Jusqu'où peut-on aller entre potes?

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Ancien membre
04/03/2017 à 04:15

Bonjour à tous! Je cherche une limite claire :stop entre ce qui peut se faire entre amoureux et ce qui peut se faire entre potes. Oui, peut-être que je me prends trop la tête ... mais j'aime ça!!! Il y a sûrement plein d'avis différents: Des potes qui s'embrassent, qui se caressent... Des amoureux qui ne veulent pas se voir nus, qui ne se font pas de câlins... J'ai quelques-fois dormi avec des filles, leur ai fait des massages, des câlins, sans vouloir aller plus loin qu'une amitiée, mais en y repensant, c'est comme si j'y avais laissé un p'tit bout d'moi. :-S D'un autre côté, je me demande si montrer sa nudité ou toucher les parties intimes ne pourrait pas-être aussi anodin que se masser les pieds. :| Mais dans se cas, où est la limite? Intimité? Nudité? sexualité? conception? A vous!
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Ancien membre
04/03/2017 à 09:23

Le corps est un tout... Mais une fois que l'on a dit ça‚ on sait aussi que la tendresse envers les gens que l'on aime d'amitié sincère peut parfois passer par des rapprochements physiques... Toutefois‚ si notre"énergie sexuelle"est émmoustillée‚ nous devons faire la part des choses‚ car le plaisir sexuel n'est pas une fin en soit‚ et de vouloir le mettre en toutes nos relations serait une aberration... Reste que, nous faisons parfois des blocages psychiques entre notre morale et notre vitalité, Ce qui peut nous imposer des interdits et donc des frustrations...mais est-ce la liberté totale est possible...? Pas pour moi...
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Ancien membre
04/03/2017 à 10:46

Le corps a des zones dites "érogènes" relativement nombreuses mais localisées, et quelques zones tabou. Commencer à s'y intéresser c'est éveiller les soupçons...
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Ancien membre
04/03/2017 à 12:31

@Pudum, je crois que tu as répondu toi-même à ta question : il n'y a pas toujours  de limite claire entre ce qui peut se faire entre amoureux et ce qui peut se faire entre potes (exemple vu récemment : C.Hanouna touche les fesses à C.Combal et fait mine de flirter). Cette limite est éminemment individuelle et s'adapte à la personne que l'on a en face de soi, ainsi qu'au facteur évolutif de la relation. Le curseur entre ami et amoureux n'est pas figé. Tout au plus peut-on dégager des limites récurrentes, plus ou moins fréquentes. Ces limites sont de nature esthétiques et érotiques, morales, liée à l'image de soi, à la sécurité physique, à la syntonie entre deux coeurs et deux personnalités (voir [url= vidéo à 3:34[/url]), etc. C'est pour ça que dans le cas d'un homo et d'un hétéro, par exemple, on peut partir de la base que l'amitié est seule possible, tout en restant ouvert à une évolution éventuelle. Ce sont surtout les limites que l'on s'impose soi-même qui limitent le potentiel d'une relation. Si la personne en face est figée dans sa limite morale, le curseur ne bougera pas. Si la syntonie entre les deux coeurs est telle qu'on observe une intensification, une résonance exponentielle, les autres limites peuvent sauter. C'est au cas par cas et c'est ce qui est beau dans toute nouvelle relation : on ne sait pas où elle nous mènera. Dans tous les cas, comme l'écrit Steph, la communication est essentielle. PS : j'aime bien la notion de continuum pour expliquer les choses non binaires Ainsi, on peut considérer l'amitié, l'amour et leurs manifestations sur un continuum entre d'un côté une amitié stricte et de l'autre une relation amoureuse intense. Le curseur pouvant varier entre les deux, selon les personnes, leurs limites, la durée de leur relation, etc.
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Ancien membre
04/03/2017 à 13:34

pour moi tout dépend du degré de complicité et de l'état dans lequel tu es (euphorie où pas) ce qui est dur quand en état second tu es allé plus loin que ce que t'aurais été capable d'aller dans un état normal c'est que souvent tu es trop focalisé sur ce que tu à fait il suffit juste de se dire que c'étais juste un "délire du moment" et continuer comme çi ne rien étais. pour la complicité au cas où tu va loin c'est que vous ètes peut ètre fait pour ètre ensembles :p
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Ancien membre
04/03/2017 à 14:30

Jpourrais facilement envisager d'avoir des moments câlins/sensuels avec des amies à mon goût, mais ce serait plus dur ensuite de retourner à une norme, si l'amie en question fini par se mettre en couple monogame etc. C'est plus simple de rester complètement platonique, c'est certes une limitation, mais c'est mieux à long terme pour les gens qui comme moi peuvent avoir une confusion entre physique et sentiments. Par contre ayant déjà été en couple avec une personne asexuelle, j'aurais peut-être pu avoir des relations sexuelles avec une pote si tout était bien cloisonné dans ma tête. Ça demande un grand discernement pour pouvoir effacer les barrières sans tout confondre et au final faire n'importe quoi, en plus de l'ouverture d'esprit, la clarté des intentions est très importante. A côté, plus j'y pense et moins l'idée d'être en couple me parait "évidente et naturelle", je trouve l'idée d'exclusivité/priorité assez stressante, donc est-ce cela prive de toute relation "améliorée" avec d'autres, sous peine de tout mélanger.. Je ne sais pas. C'est beaucoup plus reposant de ne rien faire, moins de noeuds au cerveau !
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Ancien membre
04/03/2017 à 14:56

J'avais un pote qui disait: dans une relation entre deux (  l'exemple était hetero) il y en a toujours 1 qui se trompe (en l'occurrence c'était lui qui voulait plus que de l'amitié). Je pense que ta question dépend de la définition de l'amitié de chacunE.
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Ancien membre
04/03/2017 à 15:44

l'exclusivité relevée comme non-évidente par TarteOcitron est quand même une stabilité pour approfondir des sentiments avec UNE personne plus qu'avec DIX autres... il ne peut y avoir de recherche de bonheur sans une certaine pérennité, c'est comme ça, c'est pas une opinion personnelle, mais le temps ou plutôt la durée est une des données de la réalisation que nous sommes heureux... sûrement relatif en quantité à telle ou telle personne, mais commun pour tous comme qualité, car la durée est l'évaluation de notre choix par le réel, et ce réel ne se livre pas tout d'un bloc à la première minute d'une rencontre avec l'être aimé...
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Ancien membre
04/03/2017 à 16:08

Vos réponses sont géniales! Peut-être qu'il faut simplement ne pas dépasser la limite de l'autre. Mais pour ça il faut connaître ses limites. Aïe! Ma tête.
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Ancien membre
04/03/2017 à 16:39

Ayant déjà couché avec certains de mes potes (et n'étant pas contre le refaire leul), je sais pas, je te dirais que ça dépend des personnes Certains ont aucun souci à se foutre à poil devant les gens, d'autres ne le feront que devant les personnes avec qui ils sortent/couchent... Honnêtement, personnellement, je pense que tout ce que tu fais en amoureux, c'est pareil qu'un pote mais avec des sentiments. Pour sortir avec quelqu'un il faut de la complicité, de la tendresse, du feeling... Comme un ami en fait Ouais en fait pour moi un copain c'est un ami pour qui on a du désir sexuel et un attachement un peu plus profond
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Ancien membre
14/03/2017 à 14:00

Hey, entre nous, j'pense qu'il n'y a pas de réponse vraie qui concilie tout le monde. Le mieux pour toi c'est que tu définisses toi même ta/tes propre(s) limite(s) qui se fixent avec justement tes amis ou ton amoureux.se . Là tu seras fixé et tu t'épanouiras sans être en confrontation avec les autres humains ! Débizoux 
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Ancien membre
14/03/2017 à 15:51

j'ai réfléchi un peu! J'ai appris qu'il pourrait y avoir plusieur types d'attirences (sexuelle, romantique, émotionnelle, sensuelle, platonique...). Si on considère que le plus intime est réservé aux amoureuxes, et qu'il y a bien différents types d'attirences pouvant être classeés de la moins intime à la plus intime, la limite entre ce qui se fait entre potes et ce qui est réservé entre amoureuxes devrait se situer quelque part dans cette liste. Il faudrait donc connaître la liste exacte des attirences ainsi que leur degrés d'intimité, et ensuite savoir où placer la limite. Un problème est que l'attirence peut être motivée par un amour égoïste (appat du gain, narcissisme, jalousie...) ou par un amour altruiste (générosité, dévouement, -pitiée?-) Est-ce qu'une attirence qui "tire vers soi" n'est pas egoïste? L'attirence altruiste ne devrait-elle pas "pousser vers l'autre"?
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Ancien membre
15/03/2017 à 13:13

...."Un problème est que l'attirence peut être motivée par un amour égoïste (appat du gain, narcissisme, jalousie...) ou par un amour altruiste (générosité, dévouement, -pitiée?-) Est-ce qu'une attirence qui "tire vers soi" n'est pas egoïste? L'attirence altruiste ne devrait-elle pas "pousser vers l'autre"? en effet c'est un bon début de réflexion, à poursuivre sans doute avec la prudence de ne ps trop cloisonner l'amour en des stéréotypages circonstanciés...
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Ancien membre
15/03/2017 à 14:10

C'est intéressant comme sujet ! Je réflexionne là dessus et je poste un petit truc tantôt.
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Ancien membre
15/03/2017 à 14:24

génial, pareil...il y a matière à former une bonne pensée, car c'est un sujet qui mine de rien est pourtant innévitablement au centre de bien des relations...
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Ancien membre
15/03/2017 à 14:52

😁
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Ancien membre
15/03/2017 à 15:32

Jusqu'où, ben tout dépend de la relation que tu as avec lesdites personnes et leur "ouverture". Personnellement je n'ai pas de limites en soit ne me prenant pas la tête avec les barrières physiques. Je suis libertin, mes amis le savent donc si ça devait aller plus loin pour une raison x ou y - et que c'est voulu des deux bien évidemment - ça ne poserait pas de problème particulier. Bref les câlins, massages, voir le sexe ne sont en soit pas interdits. C'est un peu "particulier" je veux bien le croire, mais ne croyez pas que c'est mon but dès que je rencontre quelqu'un. Les personnes avec qui je suis proche, il y en a un nombre minimal avec qui j'ai dépassé le stade du câlin. Déjà parce que la majorité de mes amis sont hétéros et que je suis en période "gay" depuis que j'ai rencontré mon copain ^^
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Ancien membre
15/03/2017 à 16:00

il y a deux aspects dans la question me semble-t-il: 1. la limite à ne pas franchir, entre 2 (ou plusieurs) adultes consentants, c'est ce que l'autre accepte (du genre "Ganymède, s'il te plait, retire ta main" ou "Ganymede, vas-y continue", et dans l'intimité les mots sont souvent superflux, un regard, un geste sont autant d'encouragements ou de marques de dissuasion. Quant à vouloir paramétrer les sentiments et les relations en degrés d'intimité, je dis non! N'allons pas mettre en équation nos sentiments! Dans ce monde obsédé par les chiffres, c'est à peu près tout ce qu'il nous reste! 2. Quand j'aime un homme, ne suis-je pas en train de m'aimer aussi un peu? Probablement que oui, car en faisant du bien à l'autre (quand je dis cela, je ne pense pas qu'au sexe, il y a mille et une façons de faire du bien à quelqu'un, lui parler, lui sourire, l'aider à monter sa bibilothèque en kit, etc), je me fais du bien aussi à moi-même. Mine de rien, c'est vrai que le sujet est assez philosophique!
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Ancien membre
15/03/2017 à 18:11

Salut le monde. Moi je dirais que c'est un chemin subtile qui sépare l'amitié de l'amour....... J'ai une pote qui m'attire beaucoup et vis versa. Nous avons déjà eu une relation. Mais ça ne nous empêche pas de resté amies. Je pense qu'il n'y a pas de limite, tout dépend de la personne.....
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MrCochin
16/03/2017 à 01:35

Chouette discussion. Les différentes interventions sont très enrichissantes. Je partage pas mals d'avis. Perso, je tends depuis un certain temps vers la décatégorisation des relations humaines! Et comme dit précédemment, trop de chiffres et de cases dans notre pauvre bas monde. J'aurais tendance à dire qu'il y a un arc-en-ciel de relations possibles, les sentiments et le sexe sont des variables complètements ajustables selon les envies et surtout transversales! Il y a comme une forme de pression exercée par la société avec des codes, des normes et même une sorte de diktat de définir de façon claire, nette et précise chacune de nos relations peu importe la teneur. Il faut sortir de cela à mon sens. Je reprend à nouveau une citation passée, on ne peut jamais savoir ce que va devenir et vers quoi va évoluer une relation.. Bref, partant de ces principes, on se prendrait moins le chou les uns les autres à mon sens. Pour conclure et reprendre une dernière fois des éléments précédemment énoncés, la communication, la confiance et le respect mutuel doivent être la base voire même la norme s'il doit y en avoir une.
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Ancien membre
16/03/2017 à 14:31

Là c'est un sujet qui pourrait être un sujet sérieux en sexologie :). Pour ma part, on pourrait y réfléchir pendant des heures, mais je pense qu'il n'y peut pas y avoir une réponse universelle. La singularitée de chacun rend je pense la notion de "limite" génèrale et applicable pour tous impossible. Je vois ça comme ceci, une relation qu'elle soit amical, amoureuse ou autre va explicitement ou implicitement éditer les règles et le fonctionnement de cette relation. Voilà après on peut en discuter longuement et on peut même le faire avec un verre de vodka pour voir si nôtre avis sur ce sujet compliqué change :).
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Ancien membre
16/03/2017 à 15:34

MrCocin et Littlewakwak, je suis complètement d'accord avec vous! PS: quand et où pour le verre à partager?
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MrCochin
17/03/2017 à 00:56

MrCocin et Littlewakwak, je suis complètement d'accord avec vous! PS: quand et où pour le verre à partager?
Si l'occaz' se présente, avc plaisir :)
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Ancien membre
18/03/2017 à 05:10

Bonsoir, On parle souvent de cercles ou de sphères amicale, intime, professionnelle, familiale et on pourrait s'imaginer une structure rigide, imperméable et une distance pour et vis à vis de chacune d'elle... En fait, il me semble, que la seule chose qui puisse être rigide, ce sont nos à prioris, les limites que l'on se fixe et que l'on fixe à l'autre. Il y a des limites sociales, intangibles, très fortes qui séparent les sphères intime et familiale, l'inceste étant sans aucun doute LA LIMITE, la plus sacrée de bon nombre de civilisations dont la notre. Mais force est de constater que la limite entre sphère intime et sphère amicale est parfois mouvante, infime, floue et variable... on s'imagine l'équilibriste sur son fil. Pour certains le fil est de soie et pour les autres le fil est une poutre. Il est indéniable que si les schémas individuels convergent la fusion est possible alors que si ils divergent les règles sont des gardes fous solides et marqués. Faut il pour autant enfermer relation amicales et intimes dans un carcan de Morale ? Je pense que l'on peut se passer de la commisération des dames patronnesses et laisser chacun vivre dans le respect de ses limites et des limites de l'autre, véritable alter ego au sein d'une relation. Amour et amitié n'ont ils pas une similitude étymologique ancestrale même si les racines latines sont légèrement différentes ? N'aime t'on pas ses amis, parfois même plus que nos parents ? L'ambiguïté d'une relation amicale est elle blâmable, condamnable ? Il doit y avoir autant de réponses que d'individus et comme beaucoup je ne crois pas à l'universalité d'une règle unique qui s'imposerait à tous car nous avons sans doute tous des conceptions différentes de l'amour, de l'amitié comme nous avons tous des limites que nous nous mettons nous mêmes. Gardons nous bien de juger autrui... Je vous rejoins donc sur un constat plus permissif et compréhensif que réprobateur. Merci à vous, pour vos éclairages intéressants qui nourrissent notre réflexion. Bien à vous Xavier
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Ancien membre
18/03/2017 à 09:22

il y a en chaque relation des points de stabilités, soient fonctionnels, soient idéels, c'est-à-dire conventionnels, et c'est à ces points que nous devons l'organisation affective et pratique de notre vie personnelle, la question qui se pose ici n'est pas il me semble, de faire fusionner tous ces points en une méga-relation généralisée et unitive, mais plutôt de découvrir des limites personnelles pour que toutes les relations soient les plus pérennes possible... car il va s'en dire que bien des relations conventionnelles brident notre liberté intérieure, mais que c'est aussi par une certaine prudence personnelle que nous évitons de nous lier affectivement avec des proches, pour au moins trois raisons: 1/ qu'il est difficile de se rendre disponible à plusieurs personnes avec la même qualité de présence... 2/que les relations qui incluent des actes physiques intimes sont irréversiblement inscrits dans notre sensibilité et nous lient mémoriellement avec ces personnes, d'une façon qui peut troubler notre sens relationnel commun... 3/que l'amour ou l'amitié résulte d'un choix, et qu'il est de fait, exclusif envers des personnes succeptibles de devenir des amis avec qui partager notre corps sensible, cet amour qui se réserve en ce lien particulier, manifeste quelque chose de notre engagement unique envers ces "élus"... c'est pourquoi les "potes", c'est-à-dire les gars qui nous sont proches mais pas exclusives, restent succeptible de devenir des amis, mais que ce n'est pas par une relation physique avec eux qu'il y aura nécessairement passage du pote à l'ami... il faut donc alors personnellement savoir si nous réservons notre corps ou pas...et cela c'est un jugement personnel, qui n'engage d'autres personnes que si nous sollicitons de leur part ce mode de relation physique... comme il a été dit sur un sujet paralléle, vouloir avoir une relation physique avec un ami peut aussi détruire cette relation amicale...
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Ancien membre
24/03/2017 à 22:29

Je prends enfin le temps de répondre, afufu. C'est tout de même un problème de société, ça. Cette dissociation abusive de l'amitié et de l'amour, comme si rien n'existait entre les deux. Alors qu'il se passe foule de choses merveilleuses dans cette fabuleuse zone grise ! Beaucoup de réfléxion, de rétrospection et de remise en question sont nécéssaires afin de déconstruire toutes ces idées que la société nous refourgue constamment ^^ Tout est toujours une question de feeling, d'ouverture d'esprit, de moralité, d'envie mutuelle, de consentement, de respect, de partage, une certaine connexion, une alchimie même parfois. Et puis, qu'elles soient amicales, sexuelles, romantiques, émotionnelles, sensuelles, platoniques, ces différentes relations sont toutes inter-connectées, à mon sens. J'ai toujours pensé que la ligne entre l'amitié, l'amour et cette zone située entre les deux était mince. Certaines relations amicales sont d'ailleurs bien plus profondes et riches que des relations amoureuses (ou autre) et inversement, ou parfois simplement différentes au niveau des apports, c'est très subjectif et propre à chacun.e, tout ça. Il y a t'il vraiment une limite à placer, une barrière à ne pas franchir, même entre ami.e.s, en dépit du genre et l'attirance sexuelle/romantique originelle de chacun.e ? On partage ce qu'on veut partager, que ça soit du cuddle, du sexe, du kink, du romantisme, de l'épistolaire, etc. L'important je crois, est avant tout d'en discuter parce qu'il peut il y avoir de sacrés malentendus qui finissent par faire éclater des relations simples et somehow fusionnelles ou de futures relations en devenir. Le dialogue est la clé de tout, en prenant aussi en compte ce que j'ai cité un peu plus haut.
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MrCochin
27/03/2017 à 21:21

Je te suis à 100% SuperNova, je m'y retrouve tellement dans ce que tu dis! Excellente formulation, je n'aurais pas fait mieux! ;) Je te croiserai avec plaisir sur Nantes :)
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Ancien membre
29/03/2017 à 17:19

Anytime :)
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Ancien membre
30/03/2017 à 02:52

Pour ma part j'aurais tendance à dire que comme dans tout rapport social, la limite c'est quand on provoque un malaise chez l'autre. Du coup, la limite peut ne pas être la même selon tes différents amis, suivant leur pudeur notemment .
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Ancien membre
24/07/2017 à 08:05

Il est exact que comme pour les hétéros les relations d'amitié peuvent ne pas être très claires. Toutefois à mon sens pour les préserver durablement il est essentiel de les protéger contre les passions amoureuses qui sont trop souvent autant destructrices à la fin qu'elles peuvent être constructrices au début.


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