Qu'est-ce que la "norme"? Selon vous.

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Ancien membre
24/01/2018 à 02:04

Suite à de nombreux débat, Je me suis dit qu'il était important de poser celui-ci? Qu'est-ce que la norme? En dehors de la définition : « Ensemble des règles de conduite qui s'imposent à un groupe social. » Est-ce que nous serions donc tous hors norme sur ce site ? Ou formons-nous une norme sociale qui nous est propre ?
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Ancien membre
24/01/2018 à 09:24

Pas du tout d'accord :) Ne serait-ce qu'avec la définition D'après Wikipedia : "Une norme, du latin norma "équerre, règle", désigne un état habituellement répandu, moyen, considéré le plus souvent comme une règle à suivre. " Je vous invite aussi à lires les définitions sur le Il est évident que dans la norme on entend la notion de prescription (ce qui est "normatif"), parce qu'on a cette tendance à penser que ce qui est normal est naturel et que ce qui est naturel est bien, alors que c'est totalement faux : un épis de maïs charnu c'est normal, mais c'est pas DU TOUT naturel, et du point de vue de l'alimentation humaine c'est plutôt bien (donc normal != naturel et naturel != bien) Qu'est-ce que la norme? Selon vous. Un sud-américain d'il y a 2000 ans, tu lui montres un épis de maïs actuel, il est content, c'est sûr, mais il ne le trouvera pas du tout normal ! La norme c'est ce qui est normal, et ce qui est normal évolue avec les meurs et dépend de l'environnement. Par exemple, il a été anormal pour une femme en France de porter un pantalon. Aujourd'hui, le port du pantalon, pour une femme, en France, c'est carrément la norme (mais c'est toujours anormal ailleurs). Ces deux notions d'habitude et de prescription sont intimement liées et se nourrissent l'une l'autre. Donc c'est relatif une norme. C'est relatif au groupe, c'est local et c'est temporaire. Je rejette en bloc la notion de "règles sociales mises en place il y a très longtemps [...] basés sûr une catégorisation de genre, de stéréotypes obsolètes et sexistes". Ça c'est très émotionnel comme définition. Je comprends d'où ça vient mais ça ne me semble pas être une bonne description du phénomène. La langue par exemple, surtout en France où l'académie française est très très prescriptive (comparé à l'Angleterre où la langue est beaucoup plus "vivante" et mouvante), la langue dis-je, ça bouge tout le temps ! Regarde d'anciennes vidéos ou écoutes d'anciens enregistrements et note, déjà, comment en seulement quelques générations les gens ont changé leur façon de parler (même leur ton et la façon dont ils utilisent leur voix). Lis d'anciens textes, même pas en "vieux français", et constate la différence. Même quelque chose de normé, et qui doit être normé (si non, comment se comprendre mutuellement ?) peut bouger, et bouge effectivement. Évidemment, un LGBT est anormal sur le point de la sexualité et du genre à l'échelle de la population française et mondiale et ça sera toujours le cas (sauf eugénisme) parce que génétiquement on est prédisposés à avoir, comme pour les gauchers, un pourcentage relativement stable de ce variant dans la population. Mais il est anormal statistiquement : ça ne le rend pas amoral. Ce lien que l'on fait intuitivement entre ce qui est normal et ce qui est bien est traitre. C'est un véritable biais, il faut y faire attention et il faut éduquer les gens à ce sujet. C'est vrai. Mais, à notre propre échelle, nous devons relativiser. Un être humain, c'est multidimensionnel : il est totalement faux de dire, sans aucune autre précision, qu'on est hors norme ou anormal "tout court", même en sous-entendant la population française d'aujourd'hui : je suis clairement anormal pour ce qui concerne ma taille, mon emploi du temps ou mon goût pour les sciences. Si je me définissais en fonction de ces critères là, je pourrais me sentir anormal "tout court", mais dois-je le faire ? Et doit-on se définir par sa sexualité ou son genre ? Je ne pense pas. Je trouve ça totalement sans intérêt comme définition. Si pour vous, qui vous êtes dans la majorité interrogés sur ce sujet et vous êtes opposés à un moment de votre vie à cette normalité, la sexualité et le genre sont sans doute une question d'identité, d'affirmation de soi, de sa singularité, mais pour moi ils ne le sont pas du tout. Dans la rue, quand je considère quelqu'un au hasard, je me fous royalement de savoir avec qui il fait pan-pan et comment il s'y prend, ça ne me vient pas à l'esprit, je trouverais ça indiscret, c'est du voyeurisme... On n'est pas essentiellement des êtres sexuels. On vaut quand même mieux que notre usage de nos organes génitaux. Maintenant, je ne veux pas nier le bagage culturel. La langue était un bon exemple : en France, l'académie française a toujours un train de retard sur l'usage : la norme est en retard, la norme est obsolète. On se traine un bagage religieux, on se traine un bagage politique, etc. et on s'y accroche, c'est vrai, mais ce n'est pas une fatalité. La société et ses normes évolue lentement. Un exemple : j'ai entendu récemment que les jeunes d'aujourd'hui qui découvrent la série Friends la trouvent très sexiste et homophobe. Personnellement, je n'en ai pas ce souvenir là. Pour moi c'était juste une série drôle. Reste que, quand je lis les exemples donnés, effectivement, je me rends compte que c'était sexiste et homophobe. Mon regard et celui de la société ont changé.
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Ancien membre
24/01/2018 à 09:35

Débat fait et refait mais toujours passionnant ^^ Pour moi la norme est une population normale au sens statistique du terme, autrement dit qui a une moyenne et un écart-type. Il y aura toujours des individus éloignés de la moyenne. Une société intolérante peut tenter de réduire l'écart-type mais atteindra vite des limites, une société tolérante peut l'élargir et atteindra aussi un jour ou l'autre par scission entre plusieurs populations. "Est-ce que nous serions donc tous hors norme sur ce site ? Ou formons-nous une norme sociale qui nous est propre ? " Je pense qu'en France la population se comporte encore de façon normale. Compte tenu du fait que les LGBTx ne se reproduisent pas il n'y a pas de risque de scission, notre norme si elle existe est encore incluse dans la norme générale. Mais rien n'est éternellement garanti.
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Ancien membre
24/01/2018 à 09:55

En fait je ne suis pas sûr que si les LGBT se "reproduisaient", leur population augmenterait. L’homosexualité (masculine) a beau avoir des origines génétiques avérées, elle n'est pas héréditaire parce que c'est la mère qui est concernée par la prédisposition génétique, pas l'enfant. Aussi, la probabilité d'avoir un fils homosexuel augmente avec le nombre de frères et d'autres facteurs environnementaux ayant lieu pendant la gestation, donc c'est pas à chaque coup le jackpot non-plus. Pour les filles c'est beaucoup moins clair car il y a statistiquement moins de femmes strictement homosexuelles, ce qui rend l'homosexualité féminine très compliquée à étudier.
avatar contributeur de Samuel2277
Samuel2277
24/01/2018 à 10:25

Totalement d'accord avec l'argumentation de lampadaire. 🙂 Et j'ajouterai que la norme, je m'en fiche : je suis qui je suis, je suis comme je suis et ça me va très bien! J'emm... ceux à qui ça pose problème, et j'irais même jusqu'à dire que j'aime ne pas être dans la norme pour tout un tas de critères : la norme, c'est d'un ennui... 😜
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Ancien membre
24/01/2018 à 10:58

Entierement d'accord avec Lindos, en dehors de la définition, les premières connotations, significations, sources que l'on a mis sur les mots Norme, Normal ont un rapport avec la statistique, la majorité imprime la norme. Globalement une population d'un pays donné sera toujours Normale, puisque possédant toujours une majorité. Si la majorité devenait homo, hé bien ce serait la nouvelle norme.... C'est surtout le jugement des gens ''en dehors'' de la norme, et les connotations déplacées que mettent les gens sur les mots normal, anormal, normes.... qui entrainent des problèmes Quand lindos parlait d'une reproduction des lgbt, il pensait surement a une multiplication, lamapadaire... pas a une étude socio biologique sur les transmission des possibles gênes homo
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Ancien membre
24/01/2018 à 11:54

Sûrement, j'ai tendance à voir des considérations abouties partout ;) Ceci dit, c'est une peur connue des homophobes cette idée que, si la société devient plus tolérante, on va "créer plus d'homosexuels" (le fameux argument de la pente savonneuse). Ce genre de discours revient aussi sur le sujet de l'adoption ou de la PMA, donc à chaque fois que j'entends "si les LGBTs se reproduisaient" j'ai cette réaction de rappeler que c'est pas un choix influencé par des éléments culturels (ce que j'ai pas tellement besoin de faire ici) et que, sur le plan biologique, la proportion d'hommes homosexuels est stable.
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Ancien membre
24/01/2018 à 12:40

Je pense que la définition de norme se trouve au centre de ses définitions. Je m’explique : Je pense qu’il y a une partie obsolète dans le sens ou certaines « normes » sont encore érigées sur des principes obsolètes. Je veux dire par là que certaines cultures apportées par l’arrivée d’internet ne sont pas encore entrée dans une « norme ». D’un autre côté, chaque « groupe culturel » à ses propres « normes ». Quand je parle « groupe culturel » je pense à ceux qu’on a nommé comme « hipster » « geek » « otaku », « populaire » (surtout en situation scolaire).... et j’en passe qui ont leur propre code plus ou moins admis par une société. Certains « groupes culturels », ne sont pas censés s’entendre entre eux, selon les « normes », surtout si l’on considère un milieu scolaire. Qui selon moi constitue deux points de « normes ». Les normes « scolaires » et les « normes groupales ». La définition est certes assez explicite mais certains sociologues rapportent la « norme » à la culture. Et c’est là que cela devient encore plus difficile à déterminer selon moi parce que l’on peut considérer que personne n’a exactement la même culture. Et que chaque petit groupe apporte une culture supplémentaire ainsi que chaque choix dans la vie. Ex : Famille, travail, passions, amis,...
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Ancien membre
24/01/2018 à 13:10

Citation de VanilleXena
D’un autre côté, chaque « groupe culturel » à ses propres « normes ». Quand je parle « groupe culturel » je pense à ceux qu’on a nommé comme « hipster » « geek » « otaku », « populaire » (surtout en situation scolaire).... et j’en passe qui ont leur propre code plus ou moins admis par une société. Certains « groupes culturels », ne sont pas censés s’entendre entre eux, selon les « normes », surtout si l’on considère un milieu scolaire. Qui selon moi constitue deux points de « normes ». Les normes « scolaires » et les « normes groupales ».
Ça c'est très vrai (enfin, j'ai pas compris l'histoire de la norme scolaire). Il y a ce qu'on appelle des "sous-cultures" (sans connotation péjorative), et il y a aussi bien-sûr une dynamique de groupe au sein du groupe et entre les groupes (pour faire pédant on dit "intra-groupe" et "inter-groupe"). D'ailleurs on peut penser BeTolerant comme une sous-communauté avec ses propres normes et ses propres règles. Dans cette communauté, l'identité de genre et l'identité sexuelle ne sont pas des critères, probablement parce qu'il n'y en a pas de dominant, contrairement à la population générale. Personnellement, je ne connais pas de sociologue qui ne fasse pas de parallèle norme/culture et si tu en as un en tête ça m'intéresse, par contre il y a des philosophes qui définissent une morale absolue et universelle (même si souvent religieuse, donc pas si universelle que ça) Par contre, je ne suis pas d'accord avec l'idée que des normes puisent être érigées sur des principes obsolètes : si la majorité de la population ("normale" donc) ne se reconnait pas dans une norme, ce n'est pas une norme, plutôt une dictature. Après, tu peux trouver que les principes auxquels s'identifie la population "normale" sont faux, mais ce n'est pas parce que tu n'es pas dans une norme que la norme devient obsolète. Une norme ce n'est pas en soit quelque chose de juste, c'est juste la norme et c'est de fait imposé par les plus nombreux, que ce soit juste ou pas. D'ailleurs c'est bien pour ça qu'en démocratie on ne laisse pas le peuple décider pour tout, si non ça partirait complètement en couille.
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Ancien membre
24/01/2018 à 13:27

Salut Vanille, Il y a du vrai dans pratiquement toutes les réponses : chez Lampadaire qui dit que la norme est relative, c'est-à-dire "relatif au groupe", "local" et "temporaire" (bien que le temporaire peut être très long quand il s'agit de norme), chez Lindos qui parle de norme statistique avec moyenne et écart-type, de Zarah qui parle de norme fluctuante en fonction des pratiques majoritaires, etc., C'est un peu tout ça. De la sociologie à la médecine en passant par la psychologie, la norme est partout et ne correspond en réalité qu'à ce qui est majoritaire et jugé "sain". Et ce qui est majoritaire, particulièrement au niveau sociologique, n'est pas devenu majoritaire par hasard : des systèmes normatifs ont été mis en place par certains groupes au cours de l'Histoire, qui ont jugés, à certains endroits, que la majorité devait s'habiller comme ça, se nourrir de ceci, se comporter vis-à-vis de certains individus comme cela, etc. Un exemple que j'aime bien donner et qui parle à tout le monde parce qu'il est très facile à visualiser, c'est celui du trois pièces. Vous savez, le costume. En principe, le trois pièces, c'est une pure invention européenne et même Britannique. Aujourd'hui, soyez diplomate togolais ou chef d’État de la république de Nauru, minuscule cacahuète perdue en Océanie, si vous vous rendez à un sommet, même pas occidental et que vous ne portez pas de trois pièces, on vous prend pour un original et les portiers sont pas sûrs que vous êtes bien qui vous prétendez être. Parce que la norme veut que pour évènement diplomatique, professionnel important ou solennel, quand on est un homme, on porte un trois pièces. Cette norme commence tout doucement à changer en Afrique au niveau des chefs d’État, qui se reçoivent parfois en tenues traditionnelles de leur pays, par patriotisme et démarche de "décolonisation des pratiques", mais la règle reste tout de même bien celle-là (bel exemple, sommet de l'Union Africaine : http://img2.rtve.es/i/africa_1485798892836.png ). Il y a eu influence. Dès lors, la norme n'est pas "naturelle", c'est une pure construction. Et c'est ce à quoi le commun des mortels ne pense pas lorsque l'un parmi eux pointe une personne qui porte en elle une différence (par exemple, son homosexualité, son apparence en décalage avec ce qui est prescrit, etc.) et balance, un peu bovin, "Mais il est pas normal, c'uilà". Le sens commun a attaché à la normalité une certaine validité. C'est un marqueur du conservatisme. Ainsi, la "normalité" est aussi un outil de pression sur les minorités voire même de disqualification. C'est pourquoi, encore aujourd'hui, on a tant de mal à faire son coming out lorsque l'on se découvre LGBT :). La norme est donc un outil de pression qui se transmet : il y a le système normatif qui va cadrer les gens et diffuser des valeurs/des comportements/etc., puis, il y a ces gens qui intériorisent et qui imposent à nouveau ce cadre normatif (qu'ils n'ont même pas choisi les règles, donc ! Pure aliénation. Ils ont juste reçu, se sont conformés et imposent à leur tour) à d'autres personnes qu'ils jugent "non-cadrées". Un autre exemple pour illustrer : cette fameuse loi, plus appliquée depuis longtemps mais abrogée depuis pas si longtemps, en France, qui concerne le droit des femmes à porter des pantalons. Un jour, on a décidé : "Le pantalon, c'est pour les hommes, donc toi, la femme, tu portes une robe et tu la fermes. Et gare à toi s'il te venait l'idée saugrenue de porter des habits de mâle parce que si cela arrivait, tu volerais au buché (ou en prison, par la suite) : en effet, il n'y a que les sorcières pour semer le trouble dans l'ordre établi". Instauration d'une norme. Cette loi, elle a fini par ne plus s'appliquer, oubliée dans le code comme une vieille cicatrice avant de disparaitre. Mais toujours est-il que je me souviens que, étant enfant, ma mère préférait me voir en robe qu'en pantalon et n'aurait jamais imaginé aller du côté des garçons pour m'habiller. Parce que j'étais une petite fille, que les gens en aurait dit bien du mal, que cela ne se faisait pas. Même si porter un falzar, c'était plus confort qu'une robe avec des collants qui faisaient un arc entre les cuisses au lieu de remonter jusqu'à l'entre-jambe (ces collants, c'était un complot ;) ) ! Réminiscence, donc et impacts d'une norme...
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Ancien membre
24/01/2018 à 13:53

Lampadaire : L’histoire de la « norme » scolaire et donc de la culture scolaire et qu’il existe une « norme » ou culture bien plus marqué qu’en dehors du milieu « école ». Les différences entre les « normes » et les cultures (si on les sépare) sont d’autant plus marqué. Tabasco : Tu l’as exprimé mieux que ce que je n’ai su le faire. Juste par question de curiosité qu’est-ce que tu appelles un falzar ? J’ai tenté de chercher mais je n’ai pas trouvé de réponse concluante. Et j’avoue que les collants tiennent du complot !
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Ancien membre
24/01/2018 à 13:57

Un falzar c'est un futal voyons ;)
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Ancien membre
24/01/2018 à 14:03

(Pourtant, "falzar" est un mot qui existe dans le dictionnaire :). Ça veut dire "pantalon". C'est un mot familier, comme "froc", "futal", etc... Exemple très belge de l'emploi de ce terme, "falzar" est employé par le Grand Jojo dans le refrain de sa très célèbre chanson populaire "Jules César" (lequel, donc, qui ne "mettait pas de falzar, pour qu'on voie ses belles jambes") ;) )
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Ancien membre
24/01/2018 à 14:47

Je ne connaissait pas ce mot familier. Dans la chanson de Jules César, je ne me souviens que de ses belles gambettes. :)
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Ancien membre
24/01/2018 à 17:25

Perso je trouve les maigres dans la norme et les gros hors-norme que se soit en amours ou en général après j’ai peux être tord mes c’est mon opinion
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