Tu es là, quand il doit partir,
Tu es là, jamais très loin de moi,
Tu es là, toujours prêt à jaillir,
Toujours là, même quand je ne le veux pas.
Tu me serres contre toi, sans me demander,
Alors que je préfère, être contre l'être aimé,
Tu me tiens ferme, quand je veux m'en aller,
Comme en otage, ne veux-tu pas me laisser ?
S'il te pait, j'aimerais te voir partir,
S'il te plait, encore plus loin de moi,
S'il te plait, de toi, j'aimerais en finir,
Pour toujours, ne plus sentir ton poids.
Ta présence est devenue une habitude,
Tu es néfaste et tu empêches ma plénitude,
Je ne veux plus te voir, plus te sentir, Solitude.
Merci Llaho. A quel mot avais-tu pensé ? Oui j'en ai d'autres, je vais en faire d'autres postes :)
Je ne connais pas Ma solitude de Georges Moustaki (peut être car pas mon époque). Je vais écouter ^^
Bien à toi,
Dylan.
ahaha ce mot je le garde pour moi, il est bien trop révélateur. Oui Moustaki c'est pas de ton époque mais pas de la mienne non plus hein.
Papy.
Pas de soucis si tu veux garder ce mot "secret". Je suis juste curieux ^^
fort bien composé ce poème PetitToaster; comme la plus vraie posiésie s'enracine dans le vécu quotidien, je t'en livre un aussi...
Où es tu, toi qui pourrait me ravir,
Où es tu, toujours si loin de moi,
Où es tu, jamais que par désir
Jamais là, même quand je tend vers toi.
Tu me sert de combat, sans réalité,
Alors que je diffère, de me sentir aimer,
Tu me rend ferme, quand je veux t'étriller,
Comme un orage, veux tu me foudroyer ?
S’il te plaît, j’aimerais te voir venir,
S’il te plaît, enfin tout prêt de moi,
S’il te plaît, en toi, j’aimerais m’assouvir,
À jamais, en ressentir l’émoi.
Ton absence est advenu lassitude,
Tu es l’audace, et repêche ma solitude,
Je voudrais tant te voir, plus… te sentir, Plénitude.
Deux très jolis poèmes.
P
Le premier, je pourrais le terminer par le prenom de mon mari...
Il est pervers narcissique, j'ai demandé le divorce...
Oula Muicolore! Courage à toi