Du côté de la Chine, les homosexuels osent sortir de leur placard

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Ancien membre
17/06/2016 à 00:39

Loi concernant les relations homosexuelles

Durant l'époque de la Dynastie Song (960-1279) la toute première loi contre les actes homosexuelles en Chine qui punit " Les hommes qui agissent comme des prostituées d'une amende de 100 coups de bambou et de payer une grosse somme d'argent. " Il était aussi interdit pour les hommes de se prostituer.

Durant la dynastie Ming (1368-1644) Première loi interdisant rapports sexuels entre même sexe masculin.

Durant la dernière dynastie impériale à avoir régné sur la Chine Dynastie Qing (1644-1912), en 1655 on surnommait les relations sexuelles homosexuelles : ji jian. 1679, punition comprenant un mois de prison et 100 coups de bambou.

Durant la république de Chine (1912-1949) les interdictions explicites de ji jian ont été abolis en Chine.

Mao Zedong proclama la République populaire de Chine le 1er octobre 1949. Ainsi après beaucoup de réformes, l'homosexualité était réprimée et criminalisée, elle fût aussi le motif de persécution durant la révolution culturelle en 1966.

Dans les années 1980, l'opinion publique et la presse chinoise revoit la question sur l'homosexualité ainsi la tolérance grandit peu à peu au fil des années.

Les pratiques homosexuelles ont été dépénalisées et décriminalisée en 1997.

Ce n'est que le 20 avril 2001 après  de nombreux débats entre chercheurs et médecins que l'homosexualité fût retirer de la liste des maladies mentales.

Société chinoise

Beaucoup garderont tout de même les grandes valeurs de l'ancien régime de Mao. Pour changer les mentalités de la société, il faudra bien des années encore malgré qu'aux yeux des autorités ils n'en sont pas déviants.

" La définition du terme homosexuel pourrait être réactualisée " s'exprime la sociologue Li Yin He dans sa monographie de l'homosexualité en Chine. Il est vrai qu'on peut constater l'horrible image que donne le dictionnaire chinois contemporain sur l'homosexualité : Relation entre deux personnes du même sexe, il s'agit d'une anomalie psychologique. Beaucoup de chinois ignorent néanmoint ce que ca peut bien être. Cela reste encore un tabou pour de nombreux chinois tout de même.

Une hot line destinée aux homosexuels qui doivent faire face à d'inombrables situations, située à Pékin a vu le jour en 1997 et gérée bénévolement par deux homosexuels venant ainsi en soutien majeur et affectif.

Comme beaucoup de personnes découvrant leur propre sexualité, la plupart avec la pression de la société soit se marient, font un enfant et divorcent immédiatement soit se suicident. Certains sont rejétés et chassés en prenant connaissances de leur orientation sexuelle. Il est plus difficile de rester dans l'anonymat dans les villages et campagnes retranchés où forcément tout se sait facilement. Pour les plus pauvres qui vivent chez leur parents et qui ne peuvent pas se payer une chambre d'hôtel, ils restent toujours les latrines publiques. 

Vers plus de tolérance

Si certains ont choisis de se taire à jamais en vivant avec le secret qui ronge par peur de représailles. Ce n'est pas le cas de certains chinois plus ou moins connus qui se battent pour se faire reconnaître auprès de la société chinoise : Sister tomato, danseur de pole dance dans les bars et boîte de nuit en Chine, connu notamment pour son excentricité partout où il passe.

Et donc aussi l'histoire de Yu Xiaoyang. (source : AFP - JOHANNES EISELE) Il a participé le 18 mars 2016 au fameux concours de travestissement à Shanghai. Il a fait plusieurs apparition sur la scène du club gay Icon club. Parmi la vingtaine des participants sa personne a atisé pas mal de jalousie, ce qui lui a valu la troisième place. Le concours a été sponsarisé par twone information technology.

"Au boulot, je dois garder un visage impassible du lundi au vendredi, je suis comme un zombie. Mais le vendredi soir et pendant le week-end, je peux enfin redevenir moi-même" S'exprime Yu Xiaoyang. "Je suis convaincu que tout le monde recèle au fond de son coeur une paire de talons hauts, et nourrit le secret désir de s'habiller à sa guise", sourit-il. Dame aux cheveux blancs avec des robes vaporeuses opaline mousseline. En fait, son nom de scène est "Xiao Bai" ( "Petit Blanc"). Certains de ses concurrents ce soir-là avaient revêtu des "qipaos", la traditionnelle robe chinoise à haut col et fendue sur le côté, tandis que d'autres étincelaient dans des combinaisons à paillettes.

"Les spectacles de travestis jouent un rôle extrêmement important pour arriver à une plus grande tolérance, une plus grande liberté. Et c'est un moyen crucial de rendre plus visible la communauté LGBT", insiste Ding Shunfeng, l'un des cofondateurs de Twone. "Je veux mettre (ces performances) en valeur, et dire à l'ensemble de la société que la Chine abrite de magnifiques drag queens et que leur art du travestisme est incroyablement beau!", ajoute-t-il. 

On fera remarquer que les autorités ne se sont pas interposées contre le déroulement de l'événement, qui a attiré sur plusieurs vendredi de suite un très large public.

"Mais s'il n'y a pas d'interférence du gouvernement, il y a toujours une pression constante de la société", soupire M. Ding.

"La pression sociale, c'est s'entendre dire que notre évènement est organisé par des efféminés et des pervers". Pour lui, le combat sur scène et en-dehors doit se poursuivre.

Un pas de Tolérance pour un pays communiste à parti unique

<iframe src="//www.youtube.com/embed/O0ybDuYCLfs" width="425" height="350"></iframe>

Depuis 2009, Shanghai pride sensibilise et la visibilité de la communauté LGBT de la Chine dans le but d'augmenter l'acceptation et la tolérance, bien qu'elle était déguisée en "Shanghai run".

Cette année encore elle se déroulera sur 10 jours de manifestations culturelles, sociales et éducatives prévues du 17 juin au 26 juin 2016. Pride8 mettra en vedette le thème " I Am Me " - "une affirmation que tout le monde devrait tenir quel que soit le sexe, la sexualité ou d'autres formes d'identité", Affirme le directeur ShanghaiPRIDE Raymond Phang. " Après avoir assistés à des mouvements dynamiques de l'année écoulée, ShanghaiPRIDE cette année espère revoir les principes fondamentaux de l'être que nous sommes et en restant fidèle à nous-même." 

Pékin ne pourrait même pas en avoir une, parce qu'il est beaucoup plus strict. Shanghai est plus loin du centre de la partie politique, et cherche également une image plus internationale après: cela nuirait à l'image de l' entreprise telle qu'elle est si stricte.

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Loi concernant les relations homosexuelles

Durant l'époque de la Dynastie Song (960-1279) la toute première loi contre les actes homosexuelles en Chine qui punit " Les hommes qui agissent comme des prostituées d'une amende de 100 coups de bambou et de payer une grosse somme d'argent. " Il était aussi interdit pour les hommes de se prostituer.

Durant la dynastie Ming (1368-1644) Première loi interdisant rapports sexuels entre même sexe masculin.

Durant la dernière dynastie impériale à avoir régné sur la Chine Dynastie Qing (1644-1912), en 1655 on surnommait les relations sexuelles homosexuelles : ji jian. 1679, punition comprenant un mois de prison et 100 coups de bambou.

Durant la république de Chine (1912-1949) les interdictions explicites de ji jian ont été abolis en Chine.

Mao Zedong proclama la République populaire de Chine le 1er octobre 1949. Ainsi après beaucoup de réformes, l'homosexualité était réprimée et criminalisée, elle fût aussi le motif de persécution durant la révolution culturelle en 1966.

Dans les années 1980, l'opinion publique et la presse chinoise revoit la question sur l'homosexualité ainsi la tolérance grandit peu à peu au fil des années.

Les pratiques homosexuelles ont été dépénalisées et décriminalisée en 1997.

Ce n'est que le 20 avril 2001 après  de nombreux débats entre chercheurs et médecins que l'homosexualité fût retirer de la liste des maladies mentales.

Société chinoise

Beaucoup garderont tout de même les grandes valeurs de l'ancien régime de Mao. Pour changer les mentalités de la société, il faudra bien des années encore malgré qu'aux yeux des autorités ils n'en sont pas déviants.

" La définition du terme homosexuel pourrait être réactualisée " s'exprime la sociologue Li Yin He dans sa monographie de l'homosexualité en Chine. Il est vrai qu'on peut constater l'horrible image que donne le dictionnaire chinois contemporain sur l'homosexualité : Relation entre deux personnes du même sexe, il s'agit d'une anomalie psychologique. Beaucoup de chinois ignorent néanmoint ce que ca peut bien être. Cela reste encore un tabou pour de nombreux chinois tout de même.

Une hot line destinée aux homosexuels qui doivent faire face à d'inombrables situations, située à Pékin a vu le jour en 1997 et gérée bénévolement par deux homosexuels venant ainsi en soutien majeur et affectif.

Comme beaucoup de personnes découvrant leur propre sexualité, la plupart avec la pression de la société soit se marient, font un enfant et divorcent immédiatement soit se suicident. Certains sont rejétés et chassés en prenant connaissances de leur orientation sexuelle. Il est plus difficile de rester dans l'anonymat dans les villages et campagnes retranchés où forcément tout se sait facilement. Pour les plus pauvres qui vivent chez leur parents et qui ne peuvent pas se payer une chambre d'hôtel, ils restent toujours les latrines publiques. 

Vers plus de tolérance

Si certains ont choisis de se taire à jamais en vivant avec le secret qui ronge par peur de représailles. Ce n'est pas le cas de certains chinois plus ou moins connus qui se battent pour se faire reconnaître auprès de la société chinoise : Sister tomato, danseur de pole dance dans les bars et boîte de nuit en Chine, connu notamment pour son excentricité partout où il passe.

Et donc aussi l'histoire de Yu Xiaoyang. (source : AFP - JOHANNES EISELE) Il a participé le 18 mars 2016 au fameux concours de travestissement à Shanghai. Il a fait plusieurs apparition sur la scène du club gay Icon club. Parmi la vingtaine des participants sa personne a atisé pas mal de jalousie, ce qui lui a valu la troisième place. Le concours a été sponsarisé par twone information technology.

"Au boulot, je dois garder un visage impassible du lundi au vendredi, je suis comme un zombie. Mais le vendredi soir et pendant le week-end, je peux enfin redevenir moi-même" S'exprime Yu Xiaoyang. "Je suis convaincu que tout le monde recèle au fond de son coeur une paire de talons hauts, et nourrit le secret désir de s'habiller à sa guise", sourit-il. Dame aux cheveux blancs avec des robes vaporeuses opaline mousseline. En fait, son nom de scène est "Xiao Bai" ( "Petit Blanc"). Certains de ses concurrents ce soir-là avaient revêtu des "qipaos", la traditionnelle robe chinoise à haut col et fendue sur le côté, tandis que d'autres étincelaient dans des combinaisons à paillettes.

"Les spectacles de travestis jouent un rôle extrêmement important pour arriver à une plus grande tolérance, une plus grande liberté. Et c'est un moyen crucial de rendre plus visible la communauté LGBT", insiste Ding Shunfeng, l'un des cofondateurs de Twone. "Je veux mettre (ces performances) en valeur, et dire à l'ensemble de la société que la Chine abrite de magnifiques drag queens et que leur art du travestisme est incroyablement beau!", ajoute-t-il. 

On fera remarquer que les autorités ne se sont pas interposées contre le déroulement de l'événement, qui a attiré sur plusieurs vendredi de suite un très large public.

"Mais s'il n'y a pas d'interférence du gouvernement, il y a toujours une pression constante de la société", soupire M. Ding.

"La pression sociale, c'est s'entendre dire que notre évènement est organisé par des efféminés et des pervers". Pour lui, le combat sur scène et en-dehors doit se poursuivre.

Un pas de Tolérance pour un pays communiste à parti unique

<iframe src="//www.youtube.com/embed/O0ybDuYCLfs" width="425" height="350"></iframe>

Depuis 2009, Shanghai pride sensibilise et la visibilité de la communauté LGBT de la Chine dans le but d'augmenter l'acceptation et la tolérance, bien qu'elle était déguisée en "Shanghai run".

Cette année encore elle se déroulera sur 10 jours de manifestations culturelles, sociales et éducatives prévues du 17 juin au 26 juin 2016. Pride8 mettra en vedette le thème " I Am Me " - "une affirmation que tout le monde devrait tenir quel que soit le sexe, la sexualité ou d'autres formes d'identité", Affirme le directeur ShanghaiPRIDE Raymond Phang. " Après avoir assistés à des mouvements dynamiques de l'année écoulée, ShanghaiPRIDE cette année espère revoir les principes fondamentaux de l'être que nous sommes et en restant fidèle à nous-même." 

Pékin ne pourrait même pas en avoir une, parce qu'il est beaucoup plus strict. Shanghai est plus loin du centre de la partie politique, et cherche également une image plus internationale après: cela nuirait à l'image de l' entreprise telle qu'elle est si stricte.

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Loi concernant les relations homosexuelles

Durant l'époque de la Dynastie Song (960-1279) la toute première loi contre les actes homosexuelles en Chine qui punit " Les hommes qui agissent comme des prostituées d'une amende de 100 coups de bambou et de payer une grosse somme d'argent. " Il était aussi interdit pour les hommes de se prostituer.

Durant la dynastie Ming (1368-1644) Première loi interdisant rapports sexuels entre même sexe masculin.

Durant la dernière dynastie impériale à avoir régné sur la Chine Dynastie Qing (1644-1912), en 1655 on surnommait les relations sexuelles homosexuelles : ji jian. 1679, punition comprenant un mois de prison et 100 coups de bambou.

Durant la république de Chine (1912-1949) les interdictions explicites de ji jian ont été abolis en Chine.

Mao Zedong proclama la République populaire de Chine le 1er octobre 1949. Ainsi après beaucoup de réformes, l'homosexualité était réprimée et criminalisée, elle fût aussi le motif de persécution durant la révolution culturelle en 1966.

Dans les années 1980, l'opinion publique et la presse chinoise revoit la question sur l'homosexualité ainsi la tolérance grandit peu à peu au fil des années.

Les pratiques homosexuelles ont été dépénalisées et décriminalisée en 1997.

Ce n'est que le 20 avril 2001 après  de nombreux débats entre chercheurs et médecins que l'homosexualité fût retirer de la liste des maladies mentales.

Société chinoise

Beaucoup garderont tout de même les grandes valeurs de l'ancien régime de Mao. Pour changer les mentalités de la société, il faudra bien des années encore malgré qu'aux yeux des autorités ils n'en sont pas déviants.

" La définition du terme homosexuel pourrait être réactualisée " s'exprime la sociologue Li Yin He dans sa monographie de l'homosexualité en Chine. Il est vrai qu'on peut constater l'horrible image que donne le dictionnaire chinois contemporain sur l'homosexualité : Relation entre deux personnes du même sexe, il s'agit d'une anomalie psychologique. Beaucoup de chinois ignorent néanmoint ce que ca peut bien être. Cela reste encore un tabou pour de nombreux chinois tout de même.

Une hot line destinée aux homosexuels qui doivent faire face à d'inombrables situations, située à Pékin a vu le jour en 1997 et gérée bénévolement par deux homosexuels venant ainsi en soutien majeur et affectif.

Comme beaucoup de personnes découvrant leur propre sexualité, la plupart avec la pression de la société soit se marient, font un enfant et divorcent immédiatement soit se suicident. Certains sont rejétés et chassés en prenant connaissances de leur orientation sexuelle. Il est plus difficile de rester dans l'anonymat dans les villages et campagnes retranchés où forcément tout se sait facilement. Pour les plus pauvres qui vivent chez leur parents et qui ne peuvent pas se payer une chambre d'hôtel, ils restent toujours les latrines publiques. 

Vers plus de tolérance

Si certains ont choisis de se taire à jamais en vivant avec le secret qui ronge par peur de représailles. Ce n'est pas le cas de certains chinois plus ou moins connus qui se battent pour se faire reconnaître auprès de la société chinoise : Sister tomato, danseur de pole dance dans les bars et boîte de nuit en Chine, connu notamment pour son excentricité partout où il passe.

Et donc aussi l'histoire de Yu Xiaoyang. (source : AFP - JOHANNES EISELE) Il a participé le 18 mars 2016 au fameux concours de travestissement à Shanghai. Il a fait plusieurs apparition sur la scène du club gay Icon club. Parmi la vingtaine des participants sa personne a atisé pas mal de jalousie, ce qui lui a valu la troisième place. Le concours a été sponsarisé par twone information technology.

"Au boulot, je dois garder un visage impassible du lundi au vendredi, je suis comme un zombie. Mais le vendredi soir et pendant le week-end, je peux enfin redevenir moi-même" S'exprime Yu Xiaoyang. "Je suis convaincu que tout le monde recèle au fond de son coeur une paire de talons hauts, et nourrit le secret désir de s'habiller à sa guise", sourit-il. Dame aux cheveux blancs avec des robes vaporeuses opaline mousseline. En fait, son nom de scène est "Xiao Bai" ( "Petit Blanc"). Certains de ses concurrents ce soir-là avaient revêtu des "qipaos", la traditionnelle robe chinoise à haut col et fendue sur le côté, tandis que d'autres étincelaient dans des combinaisons à paillettes.

"Les spectacles de travestis jouent un rôle extrêmement important pour arriver à une plus grande tolérance, une plus grande liberté. Et c'est un moyen crucial de rendre plus visible la communauté LGBT", insiste Ding Shunfeng, l'un des cofondateurs de Twone. "Je veux mettre (ces performances) en valeur, et dire à l'ensemble de la société que la Chine abrite de magnifiques drag queens et que leur art du travestisme est incroyablement beau!", ajoute-t-il. 

On fera remarquer que les autorités ne se sont pas interposées contre le déroulement de l'événement, qui a attiré sur plusieurs vendredi de suite un très large public.

"Mais s'il n'y a pas d'interférence du gouvernement, il y a toujours une pression constante de la société", soupire M. Ding.

"La pression sociale, c'est s'entendre dire que notre évènement est organisé par des efféminés et des pervers". Pour lui, le combat sur scène et en-dehors doit se poursuivre.

Un pas de Tolérance pour un pays communiste à parti unique

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Depuis 2009, Shanghai pride sensibilise et la visibilité de la communauté LGBT de la Chine dans le but d'augmenter l'acceptation et la tolérance, bien qu'elle était déguisée en "Shanghai run".

Cette année encore elle se déroulera sur 10 jours de manifestations culturelles, sociales et éducatives prévues du 17 juin au 26 juin 2016. Pride8 mettra en vedette le thème " I Am Me " - "une affirmation que tout le monde devrait tenir quel que soit le sexe, la sexualité ou d'autres formes d'identité", Affirme le directeur ShanghaiPRIDE Raymond Phang. " Après avoir assistés à des mouvements dynamiques de l'année écoulée, ShanghaiPRIDE cette année espère revoir les principes fondamentaux de l'être que nous sommes et en restant fidèle à nous-même." 

Pékin ne pourrait même pas en avoir une, parce qu'il est beaucoup plus strict. Shanghai est plus loin du centre de la partie politique, et cherche également une image plus internationale après: cela nuirait à l'image de l' entreprise telle qu'elle est si stricte.

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