Bonjour tout le monde!
Evidement tout dépend de l'ambiance à la maison qui, au départ, vient des parents, tantes/oncles ou encore grand parents. Peu importe qui vous a élevé, leur bienveillance est promordiale.
Mais aussi,
Le bien être d'un enfant change en fonction de sa fraterie ou le fait d'être le/la seul.e enfant.
Celles et ceux qui ont grandit accompagné d'autres enfants auriez vous voulu être seul.e? Bordel à la maison ou amusements?
Celles et ceux qui ont grandit enfant unique auriez vous voulu un frère ou une soeur? Ennui ou tranquilité?
Aujourd'hui, adulte, les conséquences sont elles négatives ou positives pour votre vie? Partage d'héritage compliqué, entre aide entre frères et soeur...
Une sœur aînée. C'est... compliqué, on va dire. J'ai des frissons quand je pense que j'aurais techniquement dû avoir plusieurs frères et sœurs...
Une soeur mon ainée de 5 ans, contact à minima, on ne se comprend pas donc on ne se parle pas vraiment. Pas de manque, je prefere ça à une tentative de racquet car elle est toujours en galere de thune...
Bonsoir Cin91,
J'ai vécu les 2.
Enfant unique pendant près de 10 ans.
Puis tu vas avoir un petit frère.
L'attente est longue pour pouvoir jouer avec....Et oui, Même si on se doute qu'à 2 mois, il ne va pas jouer aux petites voitures !
Puis quand il a l'âge, ben on est plus vieux, Donc on l'attire sur des jeux plus vieux...il gagne en maturité.
Tout baigne, Bon y a bien des frottements de temps en temps, On use bien un peu de sa caractéristique de Grand, mais cool.
Tout baigne
Puis on retrouve l'attitude des parents (citation Cin91).
Si l'aîné connaît des réussites, des échecs, des éloignements,
et là on dénigre le cadet (aussi) !
L'ainé regonfle le cadet !
Et là on surinvestit le 2d, on dénigre l'aîné aux yeux du cadet....il résiste, résiste, puis est emporté par les flots.
Ajoutez-y, un peu plus tard, une épouse hyper calculatrice !
Et vous vous dites : Pxxxxx, j'avais un frère
Donc l'équilibre peut fonctionner, mais il est parfois précaire.
et si des personnes viennent fourrer des pavés, dans l'engrenage, y compris sciemment.
et bien les dents sautent....et pour les engrenages, il n'y a pas de bons dentistes !
Dans certaines cultures, on fait un palabre, un conseil de familles, et le patriarche ou la matriarche - le sage - tranche ou favorise le règlement du conflit.
Mais chez nous, société civilisée, évoluée, ben y a pas !
Et la page est tournée
Famille nombreuse pendant Mon enfance. J'ai beaucoup aimé, je m'ennuyais Pas.
Il y a toujours des conflits mais enfant je vouyais que du bon.
Mes parents n'avaient Pas une bonne relation, toujours des disputes. Et j'ai une mere dominatrice, vraiment particulier en carácter et méprisante. Cela ne m'empechait Pas d'etre heuresse, j'ai compose ma vie avec.
Avec le temps c'etait lourd car pour ma mere, le souci d'un c'est le souci de tous et je ne suis Pas d'accord. On ne peut Pas vivre avec ses propres problemes et les problemes des autres sinon on s'en Sort Pas.
J'arrive a avoir "des bonnes relations". On me dit que c'est moi qui unie la famille mais c'est parceque je suis partie loins et quand je rentre tout le monde se reunit pour me voir. J'apporte un regard exterieurs aux conflits.
J'ai 2 soeurs et 1 frere. 2 ne sont Pas assez independants, ils vivent en demandant a la famille. Je marque mes distances avec eux pour qu'ils ne me bouffent Pas ma vie mais ils m'inquietent aussi.
J'ai fait aussi une famille nombreuse et je suis contente. Mes enfants ont une bonne relation entre eux et je gere le mieux que je peux.
J'ai aussi besoin de mes moments a moi et j'aime bien aussi passer du temps seule
.
Sujet très intéressant. J'ai un frère ainé et c'est de trop pour moi. Je sais parfaitement que sans lui, j'aurais eu une vie parfaite avec mes parents - ça as été prouvé lorsqu'il s'est tiré de la demeure familiale et que j'ai vécu seul avec eux.
Atteint de troubles mentaux, qu'il mettra plus tard sur le dos de son mal-être dans son identité sexuelle - il est en cours de transition vers le sexe féminin depuis quelques années - il piquait des crises de nerfs, démolissant tout dans la maison, devant ma mère impuissante (faible physiquement et psychologiquement, dépressive depuis longtemps) devant faire appel à mon père qui le calmait en lui collant des beignes. Et 15 ans de psychothérapie chez 5 thérapeutes n'a rien changé. Il est par ailleurs, doté d'une très grande intelligence.
Quand à ma relation avec mon frère : il nous ai arrivé d'avoir des moments de complicité durant notre jeunesse, on jouait ensemble et tout... mais ayant 4 ans d'écart il y avait un gouffre. Mais c'est quelqu'un de très égocentrique - la preuve en a été la dernière fois que l'on s'ai vu où moi je lui montrais intérêt à sa vie mais lui s'en foutait totalement de mon existence et se montrant pédant envers moi. En plus il est du genre à s'attirer des emmerdes, alors que moi je suis quelqu'un de rangé.
En 2012, lorsqu'il s'est tiré de chez nos parents pendant un mois pour une formation, je me suis retrouvé seul avec mes parents : c'était tellement calme et tout... et ça s'est confirmé des années plus tard, lors de son départ définitif.
Donc voilà, ma vie aurait été meilleure sans lui.
Sujet sensible pour moi. Enfant unique de parents âgés j'ai mal vécu cette situation. Personne avec qui échanger, jouer, se confier en dehors des parents. Et même pas de grands parents (tous décédés) ni d'animal de compagnie (pas utile pour mon père). J'aurais tant aimé avoir ce frère complice avec qui échanger. Je l'idéalisais surement mais il me manque toujours. Alors dans ma petite tête d'enfant je m'en inventais un !
Et j'envie certaines fratries qui s'entendent bien et sont solidaires tout en sachant que ce n'est pas le cas dans toutes les familles.
C'est donc un vécu solitaire, avec des parents âgés que j'ai connu dans mon enfance et mon adolescence.
La main de l'amitié.
des haut et beaucoup de bas, j'ai mal vécu le fait d'être seul à pas mal de moments, et lorsque j'ai eu mon frère, j'étais mal dans ma peau aussi, cela s'est amélioré avec le temps lorsque j'ai pris mon indépendance
On est quatre, je regrette juste que tant de kilomètres nous séparent aujourd'hui, ça me manque de ne pas pouvoir les serrer dans mes bras aussi souvent que je le souhaiterais... C'est la contre-partie de cette grande liberté de nous mouvoir que nous avons depuis presque un siècle et demi (137 ans) depuis que les transports ont été facilités par les véhicules à moteur, hihi : on visite le grand monde mais les "proches" s'éloignent et nous manquent !
C'est fou comme vos vécus sont hyper différents! Merci pour vos réponse!
Citation de RachelNL #415190 J'adore le contact sortir entre amis ou encore recevoir mais j'ai besoin d'être seule.
C'est drôle car j'ai été comme ca aussi alors que j'ai grandit entourée d'enfants. J'ai l'impression que j'étais tellement pas seule que j'avais ces besoins la.
Citation de DodoRéMi #415546
Aujourd'hui je suis dans cette situation également, c'est très douloureux de ne pas les voir. Entièrement d'accord avec le concept de liberté qui éloigne des proches.