partage de poèmes ? :)

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Ancien membre
31/07/2016 à 20:12

coucou, si vous aimez partager et/ou lire des poèmes, bienvenue sur ce forum ^^ vous pouvez partagez les poèmes de n'importe quel thème, à la seule condition que ce poème soit de vous ;)
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Ancien membre
31/07/2016 à 20:13

L’eau
 
 
 
Outre monde ou autoroute desnavires ?Miroir du ciel ou peintreimpressionniste ? Calme ou agitée ?Amie de voyageur ou objet detrépas ? Telle une actrice, elle jouedivers rôles, S’habillant de soleil ou depluie.Mais c’est une danseusesilencieuse, Continuant ses pas infinispour les marins, Racontant le vent et lespoissons.Son art peut détruire lescœurs sensibles, Se remplissant peu à peu delarmes. Cette dame mystérieuse peutêtre jalouse, Mais dotée d’un cœur en or,Elle donne la vie aux Hommes,aux plantes et aux animaux.Hélas son or bleu estconvoité de tous,Jusqu’à être salie par lesHommes. Comment doit-elle agir ?Veut-elle encore jouer etdanser ?Elle se sent perdue, comme le montrent ses dernièresrobes.    
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Ancien membre
31/07/2016 à 22:00

Très beau poème ! Voici le mien qui s'intitule "Le Penseur" Des siècles et des siècles de connaissances Croulent sur l’individu vide de sens Il tourne en rond dans sa cage invisible En pensant à ses passe-temps risibles Quand le ciel se rompt en milliers d’éclairs Ses pensées telles des nuées s’épaississent Avant que tout redevienne poussière Se répandent comme des odeurs de pisse Les certitudes d’hier sont factices Tôt ou tard se transformeront en cicatrices Il faut attendre la prochaine accalmie Ou se laisser bercer par la veine lyrique Qui l’arrache au trouble de la vie Alors seulement il déposera dans son esprit Un grain de poésie Dernière étape précédant la folie
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Ancien membre
12/08/2016 à 10:05

ton poème est joli et permettant d'entraîner des réflexions sur la pensée :) mais le détail sur "l'odeur de pisse" me semble personnellement perturbant :/ peux-tu m'expliquer ta phrase stp ?
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Ancien membre
04/11/2016 à 11:52

À nos sœurs, et à la féminité ... Je convoque Sapho pour m'aider à cueillir  cette fleur inconnue, parure des amazones car je n'ai su garder pas un seul souvenir de cet havre de vie, matrilinéaire zone ! elles se tiennent serrées dans l'ombre virginale  si discrètes et sensibles quant elles murmurent ''je t'aime'' donnant de leur présence à aucune bacchanale, elles sont fièrement pourtant toujours ivres d'elles-même ! Leur liberté prit forme du secret qu'elle renferme en parfait équilibre de tous ses éléments, ainsi comme Daphné elles se gardent pour le terme : la gloire de dominer sur tous les méritants. et du haut des sommets, dans leur plaines et vallées cours un petit torrent de baisés qui arrose  cette terre de mystère où seules peuvent aller nos sœurs pour cueillir l'unique bouton de rose...
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Ancien membre
05/11/2016 à 18:04

Citation de Gilou03 : À nos sœurs, et à la féminité ... Je convoque Sapho pour m'aider à cueillir  cette fleur inconnue, parure des amazones car je n'ai su garder pas un seul souvenir de cet havre de vie, matrilinéaire zone ! elles se tiennent serrées dans l'ombre virginale  si discrètes et sensibles quant elles murmurent ''je t'aime'' donnant de leur présence à aucune bacchanale, elles sont fièrement pourtant toujours ivres d'elles-même ! Leur liberté prit forme du secret qu'elle renferme en parfait équilibre de tous ses éléments, ainsi comme Daphné elles se gardent pour le terme : la gloire de dominer sur tous les méritants. et du haut des sommets, dans leur plaines et vallées cours un petit torrent de baisés qui arrose  cette terre de mystère où seules peuvent aller nos sœurs pour cueillir l'unique bouton de rose...
<3:3 *foule d'applaudissement*
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Ancien membre
30/11/2016 à 23:20

Très beau poème Gilou ! J'en propose un plus modeste sur la masturbation - il est acrostiche -  sous forme de lettre ouverte : A Onan : Je me languis de toi, tu ne peux savoir à quel point. Est-il permis de dire comment je passe mes nuits si loin? Tourments, plaisirs. Obsessions. Tout est résumé. Avec mille discrétions je m'y prends, en secret, cachée Interdite et taboue, honteuse demeure cette pratique.  Mais qu'ils furent idiots, vraiment, de l'avoir condamnée! Enfin, sache-le, tu perdures dans mes pensées onaniques.
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Ancien membre
01/12/2016 à 05:56

C'est aussi sincère que vrai... J'apprécie particulièrement le réalisme en poésie.... Merci.... 
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Ancien membre
01/12/2016 à 09:36

Et deux trois mots sur une brise de papier  S'envolent ; L'air bleu de la mer les emprisonnent  La marée s'immobilise suspend son doux charme Le ciel surveille l'eau s'étalant à nos pieds Le ciel justement colore ses cheveux blancs  De rouge, de rose de pourpre et d'azur pastel  Ces mots envolés ont teints les divins cieux  D'amour; mon cœur ne s'est pas encore délavé
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Ancien membre
01/12/2016 à 10:11

synesthésie et impressionnisme nous donnent parfois cette palpable vision sonore, des mots qui viennent du réel...très lumineux poème...merci
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Ancien membre
01/12/2016 à 15:17

Puisse ta voix à jamais retentir en moi, Ecoute le son de la mienne à chaque fois, Puisse ton esprit rejoindre le mien à chaque heure, Entends mes sons, mes songes et mes douceurs, Puisse ton cœur battre comme une fleur qui grandit, Espère qu'à chaque instant ton âme fleurit, Puisse ton âme briller comme le soleil au dehors, Et que ton ciel s'embrase de mille étoiles et de fils d'or, Puisse demain être encore meilleur qu'aujourd'hui, Que notre prochain instant inspire le rêve d'une nuit, Puissions nous caresser le bonheur qui s'envole, Comme deux libellules entraînées dans une danse folle.
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Luxcifer
01/12/2016 à 15:32

Coucou, j'aime beaucoup vos poèmes (sans exception) ! Surtout ceux qui sont courts cela dit, je trouve que ce qu'ils exprime est encore plus fort et ne se perd pas dans les mot. Je me permet de poster le mien qui se nomme Necromancie (parce que je suis trop d4rk) et qui vous causera peut-être un torticolis :p
[img]] Mais comme je suis gentil:
?Il était jeune, Pas tout à fait innocent, Tout dans les gènes, Curieux comme l'enfant.   Guidé vers la lumière, Il s'en était lassé Pour changer, et flirter, Avec de nouvelles prières   Elles étaient plus sombres, Ténébreuses, dans les Ombres, Faucheuse, dans le létal, Elles étaient moins natales.   Le petit, S'était lié d'affection, Pour la Mort et ses démons, Il devint haï.  
[Partie "renversée"]   Il ne s'était pas Basé sur ce que l’on dit, Racontât et appâtât, Sans à priori.   Ils étaient haïs, Il la voyait comme amie, Un jour elle arriva, Il la voyait ravissante, Ils étaient tremblants.   Elle était accidentelle, Elle qui se voulait cicatricielle, Ce jour il l'appelait, Elle se vit criminelle, Ils étaient avec des ailes   Alors en rébellion, désaccord, Et sa qualité de Mort: La Grande Faucheuse, Pour son ami devint;Tricheuse.
 
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Ancien membre
01/12/2016 à 15:34

 j'aime beaucoup le style scandé, de vos trois poèmes ils sont musicaux... et le thème même par ressemblance laisse les nuances dans la consonance... Dernier jour A ce froid crépuscule la vigueur ne sied plus, ne trompant dans l'absurde aucun regard ami mais tenant, comme ultime secours, un début dans le silence atteint de cette heure infinie... Au regret de la vie tout un bazar d'images et pour remord l'écho de nos colères sombres si triste ces secondes brûlées sans un partage, et les rêves bafoués et les désirs sans nombres... tenir encore la lampe pour un sourire furtif, pour fuir le néant, mesure de notre orgueil dressé depuis l'enfance en bastion possessif il faut rendre les armes à l'approche du seuil... aurais-je aussi la peur au soir de ma vie ? aurais-je encore envie du réveil des oiseaux ?, si comme vous l'inconnu m'a déjà envahi en me fermant les yeux, il posera le sceau...  
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Ancien membre
04/02/2017 à 08:51

J'aime beaucoup vos poèmes ! ^^ C'est un plaisir de vous lire. Je me lance à mon tour :) Paralysie Abonnés aux absents résident les mêmes faux aimants, Là un jour; là jamais, cette phrase qui dit que le temps enrichit n'y fait rien, Le temps prouve leur désintéressement, Et laisse un pic au coeur, qui restera là à chaque retour opportun, Tu ne leur diras rien, tu attendras qu'ils expriment leurs sentiments coupables, Derrière leurs doubles visages, Le miroir qui te montre une image différente, De leurs hypocrisies tremblantes, Qui s'exprime seulement dans le silence, Avec un léger sourire dissimulé de tous,  Que seul nos yeux offusqués pressentent, La fourberie qui frappera partout. PS : Puis-je mettre des écrits avec un style poétique, sans pour autant qu'il y'est la règle des poèmes ?
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Ancien membre
07/02/2017 à 07:09

BeaJazz salut à toi , la seule règle est que tu en soit l'auteure, et comme ton poème émane de cette lucide blessure qui nous émeut tous, je t'en remercie...
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Ancien membre
07/02/2017 à 08:47

Hello!! Je n'avais pas vu cette section mais elle me plait et me donne le goût de me pencher de nouveau sur cet art qu'est d'étirer et jouer avec les mots. Comme je n'ai pas immédiatement le temps de créer, je partage un petit poème que j'avais écris lorsque j'étais encore qu'une adolescente... (du coup ce n'est ni engagé, ni sensationnel). Mais le coeur y est! :')
Murs bleus, toit vert, c'est le chapiteau de Paris, Près de la Seine où les reflets des passants brillent. Le cirque arrive avec tous ses clowns pleins de vie, Nez rouges, costumes pailletés, leur yeux cillent.   Ici l'on rit, ici l'on crie, ici l'on pleure. M. Loyal vous accueille, les lions rugissent, Poussant des cris féroces remplis de rancoeur. Les accrobates murmurent, puis agissent.   A l'intérieur, la salle chaude se remplit. Les marchands de sucreries guettent, mystérieux, Tels des automates jouant la comédie.   Entendez-vous? C'est la musique qui conduit, Tout les numéros du spectacle merveilleux, Les rêves naissent dans la tête des petits.
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Lyst3
07/02/2017 à 10:46

Trop cool ce petit poême du coeur :-) J'ignorais aussi que cette section existait... Alors voila quelques vers, sortis eux aussi tout droit de mon adolescence ! Retirés sous les cieux comme en un sanctuaire Longuement attendris à leur propre beauté Ils inventaient pour eux les gestes séculaires Épuisant de leur corps la calme volupté.   Puis, enivrés d’amour et las de satisfaire A des enchantements à jamais répétés, Longtemps ils sommeillaient et dans l’ombre stellaire Ensemble retrouvaient leur immobilité.   Te souvient-il des soirs où sous l’ample portique Nous écoutions renaître, immense et féerique, Un silence sans fin que tu brisais parfois ?   Chaque murmure offrait une présence extrême. Et du chaste baiser aux caresses suprêmes Lentement s’éveillait un songe d’autrefois.
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Ancien membre
24/02/2017 à 11:03

@Lyst3 Quel beau sonnet, l'isotopie mystique des deux quatrains est comme nimbée d'un halo d'innocence qui la transfigure. Puis j'ai senti dans le sizain une nostalgie nervalienne. ;)
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Ancien membre
24/02/2017 à 17:43

La vie ne va pas sans la Mort: Nous sommes programmé... Pour un jour périmé, Tel est l'inévitable sort. Aussi il nous faut profiter, De chaque instant de la vie. Mais nous la rendons compliquée, De par ce système impie. Voilà, je viens d'écrire ce poème alors s'il y a des fautes désolé x')
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Ancien membre
26/02/2017 à 02:14

Edrazel => Osé... Mais je suis obligée d'avouer que j'aime le style, et les vers aussi, d'ailleurs \o/ Y a une touche de romantisme malgré le sujet qui reste assez sexuel ^^
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Ancien membre
26/02/2017 à 15:06

Edrazel => Je t'en prie :-) Je vais en mettre un autre, même si celui là n'a pas de rimes à chaque vers x) La douleur gît encore !,Dans un coin de mon âme,Elle ne se montre vraiment que peu, la mystérieuse,Se baladant de souvenirs en souvenirs,Posant son pic sur eux, cherchant la faiblesse,Touchant l’essentiel, aucun superflu juste du concret,Aucuns mensonges, aucune répartie elle dégage, juste la vérité, Si une réalité peut être assurée c'est bien celle là, celle qui se ressent, Rien ne peut être plus réel de ce qui se vit sans s’expliquer,Elle n’a pas de définition, elle existe, seulement.
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Ancien membre
27/02/2017 à 08:59

merci de nous livrer ton univers Edrazel, avec comme franchise ton grand caractère d'exploratrice et comme vigueur la clarté étincelante de ton intelligence... je vous donne aussi un poème...sur un état d'âme aussi... Pauvreté sans vraiment tenir compte de ce monde stérile trop enfuit de tout être pour garder un "avoir" la limite franchie, plus de rêve en péril, que dure la libre quête pour ne plus rien savoir... lié à l'air, ivre d'eau, plein de terre en chaleur un retour aux matières aussi bruts qu'imprévues, par l'offrande nature de nos corps sans valeur laissons brûler l'entière gratuité entrevue. car du ventre des mères au dévouement des pères, de la peur du loup à l'humide inconfort, nous avions si bien fait pour trouver nos repères qu'à la fin, en ingrat, nous vivions sans effort ! pourtant parfois soudain dans l'immédiate liesse, ne sachant du destin qu'infimes traits de génie saoul du vin du bonheur en vision de l'ivresse surgissait l'évidence de l'amour infini ! et c'est par lui toujours que nous aurions dû plaire si nous avions garder ce seul bien estimable, partout à l'identique de l'unique exemplaire... la sagesse éternelle, qui seule nous rend aimable.
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Ancien membre
27/02/2017 à 11:02

Bonjours tous ses poèmes sont très beau bravo à tous :D  Je vient de retrouver un poème fait il y a 2 ans sur le theme l adolescent est se que l'on peut ressentire certe il ne sera pas aussi bien que tout les votres (je suis qu'elle débutante dans se domaine ) mais j'espère que sa vous plaira             Je me souviens Je me souviens À 15 ans  on se sentais différent Pas assez âgée pour être adulte Mais définitivement plus enfant Je me souviens Envie incessante de nous rebeller Envie imprévisible de nous enfuir Envie incontrôlable de huiler Laisser moi vivre ma vie Et puis .... Je me souviens Le moment de notre premier rencontres Le moment où nous découvros le sens du mot "sentiment" Le moment de notre premier baisers Je me souviens Des liens qui sont tisser Des liens d'amitiés Des liens qui nous réconforte Des lien indestructible Qui sont l'amitié et l'amour Voilà dite moi se que vous en pensser pour que je puisse le modifier un peut si le besoin est :)
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Ancien membre
03/03/2017 à 10:19

salut à toi Marine... tu peux le garder comme il est, car pour moi ce poème est bien scander et porte en lui cette présence réaliste qui est gage de sa force et de sa permanence... il n'est pas seulement descriptif, il pose la dimension universelle de ce moment unique de nos vies qui est une découverte des autres par une connaissance de nous même en fait... merci à toi...
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Ancien membre
03/03/2017 à 13:54

Bonjours Gilou03 Merci à toi :)
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Ancien membre
05/03/2017 à 00:59

Marine39 ~> Joli poème! Et puis ne t'inquiète pas, personne n'est Baudelaire ni Verlaine ici, c'est avant tout par plaisir d'exprimer une expérience, ou un sentiment, je pense :)
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Ancien membre
05/03/2017 à 01:30

Un poème assez spécial et formel que j'ai rédigé comme un sonnet :) Blanc vermeil Sous les yeux innocents de la lune, tard, ni Bourgeon ni homme n'affronte la rude brume. Sous le rideau de neige, âpre, vif, en furie, La pâle fille somnole comme une plume. Est-ce cette expression que son somme consume ? Est-elle sublimée par cette couleur vive ? Les lèvres saillantes, d'une cuisante ardeur, La pâle fille somnole comme une plume. Cette saveur d'agrume, comme une douce sève, Découle du fluide gluant sous ses lippes, toute Blottie, innocente, les yeux bouffis. Elle rêve, Elle semble goutter l'air frais, et une larme Vermeille longe les sillons de sa joue, si ! La pâle fille, d'un regard mort, d'agonie.
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Ancien membre
05/03/2017 à 09:04

humm... oui c'est avec une suite d'images qui se superposent, un flash de perception, quelque chose de sensible et de sensuel, une vision phantasmatique peut-être...
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Luxcifer
05/03/2017 à 12:07

Bonjour tout le monde :) J'aurai volontié commenter vos œuvres mais je n'ai rien trouvé à redire :'( Je vous partage un petit poème/chanson que j'avais écrit dans un moment de solitude et un peu refléter mon ressenti du moment (parce que la poésie, ca libère vachement quand même) Y'a juste un vers dont je me trouve pas satisfait du tout (celui avec *) mais jarrive pas à trouver mieux xD L'Ange de Lucifer Je suis l'ange de Lucifer, Celui la même du fond de la terre, Prince des enfers de l'après,Je suis l'ange de Lucifer Celui là même le tentateur. J'étais ange comme d'autres, Puis vint la sollitude, Qui devint habitude, Je n'étais plus parmis les apôtres. Dans les ombres et les tourments, Un ancien des miens, Me proposa un engagement, Et ce n'en sera jamais la fin. Je suis l'ange de Lucifer, Celui là même du fond de la terre, Prince des affaires, Je suis l'ange de Lucifer, Celui là même le plus honnête. Il m'a demandé, D'une voix calme et posée, Quel était mon souhait rêvé, Je me suis alors exécuté, J'aurai pu en pleurer, J'étais 'immunisé'. Il m'a regardé dans les yeux, "Ce n'est pas ce que tu veux. Détrompe moi, mon faux félibre, Ce que tu veux, c'est être libre." J'ai acquiscé de toutes mes forces, De tout mon cœur, En toute discrétion. Je suis l'ange de Lucifer, Celui là même du fond de la terre, Prince des proses et des vers, Je suis l'ange de Lucifer, Celui là même qui comprend. "Regarde dans mes yeux, Vois qui je suis, Lucifer et c'est ainsi, Et si tu le veux, Prend ma main et je t'emmène." "En enfer ?" ai-je demandé, "Tu y es déjà" A-t-il répondu, J'avais bien entendu, Il l'avait bien rétorqué. Son contrat était étrange, À en faire des louanges, En échange de la liberté, Il voulait que je garde ma personnalité.* "Tu as bien vécu, Moins qu'il te plu. Tu mérites ce geste, Tu mérites ces cestes." Je suis l'ange de Lucifer, Celui là même des enfers, Prince des revers, Je suis l'ange de Lucifer, Celui là même gentilhomme. Je suis un ange, Consolé par un déchu, Dont les démons, Sont seuls à sécher ses larmes. Je suis le petit ange de Lucifer, Celui là même des enfers, Prince des archanges, Je suis le petit ange de Lucifer, Celui là même qui libère. (PS: pour éviter les malentendus, je ne prêche aucune religion et je suis de toute façon athé ^^) Edit: la mise en page s'etaot mal faite x)
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Ancien membre
05/03/2017 à 13:03

Le fleuve de mes larmes déborde de mes yeux tel la Seine de ses bancs, n'en fasse malheur à ceux qui en sont la cause, qui inspirent mes vers, mes textes, ma prose Quarante-neuf morts La vie en communauté c'est pas notre fort On me dira qu'j'en fais pas partie Que j’ne peux pas comprendre Mais malheureusement si Ils étaient humains Le tueur aussi Tout le reste on s'en fout C'est juste un gâchis Des gens qui s'aimaient Des frères, pères et amants Partis trop tôt Pourquoi ? On sait pas On en cherche la raison Mais elle n'est pas là. Qui suis-je pour parler ? Personne, juste un homme Qui en a marre qu'on se tue, qu'on s'bastonne Pour rien, des conneries Je ne sais pas pour vous Mais ce soir, ici Je suis fier de vous dire Je suis LGBTQI. PS: écrit avant que je ne me rende compte à quel point j'en fais partie x)


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