USA : Un attaché parlementaire impliqué dans une sextape gay au sénat fait scandale
Publié le 17/12/2023 à 18:39 - Édité le 17/12/2023 à 18:42Au cœur du Capitole, un scandale sexuel a éclaté impliquant Aidan Maese-Czeropski, un attaché parlementaire travaillant pour le sénateur démocrate Ben Cardin. Il est accusé d'avoir filmé une sextape avec un autre homme dans une salle d'audience du Sénat, la Hart 216. Cette affaire a suscité un vif intérêt médiatique après la diffusion de la vidéo sur le site conservateur Daily Caller et dans divers médias américains. La police du Capitole a ouvert une enquête sur cet incident qui secoue les couloirs du pouvoir américain.
La salle Hart 216, où se serait déroulée la sextape, est un lieu emblématique, ayant accueilli des événements historiques tels que les audiences de la commission sur les attaques du 11 septembre 2001. L'utilisation de cet espace pour des actes sexuels a provoqué une onde de choc, étant donné sa valeur symbolique et son importance dans l'histoire américaine.
🇺🇸 FLASH | Aidan Maese-Czeropski, un attaché parlementaire, a été licencié pour avoir tourné une sextape gay au #Sénat américain, un lieu hautement symbolique ayant accueilli les candidats à la Cour suprême et les audiences de la Commission sur le 11 septembre 2001. pic.twitter.com/vJeiL0C78f
— Cerfia (@CerfiaFR) December 17, 2023
Réactions et conséquences du scandale
La révélation de cette affaire a conduit au licenciement immédiat d'Aidan Maese-Czeropski de son poste au Sénat. Bien qu'il ait tenté de se défendre via un post sur LinkedIn, affirmant son respect pour son lieu de travail et reconnaissant des erreurs de jugement dans le passé, la controverse a déjà pris de l'ampleur. Les réactions face à cet incident varient, certains condamnant fermement l'acte pour son manque de professionnalisme et d'autres questionnant la gestion de la vie privée dans un environnement aussi surveillé.
Le bureau du sénateur Ben Cardin a confirmé que Maese-Czeropski n'était plus employé par le Sénat américain, tout en refusant de commenter davantage sur ce qui est considéré comme une affaire de personnel en cours d'examen. Cette affaire soulève des questions sur la conduite appropriée et les limites entre vie privée et responsabilités professionnelles dans les lieux de pouvoir.
Cet incident met également en lumière la rapidité avec laquelle les informations privées peuvent devenir publiques, en particulier dans des lieux de haute importance politique. Il interroge sur la manière dont les institutions gèrent les comportements personnels de leurs membres, surtout dans des contextes hautement symboliques et sous le regard constant des médias.
Recevez nos articles, nos actualités et nos dossiers toutes les semaines. Restez éveillés ! 🏳️🌈