vers elle tout sourire d'avoir impressionner sa visiteuse, elle lui lança:
Tout en reprenant ses esprit, l'araignée sauta sur les paumes des mains jointes de la petite et dut admettre sa fascination devant ce spectacle qu'hier encore lui était inconnu.
C'est ainsi que la petite fille sans nom et l'araignée qui ignorait qu'elle en était une, passèrent du temps ensemble . le jour, l'araignée ne se montrait guère mais chaque nuit, elle s'installait sur l'édredon qui s'effilochait près du visage de l'enfant, son souffle léger qui annonçait l'arrivée du sommeil, elle lui murmurait à l'oreille de nombreuses histoires qu'elle avait entendu le long de ses voyages. et, les nuits de pleines lunes, toutes deux se rendaient au ruisseau et, comme exauçant le vœux de l'araignée, la lune laissait apparaitre son enfant si lumineux dans sa lumière.
Ces soir là, la petite bête émis une demande bien particulière: celui de pouvoir durant ces nuits, peigner ses longs cheveux argentés. c'est ainsi que, sous sa seconde apparence, La petite fille prenait l'araignée délicatement aux creux de ses mains, pour la déposer au sommet de sa chevelures. de là, avec agilité, l'araignée se laissait glisser dans l'épaisse mais si légère amas de cheveux d'ange et se mit à chacune de ces nuits, à peigner l'enfant et à la coiffer tout en parlant de mille et une chose qui en soit avait peu d'importance mais qui rendit l'enfant plus joyeuse qu'elle ne l'eut jamais été. Ce qu'elle ignorait, c'est qu'a chacune des caresse du peigne, l'araignée arrachait en douceur une mèche, puis une seconde, puis une troisième jusqu'à obtenir un petits tas doux et soyeux, qu'elle s'empressait de cachée.
les années passèrent au rythme des nuit et des saisons, si bien que la petite fille devint jeune femme. l'Araignée quant à elle, avait elle aussi changée passant de petite bête à une créature de passant la taille d'une main. ses six yeux étaient plus brillants et expressifs mais malgré sa taille plus imposante, elle coiffait toujours avec dextérité et soin la chevelure argenté qui était si longue à présent, qu'elle recouvrait une grade parties de l'herbe bordant le ruisseau.
lorsque l'Araignée eut fini pour ce soir, la jeune femme la prit dans sa main et la regardant avec tendresse. la jeune femme avait maintenant 20 ans et le seigneur du village s'interrogea à son sujet: Certes d'après la légende, les enfants de la lune amenaient malheur et désolation, d'où leurs enfermement les amenaient , à la folie ou à la mort, mais elle était toujours en vie, bien portante et cela inquiéta bientôt l'ensemble du hameau.
Un soir des hommes envoyés par le seigneurs donna l'ordre à la jeune femme sans nom de se vêtir et de couvrir d'un voile son visage afin que son regard ne puisse croiser le leurs. ils avaient pour ordre de la ramener au château pour que le seigneur décide de son sort. La jeune femme eu peur mais s'exécuta, s'habillant et arrangeant ses cheveux rêches du mieux qu'elle le pouvait tout en s'inquiétant de n'avoir point le temps d'avertir son amie .
arrivée au château elle fut conduite dans la plus grande pièce de celui-ci, qui avait d'immense fenêtre. le Seigneur se tenait debout et droit de sa stature imposante. Sa cour l'entourant tout en gardant une distance raisonnable selon leurs rangs. la jeune femme était de plus en plus apeurée, c'était la première fois qu'elle était devant une foule et c'est elle qui était observée de toute part, mais ce n'étaient que des regards méprisants qui se posaient sur elle. le seigneur d'une mains levée fit taire les spectateur et prit la parole.
Ne pas dire ses adieux à l'Araignée avant de quitter ce monde lui était insupportable c'est pourquoi, lorsque les rires s'estompèrent, elle balbutia :
-"créature du soir... Es-tu là?"
C'est lorsqu'elle apparu au dessus de sa tête qu'un mouvement de foule , prit d'horreur à l'apparition de l'Araignée commença. N'oubliez pas que si l'Araignée ignorait qu'elle en était une, les personnes présente également car elle était unique. la jeune femme sans nom tendit le revers de sa main afin qu'elle puisse s'y poser. La jeune femme aux yeux noyer de larmes était heureuse de la revoir pour la dernière fois. Le seigneur prenant cela comme anathème ordonna que l'on s'empare d'elle et qu'elle soit pendue haut et court sur l'heure. C'est alors que l'Araignée lui dit
La lumière blanchâtre de la lune reflétée dans la chevelure qui entouraient la jeune femme , donnait l'impression qu'elle marchait au dessus d'un lac gelé tel un tableau féerique.
Soudain tous les hommes présent y compris le seigneur lui demandèrent sa main, qu'elle déclina à chacun d'entre eux. elle voulu remercié l'Araignée de tout son cœur en lui déposant un baiser ce qui a eu pour effet qu'elle aussi se métamorphosa en un être divin à la peau sombre et soyeuse et à la chevelure de jais ni tout à fait homme ni tout a fait femme. l'Araignée qui n'était plus, lui expliqua qu'iel était une divinité inférieure dotée du don de tissage. Ayant utiliser tous les plus beaux matériaux qui existait, elle eut vent du fils d'Or, réservé au Dieux des rangs les plus élevés. Envieuse, elle le vola et fut puni errant sur terre sous l'apparence d'une créature laide et qui la condamnerai à ne plus produire son labeur.
toutes deux, quittèrent les lieux sur le champs, se tenant la main. les Dieux admettant ce miracle, lui pardonnèrent et la divinité fut autorisée à retourner chez iel. Avec émotion iel les remercia mais désireuse de ne plus quitter la femme sans nom iel déclina l'offre et en échange demanda que son union avec celle qu'iel avait choisie soit bénie, Ce qui fut fait. la divinité, emmena sa promise loin de ce petit pays ou se trouvait ce petit village qui avait une petite tourelle pour un autre continent ou la nature était encore Reine et luxuriante. Le jour toutes deux reprenaient leur apparences d'Araignée et de femme au cheveux dru mais à chaque nuit de pleine lune leurs apparences devenaient divines.
"sous cette apparence tu as un nom lui dit la jeune femme devenu son épouse. dis le moi!
Dans les bras d'Anansi, la jeune épouse s'y blottie . Iel rapprocha ses lèvres brunes de son oreille pâle et c'est en lui chuchotant qu'iel la nomma.
Des années s'écoulèrent qu'il nous est impossible de les compter. mais malgré la bénédiction des Dieux, on ne peut aller contre l'ordre des choses une mortelle doit le rester .
A l'apogée de sa vie, La jeune femme qui avait maintenant un nom et la divinité Anansi eurent beaucoup d'enfants et de descendants qui parcoururent le monde.
La fin approchant, la jeune épouse, allongée au côté de sa compagne de toujours, essuya de sa main les larmes d'Anansi qui ne cessèrent de couler le long de ses joues.
"Ne soit pas triste Anansi, tu m'as rendu heureuse et comblée.
" Autorises moi à te pleurer . ma tristesse est égale a la douleur de notre séparation inévitable lui répondit iel inconsolable.
" Je te l'accorde " . Sentant ses forces l'abandonnée, Elle prit le visage humide de sa compagne entre ses mains tremblante, elle lui demanda en lui souriant:
Anansi , lui rendit alors le baisers pleins d'amour qu'iel avait reçu il y a fort longtemps un soir de pleine lune. Carressant avec tendresse ces mêmes cheveux qu'iel avaient tant de fois coiffés et lui susurra :
" Aranéaé** ... Aranéaé ... "
Et Aranéaé s'endormie.
Mais là ne s'arrête pas leurs l'histoire puisque maintenant vous savez qui sont en vérité les araignées n'est ce pas? et les Dieux dans leurs miséricorde, leurs offrirent le don de tisser d'Anasni, et un long cheveux d'argent, la soie, celui de Aranéaé.
**FIN**
Note:
**Aranéaé : terme désignant l'ensemble des espèces des araignées
Citation de Visitoramus #449328
Sûrement ce soir et dimanche soir mais je sais pas si j’arriverais à la boucler dimanche
Et on retrouve ces moments d'attentes insoutenables . . .
Pour nous occuper dans cette période difficile, j'ai rajouté 2 commentaires extérieurs à Beto sur la file du prince et du fauconnier . . . ce sera à Neme de me dire si ces amies méritent de connaître cette nouvelle histoire . . .
Citation de Stephanie 38 #450140
La suite arrive !
Ça me semble être une histoire qui sera bien sympathique à lire.
Citation de Reloteb #450486
Merci @Reloteb 😉
Bon alors Nemesis ?! Tu nous fais languir, vilaine ?! 🙄🤣
Citation de Visitoramus #451885
Pardooooooon!🙏🏼?
Promis ce week-end je la termine , j’en est 2 autres dans le four en plus!
Citation de Zababa #451900
😉
Pas déçue du tout ! Encore une petite pepite Nemesis ! Bravo et merci !
Citation de Visitoramus #452627
Ah~~ ! Merci la fin m’a beaucoup stressée !😅
Jolie fin pourtant ! J'apprecie particulierement le petit rappel culturel
Citation de Visitoramus #452648
👍
Les contes aujourd’hui sont trop perçu par le prisme Disney alors qu’à la base c’était des récits enseignés et transmis à l’oral dont les frères Grimms et Perrault se sont largement inspirés. Ce sont des morceaux de diverses culture
Assez déroutant pour moi qui suis plutôt habituée aux contes et légendes traditionnels de notre "vieux continent" . . mais un charme indéniable !
Merci à notre conteuse !
Et moi qui étais persuadée qu'on descendait du singe commence dorénavant à m'interroger . . . pourquoi pas réconcilier les cultures en affirmant que notre véritable ancetre est le singe-araignée . . .
Citation de Stephanie 38 #452736
Saches que les contes du vieux continents on été inspirée d’histoire orales et modifier pour s’adapter à nos pays ☺️
Tout est lié
Ce conte était une manière pour moi de répondre à ma propre arachnophobie que j’ai depuis l’enfance et dont j’avais honte car ces petites bêtes ne faisaient rien de mal, c’est moi qui ai une peur déraisonner de leurs apparence et en même temps une forte admiration.
J’ai également pensé à la maman d’araignées de Beto (connais pas son pseudo) et elle les bichonnent comme j’ai pu bichonner mon chien. Et je me suis dit qu’elle devait descendre d’un dieu/ déesse arachnides…. Et c’est partie de là.
Citation de Némésis Inu #452763
Excellent ! Et félicitations, peu de personnes ont compris qu'on avait moins peur de ce qu'on connaissait bien . . je pense que ça permet de "mieux cadrer" nos paniques, qui sont pour la plupart imaginaires . .