Séropositivité

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Ancien membre
28/03/2012 à 00:34

Euh encore un sujet inutile mais faut-il prévenir les gens qu'on leur as surement transmis quelque chose ou faire style de rien ?
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Modération Wiloooo
28/03/2012 à 00:46

faudrait les avertir avant plutôt non ^^

Webmestre, gourgandine et créateur de cette communauté...

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Ancien membre
28/03/2012 à 00:54

Les prévenir, c s'assurer qil protègeront ceux et celles qils aiment avc un présa par exempl. Peu importe, ist ou mst, ne rien dire et ne rien faire c laisser faire progresser les maladie. Qoi qil en soit sortez couvert meme en été! ; - ) .
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Ancien membre
28/03/2012 à 01:00

Au fait, jemini, ton sujet n'est pa inutil, bien au contraire! Sinon pers ne t'aurai apporté de conseils! Et si tu crains d'avoir transmis qlqchose, si tu as un doute, fais-toi dépister de l'ist ou mst, (hopitx c gratuit). Ravi d'avoir pu rép à ta qestion avc wiloo. (Si besoin autr, pv ok). Salut!
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Ancien membre
28/03/2012 à 07:42

Je connais un jeune qui a été contaminé par le sida à ses 15 ans sans qu'il se doute de la séropositivité de son partenaire (qui a fait pire aussi mais là n'est pas le sujet). Pénalement ce monsieur à pris 5 ans ferme (5 ans pour avoir tuer une vie c'est peu...) De plus, je pense que transmettre une maladie volontairement en la cachant est comme un meurtre, l'intention et le résultat en sont similaires. A t'on le droit pour assouvir ses besoins personnels de détruire une vie ou affecter la santé d'autrui? A mes yeux cela reste un acte hautement condamnable.
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Ancien membre
28/03/2012 à 08:18

Il faut prévenir, comment peux-tu imaginer pendant une seconde ne pas prévenir que tu risques du transmettre le Sida à quelqu'un? C'est tout bonnement impossible à penser!
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Ancien membre
28/03/2012 à 13:43

Légalement, il faut le faire. Moralement, on reste libre. A toi de savoir quelle genre de personne tu veux être.
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Ancien membre
28/03/2012 à 14:50

Sur ce coup là je suis bien d'accord avec Samael !
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Ancien membre
28/03/2012 à 20:27

moi je dit qu'il faut le dire a l'autre des le début c hyper important parce que l'autre aura le temps de digérer et de mieu le prendre et aussi pour ça sécurité !!!
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Ancien membre
28/03/2012 à 21:49

Euh légalement ? Mince quel pays il y a des lois pour tout --' Euh En fait sachant que c'est des Ex Pourquoi leur dire ? Et pour répondre a la réponse de l'un d'entre vous avant fallait t'il le savoir avant.
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Ancien membre
28/03/2012 à 22:09

Euh légalement ? Mince quel pays il y a des lois pour tout --' Euh En fait sachant que c'est des Ex Pourquoi leur dire ? [i][/i] je ne sais pas si seulement tu as conscience de tes propos
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Ancien membre
28/03/2012 à 22:20

Jemini : il n'y a pas un article de loi spécial pour le sida. A mon avis cela doit être contenu dans l'article sur la mise en danger d'autrui.
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Ancien membre
28/03/2012 à 22:32

La transmission du VIH devant les tribunaux La transmission volontaire du VIH est assimilée à une administration de substances nuisibles ayant porté atteinte à l'intégrité d'autrui. La criminalisation de la ­transmission du virus de l'immunodéficience ­humaine (VIH) fait débat. Faut-il punir pénale­ment la transmission intentionnelle d'un virus qui demeure mortel, malgré le caractère chronique de la maladie, ou s'inquiéter, aux côtés des militants associatifs des droits de l'homme, des effets pervers de cette jurisprudence, qui pourrait notamment marginaliser les personnes ­malades ? Selon nombre d'acteurs de la ­lutte contre le sida (1), amener devant­ les tribunaux des personnes qui ont transmis le VIH comporte trois risques. Tout d'abord nuire au dépis­tage. Ensuite porter atteinte­ au principe de responsabilité individuelle, puisque chacun est censé assumer sa prévention. Enfin­ obliger à décla­rer une maladie encore­ cause de stigmatisation et de ­discrimination. Acte intentionnel En France, plusieurs plaintes de person­nes infectées par le VIH-sida ont abouti à des condamnations pénales sur le fondement de l'article 222-15 du Code pénal, qui sanctionne l'adminis­tration à autrui d'une substance nuisible ayant porté­ atteinte­ à son intégrité physique ou psychi­que. Les tribunaux ont sanctionné de façon constante le fait de dissimuler déli­bérément sa séropositivité à son partenaire pour avoir des relations sexuelles non protégées avec lui. Il s'agit d'un crime, dont la qualification requiert, outre un élément matériel - la contamination -, un élément intentionnel, que les juges­ recher­chent dans une admi­nistration volon­taire, en connaissance de cause, de la substance nuisible à la santé de la victime­. Christelle X a été mise en examen le 29 mai 2006 du chef d'administration de substance nuisible par conjoint ou concubin, suivie de mutila­tion ou infirmité perma­nente. A la suite d'une ordonnance de non-lieu rendue le 2 avril 2007 par le juge d'instruction au tribunal de grande instance d'Orléans, ­Vincent, son compagnon, a fait appel­. Ayant appris sa séropositivité dans le cadre d'une hospitalisation en août 1997, soit un peu moins de deux ans après le début de leur rela­tion, il soutenait que ­Christelle se savait séropositive depuis­ 1991. L'expertise révéla ­qu'elle avait effec­tivement eu connaissance, « sans ambiguïté possible », de sa séro­positivité entre ­février 1991 et novem­bre 1992. Le 20 février 2007, le procureur de la République d'Orléans concluait toutefois au non-lieu, estimant qu'en raison de l'impossibilité de situer la date de la contamination de Vincent­, les faits, à les supposer établis, se trouvaient prescrits (2). Le 2 avril 2007, le juge d'instruction qui a pro­noncé le non-lieu, rappelant la pour­suite des relations sexuelles après la révélation de la séropositivité de ­Christelle à Vincent en 1997 et le caractère tardif du dépôt de plainte, faisait état « d'un doute invincible, tant sur la matéria­lité de l'administration que sur l'inten­tion délictueuse de la personne mise en examen ». Selon les juges­ d'appel, l'élément intentionnel du crime d'administration de substances nuisibles ayant entraîné une infir­mité perma­nente (article 222-9 du code pénal­) ne suppose que l'administration volon­taire, en connaissance de cause­, de ladite substance. « En dissimulant volontairement à Vincent­ sa séropositivité et en s'abstenant de toutes relations sexuelles protégées alors qu'elle connaissait le risque important de contamination et en ayant provoqué la contamination de ­Vincent, il existe ainsi des charges suffisantes pour renvoyer Christelle­ devant la cour d'assises » (cour d'appel d'Orléans, 9 novembre 2007, n° 07/00291). Prescription Dans l'affaire précitée, la cour ­d'appel a estimé, s'appuyant sur les dispositions de l'article 222-15 du Code pénal, que les faits d'administration de substances nuisibles n'étaient pas couverts par la prescription de dix ans au moment­ de leur dénonciation, cinq ans s'étant écoulés entre­ la décou­verte de la ­séro­positivité et la plainte de Vincent­ (9 novembre 2007, précité). La question de l'extinction de l'action­ publique, et donc de la prescription, était également posée par l'affaire jugée par la cour d'appel de Toulouse le 27 septembre 2007 (n° 07/00288). En l'espèce, Mme N. a vécu, entre 1989 et juin 1994, en concubinage avec M. B. Elle avait effec­tué en juillet 1994 un test VIH qui avait mis en évi­dence sa séropositivité. Elle indiquait que sa contamination avait nécessairement eu lieu à une période­ où « le seul facteur de risque pour elle était constitué par les relations sexuelles non protégées avec M. B entre octobre 1993 (elle avait subi un test néga­tif en janvier 1994) et avril 1994 ». Mais M. B. affirmait, avec l'aval d'un méde­cin, le docteur C., qu'il n'était pas séro­positif. Mme N. a ­porté ­plainte avec constitution de partie civile le 29 janvier 2007. Le 6 mars, le juge d'instruction a rendu une ordonnance de refus d'informer, au motif­ que l'action publique était éteinte au jour du dépôt­ de la plainte. En appel, la requérante a fait ­valoir l'existence d'un obstacle absolu à l'écoulement de la prescription : l'opposition du secret médical ­impu­table au docteur C., médecin traitant de M. B., qui lui avait ­affirmé à l'époque que les tests concernant l'existence du VIH pratiqués sur ce dernier étaient négatifs. Or, pour les juges d'appel, « le secret médical s'impose aux médecins et leur interdit toute révélation à un tiers, hormis les cas où la loi en dispose autrement ». Le respect de ce secret­ ne constitue donc pas un obstacle insurmontable à l'écoulement de la prescription. Seule la date de la ­découverte et de la constatation médi­cale de la maladie (et non pas de l'identification formelle de son auteur) fait courir la prescription de l'action publi­que. Les juges ont donc estimé que l'action publique était éteinte lorsqu'a été enregistrée la plainte­, le 29 janvier 2007. Trouble à l'ordre public Le 4 janvier 2005, la cour d'appel de Colmar, tout en recevant la constitution de partie civile de deux victimes et en reconnaissant leur droit à indemnisation, a établi un lien entre­ la contamination volontaire par le virus du sida et le trouble à l'ordre public. En l'espèce, M. C. était poursuivi pour avoir volontairement administré des substances nuisibles ayant entraîné une infir­mité permanente à deux jeunes femmes. Selon les juges d'appel, M. C. a appris sa propre séropositivité au plus tard en 1998 et l'information a établi avec certi­tude qu'il n'avait informé aucune des cinq ou six jeunes femmes avec lesquelles il a entretenu à de multiples reprises des rela­tions sexuelles non protégées du fait qu'il était porteur du virus VIH, puis même du fait que son sida était parvenu au stade de maladie avérée. M. C. prétend avoir délibérément tu sa séropositivité de peur d'être rejeté. La cour d'appel a confirmé sa culpabilité, précisant qu'une éven­tuelle recher­che de souche de virus, deman­dée par le prévenu, est totalement aléatoire, dans la mesure­ où le virus du sida se caractérise par des facultés­ de muta­tion permanentes. Un cri­tère qu'avait toutefois retenu la Cour d'appel d'Orléans dans l'arrêt susmentionné du 9 novem­bre 2007 : « Les deux virus VIH appar­tiennent à la même souche de même sous-type B et sont phylo­génétiquement très proches. » Dans le cas de M. C., le pro­noncé d'une peine d'emprisonnement ferme­ a été jugé « indispensable pour les motifs précités, pour éviter le renou­vellement des infractions, pour faire cesser le trouble grave et durable apporté à l'ordre public et pour assurer une convenable exécution de la sanction ». La Cour de cassation ensuite a rejeté le pourvoi de M. C. (10 janvier 2006, n° 05-80787). Toutefois, si les juges sanctionnent sur la base de l'article 222-15 du Code pénal, ils ne retiennent pas l'infraction de non-assistance à personne en danger. Le 22 septembre 1999, la cour d'appel de Rouen (n° 99-00018) en a ainsi décidé­ s'agissant d'une femme qui avait appris­ qu'elle était séropositive dans les premiers mois de sa grossesse, en 1992. Le méde­cin traitant de M. X, père de l'enfant à naître, a confirmé­ que M. X était séropositif depuis 1988. Les documents datés des 15 juin et 25 septembre 1990 et du 10 décembre 1991 faisant état d'un dépistage néga­tif, remis­ par M. X à sa compagne, étaient des faux. Compte­ tenu de la particu­lière gravité des agissements commis par M. X, qui a délibé­rément ­trompé sa parte­naire, la cour l'a condamné à deux ans ­d'emprisonnement. Débat Dans un contexte de pénalisation, certains acteurs­ de la lutte contre le sida ne cachent pas leur inquié­tude : demain­, un enfant conta­miné par sa mère séropositive qui aurait eu connaissance de son statut séro­logique au moment de la conception pourra-t-il ester en justice ? Certes, l'élément intentionnel de la contamination serait difficile à prouver. En outre, l'article 1 de la loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 ­relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé stipule que « nul ne peut se prévaloir d'un préjudice­ du seul fait de sa nais­sance ». Cet article­ est souvent baptisé « anti-arrêt ­Perruche », en référence à la déci­sion qui avait reconnu­ le droit à indem­nisation d'un enfant­ handicapé­ après qu'une rubéole­ n'avait pas été diagnostiquée pendant la grossesse de sa mère. L'affaire­ avait suscité un tel émoi que la loi est venue­ encadrer le principe de l'indem­nisation à outrance. Mais, dans le cas de la transmission du VIH, peu de voix, à l'exception de celle du milieu­ associatif, se sont pour l'heure élevées. (1) La coalition de la jeunesse mondiale sur le VIH/Sida a réalisé une feuille d'information sur cette thématique. (2) La prescription est de 10 ans.
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Ancien membre
28/03/2012 à 23:59

Je suis un con scient malheureusement. Bah Oui voilà tout on ne peut pas reprocher à quelqu'un quelque chose qu'il ne savait pas lui même. Aller voila le débats es clos.
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Ancien membre
29/03/2012 à 03:00

Je pense qil fau avertir les ex. C une facon moral de protéger leur prochaine conquetes. Et puis, qui sait un jour ces prochaines conquetes seront les notres. De bouches à oreilles, ont peut le dire. De rapports en rapports, le risqu zéro n'existe pa, ne rien dire, se taire, c rendre la maladie du sida sournoise et plus forte. Ceci nest pa un msg personnel, soyons ts concernés et mobilisé.
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Ancien membre
29/03/2012 à 22:09

la coïncidence demain c'est le sidaction en plus =D
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Ancien membre
30/03/2012 à 00:59

Oui, effectivement. Mais, la jrnée mondiale de lutt contr le sida, c bien le 2 ou le 5 déc? (Il est possibl qu je me trompe). Merci pour vos lumières.
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Ancien membre
30/03/2012 à 01:02

Pas loin c'est le Premier Décembre.
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Ancien membre
31/03/2012 à 12:32

Oui, ok avc toi. C en cm2 qu j'ai appris ce qu'est le sida, video projection dun reportage à lécole. En 6e et 5e, les ist, mst, présa, pilule, grossesse, ivg... Mais en 3 lecon c just. Il faudrai un peu plus de lecon, plus détaillée sur tte une année scol'. Et pa qu les 2 premières années de collège. Alors Mr Hollande, cela aussi c'est l'éducation.
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Ancien membre
02/04/2012 à 00:47

Bon pour faire part a la polémique que j'ai créer je vais dire que je ne l'ai pas encore fait mais si l'on à des doutes sur un ex faut il faire le test ? Perso je suis un peu flippé de le faire pas l'acte en lui même mais les conséquences du résultat sur ma vie futur. Alors Quand toi on faire le test ?
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Ancien membre
02/04/2012 à 03:31

Qd doit ton faire le test? Plusieurs évènement peuvent ns me mener avc le test de dépistage. Lors dun rapport mal protégé, à risqu ou pa du tou. Doute sur un ex, sil ne s'est pa bien protéger des précédente fois, si il a eut beaucoup de relation sex'. Il a eut des transf' sanguine, surtou av 1980, sil il a ou a eut une conduite toxico sous seringue, une bagarre... Bcp de chose en doute. Cepndnt, il y a les point un peu plus positif qd meme, faire un test pour prouvé son amour, se passé du présa, donner son sg...
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Ancien membre
03/04/2012 à 13:51

Merci ;) C'est bien ce que je pensé xD L'infidélité quel vilain défault.
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Ancien membre
05/04/2012 à 17:26

Oui, un trè vilain défaut!
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Ancien membre
13/04/2012 à 00:34

Mon plus gros défaut surement ^^
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Ancien membre
19/04/2012 à 11:32

Tu peux être infidèle, mais te protéger en protégeant les autr c une victoire sur ce vilain défaut.
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Ancien membre
19/04/2012 à 11:45

les préservatifs ça sert à ça mes coco =) une facon de lutter contre les mst comme l'a dit ruquier "il ne faut jamais sortir sans préservatifs et encore moins entrer!" (;
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Ancien membre
19/04/2012 à 13:05

Ist aussi à ne pa oublier, sournoise et récalcitrante, l'herpès buccal/génital, divers champignons, chlamidyas, candida albican, candidose... Et jen pass! Au fil, du tps, certains entrainent infertilité et stérilité.
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Ancien membre
19/04/2012 à 20:25

bwaaark :O merci des précisons X) ( en même temps il vaut mieux prévenir que guérir!) et pour ceux qi seraient pas convaincus tapez tout ça sur google image ;p
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Ancien membre
19/04/2012 à 22:07

Oui, beurk. Je souligne ta rép, vaut mieux prévenir qu guérir. Et j'ajoute qu le présa ne protège pa qu du sida.
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Ancien membre
08/05/2012 à 05:37

Les Antibiotiques c'est pas automatique, si je comprend bien le préservatif Oui paix a mon ame de pécheur :'(


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