Je me demande si je ne suis pas demisexuelle, en plus d’être lesbienne.Pourquoi toujours chercher des mots pour tout 😋 ? A part te donner le sentiment désagréable de posséder une "tare" sans même pouvoir la définir précisément, je pense qu'il est plus pertinent de garder ta définition personnelle de ce que tu ressens. La sexualité ne s'arrête pas à l'addition de tous les cas recensés (hétérosexuel, homosexuel, bisexuel, asexuel, graysexuel...), c'est plus qu'une liste dans laquelle se retrouver, c'est au contraire un spectre qui n'en finit plus, avec une infinité de nuances différentes. Vouloir absolument t'identifier à une étiquette ou une autre risque davantage de te mettre mal à l'aise, car tu trouveras toujours des nuances entre toi et l'identité possible que tu te trouves. Citation de Midowri
Je peux ressentir des choses pour quelqu'un, mais niveau sexe, je veux attendre pour ressentir des choses, et pas direct passer à l'acte... J ai besoin de ressentir quelque chose pour quelqu'un pour ressentir tout ça...Ça me semble extrêmement clair comme définition, nul besoin de réduire la précision de ce que tu ressens en y apposant un mot - qui plus est un mot compliqué. Ça permet d'ailleurs de remarquer que tu ne présentes absolument aucune particularité hors-norme 😆, et que comme l'ont souligné Keryon et Desiles, c'est davantage l'attitude de ton ex qui semble problématique ! 😇
J adore dans ce genre de situation ceux qui viennent donner leur avis et qui ne sont pas concernés par la situation, parce que ceux qui ont répondu, même si sans doute de très bonne foi et avec de très bonnes intentions, ne sont pas asexuels (comment comprendre clairement quelque chose qu on ne ressent pas soi-même) Seule toi peux dire si oui ou non tu es demisexuelle et contrairement à ce que j ai pu lire au-dessus, ce n est pas une tare et ça n a rien à voir avec le fait de choisir d attendre d avoir des sentiments pour la personne pour coucher. La demisexualité n est pas un choix, c est ne ressentir d attraction physique pour quelqu un que si il y a déjà un fort lien émotionnel. A mon avis, si tu es réellement demisexuelle, dire tu t es juste mis la pression ou tu rencontreras quelqu un qui tu te feras vouloir passer à l acter n aide en rien à embrasser qui tu es vraiment (et nie l asexualité, ce qui est un comble sur un forum dédié au sujet) Personnellement je suis asexuelle et je ne ressens jamais d attraction physique pour quelqu un, me dire tu t as pas encore rencontrer la bonne personne c est d une part dire que quelque chose ne va pas avec moi et d autre part me mettrait dans une situation d attente qui ne m a aucune chance d aboutir, ça serait comme dire à une lesbienne : tu n as juste pas encore rencontré ton prince charmant sur son grand cheval blanc Bref seule toi peut définir tes préférences sexuelles et romantiques (pour une lesbienne demisexuelle on dit demisexuelle homoromantique ) N hésite pas me poser des questions si tu en as, n hésite pas à consulter AVEN qui explique très bien le spectre asexuelJe ne suis pas vraiment d'accord sur tout 😋 La sexualité ou du moins les pratiques sexuelles de chacun peuvent être affectées par certaines expériences. Peut-on devenir asexuel ou ne fait-on que s'en rendre compte ? L'asexualité peut-il dans certains cas n'être que l'expression d'un "traumatisme" ? (et dans ce cas je parle de l'asexualité comme de l'état d'une personne, et non pas de l'asexualité comme véritable orientation sexuelle 😊) Je comprends que tu n'aimes pas que l'on parle d'asexualité comme de quelque chose parfois seulement passager, en mode "tu n'as juste pas encore trouvé ta voie", mais le fait est que les blocages sexuels sont une réalité, au même titre que l'asexualité. Et reprocher aux gens leurs méconnaissances de l'asexualité lorsqu'il ne s'agit même pas d'asexualité, cela revient à nier les conséquences d'une expérience particulièrement marquante sur sa sexualité, ce qui n'aide pas plus à "embrasser qui nous sommes vraiment". Il ne s'agit donc de nier ni l'un ni l'autre, mais de savoir de ce à quoi l'on a affaire. Et de fait, le point de vue des asexuels n'est qu'un point du vue, dire qu'il est plus légitime que les autres est je pense une erreur de jugement 😉 (même si je comprends tout à fait ton exaspération face aux remarques inappropriées que l'on entend bien souvent autour de l'asexualité)
Je ne suis pas vraiment d accord sur tout 😋 La sexualité ou du moins les pratiques sexuelles de chacun peuvent être affectées par certaines expériences. Peut-on devenir asexuel ou ne fait-on que s en rendre compte ? L asexualité peut-il dans certains cas n être que l expression d un traumatisme ? (et dans ce cas je parle de l asexualité comme de l état d une personne, et non pas de l asexualité comme véritable orientation sexuelle 😊) Je comprends que tu n aimes pas que l on parle d asexualité comme de quelque chose parfois seulement passager, en mode tu n as juste pas encore trouvé ta voie , mais le fait est que les blocages sexuels sont une réalité, au même titre que l asexualité. Et reprocher aux gens leurs méconnaissances de l asexualité lorsqu il ne s agit même pas d asexualité, cela revient à nier les conséquences d une expérience particulièrement marquante sur sa sexualité, ce qui n aide pas plus à embrasser qui nous sommes vraiment . Il ne s agit donc de nier ni l un ni l autre, mais de savoir de ce à quoi l on a affaire. Et de fait, le point de vue des asexuels n est qu un point du vue, dire qu il est plus légitime que les autres est je pense une erreur de jugement 😉 (même si je comprends tout à fait ton exaspération face aux remarques inappropriées que l on entend bien souvent autour de l asexualité)Je ne nie pas le fait que tu puisses avoir raison Par contre penser que pour la majorité des asexuels, leur sexualité n'est que l'expression d'une expérience traumatissante est une erreur car la grosse majorité des asexuels n'est pas dans ce cas-là L'asexualité est une orientation sexuelle au même titre que l'hétérosexualité ou l'homosexualité, dire à un asexuel que son orientation n'est dû qu'à une mauvaise expérience c'est comme dire à un gay : "tu as gay parce que tu as eu une mauvaise expérience avec une femme" et ça tout le monde est ok aujourd'hui pour dire que c'est ridicule Il peut y avoir des blocages dans la sexualité et le rapport au sexe mais ça ne change pas ton attirance sexuelle
Salut à tous! Toujours les histoires de case dans lesquels ont doit se mettre! (doit-ont d ailleurs chercher à se catégoriser?) Je m explique: Que ce soit des histoires: de genre, d orientation ou de désir...je pense que la nature n est pas du genre binaire et nous ne sommes pas soit purement asexuel, homosexuel...etc. tous ceci ne sont que des définitions. Quand certaines personnes parle de tomber sur la bonne personne.... C est qu il faut déjà avoir vécu des expériences pour affirmer sa nature. Peut on affirmer que l on aime pas les petits pois..... si on n a pas goûté des petits pois bien cuisiné? Le fait d avoir fait une mauvaise rencontre peut avoir faussé l impression d être.....ou pas asexuel? Seul anonyme peut savoir ce qu elle ressent et peut se définir. Peut-elle être sûre de tout cela? Personne ne peut répondre.....pourquoi? Car dans la vie les choses peuvent évoluer, nous n avons pas toujours les même envies, y compris dans le domaine de la sexualité. Sincères salutations StéphaneJe ne suis pas d'accord avec toi, une attirance se définit par sa présence ou son absence et pas par le fait d'avoir une expérience Ce n'est pas la question de savoir si tu aimes manger les petits pois, il est question de savoir si spontanément tu as envie de manger des petits pois quand tu en vois Tu peux savoir que tu aimes manger des petits pois (ici coucher avec un genre ou l'autre ou whatever) et ne jamais penser "oh mon dieu, j'ai envie de manger ces petits pois" (qui est donc ici une métaphore pour l'attirance sexuelle) Tout le monde peut comprendre qu'on peut être attiré sexuellement par un genre et pas par l'autre, alors pourquoi c'est si compliqué pour les gens qu'on peut être attiré par aucun des deux ?
pour ma part je suis vierge je le vis tres bien par contre ça me fait mal d'entendre des mots comme : ah bon comment ça se fait? Pourquoi tu n'essaye pas? Et j'ai meme eu une personne qui m'a littéralement dit : "tu mens t'es mytho on est pas vierge à ton âge". Imaginez vous une seule seconde un jeune ou une jeune qui ne sait pas où il ou elle en est dans sa sexualité ses attentes et ne veut pas brusquer les choses et qui prefere se preserver pour le grand amour, entend ces propos je le dis honnêtement elle ou il se suicide car etant seul(e), et personne à qui en parler et pensant qu'à son âge c'est anormal, il ou elle est désespéré(e) de trouver quelqu'un et la seule solution c'est le suicide pour être en paix avec soi meme. Bien sûr je n'irai pas jusque là mais lorsque l'on entend ces propos qui font mal et que l'on a du mal à faire des rencontres comment réagir ? Que faire? Avec qui en discuter? C'est la le grand probleme et surtout le danger de l'isolement. Je suis désolé de parler de ça mais c'est un fait de société dont on parle peu. Si quelqu'un peu expliquer comment réagir dans ces cas là ce serait bien . J'attends des réponses sincères. Merci
Citation de absolutmusic #288729
J'aurais envie de dire, si tu te sens bien qu'est-ce que cela bien peux faire ce que pensent et disent les gens dès lors qu'ils le gardent pour eux ? Depuis la nuit des temps les gens passent leur temps à observer les fesses et relations des autres pour surmonter leurs propres frustrations. C'est ce qui les rend "humains"...
Merci :)
Après concernant le concept de la virginité, ça n'a rien à voir avec l'asexualité ^^
Moi j'ai jamais expérimenté-e, mais je connais la théorie rires et j'ai des fantasmes bien précis, j'ai envie de ''sexer'' (comme disent les jeunes) ...
Le problème ? c'est que je souffre d'une légère phobie sociale qui peut littéralement me bloquer, ce qui n'aide pas dans une relation quelle qu'elle soit ! Ca et le fait que je me pose des questions sur moi-même ; vais-je décevoir ? Arriverais-je à jouir ? (parlons sans détour est ma devise) Et la-e partenaire, va t'iel respecter cela et aimer ce moment ?
Aucune idée, parfois les blocages (si il y'en a) sont tout cons, il suffit de les analyser, de prendre le temps de les comprendre, vivre avec et à terme, les envoyer chier dans la cambrousse ...
Après concernant le concept de la virginité, ça n'a rien à voir avec l'asexualité ^^
Moi j'ai jamais expérimenté-e, mais je connais la théorie rires et j'ai des fantasmes bien précis, j'ai envie de ''sexer'' (comme disent les jeunes) ...
Le problème ? c'est que je souffre d'une légère phobie sociale qui peut littéralement me bloquer, ce qui n'aide pas dans une relation quelle qu'elle soit ! Ca et le fait que je me pose des questions sur moi-même ; vais-je décevoir ? Arriverais-je à jouir ? (parlons sans détour est ma devise) Et la-e partenaire, va t'iel respecter cela et aimer ce moment ?
Aucune idée, parfois les blocages (si il y'en a) sont tout cons, il suffit de les analyser, de prendre le temps de les comprendre, vivre avec et à terme, les envoyer chier dans la cambrousse ...
Ah! La sexualité! Que suis je? Personnellement j'étais convaincue d'être hétérosexuelle. Mais au final, je ne me définie plus! Pourquoi me coller une étiquette sur la tête? J'ai été amoureuse d'hommes et attirée sexuellement... ou pas. J'ai été amoureuse de femmes... Mieux que ça, l'amour que je ressens est très différent d'une personne à l'autre, et encore mieux, il évolue dans le temps. Bon, j'ai cessé de me poser des questions. Je me contente de vivre l'instant présent. J'ai besoin d'aimer profondément pour le côté sexuel, sinon j'ai un désintérêt total, personne ne m'attire sexuellement sans sentiments. Mais parfois je peux aimer et n'avoir pas envie de ...
Voilà, en fait pour ceux qui se posent des questions, je leur conseillerais de vivre leur émotions tout simplement, et peut être un jour ils découvriront une autre facette d'eux même, l'essentiel étant de s'accepter.