Sexe oral, IST, dingues dentaires, fruits juteux et légumes de saison

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Ancien membre
28/04/2019 à 09:57

Gay plutôt sage je ne connaissais en pratique pas grand-chose de ces digues dentaires, j’ai même été surpris par sa couleur mauve fausse lavande de Provence. J’ai surtout été surpris par la qualité de cette vidéo, surtout en cette époque de pénurie de prudence, et de laboratoires rois. Je la partage donc avec plaisir, même si elle concerne surtout les filles et les hétéros. Comment se protéger des IST quand on pratique le sexe oral :

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Ancien membre
28/04/2019 à 10:49

Donc j'enrobe le pamplemousse avec une digue en latex et je vais être protégé des IST ? mais que faire si c'est pas la saison du fruit ? et peut-on remplacer la digue avec la cellophane moins chère ?

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Ancien membre
28/04/2019 à 11:07

Sérieusement je voudrais savoir quelle est la proportion des gens qui pratiquent le sexe oro-génital avec une protection ?

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Ancien membre
28/04/2019 à 11:48

Si on se place d´un point de vue bénéfice / risque du sexe oro-génital sans protection :

  • Bénéfice : quoi qu´on en dise, mettre une protection atténuera le plaisir, que ce soit pour celui qui pratique ou celui qui reçoit. Et puis les goûts artificiels fruités des préservatifs ou au chocolat, c´est pas du tout mon kiff. Bref, sucer ou lécher du plastique, non merci.

  • Risque : on risque d'attrapper les ist (herpes, syphilis, chlamydia, hépatite, et autre joyeuseté) et vih.

Mais ces risques, quels sont-ils réellement ?

  • Les fameux IST : ces infections ne sont pas mortelles et il existe des antibiotiques efficaces. Il suffit de se faire dépister régulièrement, c'est tout. Et puis il existe des vaccins contre le HPV et l'hépatite A et B.

  • Le méchant VIH : alors celui-là il est d'un level supérieur aux autres. Mais son risque de transmission est très très très très faible dans le sexe oro-génital. Mais mieux vaut éviter de tenter le diable si on a des lésions ou des inflammations buccales. Et puis joker : prep, là le risque est nul.

Donc si on est rationnel, si je fais un calcul pur coût / bénéfice à la Bentham, la réponse est toute trouvée.

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Ancien membre
28/04/2019 à 12:57

Steph41190,

"Après le mieux dans le cadre d'une relation stable, assurément fidèle et non "libre" ce sont les tests. Je dis assurément fidèle, car je me rappel d'un inscrit qui avait choppé une IST.....et c'est son compagnon qui l'avait trompé...qui lui avait refilé. Évidemment ce dernier lui avait juré que non...jusqu'au moment où..."

Tu emploies à juste titre le mot assurément, et l'assurance que procure le dépistage.

Avoir un copain stable qu’on connaît bien offre moins de risques que le papillonnage, une meilleure assurance de sécurité, qui peut conduire à lever tout ou partie des protections. Personnellement je conseillerais de vraiment bien se connaître avant de lever la protection des relation anales insertives, mais bon. Connaître la personne y compris savoir si elle séropositive à ceci ou cela, mais non infectieuse grâce à son traitement ou au contraire infectieuse. En tout cas il faut s’assurer périodiquement, disons tous les ans et en tout cas plus souvent que quelques années, qu’il n’y a pas eu défaillance dans la sécurité du couple.

Pour les gens qui sortent avec de multiples partenaires, à fortiori dont ils ne savent rien, les protections doivent nécessairement être plus systématiques et les dépistages plus fréquent. Au point que la guideline actuelle est un dépistage trimestriel pour les personnes plus exposées, voire même une prophylaxie pré-exposition au VIH pour les personnes les plus exposées.

Ceci étant Dimancche pointe à juste titre que, « Sérieusement je voudrais savoir quelle est la proportion des gens qui pratiquent le sexe oro-génital avec une protection ? ».

Pour les IST autres que le VIH il n’y a pas photo, si on ne se protège pas (y compris vaccinations) il faut avoir un bon médecin, ne pas craindre d’avoir mal ou de devenir malade chronique, et avoir un minimum de chance pour ne pas tomber sur des germes résistants aux médicaments.

Pour le VIH le débat a déjà été fait en long large et en travers, en moyenne il est peu infectieux à l’oral, mais avec un fort écart-type : dans certaines circonstances défavorables des gens qui se croyaient sécurisés en pratiquant le sexe oral homo masculin ont été infectées, je n’ai rien lu concernant le sexe oral féminin, mais ces circonstances défavorables existent normalement aussi. De façon plus générale le VIH est moins infectieux que pas mal d’IST, mais se rattrape par la répétition des actes sexuels, et/ou sur des circonstances défavorables telles que début d’infection du donneur, ou stade avancé de Sida, fragilité des muqueuses du receveur (par nature, micro-blessures, atteintes infectieuses préalables, etc), blessure par aiguille infectée, transfusion de sang infecté (rarissime en France), transmission mère-enfant à la naissance (sous contrôle en France), etc, et aussi largement parce qu’il reste silencieux (mais pas inactif) pendant les années qui suivent l’infection.

Au total les digues ne semblent pas idiotes pour celles et ceux qui vont léchouiller les pamplemousses juteux et les fleurs du mal mdr, mais qui a bien pu avoir l’idée de les teindre en mauve ? ^^

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Ancien membre
28/04/2019 à 13:12

Dimancche ,

"Et puis joker : prep, là le risque est nul."

Sauf qu'en France la Prep est en train de se tirer politiquement une balle dans le pied, en ringardisant les protections traditionnelles tout en se révélant incapable de maitriser l'épidémie.

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J’édite pour quelques précisions…

« Les fameux IST : ces infections ne sont pas mortelles et il existe des antibiotiques efficaces. Il suffit de se faire dépister régulièrement, c'est tout. Et puis il existe des vaccins contre le HPV et l'hépatite A et B »

Les vaccins c’est très bien, surtout chez les gens les plus exposés. Mais je ne suis pas sur que la couverture vaccinale soit actuellement optimale, c’est un euphémisme.

Quant-à faire systématiquement appel aux médecins, autrement dit s’appuyer uniquement sur une alarme et une intervention, c’est comme s’appuyer sur une alarme et des pompiers pour maîtriser les risques d'incendies des cathédrales, si tu vois ce que je veux dire. Cela dépend beaucoup de l’importance qu’on accorde à la cathédrale, de la qualité des pompiers, de qui paie tout ça, et d’un peu de chance qui ne survient pas toujours.

On peut trouver une sorte de perfection à prendre des risques, les partager avec les autres, et en faire partager le cout par les autres. Mais cela dépend beaucoup de leur résilience : il ne faudrait pas que quelques grands médecins hospitaliers se rebellent comme actuellement, ni que les classes moyennes refusent de payer la facture en cassant tout dans les rues tous les samedis…

« Le méchant VIH : alors celui-là il est d'un level supérieur aux autres. Mais son risque de transmission est très très très très faible dans le sexe oro-génital. Mais mieux vaut éviter de tenter le diable si on a des lésions ou des inflammations buccales. Et puis joker : prep, là le risque est nul. »

Je ne vais pas répéter ce que j’ai écrit sur le VIH, il est en effet peu infectieux, notamment à l’oral, mais bénéficie de prises de risques répétées et/ou de circonstances défavorables. Dont il se sort très bien si on en croit les statistiques des nouvelles infections, qui font de la résistance malgré l’empilement de protections médicamentauses qui nous ont chaque fois été vendues comme individuellement miraculeuses, et surtout vendues très cher. Le vrai miracle c’est que les gens infectés soient actuellement maintenus en vie malades chroniques, ce qui est infiniment mieux que de mourir après des années d’atroces souffrances, mais qui n’est pas à proprement miraculeux en matière de prévention. C’est comme si on se satisfaisait des dizaines de milliers de jeunes qui passent dans des centres de réadaptation après un accident de la route, quand ils n’en meurent pas et sortent du coma. Et en effet on s’en satisfait, mais à tort en terme de prévention.

Personnellement je n’ai rien contre les antibiotiques ni contre les prophylaxies médicamenteuses pré ou post exposition, au contraire, pas plus que contre les indispensables dépistages de routine. Mais ils ne doivent pas se substituer à la prudence, seulement la contrôler, la sanctionner. Sinon on perd tout le bénéfice des sécurités de plus bas niveau, de leur indépendance statistique, on s’appuie sur des alarmes et des interventions. C’est la complainte des cathédrales françaises.

C’est plus généralement le manque de rigueur à la française qui génère des souffrances individuelles et plombe son économie. Bon je sais on peut trouver pire, mais peut-on s’en satisfaire ? ^^

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Ancien membre
28/04/2019 à 20:09

Salut Lindos.

Tout d'abord tu écris trés bien et tes posts semblent éclairés, avec beaucoup de culture à l'appui. Cela fait un moment que je voulais t'en faire le compliment.

Ta petite vidéo est fun. Rien de tel que les fruits et légumes de saison!

Ceci dit, pour ma part, je préfère me passer de sexe que de bouffer du latex. Cette ère du tout à l'hygiene, y compris dans ce domaine, ça me déprime. On a rien sans un minimum de risque dans la vie. c'est un peu facile de vouloir tout avoir sans se mouiller. mais ce n'est que mon avis et je ne le pose pas en exemple.

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Ancien membre
28/04/2019 à 20:20

Lindos aime bien étaler sa culture, il écrit bien, même s´il faut relire plusieurs fois pour comprendre quelque chose.

Pareil que Mimoza, entre sucer du latex et l´abstention sexuelle, je préfère m´abstenir. Un moment il faut arrêter :)

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Ancien membre
28/04/2019 à 20:39

Citation de Dimancche #298268

"Un moment il faut arrêter".

Plutôt, il y a un moment où il faudrait commencer à faire de la prévention, et ne pas appeler prévention uniquement l'intervention.

Par ailleurs le latex n'est pas la seule méthode de sécurisation de relations sexuelles, mais s'y prête bien en cas de multiplication des partenaires qu'on ne connait pas.

Personnellement je préfère aussi la peau de mon chewui au latex, mais j'étais beaucoup plus prudent avant de l'avoir rencontré.

Mais à mon sens le plus important est d'en comprendre le principe, de la même façon qu'il est préférable de comprendre le principe des limitations de vitesse avant de les appliquer ou non.

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Ancien membre
21/02/2020 à 15:22

??????????

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Ancien membre
21/02/2020 à 17:40

C'est quoi cette chose ? 😐

Un tue le plaisir pour sur !

Sinon on fait des tests et on garde les résultats, puis on demande à son futur partenaire ses récents résultats, et on lui fait confiance sur la période incognito

Mais bon là, c'est vrai qu'il y a des limites, et autant ne pas le faire dans ce cas là, c'est mieux lol

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Ancien membre
21/02/2020 à 18:36

Citation de Caramany #324756

Beau deterrage toujours utile ^^

Concernant les digues.... il se trouve qu'elles concernent essentiellement les filles et les hétéros. Mais bon à lécher n'importe qui n'importe où, des gays peuvent avoir aussi des mauvaises surprises.

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"La Vierge"

Déjà il faut balayer un mythe : la Vierge n'était probablement aussi vierge qu'on veut bien le dire, et son mari Joseph peut etre un peu cocu. En tout état de cause elle n'était plus vierge après son acouchement.

"Faut pas que vous soyiez devierginisée".

Là mon traducteur est en panne, tu veux dire dépucellé ?

La notion de pucellage est vague chez les hommes, et chez les femmes nubiles ...il y a longtemps que le constructeur n'offre plus de garantie ^^

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Plus sérieusement, quoi que...

Puisque cela te passionnes apparemment, mon couple stable offre un haut niveau de confiance, non pas par amour aveugle mais de façon éprouvée. Mais comme je l'ai déjà expliqué le risque zéro n'existant pas, et un dépistage périodique est une sécurité ultime indispensable.

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Reste que comme chez les gays la longévité moyenne des couples monogames ne doit pas être très élevée, y compris en incluant les couples dits sérieux, la prévention des IST devrait avoir tout son sens.

Il y a le partenaire en qui on a toute confiance dont je viens de parler, mais il a le plus souvent les partenaires dont on sait rien, et entre ces extremes, le ou les partenaires dont on sait des choses rassurantes, mais qu'on apprend encore à connaitre.

Habituellement en sécurité, si le danger est grave, ne rien savoir de sa probabilité devrait conduire à estimer que le risque est élevé. Et donc protéger tout ce qui peut l'etre, ou bien compenser le danger. Ca c'est le cas extreme.

Mieux connaitre la personne peut augmenter la confiance, au sens de diminuer le risque, la probabilité, voire même diminuer le niveau de danger. Et donc éventuellement le niveau de protection, sans pour autant négliger les filets de rattrapage, et donc le dépistage.

Pour autant, quelqu'un que tu connais un peu te montres son résultat, fiable, de dépistage. Certe cela augmente la confiance, mais lui faire confiance comme si tu le connaissais bien ? C'est pas raisinnable.

De même quelqu'un se dit sous PrEP. Déjà, normalement, cela signifie qu'il est habituellement à risques, compensés par la PrEP pour le VIH, et par des dépistages trimestriels des IST. Il n'y a pas de raison de lui faire plus confiance que ce rééquilibrage compensateur.

Dernier exemple, quelqu'un qui se dit sans expérience. Admettons qu'on puisse mieux lui faire confiance que s'il se disait etre le pape, pour le coup c'est lui qui peut être exposé à un différentiel de risque. Et qui par principe devrait être suffisamment protéger. Je sais bien que c'est généralement le dernier souci des gays, qui ne s'inquietent pas plus des autres que les autres se sont inquiétés d'eux quand ils étaient jeunes et vulnérables.

Reste que cela fait plein de cas, et bien d'autres, où la confiance reelle est loin de la confiance théorique, et où lever toutes les proctions n'est pas raisonnable.

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J'ajoute que quand on se lance dans des calculs pour évaluer les risques, on peut se tromper. J'ai en mémoire le témoignage d'un interne (médecin en cours de formation), qui ne protégeait jamais les fellations réceptives. Un jour il a sucé un séropositif notoire, mais dont il ne savait rien de sa charge virale. Faute à pas de chance, en tout cas erreur de calcul, fatale. Il a bénéficié des filets de sécurité ultérieurs, mais pour la vie.

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C'est facile de se moquer d'une prévention un peu concervatrice en terme de gestion des risques. Mais vaut mieux ajouter une couche de prévention qui peut défaillir, que de s'appuyer directement sur une couche de prévention qui ne doit pas défaillir. Et autant que je sache ce devrait être le coeur de ton métier ^^

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Ancien membre
21/02/2020 à 18:44

Pour moi ça sera l'abstention en cas d'inconnus, clairement un tue l'amour.

Je n'ai jamais eu de relation d'un jour avec une femme, mais j'imagine que ça ne l'enjoue pas forcément de faire une fellation sur un préservatif, tout comme cela n'enjoue pas la plupart des mecs. Bah c'est la même chose : Abstention, il n'y as pas de mal à ça.

Au final, ce ne sont pas les seules manières de faire les préliminaires, alors on peut très bien se passer des rapports oraux, qui pourraient être réservés aux personnes avec lesquelles vous êtes plus intimes, mais pas les plans funs.

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Ancien membre
21/02/2020 à 21:06

?????????????

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Ancien membre
22/02/2020 à 00:32

Je ne vais pas rebondir sur tout, tu ne sembles pas comprendre le principe des préventions combinées, que des médecins appellent aussi "en cascade".

J'ai tenté de te l'expliquer sur un autre topic en prenant l'exemple des contrôles techniques des véhicules. Le véhicule doit normalement être entretenu, maintenu, la prévention bien faite. Et le contrôle technique doit normalement trouver aucune défaillance de sécurité sur le véhicule. Pourtant ce contrôle est imposé... Car combiner à des risques de faible probabilité mais de haut niveau de danger, deux barrières elles-mêmes de faible probabilité de défaillance et indépendantes autrement dit n'ayant pas de mode commun de défaillance, permet d'obtenir un haut niveau de sécurité. C'est un principe général de prévention qu'on retrouve dans toutes les activités humaines, notamment les plus dangereuses on met une foultitude de barrières et redondances.

Le soucis, notamment en France où on aime bien chevaucher les limites et dépasser les seuils si ni vu ni connu, c’est que dans l’exemple d’un véhicule, les gens vont attendre le résultat du contrôle technique périodique pour faire l’entretient. On dit en sécurité qu’ils « s’appuient » sans trop d’état d’âme sur la barrière ultime, contrôle, radar, ou gendarme. Inévitablement ils vont se retrouver parfois, au moins transitoirement, en situation de défaillance. C’est comme si on ne comptait que sur la barre d’appui de la fenêtre pour empêcher un gamin de tomber d’un immeuble, inévitablement il en tomberait de temps en temps, et c’est d’ailleurs le cas…

Bref quand on recherche un haut niveau de sécurité dans un couple stable, le dépistage est le contrôle ultime, normalement négatif, qui pourrait sauver la vie en cas de défaillance inaperçue de toutes les préventions ou précautions prises pour augmenter la confiance, autrement dit diminuer le risque de défaillance. Parce que pour certaines IST un dépistage trop tardif, quand les symptômes apparaissent, peut compliquer le traitement et le pronostique.

Ce n’est certainement pas comme tu sembles le suggérer un manque de confiance, au contraire, en diminuant le risque cela augmente la confiance. C’est ce qui permet de vivre l’esprit tranquille tout en pratiquant des sports dangereux, en prenant des transports ultra-rapides, etc.

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Ancien membre
22/02/2020 à 00:58

??????????

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Ancien membre
22/02/2020 à 11:31

Tu insultes avec vulgarité ma prudence, mais ta fréquence élevée de dépistages avec un copain stable, qui apparaît compenser une confiance très moyenne, est aussi de la prudence. Que j’approuve sur le principe, mais me fait tout de même bien rire (et j'ai horreur de la vulgarité).

Ceci étant, avoir besoin de multiplier les détections de sortie du domaine sécurisé est certes sécurisant, mais dans le cas des virus notamment du VIH, la sortie est contrôlable mais irréversible comme tu l’as toi-même rappelé. Le pilotage d’un risque en multipliant ses contrôles a des limites, reste toujours un contrôle à posteriori.

Noter que si multiplier les dépistages est raccord avec la principale recommandation française, c’est parce que qu’elle est acculée à l’urgence en terme de santé publique. De bonnes recommandations comportent aussi des couches redondantes de prévention à priori, proactives, prophylactiques, tous ces qualificatifs étant équivalents. C’est d’ailleurs le cas, même si elles apparaissent de moins en moins audibles.

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Ancien membre
22/02/2020 à 11:41

??????????

avatar contributeur de Nature&Co
Nature&Co
23/02/2020 à 17:22

Bonjour,

Pour les sceptiques je vous invite à regarder ceci sur youtube, c'est parfaitement d'actualité (durée 4mn45s):

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Ancien membre
24/02/2020 à 11:30

Citation de Caramany #324776

Vous nous n'avez toujours pas montré vos seins.

Aurais-tu viré ta cuti ? Un mythe s'effondre ! Moi qui croyais que les gays préféraient invoquer la sainte verge... ^^

Sinon, plus sérieusement, merci 🙏 de continuer d'appeler tous les membres du site par leur pseudo choisi. À moins que La Vierge ne soit un surnom affectueux... après tout, chacun·e exprime son affection à sa façon :)

Pour revenir au sujet originel :

Découper une capote ou détourner l'usage d'une digue dentaire, pour ma part, je ne trouve pas ça très sexy, bien qu'il soit très important de lutter contre TOUTES les IST. Je suis étonnée qu'aucune boîte française n'ait songé à commercialiser de vraies digues bucco-génitales avec des tailles différentes, en forme de cœur ou d'étoile, aux couleurs plus érotiques. Peut-être que ce ne serait pas assez rentable... parce que trop de gens préfèrent prendre des risques plutôt que de se protéger.

(Et merci Romance 83 pour [ta vidéo]())

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Ancien membre
24/02/2020 à 11:52

Citation de W0nderwOOman #325055

Salut ma belle,

Long time no see, tout vas bien ?

Loool nope, je reste toujours un communiste gay, mais j'essaie d'apprécier la beauté de la nature, comme certain me demande de le faire. on m'a critiqué de très fermé d'esprit :)

Gros bisous

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Ancien membre
24/02/2020 à 12:18

Je ne suis pas sur que la santé publique ne relève que des initiatives des industriels.

Avant de connaitre personnellement les consequence d'un risque, les gens ont souvent une notion assez vague de ce risque. De plus on compte sur les médecins, ceci d'autant plus facilement parce qu'ils sont bon marché en France. De surcroit notre pays investit peu dans l'apprentissagz de la préventio, et quasiment pas dans son cout. Les rares medecins qui font de la prévention le font gratuitement, pour ne pas etre débordés, et les assoces le font plus ou moins bénévolement avec des dons, et des subventions qui deviennent rares.

Toutefois apparemment chez les femme la surveillance de la natalité, et quelques campagnes de dépistage, permettent d'intercepter un peu les épidémie d'IST. Chez les hommes c'est un peu le désert des tartares en dehors des ciblages communautaires ^^

avatar ancien membre
Ancien membre
24/02/2020 à 16:07

Je ne dirais qu'une chose, vaux mieux prévenir que guérir :)



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