Cette nouvelle n'est pas une farce digne d'un article du Gorafi. Selon la conseil de prud'hommes, qualifier une coiffeur de "Pédé" n'est pas considéré comme une insulte.
Le conseil se justifie sur le fait que dans le milieu de la coiffure ce terme (PD) ne peut être assimilé à une injure car les salons de coiffures recrutent principalement des personnes homosexuelles. Les coiffeurs hétéros vont apprécier.
Cette histoire dépitante a commencé lorsqu'un employé d'un salon de coiffure parisien s'est plaint au prud'hommes, d'un message reçu par erreur de son manager sur son portable. Son manager lui a écrit :
Je ne le sens pas, je ne le garde pas, c'est un sale PD, ils ne font que des tours de pute.
Bizarrement, le lendemain le manager a annoncé à son employé la rupture de sa période d'essai. Le salarié a donc saisi le conseil de prud'hommes de Paris pour faire défendre ses droits, car il est interdit de disciminer quelqu'un pour son orientation sexuelle.
L'employeur en question a tout de même été condamné à 5000 euros de dommages et intérêts, mais le conseil a refusé la discrimination homophobe.
La victime a fait appel de cette décision assez contradictoire...
Illustration propriétée de Public.fr
Admin.
Cette nouvelle n'est pas une farce digne d'un article du Gorafi. Selon la conseil de prud'hommes, qualifier une coiffeur de "Pédé" n'est pas considéré comme une insulte.
Le conseil se justifie sur le fait que dans le milieu de la coiffure ce terme (PD) ne peut être assimilé à une injure car les salons de coiffures recrutent principalement des personnes homosexuelles. Les coiffeurs hétéros vont apprécier.
Cette histoire dépitante a commencé lorsqu'un employé d'un salon de coiffure parisien s'est plaint au prud'hommes, d'un message reçu par erreur de son manager sur son portable. Son manager lui a écrit :
Je ne le sens pas, je ne le garde pas, c'est un sale PD, ils ne font que des tours de pute.
Bizarrement, le lendemain le manager a annoncé à son employé la rupture de sa période d'essai. Le salarié a donc saisi le conseil de prud'hommes de Paris pour faire défendre ses droits, car il est interdit de disciminer quelqu'un pour son orientation sexuelle.
L'employeur en question a tout de même été condamné à 5000 euros de dommages et intérêts, mais le conseil a refusé la discrimination homophobe.
La victime a fait appel de cette décision assez contradictoire...
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