Citation de Fierdre #384833
Nous sommes entièrement d'accord.
En dehors de la partie gestuelle et corporelle, le moule fluctue avec le temps et l'endroit. Quel qu'il soit on y trouvera plus ou moins de choses qui plaisent ou pas.
Les moules sont dessinés avec les choix innés des CIS fatalement majoritaires selon la logique Darwiniste. Pas étonnant qu'une majorité d'humains s'y reconnaisse et que ces mêmes moules sembles flous, incensés , ou inversés pour la minorité.
Je pense que la cistitude c'est cool :p
J'ai quand même l'impression que quand on parle de genre, on parle quasiment toujours de rôle de genre.
"un homme dois être comme ça, une femme comme ça, si t'es comme ça tu es un homme, une femme ne dois pas ça".
À partir du moment où tu enleve les partie génital du débats, un genre se définie par la rôle que tu joue.
D'où le problème pour les personnes trans de devoir surjouer la féminité pour transitionner (c'était le cas avant dans le cheminent classique).
Ou même pour les cis, les femmes et les hommes vont performer à l'excès leurs genre à l'adolescance, ou au contraire, le jouer le moins possible.
D'où découle les garçon et fille manqué. Ce qui en lui même veux bien dire ce que ça dit.
Je vais attendre la réponse de Jessica pour répondre, je n'ai peut être pas bien compris l'énoncé
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Moi non plus peut être.
Citation de Fierdre #384840
Je suis pas sûr d'être d'accord avec la logique darwinistes cis
La logique Darwiniste n'est pas CIS. Elle est logique. Il n'y a pas pas plusieurs logiques.
A bien y réfléchir ce Darwinisme n'apporte rien car même si un.e homo se reproduit cela a peu de chance d'engendrer un.e homo... Mais il y aurait tout de même un rééquilibrage puisque les homo ne se reproduisent pas.
Citation de Alithia #384841
"un homme dois être comme ça, une femme comme ça, si t'es comme ça tu es un homme, une femme ne dois pas ça".
C'est cela le moule issu des préférences majoritaires CIS. Comme l'humain fonctionne par comparaisons, il paraît suspect de ne pas y rentrer.
problème pour les personnes trans de devoir surjouer la féminité pour transitionner
Ou la masculinité ?
Le seul rôle que j'ai eu à interpréter et potentiellement surjouer est le rôle que m'a ordonné de jouer la société. Celui qui n'est PAS le mien.
Citation de Jessica69 #384848
Je répondais a ceci
''CIS fatalement majoritaires selon la logique Darwiniste''
Est ce que je peux te demander de reformuler ta dernière réponse?
Je suis un peu confus, une fois on parle de cis, une fois on parle d'homo.
La logique darwiniste voudrait très logiquement que dans la nature les rapports hétéro mènent a une reproduction de l'espèce. On est d'accord. Mais ça n'implique pas que ça exclue les rapports Homo ou bi ou pan ou peu importe comment on appelle ça pour les animaux. C'est juste que dans la nature y a certains prérequis.
Si on parle d'espèce humaine, surtout en tenant compte des transidentités, ça devient folklo.
On peut très bien reproduire l'espèce avec un relation homosexuelle si l'un.e est trans.
Rien ne garantit que la progéniture sera cis, ou trans, ou hétéro, ou bi, etc.
Bref, pourrais tu le reformuler, que je comprenne mieux ton propos?
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA
Ou la masculinité, ou les deux, ça dépend des personnes finalement.
Alors les sciences on montrer l'intérêt des animaux homosexuel. Plus encore, il serai même tentant de dire que le darwinisme engendre l'homosexualité.
En tout cas pour les animaux qui s'occupent de leurs petits.
Des observations montrent que les couples homosexuel recceuil les orphelins, et son nécessaire au groupe social pour remplacer des couples hetero si besoin.
Ça plus le fait qu'habituellemnt les membre improductifs, ou gênant, son viré des groupes, mais on s'aperçoit que ce n'est pas le cas des couples homosexuel.
Ça c'est juste pour dire que l'homosexualité trouve une place dans la théorie de l'évolution darwinienne.
Je dirais même plus, et la j'en reviens au sujet initial.
Les personnes trans ou intersex, sont plus a même de combler les vides laisser par des personnes cis. Dans ce cas où, étant plus flexible, ils peuvent remplacer plus efficacement des rôles différents.
Alors la c'est juste de la théorie, pour valider une espèces de théorie de l'évolution qui impliquerais le désirs de créer des personnes trans et intersex.
Ce qui dans les fait et pas exactement ça.
On oublis de rajouter une variable au darwinisme non cité ici, l'eugénisme.
Oui, l'évolution permet au espèces de perdurer.
Mais l'évolution ne fonctionne que si il y a eugenisme.
Par exemple, l'archéologie montrent que les différence de physique sont assez récente dans l'histoire de l'humanité, et que la femme n'est devenue plus petite et plus frêle que parce qu'elle a arrêter de faire les traveaux physique comme l'homme (c'est plus complexe je schématise) et parce que les femmes dociles et fragiles était préféré au femme forte, comme ça l'était avant, qui avait une meilleurs constitution pour enfanté, car la femme a acquis un rôles social différent.
Donc les personnes transgenres, intersex, ect... N'ont pas étaient choisie, voir on étaient tué, ou on as gommer leurs existante en les forçant à rentrer dans le moule. D'où l'explosion actuel de personnes LGBT+.
Bref, je veux en venir, que l'être humain ne choisie plus ces membres les plus fort pour survivre et s'adapter, mais choisie ses membres en fonction de critère définie par les partie dominantes, de ce fait, ne sont plus complètement dépendant des théorie darwiniste.
Le fait de laisser à nouveau les personnes différentes d'exister, et donc d'arrêter une forme d'eugenisme, tenderais à prouver que les différences sont génétiques, en nécessaires à la survie de l'espèce.
Et donc que les personnes trans ou intersex, serai, comme le montrent les chiffres, un certain pourcentage assez fixe, car nécessaire au bon fonctionnement d'une société.
Bon c'est partir assez loin, et toute ces théorie, soulevez par certain, n'ont pour le moment aucune peuvent réel.
Désolée pour le temps de réponse mais j'ai à peine le temps de faire la synthèse qui pourrait être faite en amont, d'un pavé, que deux de plus sont apparus
Citation de Alithia #384832
Alors c'est bien plus complexe, ce que nous aimons ou non, découle d'expérience, de contexte. Une mauvaise expérience avec la fraises, ou une habitude de manger de la banane, une chose socialement admise comme mauvais comme les légumes, ect....
Selon qui... Freud?
Il n'est pas indispensable d'avoir une mauvaise expérience pour savoir que l'on aime pas les haricots verts. On le sait.
Si cela était vrai, d'ailleurs comment se pourrait-il que certains de nos goûts ou avis changent ?
Alors, c'est vrai que ça n'arrive pas chez tout le monde...
De nombreuses études montrent que l'ont peux conditionner l'être humains, à aimer et faire ce qu'on veux qu'il face. A coup d'embrigadement, par exemple, on peux lui faire nier tout ce que l'ont est.
Lesquelles ?
Si l'objectif est de nous dire que nous somme conditionnés par le cousin de Big brother... C'est bien plus simple et moins complotiste.
L'élément déclencheur, l'événement, ou la chose qui fait de nous une personnes trans, une personne cis, est encore très mal connue et débattue. Social, génétique, les deux, autres choses. Est ce que c'est avant la naissances, pendant le développement de l'enfant. Bref que de question sans réponses
C'est l'objectif du Topic avec une thèse qui est parfaitement crédible à bon entendeur.
Merci de rappeler l'objectif de ce sujet avec toutes ces généralités.
"Nous ne contrôlons absolument pas les réponses de notre cerveau. Ce sont ces (et ses) réponses aléatoires qui définissent si nous aimons la fraise et détestons le contact avec l'aluminium... aimons regarder la Joconde, détestons sentir l'humus et aimons le chant des tourterelles,... ou inversement... "
Je rajoute mon grain de sel pour rappeler que de nombreux goût et de nombreuses préférences sont le fruits de quelque chose.
On peut te forcer à manger un aliment petit et ne plus vouloir en manger adulte.
Tu peux goûter quelque chose petit et découvrir que tu t'es trompé ou à été trompé et en faite c'est pas du tout ça.
Nos cerveaux associent des milliers de chose, et ces associations peuvent profite des goûts.
Surtout que ce qu'on appelle le "hasard" et surtout le fruits de chose dont on ne perçois pas les aboutissements.
Autre exemple : si j'ai rencontré tel personne à tel endroit, c'est le fruit de décision, de choix, de circonstances qui sont arrivé à ça.
Je dit ça pour rajouter que pleins de choses qui définissent nos goûts peuvent être le fruit de connexion neuronales qui se sont faite sans qu'on est conscience de ça.
Citation de Jessica69 #384769
"Imagine que tout ce que tu aimes se rapportant bien à ton sexe (dans une vision cis hétéronormée) soit remplacé par des choses appartenant à l'autre sexe... (dans une vision cis hétéronormée). Si tu ressent un mal être, un vertige, un manque,... Un vide,... C'est cela que ressent un trans quand on lui dit qu'il doit n'aimer que les choses de SON sexe."
Je me considère cis, parce que je n'ai pas de soucis à être identifié comme un homme.
Mais perso je peux avoir des choses que j'aime bien ou qui me définit qui sont associé à mon sexe comme à l'autre.
Voir même être associé au genre féminin ne me poserai aucun soucis.
Mais je me considère pas non binaire pour autant.
Peut être que le noeud du problème est bien ces associations de goût, de personnalité, de façon d'être, de métier,... À un genre.
L'existence des genres est lié intrasequement aux stéréotypes de genre.
Pour synthétiser,... Tu nous dis que tu es CIS mais que tu t'en moques ?
Citation de Jessica69 #384900
Ben disons qu'on m'a jamais poussé dans un stéréotypes, j'ai (sûrement par chance) ou exprimer ma sensibilité sans trop de problème. Jeune je me suis identifié avec des personnage féminin sans que ça ai posé de problème. J'ai plus souvent eu des amies femme qu'homme, j'ai même souvent eu des difficultés à me retrouver dans les stéréotypes masculins.
Mais on n'a jamais vraiment pointé ça.
Donc je me suis jamais dit que ça remettait en question mon genre, en vrai je me suis jamais posé de question sur mon genre, j'ai fait ce qu'on m'a dit, je suis un garçons.
Mais je me suis jamais demandé ce que c'était d'être un garçons.
Enfin jamais... Jusqu'à mes (entre 16 et 19 ans) ou un oncle m'a engueulé parce que je m'étais du vernis noir à un repas de famille.
La j'ai compris que j'avais fait un truc qui fallait pas...
C'est ce qui m'empêche depuis ce temps de me refaire, mais sans ce blocage, et sans le regard de la société, je l'aurai surement refait.
Mais j'ai remarqué entre temps que j'avais de nombreux comportements qui peut être jugé plutôt féminin (croiser les jambes, jouer avec ses cheveux, par exemple), mais perso je m'en fou un peu, puis ça passe.
Ce que je veux dire, c'est que sans le regard de la société sur ce qu'elle définit comme masculin ou féminin... Bah qu'est ce qui pourrait le définir ? (en dehors du sexe biologique, et la encore y'a quelques exceptions)
Citation de Fierdre #384830
... dans certains cas d'intersexuation dits ''''extremes''''', tu es théoriquement cis si tu sens homme et femme...
Je dois dire que j'ai hésité mais refusé de prendre le risque d'une bourde par méconnaissance et par égard.
Merci pour ce renseignement. Le tableau a été modifié en conséquence, laissant toutefois l'option N.B.
Citation de Jessica69 #385084
Ho c'était juste une '' anecdote '' parce que je trouve ça assez cocasse, au niveau des termes.
Ça n'était pas vraiment une rectification, ni rien de ce genre ^^
JE SUIS TOUJOURS PAS UNE NANA