partage textes poèmes tout genre - Page n°2

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Phoenix73
23/05/2023 à 20:47

Citation de Sn@ilm00n #456431

Tu as une jolie plume très chère.

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Ancien membre
23/05/2023 à 21:11

Citation de Pom2reinette #454994

Woooo c'est beau ça, c'est de toi ? 😶

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23/05/2023 à 21:16

Citation de Phoenix73 #456438

Mirci fainixette😋🐦

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23/05/2023 à 22:01

Citation de Sn@ilm00n #456431

Joli 🤩🌱 merci pour le partage de cette très jolie prose

Citation de Delinphe #456441

Oui 😊 merci !

Citation de Phoenix73 #456438

On dit que les jolies proses sont celles qui viennent directement du coeur. Et ce poème tout en douceur est très beau :)

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RêveuseParis
24/05/2023 à 07:39

Citation de Crème2Cactus #434752

Ça passe Grave crème Votre texte Ma Cactus 😍😍😍 une jolie plume 👍

Citation de Phoenix73 #456415

Je n ai jamais douté de vos talents du cœur ni celle de votre prose pour votre Rose 😍😍😍

J ai bien souris en le lisant et merci de rendre hommage à la vilaine Branleuse 😍

Citation de Eugidius #446903

Votre manière d écrire est toujours aussi impressionnante... merci 😍

Citation de Pom2reinette #454994

Ma PommeNenette 😍 Votre texte est magnifique et j attend d avoir un autographe 😍😍

Citation de Sn@ilm00n #456431

Ma Calimerotte 😍😍😍😍 Je suis Fan des Fans de votre atmosphère dans vos textes , il me parle tant 😍😍😍

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Crème2Cactus
25/05/2023 à 17:48 - 25/05/2023 à 19:44

Avant-hier, j'ai fait une grosse randonnée (du type dont j'avais perdu l'habitude = grosses courbatures 😁) et j'ai écris ce texte pour rigoler, c'est inspiré d'une chanson très connue.

J'ai trop marché sur tes sentiers

J'suis isolée sur tes dromi

Y'a plus que les piafs pour siffloter

Et quand j'me casse, je croise plein de fourmis

Y'a pas plus dur que tes cailloux

Dans l'labyrinthe de tes chemins

Trois dérapages, mes muscles en prennent un coup

Et ce matin, font moins les malins.

Quand l'ascension est dure, dure, dure

Quand la descente est rude, rude, rude

Quand mes mollets sont durs, durs, durs

Faut qu'ils guident mes pas (X2)

C'est n'importe quoi mais je me suis bien amusée...


Le cerveau humain est une machine merveilleuse. Mais sa fonction première est de nous faire survivre dans la savane, pas d’inventer des systèmes politiques complexes.

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25/05/2023 à 18:27

Citation de ReveuseParis #456486

Merci ma reveuzzz ! Moi je suis fan de votre dégaine de branleuzzz🤩

Citation de Crème2Cactus #456657

🤣😂miss kaktue ça donne envie effectivement ! Tres bonne vibes! On pourrait faire un tube de l'été avec ce chouette petit texte 😉😋😎

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Crème2Cactus
25/05/2023 à 19:47

Merci petite coquille, c'est une idée 😁😄


Le cerveau humain est une machine merveilleuse. Mais sa fonction première est de nous faire survivre dans la savane, pas d’inventer des systèmes politiques complexes.

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Eugidius
26/05/2023 à 06:53

L’ascension

Mon choix a ciblé dans le sommet son centre,

Ma peur s’assume et défi sa compréhension,

Le cœur se serre, les jambes tremblent, d’appréhension,

C’est l’heure du départ, tout remue dans le ventre,

Le parcours sera simple, pas à pas, en avant

Ma pensée ne retournera pas en arrière,

Mon sac est ordonné, assuré de manière,

C’est que rien ne me manque, pour être un survivant,

Le temps est suspendu dès la première foulée,

Mon rythme métronome devient une cadence

Ma progression module les courbes de la danse,

C’est un corps rajeunit allant se défouler,

Ma vigueur à l’écoute de son point de rupture

Le mont c’est ma tension en recherche de sa cime

Mon ascension témoigne de mon effort intime,

C’est en gouttes de sueur, en pluie sur la nature…

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BiOrg4niX
27/05/2023 à 14:11 - 27/05/2023 à 14:13

Un peu comme le topic sur les textes sombres et ayant un réel plaisir à la lecture de textes ou poésies percutantes, voici un texte d'une chanson d'amour version Hubert-Félix Thiéfaine. Cette chanson est disponible sur l'album "La tentation du bonheur" sorti en 1996.

SENTIMENTS NUMÉRIQUES REVISITÉS

quand les ombres du soir chevauchent sur la lande

avec dans leurs passeports sherwood ou brocéliande

quand les elfes titubent sous l’alcool de sorgho

dans les cercles succubes de la lune en faisceaux

quand les vents de minuit décoiffent les serments

des amants sous les aulnes d’un hôtel flamand

quand tes visions nocturnes t’empêchent de rêver

et couvrent ton sommeil d’un voile inachevé

je n’ai plus de mots assez durs pour te dire que je t’aime

quand les chauves-souris flirtent avec les rossignols

dans les ruines d’un royaume où mon crâne est mongol

quand les syndicats brûlent nos rushes et nos démos

pour en finir avec le jugement des salauds

quand humpty dumpty jongle avec nos mots sans noms

dans le bourdonnement des câbles à haute tension

quand tu m’offres épuisée sous l’œil d’une opaline

les charmes vénéneux de tes fragrances intimes

je n’ai plus de mots assez durs pour te dire que je t’aime

quand les théâtres antiques recèlent nos orgies

çatal höyük airport, manco capac city

quand nos murs se recouvrent de hiéroglyphes indiens

avec nos voix blafardes en feedback au matin

quand tes mangoustes viennent avaler mes couleuvres

dans ces nuits tropicales où rugit le grand œuvre

quand l’ange anthropophage nous guide sur la colline

pour un nouveau festin de nos chairs androgynes

je n’ai plus de mots assez durs pour te dire que je t’aime

quand les clochards opposent la classe et l’infini

à la vulgarité glauque de la bourgeoisie

quand les valets de cour, plaideurs pusillanimes

encombrent de leurs voix nos silences et nos rimes

quand aux détours d’un bar tu flingues aux lavabos

quelque juge emportant ma tête sur un plateau

quand tu branches les hélices de ma mémoire astrale

sur les capteurs-influx de ta flamme initiale

je n’ai plus de mots assez durs pour te dire que je t’aime

quand les traces de rorschach sur la tôle ondulée

servent aux maîtres à tester l’autochtone humilié

quand sur la moleskine des limousines en liesse

ils en rient en fumant la mucho cojones

quand les cris de l’amour croisent les crocs de la haine

dans l’encyclopédie des clameurs souterraines

quand je rentre amoché, fatigué, dézingué

en rêvant de mourir sur ton ventre mouillé

je n’ai plus de mots assez durs pour te dire que je t’aime

quand dans la lumière sale d’un miroir tamisé

tu croises l’œil éphémère d’une salamandre ailée

quand dans les brumes étales de nos corps transparents

tu réveilles mes volcans lumineux du néant

quand mes pensées confuses s’éclairent au magnésium

sur les écrans-secrets de ton pandémonium

quand mes bougainvillées se mêlent aux herbes folles

dans ta chaleur biguine au crépuscule créole

je n’ai plus de mots assez durs pour te dire que je t’aime

quand les ombres du soir poursuivent sur la lande

le flash des feux arrières d’une soucoupe volante

quand le soleil se brûle aux contours de tes reins

parmi les masques obscurs d’un carnaval romain

quand l’ordre des humains nous sert dans son cocktail

cinq milliards de versions différentes du réel

quand tu pleures essoufflée au creux de ma poitrine

avec les doux murmures des fréquences féminines

je n’ai plus de mots assez durs pour te dire que je t’aime

Paroles & Musique : Hubert-Félix Thiéfaine

https://youtu.be/PCKyauft1W4

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Ancien membre
27/05/2023 à 16:06 - 27/05/2023 à 16:06

Que j'aime ce texte et cette chanson 😍 vive Thiéfaine !

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Ancien membre
29/11/2023 à 22:40

Je rêvais dans vos bras

Je rêvais de nos jeux de plaisirs et de folies

de ces fantasmes fous jusqu'au lever du jour

ceux qui nous portaient au-delà de nos envies

je rêvais dans vos bras, la fin de nos amours !

Je rêvais de nos ébats sous des nuits étoilées

caresses affectueuses, des mots tendrement dit

ceux qui nous brûlaient à la chaleur d'un baiser

je rêvais de nos jeux de plaisirs et de folies !

Je rêvais de nos passions et de notre légèreté

ces merveilleuses richesses dont on avait recours

celles qui nous ouvraient les portes du péché

de ces fantasmes fous jusqu'au lever du jour !

Je rêvais de ces nuits où nos regards se perdaient

dans des pensées confuses où nos corps, épanouis

savouraient ces instants où l'on se retrouvait

ceux qui nous portaient au-delà de nos envies !

Je rêvais de ces heures fragiles et douces à la fois

pour sentir en nous la fraîcheur de notre parcours

celle qui nous coupait le souffle bouleversant l'émoi

je rêvais dans vos bras, la fin de nos amours...

La plume de Bruno

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ChtiteVortex
23/12/2023 à 20:16 - 29/01/2024 à 16:50

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avatar contributeur de Eugidius
Eugidius
20/02/2024 à 19:17 - 20/02/2024 à 19:23

le verrou

La porte est ouverte sur un lieu terne,

Avec la jeunesse, les joies du printemps,

Aucune passion ne demeure longtemps,

Quand viennent les amours, le cœur se ferme ;

On ne laisse pas s’échapper le cri

Il ne dirait d’ailleurs, rien d’important !

Tout est déjà soumis et si heurtant

Les poings contre ce mur, ils sont meurtris ;

Peut-être reste-t-il encore l’écriture,

Une échelle de secours pour la fenêtre,

Une chance de partir et de renaître,

Mais la morale est une dictature ;

Alors, fuir de sa chambre pour aller où ?

Il en vient à vouloir se protéger

Et de peur ou de honte de déranger,

L’enfant gay se referme au verrou…



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