A lire : Le Rêve est une vie

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Ancien membre
21/05/2014 à 01:48

Suite Chapitre 1 : En dessous ! (Posté 22 Mai / 00h54) Coucou à tous. Je me lance pour essayer de réveiller un peu le forum et vous faire part d'une de mes passions : l'écriture. Beaucoup de choses nous sont cachées dans la vie. En effet, un de mes grands intérêts est le Rêve. Qu'est-ce que le rêve ? A quoi sert-il ? Pourquoi ? Voilà la plupart des questions auxquelles je vais essayer de répondre dans ce récit. Il y aura des suites au fur et à mesure, rapidement. Ce récit parle de deux jeunes qui cherchent à comprendre leurs vies d'une manière différente : par le biais du Rêve. Après avoir fait des centaines de recherches et de lectures sur le monde du Rêve, je vous dévoile toutes les faces cachées mêlées à de la fiction ! Bonne lecture, Andy :) A lire : Le Rêve est Le Rêve est une vie Chapitre 1 : Différences Il était huit heures lorsque le réveil sonna. Tom dormait encore, la couette par terre. Les cheveux dans tous les sens, les yeux encore fermés et hésitant à s'ouvrir. Il resta longtemps éveillé, se reposant sans dormir, évitant à tout prix de se lever. Les quelques rayons de soleil arrivèrent près de son lit et s'amusèrent ensuite à éclairer ses yeux. Ce jour-là, il commençait plus tard que d'habitude et cela l'enchantait. Quelques cris parvinrent à le réveiller d'une nuit encore troublée par son insomnie. Ses problèmes lui ont toujours empêché de profiter de la vie car il était sans cesse fatigué et déconcentré durant chaque moment de ses journées. Les cris reprirent de plus belle, obligeant l'enfant à se lever pour ne pas attiser la colère de sa mère : - Tom, si tu ne te réveilles pas dans les cinq minutes qui suivent, j'envoie ton père te chercher ! Le garçon n'hésita pas longtemps avant de se lever. Sa tête tournait dans tous les sens pour retrouver le bas de son pyjama, jeté au cours de la nuit. Il s'habilla calmement, il avait le temps. L'adolescent parlait peu de ses problèmes à ses parents, malgré qu'ils fussent toujours à son écoute et prêts à l'aider. Il éprouvait une certaine forme de culpabilité depuis ces dernières années. Peut-être était-ce dû à la mystérieuse disparition de son grand-frère ? * Voilà deux jours consécutifs que Lili était clouée au lit. Pas de doute, la grippe faisait des ravages cet hiver. Marie, sa mère, poussa doucement la porte de la chambre en essayant d'éviter tous les livres éparpillés sur le sol. Elle déposa le plateau-repas qu'elle venait de préparer pour sa fille malade. Marie s’assit près de sa fille, prenant place sur un bout de lit. Lili se poussa légèrement et attendit la bise du matin de sa mère. Celle-ci l'embrassa puis releva la tête pour commencer une discussion. - Tu pourrais ranger ta chambre de temps en temps. Murmura calmement Marie à sa fille en lui caressant les cheveux délicatement. - Tu vois bien que je ne peux pas bouger, non ? Lui répondit Lili en toussant fortement. - Et bien tu le feras lorsque tu seras rétablie, Marie se leva et commença à ranger les vêtements de sa fille tout en lui parlant, J'ai failli tomber avec ton petit-déjeuner aux mains. Rigola-t'elle. Lili toussa une nouvelle fois avant d'éternuer trois fois à la suite. Peut-être aura-t'elle de la chance aujourd'hui ? Ses yeux lui piquaient fortement, son nez coulait et sa fièvre ne cessait de monter atteignant les 38° ce matin. Marie continua de ranger la chambre et annonça à sa fille qu'elle allait au centre commercial avec son amie. - C'est ça, vas t'amuser pendant que je crève dans mon lit. Grommela Lili. - Pardon ? - Non rien. Passe une bonne journée. Lui dit-elle de façon colérique. La jeune fille toussa de nouveau et prit son premier doliprane de la journée. Marie s'approcha d'elle, embrassa son front et lui glissa doucement à l'oreille : " Ton père s'occupera de toi. Je reviens ce soir, ne t'inquiètes pas. " Elle reprit le petit-déjeuner posé sur le bureau de la chambre et le posa sur la table de nuit de sa fille. Puis elle ouvrit les volets. La lumière du soleil entra mais le froid aussi, elle referma aussitôt les fenêtres avant de sortir de la chambre en souhaitant une bonne journée à son enfant. La porte se referma doucement derrière son passage. La jeune fille admira cette étrange impression d'emprisonnement qu'elle était en train de vivre. " Quelle journée de merde ! " Pensa Lili. * Tom était fin prêt pour sa cinquième journée de la semaine. Il sortit de chez lui rapidement pour ne pas rater le bus qui l’emmènerait au lycée. Les nuages volaient haut aujourd'hui et le ciel semblait dégagé. Le jeune garçon regardait avec envie d'évasion l'immense espace qui se trouvait au-dessus de lui. Ses yeux admiraient avec ferveur la clarté du soleil et l'illumination soudaine du paysage. En marchant jusqu'à l'arrêt du bus, il savait déjà que la journée serait semblable à des milliers d'autres : se lever, manger, aller à l'école, rentrer à la maison, manger puis se coucher. D'ailleurs, il ne cessait de penser à partir loin. Aussi loin qu'il le pouvait. Il détestait le monde dans lequel il vivait mais il n'osait pas le quitter. Il n'avait pas le courage de faire souffrir sa famille qui, malgré ses difficultés, le soutenait autant qu'elle le pouvait. Tom était un adolescent ordinaire. Il pensait beaucoup à Marion, une fille rencontrée dans son école. Elle était brune aux cheveux bouclés, grande et mince. Ses yeux marron lui permettaient de créer une barrière entre le monde et son intimité. Malgré cela, Tom essayait de percer leur mystère chaque fois qu'il la voyait. La jeune fille était très distante et timide à la fois, ce qui ne laissait pas beaucoup de chances au jeune garçon. Il avait notamment découvert, une journée de printemps, que son père la battait mais qu'elle n'osait rien dire à sa mère. Depuis ce jour-là, il la soutenait autant qu'il le pouvait, allant jusqu'à cacher son amour pour elle. Voilà de quoi il souffrait le plus, d'un amour caché aux yeux de celle qu'il aime. Le jeune garçon en parlait rarement à sa meilleure amie. Il n'aimait pas parler car il pensait toujours déranger les autres avec ses paroles futiles. Pourtant, beaucoup de monde aimait ses grandes discussions philosophiques et les sujets intéressants dont il décrivait avec envie. Malheureusement, les discussions se terminaient vite, les garçons lacés et les filles retournant parler d'amours impossibles. Tom n'était pas d'humeur aujourd'hui et il en connaissait la cause : les cours. Le jeune garçon avait beaucoup de mal à rester concentré en classe malgré sa grande volonté. Chaque minute lui semblait une éternité due à sa fatigue. Mais il ne pouvait rien y faire ! Dormir était à la fois pour lui la chose la plus importante de la journée mais aussi la plus horrible. Quoi de pire que de rester toute une nuit éveillé ? Quoi de plus horrible que de ne pas bouger durant huit heures consécutives ? Et pourtant, Tom faisait avec. Il tentait bien que mal d'avoir des bonnes notes. Mais pour lui, de simples chiffres ne représentaient pas grand chose. L'inégalité dans le monde était, selon lui, apprise au sein même de l'école. Comment pouvait-il dire ça ? Pourtant, nous avons tous la réponse devant nos yeux : " Intelligence ". Comment peut-on noter une intelligence ? La numériser ? Ces questions tourmentaient le garçon. Suite chapitre 1 : Lorsqu’il termina les cours de l'après-midi, Tom sortit du lycée pour enfin rentrer chez lui. Il arriva près de l'arrêt du bus et remarqua une fille aux bras d'un garçon. Il se souvint alors qu'il n'était encore jamais sortit avec une fille. Chaque fois qu'il croisait l'amour, il se sentait triste mais aussi en colère. Pourquoi lui ne pouvait-il pas être amoureux ? Pourtant, s'il le voulait, il pourrait facilement sortir avec une simple fille mais justement, il ne le veut pas. Plus il s'approchait des jeunes amoureux, plus il se sentait mal. Le bus arriva rapidement. Tom s’approcha et monta dans le véhicule. Peu de personnes se trouvaient dedans, et les quelques peu le dévisageaient. Après être allé s'asseoir, il regarda une nouvelle fois les deux amoureux par la fenêtre. Il reconnut Marion, embrassant avec amour un inconnu. * Lili déposa le livre qu'elle venait de terminer. Trois cent pages en une heure, elle trouvait cela raisonnable. Elle avait lu des livres bien plus intéressants et bien plus longs au cours de ces dernières années. Mais l'envie de découverte scientifique avait depuis peu laissé place à une autre envie. Malgré son rhume, elle ne se sentait pas très fatiguée. Elle s'ennuyait et rêvait de retourner en cours pour apprendre de nouvelles choses sur la vie. Quoi de plus intéressant qu'un bon cours de philosophie sur l'être humain ? Ou encore la façon dont l'Amérique fut découverte ? Lili aimerait connaître toutes les choses de la vie, au point de laisser la sienne de côté. Car au final, elle a découvert peu de choses sur la vie en elle-même. La jeune fille était très renfermée dans ses livres, lisant tout ce qu'elle peut sur ce qui l'intéresse. Lire et apprendre le plus de choses sur tout ce qui l'entourait était devenu sa façon de vivre. Elle prétendait être heureuse comme ça et tentait bien que mal de se l'avouer à elle-même. Mais ce que Lili ne savait pas, c'est que les autres pouvaient nous apprendre beaucoup plus de choses que ce que l'on pouvait croire. La porte s'ouvrit pour la deuxième fois aujourd'hui. Lili venait de s'assoupir légèrement. Ses yeux s'ouvrirent en voyant son père s'approcher d'elle. - Tu vas bien ? Demanda Pierre. Pierre était un bon père. Il acceptait le fait que sa fille s'ouvre peu aux autres malgré qu'il en souffre lui aussi, notamment lorsqu'il la voyait triste. C'était un homme grand et musclé, ayant eu une vie pauvre et difficile avant de pouvoir vivre de sa passion qui était la musique. Malgré sa grande carrure, Pierre cachait son émotion dans la musique qu'il créait, comme le faisait Lili durant la nuit. C'était aussi pour cela que Marie l'aimait. - Oui je vais bien ... soupira Lili. Elle pensait à toutes ces journées, enfermée dans la bibliothèque tandis que d'autres s'amusaient dans leurs piscines, leurs jeux, ... Tandis que d'autres n'apprenaient pas. Elle trouvait cela stupide de ne rien vouloir savoir mais elle enviait en même temps ces personnes qui avaient l'air de beaucoup s'amuser. Elle ferma les yeux un instant. Un court moment qui sembla passer aussi vite que passe le temps. Marie venait de rentrer du centre-ville. Elle rentra calmement dans la chambre, il était déjà tard. - Lili ? Il est l'heure de manger ! Chuchota Marie. Voyant que sa fille dormait, Marie la secoua délicatement pour la réveiller. Elle était revenue plus tôt que prévu, son amie avait dû rentrer s'occuper de son fils. Lorsque Lili ouvrit les yeux, la lumière l'a rendit aveugle durant quelques secondes. Elle n'avait pas faim. La tristesse que lui avaient générée ces quelques pensées avant de dormir avait suffi à lui couper l'appétit. Elle venait de rêver d'un jeune garçon. Elle regarda sa mère et lui trouva une mine joyeuse. - Vas-y, j'arrive dans quelques minutes. Le temps de me réveiller. Lui répondit Lili. Sa mère acquiesça et sortit de la chambre en évitant une nouvelle fois le bazar. Lili se tourna vers sa table de nuit, ouvrit le troisième tiroir et en sortir un cahier gris. Elle l'ouvrit à la cinquantième page, prit un stylo plume décoré de bois marron avec une belle plume dorée et commença à écrire le récit de son rêve. Depuis ses douze ans, Lili s'intéressait aux rêves qu'elle faisait. Mais elle le cachait car peu de monde y portait intérêt. La jeune fille savait que ses rêves renfermaient des secrets encore inconnus. Les rêves lui permettaient de sortir du monde réel et de s'intégrer dans un autre monde. Le monde onirique. Elle se nommait d'ailleurs elle-même oniraunote, quelqu'un qui fait des rêves lucides et qui s'y intéresse tout particulièrement. Mais dans cette vie où la réalité laissait place au virtuel, Lili se sentait un peu perdue. Alors, lorsqu'elle en ressentait le besoin, elle se réfugiait dans ses rêves. Comme elle le fit ce jour-là, pour échapper à sa tristesse. Pour ceux qui sont arrivés ici : Toute critique est acceptée ! Bisouuus :3:
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Ancien membre
21/05/2014 à 02:38

J'aime bien la pâte du texte, tu as une manière d'écrire très anglo-saxonne (ce n'est pas péjoratif). Les phrases sont courtes, simples, mais avec quelques éléments empreints de lyrisme. En tout cas, ça a au moins le mérite vif pour ne pas dire percutant. 🆙
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Ancien membre
21/05/2014 à 02:42

A quel moment intervient le rêve ? bla bla bla bla bla bla bla bla bla
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Ancien membre
22/05/2014 à 00:27

Ah ah ! Le rêve intervient au chapitre 2. Je ne voulais pas commencer trop brusquement ! Merci Corvin pour ton commentaire ! Je vous rajoute la suite dans quelques instants ;)
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Ancien membre
22/05/2014 à 00:55

Suite chapitre 1 : Lorsqu’il termina les cours de l'après-midi, Tom sortit du lycée pour enfin rentrer chez lui. Il arriva près de l'arrêt du bus et remarqua une fille aux bras d'un garçon. Il se souvint alors qu'il n'était encore jamais sortit avec une fille. Chaque fois qu'il croisait l'amour, il se sentait triste mais aussi en colère. Pourquoi lui ne pouvait-il pas être amoureux ? Pourtant, s'il le voulait, il pourrait facilement sortir avec une simple fille mais justement, il ne le veut pas. Plus il s'approchait des jeunes amoureux, plus il se sentait mal. Le bus arriva rapidement. Tom s’approcha et monta dans le véhicule. Peu de personnes se trouvaient dedans, et les quelques peu le dévisageaient. Après être allé s'asseoir, il regarda une nouvelle fois les deux amoureux par la fenêtre. Il reconnut Marion, embrassant avec amour un inconnu. * Lili déposa le livre qu'elle venait de terminer. Trois cent pages en une heure, elle trouvait cela raisonnable. Elle avait lu des livres bien plus intéressants et bien plus longs au cours de ces dernières années. Mais l'envie de découverte scientifique avait depuis peu laissé place à une autre envie. Malgré son rhume, elle ne se sentait pas très fatiguée. Elle s'ennuyait et rêvait de retourner en cours pour apprendre de nouvelles choses sur la vie. Quoi de plus intéressant qu'un bon cours de philosophie sur l'être humain ? Ou encore la façon dont l'Amérique fut découverte ? Lili aimerait connaître toutes les choses de la vie, au point de laisser la sienne de côté. Car au final, elle a découvert peu de choses sur la vie en elle-même. La jeune fille était très renfermée dans ses livres, lisant tout ce qu'elle peut sur ce qui l'intéresse. Lire et apprendre le plus de choses sur tout ce qui l'entourait était devenu sa façon de vivre. Elle prétendait être heureuse comme ça et tentait bien que mal de se l'avouer à elle-même. Mais ce que Lili ne savait pas, c'est que les autres pouvaient nous apprendre beaucoup plus de choses que ce que l'on pouvait croire. La porte s'ouvrit pour la deuxième fois aujourd'hui. Lili venait de s'assoupir légèrement. Ses yeux s'ouvrirent en voyant son père s'approcher d'elle. - Tu vas bien ? Demanda Pierre. Pierre était un bon père. Il acceptait le fait que sa fille s'ouvre peu aux autres malgré qu'il en souffre lui aussi, notamment lorsqu'il la voyait triste. C'était un homme grand et musclé, ayant eu une vie pauvre et difficile avant de pouvoir vivre de sa passion qui était la musique. Malgré sa grande carrure, Pierre cachait son émotion dans la musique qu'il créait, comme le faisait Lili durant la nuit. C'était aussi pour cela que Marie l'aimait. - Oui je vais bien ... soupira Lili. Elle pensait à toutes ces journées, enfermée dans la bibliothèque tandis que d'autres s'amusaient dans leurs piscines, leurs jeux, ... Tandis que d'autres n'apprenaient pas. Elle trouvait cela stupide de ne rien vouloir savoir mais elle enviait en même temps ces personnes qui avaient l'air de beaucoup s'amuser. Elle ferma les yeux un instant. Un court moment qui sembla passer aussi vite que passe le temps. Marie venait de rentrer du centre-ville. Elle rentra calmement dans la chambre, il était déjà tard. - Lili ? Il est l'heure de manger ! Chuchota Marie. Voyant que sa fille dormait, Marie la secoua délicatement pour la réveiller. Elle était revenue plus tôt que prévu, son amie avait dû rentrer s'occuper de son fils. Lorsque Lili ouvrit les yeux, la lumière l'a rendit aveugle durant quelques secondes. Elle n'avait pas faim. La tristesse que lui avaient générée ces quelques pensées avant de dormir avait suffi à lui couper l'appétit. Elle venait de rêver d'un jeune garçon. Elle regarda sa mère et lui trouva une mine joyeuse. - Vas-y, j'arrive dans quelques minutes. Le temps de me réveiller. Lui répondit Lili. Sa mère acquiesça et sortit de la chambre en évitant une nouvelle fois le bazar. Lili se tourna vers sa table de nuit, ouvrit le troisième tiroir et en sortir un cahier gris. Elle l'ouvrit à la cinquantième page, prit un stylo plume décoré de bois marron avec une belle plume dorée et commença à écrire le récit de son rêve. Depuis ses douze ans, Lili s'intéressait aux rêves qu'elle faisait. Mais elle le cachait car peu de monde y portait intérêt. La jeune fille savait que ses rêves renfermaient des secrets encore inconnus. Les rêves lui permettaient de sortir du monde réel et de s'intégrer dans un autre monde. Le monde onirique. Elle se nommait d'ailleurs elle-même oniraunote, quelqu'un qui fait des rêves lucides et qui s'y intéresse tout particulièrement. Mais dans cette vie où la réalité laissait place au virtuel, Lili se sentait un peu perdue. Alors, lorsqu'elle en ressentait le besoin, elle se réfugiait dans ses rêves. Comme elle le fit ce jour-là, pour échapper à sa tristesse. Pour ceux qui sont arrivés ici : Toute critique est acceptée ! Bisouuus :3:
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Ancien membre
22/05/2014 à 00:56

Pour ma part j'aime bien ta façon d'écrire. C'est clair et compréhensible. Maintenant, en tant que grammar nazi, et je suis pas certain de moi là dessus, mais il me semble que pour le "rigola-t'elle", il serait plus juste de mettre "rigola-t-elle". Ca revient aussi à un autre endroit où l'on retrouve l'apostrophe à la place du trait d'union. Mais je répète, je suis pas certain que ce soit une erreur, peut-être que tu as déjà vu cette forme d'écriture quelque part et qu'elles se valent. A voir. Globalement j'ai apprécié.


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