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Ancien membre
04/03/2017 à 11:14

Bonjour à tous, D'après vous : Le mensonge est t'il inacceptable ou bien parfois nécessaire ? Justifiez :)  
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Ancien membre
04/03/2017 à 11:56

Citation de Lindos : L'épreuve est en temps limité ?
Oui ! Vous avez doit à 2H00. Le devoir sera noté et tout ceux qui auront moins de 10/20 seront recalés de Betolerant :p
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Ancien membre
04/03/2017 à 12:04

Citation de Lindos : L'épreuve est en temps limité ?
Et si pour rendre ce débat intéressant, tu nous disais ce que toi tu en penses, avec tes mots, et sans recopier des articles faits par d'autres ! Si en plus tu l'illustres d'exemples concrets et personnels, nous devrions obtenir un sujet qui tienne la route sur ce forum et qui soit utile à la communauté sans êtres trop scolaire. Bien à toi. Xavier
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Ancien membre
04/03/2017 à 12:04

Citation de Gargantua : Citation de Lindos : L'épreuve est en temps limité ? Oui ! Vous avez doit à 2H00. Le devoir sera noté et tout ceux qui auront moins de 10/20 seront recalés de Betolerant
Pas mal l'idée :) Ahah :p
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Ancien membre
04/03/2017 à 12:10

Sorry [img]]
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Ancien membre
04/03/2017 à 13:13

Essayons de positiver. Concernant les gens qu'on aime, pour moi le mensonge n'est acceptable que si on estime il est vital à l'autre, et qu'on pend la responsabilité de ses conséquences. Sinon c'est évidemment  un manque de respect, mais qui dépend beaucoup de la culture : en France le mensonge est habituel, quasiment culturel, mais il y a des pays où c'est très mal vu.
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Ancien membre
04/03/2017 à 13:50

Pour moi tout dépend du mensonge et de l'état de l'esprit du menteur.  Par exemple une personne qui me ment sur son âge (c'est grave pour moi parce que la personne ment sur quelque chose de petit) mais si elle ment pour que je l'accepte et bien je me dis que d'un côté elle peut être pardonnée 
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Ancien membre
04/03/2017 à 16:00

Depuis que l'écriture existe c'est plutot mentir par écrit qui est mal vu, l'oralité laisse moins de trace. Les trahisons et mensonges oraux sont habituels. Avant la parole était primordiale, il a même existé des cultures qui punissaient de mort les mensonges, par exemple certains améridiens. Cela n'a d'ailleurs pas réussi à la culture astèques au Mexique, qui s'est effondrée devant une poignée d'espagnol qui ont menti sur leurs intentions. La bible garde la trace de l'oralité des nomades dont elle était la loi coutumière, tout en bénéficiant très tot des premières écritures alphabétiques : le mensonge est un péché devenu peu mortel. Pas besoin de grands principes pour comprendre qu'on aime pas trop les mensonges, sauf quand ils sont indispensables ou font rêver. C'est important de faire rêver, et même indispensable en politique...
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Ancien membre
04/03/2017 à 19:05

Tout dépend, comme cela a été dit... A la limite tout mensonge serait même justifiable, mais certains sont plus problématiques, moins "normaux" dans le rapport à l'autre et ont pour unique conséquence d'entamer une confiance parfois bien précaire. Il paraît qu'un être humain normal ment entre 10 et 20 fois par jour. La palette est variée. la recontre entre deux collègues qui ont des soucis par exemple: -"Salut, ca va ?" -"oui et toi ?" -"bien, merci" On a le mensonge admis, même si moralement il est condamnable, c'est celui du voleur à l'étalage qui dira ne pas savoir d'où viennent toutes ces barres de chocolat devant le vigile qui l'interroge. Ce jeu du chat et de la souris devant la vérité est tellement banal qu'il n'étonne personne. Il y a le mensonge qui sert de camouflage à la réalité parce que la personne peut avoir honte d'une situation: l'âge, la virginité,... Dans ce type de mensonges je ne rangerai pas ceux qui ont pour but de préserver l'autre. Mentir pour protéger l'autre de quoi que ce soit, c'est surtout se protéger soi-même. Et ceux qui pensent faire le bien en mentant, je vous conseille alors d'éviter de penser aux autres. Croire qu'ils ne seraient pas assez grands, matures ou solides pour encaisser une vérité, c'est les rabaisser. Le plus problématique des mensonges sont, pour moi, ceux qui ont pour but de se rendre intéressant. Pas de camoufler une réalité gênante, mais inventer des faits qui vont grandir la personne. C'est le genre de mensonges qui grillent une personne et qui entament la confiance au point qu'il y a rarement de retour en grâce possible.
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Ancien membre
04/03/2017 à 20:21

ça dépend des situations , tu peux préciser ? si c'est possible 
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Ancien membre
04/03/2017 à 20:52

Il existe plusieurs formes de mensonge et plusieurs objectifs derrière un mensonge qui le pousseraient à apparaître : tout dépend du résultat j'ai envie de dire...
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Ancien membre
05/03/2017 à 00:03

Je pense que tout dépend du mensonge et du but à atteindre. On ment tous qu'on l'assume ou pas. Il y a des mensonges que je peux tolérer part exemple une personne qui va me dire que tout va bien alors que non ça peut passer c'est juste que la personne ne veut pas en parler.  Mais en règle général j'ai beaucoup de mal avec le mensonge ça peut faire encore plus mal que la vérité. Ça touche quand même la confiance qui est la base de toute relation qu'elle soit amoureuse ou amicale ou encore familiale..  Personnellement je m'oblige à toujours être sincère avec mon prochain, le mensonge ne fait pas avancer les choses alors que la vérité et la sincérité si "Le mensonge donne des fleurs mais ne donne pas de fruit"
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Ancien membre
05/03/2017 à 00:16


https://www.youtube.com/watch?v=P_6vDLq64gE https://www.ted.com/talks/pamela_meyer_how_to_spot_a_liar C'est en l'écoutant que j'ai compris que le Dr. House avait raison ! :o
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Ancien membre
10/03/2017 à 20:11

Ça dépend je dirai ! Déjà de l'ampleur du mensonge, des personnes à qui on ment, de la définition qu'on donne au mot mensonge... Pour ma part aux proches, sur des sujets sérieux, je ne mentirais jamais (pas forcément de manière volontaire d'ailleurs, c'est juste que j'en suis incapable). Des mensonges par omission : ok, détourner la conversation : pas de soucis, mais mentir droit dans les yeux à quelqu'un de proche je trouve ça violent pour le coup.  "Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur". Et en effet je pense que c'est le privilège des amis et des proches que de pouvoir assener des vérités, quand bien même elles feraient mal... Sauf si le but est de protéger la personne (dans ce cas c'est un mensonge compréhensible). Ce n'est peut être pas très clair désolée ^^"
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Ancien membre
10/03/2017 à 21:16

La vie étant elle même un mensonge, je me sens l'envie de dire que finalement peu nous importe que les mensonges des uns et des autres, même les mensonges les plus néfastes. Mais si je redeviens raisonnable, et comme cela a été dit plus haut, il y a des mensonges volontaires, d'autres non, il y a des mensonges pour faire du mal, d'autre pour préserver. Et puis n'est-ce pas hypocrite de poser la question si le mensonge est bien ou mal, sachant que nul n'est parfaitement honnête ni avec soi-même ni avec les autres ?
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Ancien membre
10/03/2017 à 22:06

Le mensonge à 20 ans est interdit, car on est jeune, on est amoureux. Ensuite on évolue, on se rends compte que modifier un peu la vérité c'est nécessaire. Le soir tu ne vas pas dire à ton mec genre, tiens, j'ai passé une très bonne après midi avec ....c'était trop bien, il es trop bo, j'aurais aimé que ça dure. Non il va te demander tu as passé une bonne journée ? Et tu vas répondre "oui normale". C'est comme l'hypocrisie, le mensonge est essentiel dans notre relation avec l'autre, les autres, ton voisin qui pus et qui est moche tu vas lui dire bonjour mais dans ta tete tu te diras tu pues tu es moche...Le mensonge il faut juste bien le doser, il existe aussi pour se protéger soi meme ou protéger une relation, il n'existe personne sans mensonge il n'est pas forcément négatif, il doit seulement respecter sa propre morale....
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Ancien membre
10/03/2017 à 22:18

Et du coup, c'est encore un sujet pompé sur un autre forum... Franchement, c'est pourtant pas difficile de créer un sujet inédit, non ? Pas besoin de mentir pour dire que tout ça, c'est d'un chiant incroyable et de ne pas avoir envie de se bouger le cul pour chercher des réponses.
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Ancien membre
11/03/2017 à 09:07

la question du mensonge est d'abord la question de la vérité et de sa recherche en toute chose, car si nous ne savons déjà pas en quoi consiste la vérité, il est fort à parier que nous aurons une notion du mensonge, comment dire....personnelle et fluctuante... c'est justement en sachant ce qu'est la vérité que nous pourrons estimer exactement les cas ou :  "ne pas dire ou ne pas faire tout en vérité" s'avère acceptable ou pas... dire ou faire tout en vérité serait une perfection qui, partagé avec tous, nous éviterait tous les malheurs, car les qualités de la vérité sont en toutes choses un bien... dans les relations humaines, la vérité pose deux difficultés : 1/ la connaissance exact et totale de telle ou telle réalité : une personne, une expérience, une situation etc... 2/ la permanence à garder en acte cette connaissance pour établir notre agir morale ou pratique en fonction d'elle... ...à chaque fois que le mensonge "apparait", c'est que nous nous trompons nous même sur l'importance de telle réalité ou que sa connaissance n'est pas acceptée volontairement comme centre de notre agir morale ou pratique... donc le mensonge provient toujours d'une erreur d'appréciation de l'importance de la vérité, et nous préférons ne pas dire ou faire tout en fonction de cette dernière...vu sous cet angle c'est une lâcheté... et puis il y a une position adjuvante qui est de cacher ou de tronquer telle ou telle réalité, pour ne pas être enfermé dans une situation que nous présentons désagréable, c'est le mensonge de sauvegarde qui est lié à notre volonté de garder notre liberté, mais ce mensonge est aussi une forme d'égoïsme... enfin il y a le mensonge fait ou dit pour épargner une personne ou une relation avec des personnes, mais là c'est un cas de conscience particulier assez rare en fin de compte....
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Ancien membre
11/03/2017 à 12:05

Citation de Gilou03 : la question du mensonge est d'abord la question de la vérité et de sa recherche en toute chose, car si nous ne savons déjà pas en quoi consiste la vérité, il est fort à parier que nous aurons une notion du mensonge, comment dire....personnelle et fluctuante... c'est justement en sachant ce qu'est la vérité que nous pourrons estimer exactement les cas ou :  "ne pas dire ou ne pas faire tout en vérité" s'avère acceptable ou pas... dire ou faire tout en vérité serait une perfection qui, partagé avec tous, nous éviterait tous les malheurs, car les qualités de la vérité sont en toutes choses un bien... dans les relations humaines, la vérité pose deux difficultés : 1/ la connaissance exact et totale de telle ou telle réalité : une personne, une expérience, une situation etc... 2/ la permanence à garder en acte cette connaissance pour établir notre agir morale ou pratique en fonction d'elle... ...à chaque fois que le mensonge "apparait", c'est que nous nous trompons nous même sur l'importance de telle réalité ou que sa connaissance n'est pas acceptée volontairement comme centre de notre agir morale ou pratique... donc le mensonge provient toujours d'une erreur d'appréciation de l'importance de la vérité, et nous préférons ne pas dire ou faire tout en fonction de cette dernière...vu sous cet angle c'est une lâcheté... et puis il y a une position adjuvante qui est de cacher ou de tronquer telle ou telle réalité, pour ne pas être enfermé dans une situation que nous présentons désagréable, c'est le mensonge de sauvegarde qui est lié à notre volonté de garder notre liberté, mais ce mensonge est aussi une forme d'égoïsme... enfin il y a le mensonge fait ou dit pour épargner une personne ou une relation avec des personnes, mais là c'est un cas de conscience particulier assez rare en fin de compte....
La Vérité n'est elle pas une chimère, un graal après lequel on court ? "En vérité je vous le dit", ainsi commencent les propos du Christ... suffit-il pour autant que ce soit la Vérité ? Y a t'il une Vérité ou des vérités ? "Rien n'est vrai, que ce que l'on ne dit pas" (Jean Anouilh - Antigone) implique t'il que seul le silence est Vérité et que dans ce cas là le mensonge par omission est il l'expression de cette Vérité ?
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Fatalitas
11/03/2017 à 12:09

salut JE T AIME!!! quoi   moi menteur????hahahaha
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Ancien membre
11/03/2017 à 13:51

moi je pense que le mensonges est la pire des choses vaut mieux avoir un clash si besoin est mais mentir est pour moi lâche et les gens que j ai connu qui mon menti même si ca prenait du temps j ai toujours fini par avoir la vérité mais c est pire après vaut mieux être honnête on dort mieux aussi après ????
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Ancien membre
12/03/2017 à 10:09

salut à vous Gargantua, je vous citerais en bleu : "La Vérité n'est elle pas une chimère, un graal après lequel on court ?" l'idéalisation du vrai pour beaucoup de personnes, est une fixité dans une sécurisation intellectuelle, de se dire que : "cela est une vérité" permet d'établir une projection de son présent et de son avenir sur des bases sûres... mais c'est trompeur, c'est pourquoi le vrai doit être toujours réactualisé, pour justement ne pas l'idéaliser à la façon de Platon... "En vérité je vous le dit", ainsi commencent les propos du Christ... suffit-il pour autant que ce soit la Vérité ? cette parole du Christ, renvoie à sa nature divine "je suis le chemin, la vérité, et la vie" st Jean 14-6 mais lui seul est en mesure de dire cela puisqu'il est le Verbe de dieu... Y a t'il une Vérité ou des vérités ? quand nous posons une diversité, nous sommes déjà dans une situation critique ( du grec krinein, séparer, distinguer)donc dans une "évaluation" à partir soit de valeurs morales, soit d'une graduation ontologique, mais ce qui est vrai est toujours "quelque chose" de vrai, là encore l'idéalisation de la vérité conduit à une surinterprétation, c'est-à-dire à une séparation du vrai de la chose pour en faire une vérité en soi...c'est de l'idéalisme Platonicien... seul le silence est Vérité et que dans ce cas là le mensonge par omission est il l'expression de cette Vérité ? le silence est contributif de la recherche de vérité, mais il ne doit pas être assumé comme "vérité" parfaite, (sauf pour certaines recherches spirituelles comme le taoïsme ou le bouddhisme Zen) car l'intelligence pour délibérer en vue du choix, doit établir "une lecture intérieure" des déterminations spécifiques de chaque chose, évènement, personne même, c'est pourquoi le "dialogue vrai" doit être maintenu comme moyen pour l'intelligence qui cherche la vérité en vue du bien qui est la finalité de cette recherche... le silence permet de prendre le recul nécessaire, mais ne peut pas remplacer la parole ou l'agir vrai...du moins pas dans notre vie commune... bien à vous...
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Ancien membre
12/03/2017 à 10:36

Dans mon dernier post je me suis arttaché à donner un cadre au mensonge, là je vais plutot donner mon comportement. Personnellement j'évite de mentir parce que cela complique la vie, et réserve au nécessaire le mensonge, ou plutot l'omission. Mon copain est plutot cash et je trouve ça bien même si cela peut parfois etre pénible...
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Ancien membre
12/03/2017 à 12:07

Le premier accord toltèque est : « Que votre parole soit impeccable » peace:
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