Informations
on se retrouve parfois très très vite face à soi meme.[/b]Justement, je pense que le problème n'est pas la solitude mais l'image de toi que ça te renvoie. Si tu étais pleinement en paix avec toi-même, il n'y aurait pas ce soucis. Personnellement je suis extrêmement solitaire, mais par choix. Sans la solitude, je ne suis plus moi-même, et je me sens étouffer. Du coup j'adore faire des activités, voyager, etc, en étant seul. Ça m'offre une liberté totale. Aucune barrière, aucun frein, aucune obligation, aucune contrainte. Après ça ne m'empêche pas de sortir boire un verre ou autre avec des amis chaque semaine, mais je ne pourrais pas le faire tous les jours, genre une fois par semaine ça me suffit amplement. Alors c'est sûr une infime petite partie de moi me dit "Oh il faudrait peut-être rentrer dans les rangs et faire un effort pour changer cet aspect", d'où ma présence par exemple sur ce site. Mais dans le fond, je ne suis clairement pas convaincu ni d'en avoir envie, ni d'en avoir besoin. Je trouve que la solitude permet d'effectuer un travail de malade sur soi, de se transcender et de le faire selon ses désirs profonds et non pas pour se conformer aux normes de la société. J'aurais du mal à faire marche arrière je pense.
Ce sujet est à placer dans la rubrique je m appelle Remi :-) J aimerai savoir si je suis le seul à souffrir de solitude, j ai rarement dans ma vie été habitué à ça. J ai du mal à accepter de faire des activités seul, meme si j y prend du plaisir. Dans 3 jours je suis en vacances, je veux m évader faire du sport mais encore seul. Meme si dans ma vie etre seul m a permis de rencontrer beaucoup de gens, on se retrouve parfois très très vite face à soi meme. Vous votre solitude, vous la vivez comment, une souffrance comme moi, un mal pour un bien, ou une entière liberté ?parfois la solitude c'est ne pas trouver d'égal à sois même, j'ai beaucoup de mal à avoir des amis parce que je suis trop exigeante, mais , la solitude ne me dérange pas elle a juste certains inconvéniants aha :)
Ayant un peu de mal avec la solitude physique tout en aimant quand même être dans ma bulle dès que j en ai envie, je me suis mise dans une colocation plutôt indépendante : chacun fais sa vie, mais des fois on se croise et on partage une soirée ou une discussion sympa, le juste milieu pour moi (si j avais su plus tôt que ça marcherait, j aurais pas attendu 4 ans pour le faire, si ça peut donner des idées aux gens un peu comme moi). La solitude partielle est super importante pour moi, je préfère risquer de m ennuyer un peu plutôt qu en avoir marre des gens... mais la solitude subie genre quand y a personne pendant plusieurs jours, c est déjà plus délicat. Faut s occuper seul-e, t as le choix entre te divertir l esprit un maximum (films, livres, etc), ce qui marche très bien sur le coup mais ne règle pas tout. Ou alors, tu peux réfléchir sur toi-même, ce que tu pourrais réaliser ou tenter de nouveau, dont tu pourrais être fier-e sans que ça passe par le regard d autrui (c est un de mes problèmes : j ai du mal à faire un truc jusqu au bout s il y a personne pour en profiter, on en revient à la question d exister pour soi-même). Pour ça je pense me mettre à la méditation, je pense que ça peut complètement avoir un lien avec le fait d apprendre à exister pour soi-même. Voilà c était une réponse un peu générale à ce sujet pas mal touffuD'accord de A à Z
Je suis dans le cas bizarre où la solitude me fait souffrir car j ai personne pour partager ma vie mais en même temps me fait du bien car les discussions sur les sites, applis... et les rencontres qui en découlent m ont abimé. Je suis fatigué de tous ces profils creux et interchangeable :sDu temps lointain où les gays s’accommodaient du seul mec disponible à des dizaines de kilomètres à la ronde qui étaient le seul horizon, la question ne se posait pas car c'était ce mec ou rien, et la plupart du temps c'était ce mec, avec forte différence d'âge car pas le choix. Maintenant on est comme l’âne de la fable du sieur Martin, le choix est tellement vaste et standardisé que soit on préfère renoncer et finir seul (l'âne à Martin est mot d'avoir trop longtemps hésité entre boire ou manger...), soit il faut absolument tout consommer pour tenter d'arriver à satisfaction sans jamais y parvenir. Mais en même temps rien n’empêche de dire non à ce mode de vie et rechercher ceux qui y résistent aussi.
Moi la solitude ma Beaucoup fait souffrir à 17ans car j était quelqu un de timide jusqu à maintenant mais moins,j avais pas des amis ou on ce moquait de moi en cours etc... Mais pourtant la solitude ma permis de réfléchir à des ta de choses et sa ma permis d avancer dans la vie pour des ta de chose. Je fait des activités tout seul car la solitude ma rendu un peux sauvage car je du mal aller vers les gens pour se tapé des discute etc...Tiens je te mets ce texte de Allen Ginsberg auquel j'ai pensé en te lisant et que j'aime car il me renvoie complètement à mon adolescence, mon début de vie d'adulte et qui fait ce que je suis aujourd'hui: "L'homosexualité est une condition. Parce-que dès le départ, elle m'a mis à l'écart, elle m'a servi de catalyseur pour m'interroger sur moi même, où elle m'a permis de prendre conscience de mon environnement et des raisons qui font que les autres sont différents et que je suis différent."
sa fait bcp de mal
perso j'avais meme ce sentiments pendant une periode très sombre de mon adolescence . " En étant bien avec soi, on a plus de chances de l'être avec les autres " . Ne pas avoir l'air triste et parraitre ouvert , les gens ont beaucoup plus envie de venir vers nous !