Je ne sais pas quoi faire

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Anonyme
20/01/2021 à 17:03

Bonjour, je suis à lycée.

il y a environ un an, je suis tombé amoureux dune fille qui ne ressentait rien en retour. on était de bons amis jusqu au début de cette année ou elle a arrêté de me parler et on s'est "engueulé"

le problème est que maintenant, j'aime une autre fille qui est en fait une de ses meilleures amies. je vois bien qua cause d'elle (la première fille) elle a une mauvaise influence sur moi, et j'ai perdu confiance en moi

je n'ose pas lui parler je sais pas quoi faire, je pense attendre que ça passe mais c'est dur...

je sais pas si ça a quelque chose à faire dans ce forum, mais j'aimerais bien un avis extérieur de plusieurs personnes merci

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Anonyme
20/01/2021 à 17:18

C'est moi qui ai partagé ceci, c'est la première que je le fais, je n'ai pas fais exprès de le mettre plusieurs fois.

merci de votre compréhension.

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Jessica69
20/01/2021 à 17:21

Citation de Anonyme #351964

je vois bien qua cause d'elle (la première fille) elle a une mauvaise influence sur moi

Si je comprends bien, la seconde fille a une mauvaise influence sur toi à cause de la première ?

Comment se traduit cette mauvaise influence ?

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Ancien membre
20/01/2021 à 17:22

@Anonyme Ok. NB : Un seul clic suffit.

Désolee, comme vous êtes nombreux·ses à vous appeler "Anonyme" et à faire tjrs la même erreur...

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Ancien membre
20/01/2021 à 17:43

Je pense que tu devrais aller sur adotolerant, tu aurais plus de reponses de la part des jeunes gens qui sauront mieux comprendre ta problematique.

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Anonyme
20/01/2021 à 17:53

Merci je l'ai mis sur le forum ado, je n'avais pas vu quil y en avais un !

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Ancien membre
20/01/2021 à 18:09

Pas de souci. Les jalousies amoureuses dans les lycées sont légion. Soit forte et va ton chemin sans ceder au chantages affectifs en tout genre.

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Ancien membre
08/02/2021 à 23:39

J'ai appris, en suivant des cours de théâtre, que j'avais un dragon planqué au fond de moi et que si je ne le laissais pas cracher son feu de temps en temps, c'est moi qui allais finir carbonisée. Alors maintenant je me lâche, et je gueule quand un gros lourd me coupe la route alors que je suis à vélo. Je crie fort, je crie des trucs que je ne voudrais pas que mon fils entende, je me mets en mode rageuse ! Je suis colère quand les voisins du dessus font la teuf pour la quatrième fois de la semaine, m'empêchent de dormir et ne m'invitent même pas ! Je suis colère quand je regarde la télé et que je vois qu'une fille s'est fait agresser parce qu'elle portait une mini-jupe ! Je suis colère quand je vois des gens balancer leurs bouteilles en plastique dans les parcs où je pique-nique.

À l'échelle du monde ou de mon paillasson, j'ai plein de colères qui ne demandent qu'à s'exprimer. Je passe pour une réac, une relou, une hystéro écolo et je m'en fous. Je libère le dragon et tu sais quoi lectrice ? Je me sens moins con !

In or out L'idéal, on ne va pas se mentir, c'est « simplement» de ne pas ressentir de colère. Mais pour ça, il faut vivre seul(e) au fin fond de la Patagonie (et encore, même Florent Pagny était bien énervé contre le fisc ! ) ou être tombé(e) dans la mar-

mite de la zénitude étant enfant... Pour le reste du monde, avec plus ou moins de fréquence et d'intensité, la colère un jour tu connaîtras. Il y a deux clans : les in et les out. Ceux qui rangent ça quelque part à l'intérieur d'eux et mettent un couvercle (par-fois en béton armé) dessus en attendant que la colère se désagrège. Et ceux qui la font sortir comme elle vient avec plus ou moins de maladresse et de réflexion. Le problème des IN, c'est que bien souvent, ces chapelets de colères avortées qui pourrissent dans les recoins de leur personnalité finissent quand même par vouloir sortir. À tout prix. C'est comme ça que, d'un coup, on quitte son taf, son mari et même ses enfants pour aller planter des topinambours à l'autre bout de la planète (ou hélas, bien pire) à cause d'une pauvre agrafeuse non restituée, ou de baguettes manquantes dans le paquet de livraison de sushis. Quand la fameuse « coupe est pleine », il est trop tard... Alors que les out eux, vont piquer une crise pour l'agrafeuse, les sushis et tout le reste, tout le temps, ce qui peut les rendre épuisants, mais les préserve souvent du pétage de plombs majeur. Parfois, sous le couvercle des in il y a tellement de restes de colères moisies que ça ne sort pas, ça empoisonne tout le territoire d'implantation (notre corps en fait ! ). De l'eczéma, du psoriasis, des maux de ventre, de tête, de dos, de tout, et même cette saloperie de cancer peut prendre sa source sur un espace ainsi colonisé par le stress et la frustration de centaines de colères contenues. Donc au boulot ! On arrête de se rendre malade et quand on en a gros sur la patate, on libère cette énergie négative avant qu'elle ne fasse de la purée avec notre santé ! Parole d'une ex-in désormais totalement outée ! Et rendez-moi cette fuckimung agrafeuse !

Au feu! Quand la colère s'installe en nous, c'est vrai qu'il y a une forme de violence. On serre les dents, ça pique dans la gorge, on a envie de crier et parfois de tout casser. À 6 ans, je n'ai pas su contrôler cette rage, et ma chambre d'enfant en a fait les frais (et c'est bête parce que mes posters du « Club Dorothée » me rapporteraient beaucoup si je les vendais aujourd'hui sur Le Bon Coin... tant pis). La bonne nouvelle, c'est qu'en grandissant j'ai appris à contrôler mes nerfs, à exprimer ma colère sans jouer les tornades. Parce que déchirer des posters, ça n'est déjà pas terrible mais être violent avec quelqu'un, ça c'est inadmissible, intolérable, inexcusable. Alors maintenant, je me mets en colère mais avec du style. Je respire profondément, je contiens ma voix pour qu'elle ne parte pas trop dans les aigus (c'est jamais bon signe, les aigus), et je m'imagine que mon prof de théâtre m'observe et qu'il va juger cette colère. Je ne me laisse pas sub-merger par mes émotions, j'essaie de ne pas chialer, de ne pas avoir plein de tics nerveux ou du mal à respirer, je CANALISE ! Ça ne veut pas dire que j'apaise ou que j'éteins le feu qui m'anime (le dragon...) mais au lieu d'avoir des flammes et des braises qui partent dans tous les sens, je me concentre pour que la frappe soit chirurgicale, et qu'elle arrive sur ma cible avec la puissance et la précision d'un rayon laser. Et bam ! Dans ma tête : applaudissements de mon prof de théâtre et de tous les élèves. Quand on envoie du bois avec sincérité, on ne peut pas se louper. Du coup, je n'ai même plus besoin de cette agrafeuse ! Il faut savoir tirer la chasse de ses colères pour pouvoir avancer. Pardon pour cette image, mais je ne trouve pas mieux. La colère c'est bon pour l'ego, c'est bon pour s'affirmer, et bon pour ne plus se laisser marcher sur la tronche. Depuis que j'ai découvert mon dragon, je revis. Depuis que j'ai réussi à le dompter, je kiffe ma vie d’Escort-Girl. Je crois que je suis toujours cette fille charmante. Il faut tout simplement pas me chercher, sinon maintenant, tu peux vraiment me trouver.

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