Yo les bitonautes.
Voila voila. En faite suis un peu fatigué et déprimé. J'ai un probléme qui n'en ai pas vraiment un. Du moins pas vraiment dans le monde réel. Il n'est pas vraiment réel en faite ce probléme. Il est dans ma tête. Je ne sait pas pourquoi mais depuis toujours j'ai un probléme avec les maladies grave et les problémes de santé. Je ne sait pas d'ou ca vien car je n'ai tout simplement jamais eu de maladie grave. Mais ca à commencé à devenir sérieux vers mes 18 ans. Je faisait souvent de l'anxiété et parfois des crises de panique car j'interprétais n"importe quel symptome anodin de mon corps comme étant le signe d'une potentielle maladie grave comme un cancer, un AVC, une sclérose en plaque ou plein d'autre trucs géniaux comme ca. Bref du coup on ne va pas ce mentire. J'était juste un tout petit peu....hypocondriaque sur les bords. J'avais beau avoire conscience que mes peurs étaient complétement irationnelles et infondées je stressai comme un malade à chaque fois. C'est incroyable comme parfois l'angoisse paut avoire le dessus sur la raison. Ensuite l'année prochaine à mes 19 ans je n'ai plus jamais eu de crise d'hypocondries. Et puis c'est un peu revenue vers mes 20 ans. Mais c'était devenue trés trés rare. Et ca passai vite.Mais voilà.En ce moment mes vieux démons refont surface. C'est pas aussi fort qu'à mes 18 ans. Mais c'est trés chiant .Je suis souvent stressé à cause de ca depuis 2 ou 3 semaines. Par contre si j'ai une gastro, grippe, ou une simple fiévre ca va je ne suis pas stressé du tout au moins. Mes cette fois ci ca à un peu changé car j'ai de nouvelles compagnons de jeu. Ou plutôt de nouvelles némésis. Les IST et MST. Alors oui ilsuffit de porter la capote. Mais la plupart des gays ne sucent pas avec capote. Et il y a aussi d'autres pratiques qui ce font sans capotes comme les léches etc..... Bref je me suis encore inventés de nouvelles amies imagianires. Cette fois ci elle s'appelait "syphillis" Je suis donc allé en catastrophe à un CEGID pour me faire dépister. Et c'est bon j'avais rien. Là je suis en train de me demander si je n'ai pas un cancer à nouveau car j'ai une glande à côté de l'amygdal enflée. Du coup le medecin ma prescrit des antibiotiques pendant une semaine. Ensuite si ca na pas disparu j'irai voir un ORL. Voilâ. Je ne sait pas si il y a des gens qui ont eu des problémes d'hypocindrie,de nososphobie ou d'autres névroses différentes sur ce forum. Mais je me doute que ca doit peut être être compliqué de comprendre ca de l'angle de vue d'une personne qui n'a jamais eu ce genre de névrose. Ce que je peut comprendre car moi même je trouve ca complétement absurde et je ne comprend pas pourquoi je suis comme ca. De toute facon si toute les peurs étaient rationnels on le saurait. J'avait juste besoins mettre ca sur un topic car c'est un poid lourd à supporter au quotidien des fois. C'est une maniére de me décharger quoi. Et puis si l y a des temoignages de personnes qui ont eu ou ont encore le même problémes ou même d'autres phobies et névroses je n'aurait pas écrit ce topic pour rien.
Bonsoir.
Peut-être que t’occuper l’esprit de manière efficace (dans le sens ou elle te demandera un maximum de concentration) pourrait t’éviter de penser à ce genre de choses et te relaxerait un peu pour le coup ? Tu penses à ce genre de choses constamment ?
Cher Kendany,
J'ai déjà eu ce genre d'angoisses.. qui ont été jusqu'à des angoisses de mort.
Avec le recul, je pense que c'était lié à ma crise identitaire et à mon hypersensibilité.. L'hypnose et les échanges avec le psy(chiatre) ont fait disparaitre ces crises d'angoisse, petit à petit..
Je sais pas quel type d'aide te correspondrait le mieux mais je suis sure qu'il y a quelque chose a faire pour t'aider à te sentir mieux.
Plume
Citation de Tangerine
Oui c'est vrai. A vrai dire je ne l'ai pas précisé mais je me demandais si ca n'était pas peut être aussi une nosophobie. En tout cas si c'est aucun des deux c'est quand même pas trop la joie.
Pour ce qui est de ton ami hypocondriaque je connaissait trésbien ca. J'évite les série ou film qui traite de loins ou de prés aux médecins, urgence etc..... Avant tout comme elle il me suffisait de voire une personne malade dans un film ou série. Et puis hop. Magie. Tien j'ai les même symptomes que ce perso c'est bizarre ? Et à partir de cette petite interrogation c'est déjà le début de la fin. Maintenat ca va beaucoups mieux de ce côté. Je n'ai plus le pouvoire magique d'attraper les maladies des autres. En faite entre avant quand j'avais 18 ans et maintenant c'est devenue trés rare et soft heureusement. Mais voila on ne ce refait pas. Des fois les vieux démons refont surface.
Sinon Tangerine et Liptone. Contrairement à avant Mes "crises" sont souvent rare et courte maintenant. Sauf en ce moment car je stresse pour cette amygdale.
Sinon oui je pense que ce trouvait une bonne passion fait oujours du bien. Merci Lipton. 👍 Il faut que je trouve un passe temps inhabituel. Ou quelque chose qui change d'habitutde.
Salut Plume. Tu avais donc la phobie des maladies aussi alors.
Je me rappelle que la musique m'a bien aidé pendant les angoisses aussi. Même des gros traque disparaissaient juste parce que j'écoutais un morceau. Il ne faut pas non plus sous éstimer le pouvoir de la musique parfois.
Yo j'ai à peu près la mème chose sauf qu'en plus j'ai peur de transmettre. Alors qu'au final je me fais regulierement depisté (au moins tous les 6 mois) et à chaque fois j'ai rien.
Il fut un temps je voyais un psychothérapeute qui m'a aidé sur ce sujet et bien d'autres.
Du coup ça va c'est gérable, mais quand mème chiant...
Un vrai hypocondriaque cherchera surtout des symptômes à s'attribuer - Ton angoisse du moment doit avoir sa source ailleurs - Souvent le corps dit ce que la tête ne veut pas entendre ^^
Citation de Jeanne00
C'est pas impossible non plus c'est vrai.
Kendany ^^
Je ne suis pas qualifiée pour émettre des diagnostics . Simplement , l'hypocrondrie de mon fiston (en son temps) est assez semblable à la tienne - Ayant "quelques heures de vol au compteur" , je peux sans honte affirmer que le déni mental d'une situation n'est pas sans conséquence sur le corps - qui lui se fera un "malin plaisir" de se rappeler à toi . Et c'est tant mieux , la nature étant parfois bien faite ...
Salut Ken.
La definition google de nosophobie semble te correspondre tout à fait. Tes crises doivent se développer particulièrement lors de certaines periodes de ta vie ou tu flottes un peu, source d'une certaine anxiété ou mal-etre. Donc tu peut les voir comme une petite alerte ; "ah, je vais pas bien ce moment". Et essayer d'y remedier peut-etre en te fixant de nouveaux objectifs ?
Prends soin de toi en tout cas ken.
Citation de Jeanne00
Salut Jeanne
Ton fils aussi a des problémes similaires alors. Oui je me disait aussi que ca devais vouloire exprimer quelque chose. Mais quoi. Sinon oui c'est vrai que la nature est bien faite. Surtout le sytséme d'alaarme intégré en chacun de nous.
Salut Gael.
C'est vrai que internet et surtout doctissimo. C'est un peu le faux amis ou le cadeau empoisonné de toutes angoissés des maladies qui ce respectent.
Salut Mimoza.
Je pense que oui ca me ferait du bien de voire de nouveaux horizons.
Non plus maintenant . Il en joue parfois seulement par besoin d'être câliné^^ - à 26 ans , on ne se précipite plus dans les bras de sa maman . (enfin , on fait croire que)
Les mamans ne sont jamais dupes^^
Citation de Kendany
De rien. 🙃
Et oui, la musique peut avoir des pouvoirs insoupçonnés.
Bonjour Kendany,
Toujours difficile à gèrer ce type de phobie, surtout les angoisses qui vont avec. Je pense comme Jeanne et les autres, a priori, les fluctuations de tes angoisses ne sont pas totalement anodines. Tu peux éventuellement voir avec les therapies brèves, positives, comportementaliste, EMDR...
Je viens de découvrir la médecine chinoise pratiquée par un ostéopathe, en parallèle. Je peux difficilement expliquer mais quelque chose est débloquée, pas que la douleur physique, je vais y retourner dans un mois.
Prends soin de toi et un suivi médical sans angoisse c'est bien
Citation de Maya67
😁 Merci Maya 👍
Bonjour kendany,
avoir peur de tomber malade et voir pire de mourir n a rien d anormal. D ailleurs comme le stresse ils sont a l origine un moyen de sauvegarde pour eviter un danger plus ou moins imminent. Tu le dis bien toi même tu met la capote, tu te fais dépister, la peur des conséquences fonctionnent. C est l excès qui peut être problématique par contre et devenir récurrent (comme la dépression par ex) ce qui étonne parfois c est avec quelle rapidité le corps agit de concert avec le mental et vice versa. Je me rappelle avoir eu une periode de crises d hyperventilation suite à un pepin de santé qui est venue d un coup a 30 ans et j avais l impression de ne plus rien controller. Un psy m a aidé sur quelques séances et depuis plus aucune crise ni angoisse de santé déraisonnable.
Ce qui peut aider: faire confiance à son docteur et des techniques de respiration pour réduire le stress et ou les angoisses. Accepter aussi qu il y a une part que l on ne peut controler...
guiton
Citation de guiton
Je vois que je ne suis pas le seul a avoir eu des problémes un peu similaires. Ca me rassure un peut. On a toujours l'impression que l'on est les seuls au monde à avoire certains type de problémes.
Tu n’es pas le seul dans ce cas, un cinquième à un quart des jeunes sont anxieux. Cela peut conduire à s’inquiéter au moindre signe, plus que nécessaire, focaliser son attention sur les symptômes, aller sur internet, imaginer le pire, voire angoisser au point d’amplifier les symptômes ou les créer inconsciemment de toute pièce. Notamment l’anxiété peut créer des contractures douloureuses, augmentant encore plus l’inquiétude. De même la lecture des symptomes des maladies. Dans ce cas de nombreuses consultations de médecin pour des maux de tête, de ventre, de dos, de réactions cardiaques, etc, révèlent aucune maladie grave, surtout lorsqu’on est jeune. Mais le médecin aura éliminé les risques graves qui peuvent présenter ces symptômes, c’est son métier.
Les médecins disposent aussi de moyens pour (plus ou moins) contrôler les peurs lorsqu’elles deviennent handicapantes, même si ce n’est pas simple, souvent pas très rapide, ni toujours définitif.
A contrario les peurs sont biologiquement prévues pour protéger, c’est notamment le mécanisme de stress qui permet à l’origine aux proies d’échapper à leurs prédateurs, ou la peur qui fait éviter de prendre des risque insensés. Il y a un équilibre à trouver.
Parmi la combinaison de méthodes permettant de contrôler ses peurs, il y a celles dites de thérapie comportementales, notamment la connaissance et la confrontation à ce qui nous inquiète. Par exemple, se confronter en toute sécurité au vide permet de diminuer la crainte du vide, ou explorer les multiples systèmes de sécurité d’un avion permet de diminuer la peur de prendre l’avion. Parce que cela permet de visualiser et prendre confiance dans la chaîne de sécurité.
Concernant les IST que tu évoques, faut bien admettre que leur principe de prévention ne sont pas toujours d’une clarté limpide, et c’est un euphémisme. Pourtant elle est organisée sur les mêmes principes que la sécurité d’un avion ou d’une installation dangereuse, dont le risque zéro n’existe pas, mais en qui on peut avoir raisonnablement confiance. En général la tolérance au risque collectif est beaucoup plus faible que celle au risque individuel, autrement dit on est beaucoup plus tolérant à nos négligences individuelles qu’à celles des organisations collectives en qui on place notre confiance, mais rien nous empêche d’augmenter nos propres mesures de sécurité si on est craintif.
En gros toute la chaîne de préventions et de traitements est prévue pour que la défaillance connue ou inconnue d’une protection puisse être récupérée par la ou les suivantes, autrement dit en combinant les protections de manière à éviter les situations graves voire irréversibles.
Dans ton exemple tu dis avoir eu peur de chopper la syphilis, et tu as fais un dépistage supplémentaire sur prise de risque réel ou supposé, ce qui en soi n’a rien d’extraordinaire. Une combinaison plus rassurante aurait pu être de connaître la sûreté de la personne, ce qui augmente la confiance sans qu’elle puisse être absolue, puis utiliser autant que possible le préservatif surtout en l’absence de confiance, et avoir organisé un dépistage périodique de routine qui fait habituellement la voiture balaie des incertitudes précédentes. Cela évite d’avoir à se précipiter pour faire un dépistage en cas d’angoisse de risque supposé plutôt qu’en cas de prise de risque avérée. Sachant que la confiance suit le principe du champs de mines : soit on sait que le champs est en principe déminé et on peut avoir raisonnablement confiance, soit on sait qu’il est miné et on a évidemment pas confiance et doit augmenter le niveau de protection, et soit on ne sait rien, auquel cas on fait comme s’il était miné...
Le cancer c’est pareil, il y a des niveaux de risque en fonction de l’âge, des antécédents familiaux, etc, on peut faire du dépistage, sans tomber pour autant dans le surdiagnostique. Bref, quand on est anxieux on peut agir sur l’anxiété, mais on peut en plus augmenter le niveau de sûreté pour être suffisamment rassuré. Sachant que le risque zéro n’existe pas, et qu’on peut même affirmer sans se tromper que vivre est mortel ^^
Citation de Lindos
C'est trés pertinent ce que tu dis. Et ca me fait relativiser. En soi ces sont des chose dont j'ai tout à fait conscience. Maaaaaais non. C'est comme ca. Je psychote quand même. En out cas je pense que tout vos conseil me seront d'une grande aide. Merci a tous.
En tout cas je sus content de ne pas vivre à Rouen. Avec la catastrophe qui c'est passé. J'aurais été en PLS chez moi ou je sortirait dehor avec combi intégral, masque à gaze et tout le matos pour pas respirer l'aire
bonsoir, je suis de nature paranoïak depuis 6 ans et parfois il est dure de controlé les crises de névrose. avant je ne l étais pas mais des voisins homophes ce sont amuse a me faire peur pendant 2ans ( j'ai déménager ) . j'ai mis 1 ans pour apprend a controlé mes crises qui pouvais survenir au moindre bruit extérieur de la maison ou les gens qui mumurent derrière moi dans le tram ou bus ou parfois en marche a pied .
pour évité d'avoir des crises et ne plus avoir de soucis je vis dans une maison et la seul personne que j'ai pour voisin c est mon oncle :)
je pense qu'on a tous des névrose et qu'on doit apprend a vivre avec et les controlés , mais chaque personnes réagissent différent et certaines personnes ont besoin d'aides .
enfin j espère ne pas être trop sorti du sujet si c est le cas désolé
mais pour te rassuré tu n es pas seul a avoir des névroses :)
Pour moi les névroses sont des blessures qui ne sont pas encore guéries. Derrière tout problème il y a une cause et une solution.
Citation de brissous21
Ha oui effectivement. Ca doit pas étre la joie non plus tout les jours.
"mais pour te rassuré tu n es pas seul a avoir des névroses :)"
😁 Merci 👍
"Pour moi les névroses sont des blessures qui ne sont pas encore guéries. Derrière tout problème il y a une cause et une solution."
Non mais grave. C'est tout à fait ça. C'est un conflit interne qui ne trouve pas de solution et qui à la langue finie par déboucher sur ce genre de trouble.
Kendany,
"En tout cas je sus content de ne pas vivre à Rouen. Avec la catastrophe qui c'est passé. J'aurais été en PLS chez moi ou je sortirait dehor avec combi intégral, masque à gaze et tout le matos pour pas respirer l'aire"
En France les plans d'intervention dits PPI (Plan Particulier d'Intervention), en cas de risque industriel majeur débordant des limites de l'établissement industriel, définissant pour l'essentiel l'organisation des pompiers sous l'autorité du préfet c'est-à-dire de l'Etat, prévoient par défaut le confinement chez soi en écoutant les informations (les pompiers n'évacuent que les personnes pour qui c'est nécessaire). C'est différent d'autres pays comme les US qui s'organisent pour évacuer le cas échant des milliers de personnes voire plus. Donc ton intuition de rester chez toi était la bonne, la peur peut être bonne conseillère (mais pas toujours, en cas de tremblement de terre tu te mets sous une table solide puis tu sors dehors dès le premier moment de calme, en cas de tsunami faut monter, etc, chaque risque à son mode de prévention). C'est théoriquement aux autorités (dont les pompiers, la police, etc) de te dire quand tu peux sortir, boire et manger quoi, et de te protéger avec les moyens adéquats si tu dois sortir en urgence.
Dans cette affaire dont on saura plus quand les enquêtes auront abouties, le risque principal est né de l'incertitude, alors que les planifications réglementaires (PPI dont j'ai parlé, PPRT pour l'urbanisation proche, POI en interne à l'usine, études des dangers, information préalable des populations, etc), auraient du préalablement répondre à ces questions. J'ai jété un coup d'oeil aux documents publics, PPI et PPRT simplifiés, ils ne prévoyaient pas réellement de catastrophe, mais n'étaient pas à jour, et ne s'inquiétaient pas de la retombée de suies. Résultat l'industriel était plutôt confiant sur le plan de la sécurité (certainement pas sur ses pertes financières), les pompiers n'étaient apparemment pas informés de l'ampleur potentielle de l'incendie et pas suffisamment protégés, ont sans doute eu plus de mal encore à protéger les populations riveraines, les autorités avaient toujours un train de retard sur la connaissance du risque (en qualité et même en volume), la responsabilité est remontée au sommet de l'état qui n'a aucune compétence en la matière, et les gens n'avaient, et n'ont d'ailleurs toujours pas, confiance. Cela conduira d'ailleurs probablement dans le futur à une meilleure obligation de prise en compte au niveau réglementaire européen de la retombée des poussières et des suies dans les grands incendies de produits chimiques inflammables, comme c'est désormais le cas lors des accidents nucléaires, qui ont eu des expériences négatives comparables (notamment Tchernobyl).
Bref le plus important est d'avoir confiance en étant correctement informé, et avoir anticipé cette information. C'est toujours à peu près les mêmes principes de prévention : connaissance des risques, redondance ou combinaison des protections de telle manière que les suivantes soient le filet de sécurité de la défaillance des précédentes, et indépendances de ces protections car elles ne doivent pas avoir de mode commun de défaillance. C'est vrai pour la prévention des IST, des maladies graves (qui touchent finalement peu les jeunes), mais aussi pour la sécurité de ta voiture ou du train et l'avion, comme la sécurité de l'usine en face de chez toi...