J'enregistre mes blablas d'Histoire de l'Art, et je me barre de Betolerant, j'en ai marre du ton condescendant de certaines personnes sur le forum. Je me suis fait publiquement traité de sale ... et le gars ne s'est jamais excusé directement auprès de moi. Non c'est trop pour moi. Je me barre. Désolé, je n'arrive pas à passer outre.
C'est dans l'ancien hôtel Cabu, aujourd'hui musée d'Histoire et d'Archéologie d'Orléans, que sont conservées ces enseignes provenant de maisons orléanaises. En pierre ou en ardoise sculptée, elles sont souvent à l'origine du nom de la rue où elles se trouvaient, comme la rue des Quatre fils Aymon, la rue de la Main qui file, la rue de l'Ecrevisse, etc.
L'habitude de marquer d'un num... chaque maison n'apparait en France qu'à la fin du XVIIIe siècle. Auparavant, on ne pouvait les reconnaître que par un signe apparent tel que l'enseigne, sculpté ou non
Certaines d'entres elles sont des moulages crées avant les bombardements de la ville en juin 1940 : ils permettent de garder une trace des originaux
(photographies en commentaire)
Petite anecdote
Un soir, je faisais quelques photographies de la cathédrale de Reims, mon casque sur les oreilles, écoutant de la musique, mes pensées focalisées sur l'édifice
D'un seul coup, je vois une jeune femme qui me parle, mais avec le casque, je n'entends rien. Puis je comprends qu'elle veut que je la prenne en photo avec son téléphone. C'était une instagrameuse. Elle prend la pose devant la cathédrale et je me retrouve à la prendre en photo. Puis je lui rend son téléphone. Mais elle me demande d'en refaire. Je lui dit que vais y aller mais elle ne me lâche pas ^^'
Après une trentaine de photos, je lui dit que je dois vraiment y aller. Je file alors me réfugier dans la cathédrale, attendant un peu avant de ressortir et reprendre les photos
Mais qu'est-ce donc que cette étrange créature ?
C'est dans la salle capitulaire de l'ancienne abbaye Saint-Remi de Reims que 46 chapitaux ont été découverts par hasard par le gardien du site en 1953 : ceux-ci étaient cachés derrière des boiseries qui recouvraient les murs
Ces chapitaux, véritables trésors de l'art du XIIe siècle rémois, ont alors révélés leur extrême fraicheur de conservation, malgré les avaries nombreuses connues par le bâtiment depuis deux siècles (incendies, destructions, transformations) et après une campagne de restauration, ceux-ci peuvent à nouveau être admirés, dévoilant leurs motifs végétaux et d'étranges créatures sortis tout droit de l'imaginaire médiéval
https://www.youtube.com/watch?v=yHAodlw9ECs
Par "miracle", quelques jours à peine avant l'incendie de Notre-Dame de Paris, les 16 statues des apôtres et des évangélistes qui ornaient la base de la f... de la cathédrale avaient été retirées en vue d'une restauration minutieuse
Celle-ci à présent achevée, les statues sont désormais visibles à la Cité de l'architecture et du patrimoine : toutes en cuivre, les statues des 12 apôtres pèsent quant à elles chacune à peu près 150 kg et mesure environ 3,40 mètres
Ces dernières resteront à la Cité de l’architecture et du patrimoine jusqu’à leur retour sur la f... rebâtie qui s'élèvera à nouveau haut dans le ciel de l'Île de la Cité
(détail en commentaire)
Et aujourd'hui ça fait 25 ans, jour pour jour, que je suis handicapé, depuis le tragique accident du 31 Octobre 1998, et comme chaque année, je fête en grandes pompes le fait d'avoir survécu
Joyeux Halloween à tous
"Quelle belle paire de fesses !"
En 1786, Pepitot est pensionné par les États de Bourgogne après le concours pour le prix de Rome de 1784. Il copie la célèbre sculpture antique du "Gladiateur combattant, dit Borghèse" alors conservée dans la collection du même nom. Le traitement sculptural du corps humain nous montre une musculature idéalisée (autre vue photographique en commentaire)
Les Journées du Patrimoine (photographie bonus)
Sous les bâtiments de la Banque de France, à 27 mètres sous terre, dans une cave blindée d'un hectare qu'on appelle "La Souterraine", se trouvent les réserves d'or de la France dont l'instution en détient 2436 tonnes
Depuis les années 1970, l'or n'a plus de rôle monétaire mais conserve néanmoins une valeur importante fluctuante qui est déterminée par le marché. Un lingot d'or d'un kilo valait, en août 2023, plus de 57000 euros. Ici, un lingot d'or sous verre exposé exceptionnellement au public lors des Journées du Patrimoine